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Les Kényans triomphent à Boston

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Benson Kipruto a fêté le plus beau succès de sa carrière à Boston (© KEYSTONE/AP/Steven Senne)

Les Kényans étaient à la fête lors du marathon de Boston. Benson Kipruto a remporté la course masculine en 2h09'51'', sa compatriote Diana Chemtai Kipyogei s'imposant en 2h24'45'' chez les dames.

Cette 125e édition, la première depuis avril 2019 après une annulation en 2020 et un report ce printemps à cause de la pandémie de Covid-19, a permis à Benson Kipruto de décrocher à 30 ans sa première victoire sur un marathon majeur (Berlin, Tokyo, Londres, Boston, Chicago, New-York).

Arrivé en solitaire grâce à une attaque tranchante au 37e km, Benson Kipruto a devancé les Ethiopiens Lemi Berhanu (2h10'36'') et Jemal Yimer (2h10'37''). L'outsider américain CJ Albertson a animé la course seul en tête pendant 32 km, possédant plus de 2 minutes d'avance sur les favoris avant de payer son départ rapide dans les montées qui corsent la deuxième moitié de l'épreuve. Il a fini 10e.

Diana Chemtai Kipyogei a pour sa part triomphé lundi pour sa troisième course en carrière sur la distance. La Kényane de 27 ans a violemment accéléré après 1h44' de course, alors que le peloton était resté groupé jusque-là. Elle s'est imposée en solitaire devant ses compatriotes Edna Kiplagat (2h25'09'') et Mary Ngugi (2h25'20'').

Les Suisses s'imposent en fauteuil roulant

Les épreuves en fauteuil roulant du marathon de Boston ont souri aux Suisses. Marcel Hug, deuxième la veille à Chicago sur la même distance, et Manuela Schär ont en effet cueilli la victoire lundi dans le Massachusetts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Gaza: 36 morts dans des bombardements israéliens

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"Un par un, nous tombons en martyrs, nous sommes mis en morceaux", se lamente une femme de Khan Younès, Rania al-Jumla, en évoquant sa soeur, tuée dans un bombardement israélien. "On n'en peut plus. Chaque jour, c'est la mort". (© KEYSTONE/AP/ABDEL KAREEM HANA)

Au moins 36 personnes, dont six membres d'une même famille, ont été tuées dans de nouveaux bombardements israéliens sur la bande de Gaza jeudi matin, ont annoncé la Défense civile palestinienne et des sources hospitalières.

L'hôpital indonésien à Jabalia (nord) a dit avoir reçu les corps de neuf victimes après une frappe israélienne sur un commissariat de police de cette ville du nord du territoire palestinien.

L'armée israélienne a confirmé dans un communiqué avoir effectué une frappe dans le secteur, précisant qu'elle ciblait "des terroristes opérant dans un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique".

"Le bombardement était extrêmement intense et a secoué toute la zone", a expliqué un témoin, Abdel Qader Sabah, à l'AFP. "Tout le monde s'est mis à courir et à crier, ne sachant pas quoi faire".

Famille de six personnes tuées

Un autre bombardement aérien sur une maison du nord de la ville de Gaza (nord) a tué une famille de six personnes, un couple et ses quatre enfants, a indiqué la Défense civile.

"Que dire? La destruction n'épargne personne", s'est lamenté le cousin du père de famille, Nidal al-Sarafiti, auprès de l'AFP. Plusieurs autres frappes ont tué au moins 21 personnes, notamment à Khan Younès (sud), al-Zawaida (centre) et Gaza-ville.

Des images de l'AFP sur une maison touchée à Khan Younès montrent des personnes éteignant les flammes provoquées par le bombardement et d'autres inspectant les décombres à la lumière de torches.

"Chaque jour, la mort"

"On était assis en paix quand le missile est tombé (...) Je ne comprends tout simplement pas", a déclaré un témoin, Mohammed Faris.

Des corps gisaient à même le sol, dont une jeune femme et un garçon, dans des housses mortuaires, entourés de proches en pleurs, embrassant et caressant leurs visages.

"Un par un, nous tombons en martyrs, nous sommes mis en morceaux. Ses enfants et elle ont été tués et réduits en morceaux", se lamente Rania al-Jumla, en évoquant sa soeur, tuée dans le bombardement. "On n'en peut plus. Chaque jour, c'est la mort".

"Pourquoi? Qu'ont-ils fait? Quelle est la faute de ces enfants? Ils les ont bombardés alors qu'ils dormaient simplement! Ils sont innocents. Tous les enfants de Gaza", s'emportait Oum Ibrahim al-Zamili, qui a aussi perdu un membre de sa famille.

Plus de 51'000 morts

Rompant une trêve de près de deux mois dans la guerre déclenchée il y a plus d'un an et demi, Israël a repris le 18 mars son offensive aérienne puis terrestre dans la bande de Gaza, où au moins 1978 Palestiniens ont depuis été tués depuis selon le ministère de la Santé du Hamas.

Ce bilan porte à 51'355 le nombre de morts dans la bande de Gaza, selon la même source, depuis le début de l'offensive israélienne lancée en représailles à l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.

Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours otages à Gaza dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le ton monte entre Inde et Pakistan après l'attentat au Cachemire

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De nombreux experts anticipent déjà une riposte militaire de New Delhi, comme ce fut le cas en 2019. (© KEYSTONE/AP/Prabhjot Gill)

Suspension des visas, expulsion de diplomates et fermeture de frontières: le ton est monté d'un cran jeudi entre l'Inde et le Pakistan après l'attentat qui a causé la mort de 26 civils au Cachemire indien, dont New Delhi impute la responsabilité à Islamabad.

Dans une brusque escalade, les autorités indiennes et pakistanaises ont annoncé que les ressortissants de leur voisin et rival étaient priés de quitter leur territoire à brève échéance.

Sans mettre formellement en cause le Pakistan, le Premier ministre indien Narendra a durci son discours en promettant de traquer "jusqu'au bout de la terre" les auteurs de l'attaque et leurs complices.

Mardi, au moins trois tireurs, selon la police indienne, ont ouvert le feu sur des touristes dans la ville de Pahalgam, dans les contreforts de l'Himalaya, tuant 25 Indiens et un Népalais.

Cette attaque est la plus meurtrière visant des civils menée depuis 2000 dans ce territoire indien à majorité musulmane. Le Pakistan a nié toute responsabilité dans l'attentat.

Représailles

Dès mercredi pourtant, le gouvernement ultranationaliste hindou de New Delhi a ouvert le bal des sanctions en dévoilant une première série de représailles diplomatiques contre Islamabad.

Entre autres mesures largement symboliques, la suspension d'un traité sur le partage des eaux du fleuve Indus, la fermeture de principal poste-frontière terrestre entre les deux pays et le rappel de nombreux diplomates.

Jeudi, le ministère indien des Affaires étrangères a annoncé la "suspension à effet immédiat" de la délivrance des visas aux Pakistanais et l'annulation de tous ceux en cours d'ici au 29 avril.

"Tous les citoyens pakistanais actuellement en Inde doivent quitter l'Inde" d'ici là, a-t-il ajouté.

"Acte de guerre"

A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté aussitôt en annonçant l'expulsion de diplomates et la suspension des visas indiens, ainsi que la fermeture de sa frontière et de son espace aérien.

Promettant des "mesures fermes" contre toute "menace indienne", Islamabad a également averti que toute tentative par son voisin de réduire son approvisionnement en eau de l'Indus serait considérée comme un "acte de guerre".

Pour sa première réaction publique à l'attaque dans le Cachemire, le chef du gouvernement indien n'avait pas mâché ses mots: "Je le dis au monde entier: l'Inde identifiera, poursuivra et punira les terroristes et ceux qui les soutiennent. Nous les poursuivrons jusqu'au bout de la terre".

"Je le dis sans équivoque: ceux qui ont mené cette attaque et ceux qui l'ont mise au point en paieront le prix au-delà de leur imagination", a insisté Narendra Modi.

Mercredi, son ministre de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.

De nombreux experts anticipent déjà une riposte militaire de New Delhi, comme ce fut le cas en 2019 après une attaque meurtrière qui avait visé un convoi de militaires indiens.

"Cette attaque va faire revenir les relations entre les deux pays à leurs heures les plus sombres", a anticipé pour l'AFP l'analyste Praveen Donthi, de l'International Crisis Group (ICG).

La fusillade de Pahalgam n'avait toujours pas été revendiquée jeudi à la mi-journée.

Menaces et harcèlement

La police a diffusé les portraits-robot de trois suspects, dont deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taibad (LeT), basé au Pakistan.

Ce groupe islamiste est soupçonné des attaques djihadistes qui ont visé la mégapole indienne de Bombay en novembre 2008, faisant 166 morts.

La police a également offert une récompense de deux millions de roupies (plus de 18'000 francs) pour toute information permettant leur capture.

Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan en 1947, lorsque ces deux pays ont accédé à l'indépendance. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté de l'ensemble du territoire.

Depuis 1989, les combats entre l'insurrection séparatiste et les troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts dans la région.

Jeudi encore, un soldat a été tué dans un accrochage survenu à Basantgarh, a rapporté l'armée indienne.

A Srinagar, la principale ville du Cachemire, la situation était calme jeudi, mais de nombreux habitants ne cachaient pas leurs craintes.

"Tous ceux avec lesquels j'ai parlé ont le coeur brisé et sont choqués par la tournure prise par les événements", a réagi auprès de l'AFP l'historien local Siddhi Wa Hid. "Mais il est encore trop tôt pour se prononcer sur (les) raisons" de l'attaque.

De nombreux touristes indiens ont quitté la ville dans les heures qui ont suivi l'attaque. Mais ses rues restaient très animées, notamment dans ses fameux jardins, a constaté un photographe de l'AFP.

Selon l'Association des étudiants du Jammu et Cachemire, de nombreux étudiants originaires du Cachemire ont été depuis mercredi la cible de menaces et d'agressions dans toute l'Inde depuis l'attentat de mardi, accusés d'être des "terroristes".

"Il s'agit là d'une campagne délibérée et ciblée de haine et de calomnie", a dénoncé le président de l'association, Nasir Khuehami.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Festival de Cannes complète sa programmation

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Kristen Stewart vient à Cannes pour son premier film en tant que réalisatrice, "The chronology of water". Le film de l'ex-star de "Twilight" suit une jeune fille qui "grandit dans un environnement ravagé par la violence et l'alcool" avant de trouver "refuge dans la littérature". (© KEYSTONE/AP/Jojo Whilden)

A une vingtaine de jours du coup d'envoi, le 78e Festival de Cannes a complété mercredi sa programmation, ajoutant en compétition un thriller avec Jennifer Lawrence et Robert Pattinson ou encore le premier film de l'actrice Kristen Stewart en section parallèle.

Deux nouveaux films rejoignent la course à la Palme d'or, qui compte désormais 21 longs-métrages, dont "Die, my love", de Lynne Ramsay ("We need to talk about Kevin", "A beautiful Day"), avec Jennifer Lawrence et Robert Pattinson.

La cinéaste américaine de 55 ans est la septième réalisatrice en lice pour la Palme d'or, permettant au festival, sans parvenir à la parité, d'égaler son record de 2023.

Les sélectionneurs ont également retenu "Mother and child", de l'Iranien Saeed Roustaee, 35 ans. En 2023, ce dernier avait été condamné dans son pays à six mois de prison pour avoir diffusé à Cannes son précédent film, "Leïla et ses frères".

Premier film de Kristen Stewart réalisatrice

Dans la section Un certain regard, consacrée aux découvertes, le Festival montrera notamment le premier film de Kristen Stewart, 35 ans, comme réalisatrice, "The chronology of water".

Le film de l'ex-star de "Twilight", devenue une valeur sûre du cinéma d'auteur, suit une jeune fille qui "grandit dans un environnement ravagé par la violence et l'alcool" avant de trouver "refuge dans la littérature", selon ses producteurs.

Le Festival projettera aussi notamment, en séance de minuit, le deuxième film d'Ethan Coen réalisé sans son frère Joel, avec Margaret Qualley qui avait marqué les esprits en 2024 avec "The Substance".

Hommage à Pierre Richard

Cannes rendra également un hommage à l'un des doyens du cinéma français, l'acteur et réalisateur de comédie Pierre Richard, 90 ans, en projetant son dernier film, le premier qu'il réalise depuis près une trentaine d'années, "L'homme qui a vu l'ours qui a vu l'homme", qui doit sortir en salles fin septembre.

Le 78e Festival de Cannes doit s'ouvrir le 13 mai, pour une remise de la Palme d'or le 24 mai. Mylène Farmer fera "une prestation exceptionnelle" lors de la soirée d'ouverture, a fait savoir Brut, partenaire officiel du festival, ce qu'a confirmé à l'AFP l'entourage de la star française.

Scarlett Johansson: aussi une première réalisation

Parmi les stars attendues: l'actrice Scarlett Johansson devant et derrière la caméra, pour sa première réalisation, Denzel Washington sur les marches pour un film signé Spike Lee ou Robert de Niro pour un hommage et une Palme d'or d'honneur. Tom Cruise, lui, doit présenter l'ultime "Mission: Impossible", hors compétition.

Côté helvétique, "Nuit obscure - 'Ain't I a child?" de Sylvain George, le dernier volet d'une trilogie sur les politiques migratoires, a été retenu par le Festival de Cannes dans la sélection Acid.

Ella Rumpf à la Semaine de la Critique

L'actrice suisse Ella Rumpf, révélation féminine dans "Le Théorème de Marguerite" qui lui avait valu un César l’an dernier, joue un rôle principal dans "Des preuves d'amour/Love Letters" de Alice Douard. Ce film français est sélectionné par la Semaine de la Critique (Special Screening).

Le Festival doit encore annoncer la composition détaillée du jury, présidé par la vedette française Juliette Binoche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Masters 1000 de Madrid: Carlos Alcaraz doit renoncer

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Carlos Alcaraz explique son forfait devant les médias (© KEYSTONE/EPA/CHEMA MOYA)

Carlos Alcaraz (ATP 3) a annulé au dernier moment sa participation au Masters 1000 à Madrid. L'Espagnol est blessé aux deux jambes, a-t-il indiqué en conférence de presse.

A un mois de Roland-Garros, Alcaraz ne veut logiquement pas prendre le moindre risque. Il a précisé avoir des douleurs dans les deux jambes, soit à l'adducteur droit et à l'ischio-jambier gauche. Le numéro 3 mondial avait dû être traité par le physio dimanche lors de sa finale perdue à Barcelone contre le Danois Holger Rune.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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