International
Le propriétaire des Commanders cité à comparaître
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Le propriétaire de la franchise NFL des Washington Commanders a été cité à comparaître mercredi devant une commission du Congrès américain.
Celle-ci est chargée d'enquêter sur l'environnement de travail présumé toxique au sein du club.
Dan Snyder est soupçonné de chercher à entraver une enquête de la NFL ouverte sur les conditions et l'atmosphère de travail dans sa franchise. Carolyn Maloney, présidente de la commission de la Chambre des représentants chargée du contrôle et de la réforme, a déclaré dans un communiqué qu'il allait être cité à comparaître après son "refus continu et infondé" de témoigner volontairement devant ladite commission.
Déjà une amende de 10 millions
"Le refus de M. Snyder de témoigner montre clairement qu'il est plus soucieux de se protéger que de dire la vérité. Si la NFL n'est pas disposée à lui demander des comptes, je suis prête à le faire", a-t-elle déclaré.
Les parlementaires tentent de faire la lumière sur des accusations de mauvaises conduites et de harcèlement sexuel sur le lieu de travail au sein des Washington Commanders. La franchise a déjà été condamnée l'an dernier à une amende de 10 millions de dollars par la NFL, qui a établi des faits de harcèlement sexuel et d'intimidation.
En février dernier, une ancienne pom-pom girl et cadre du marketing de l'équipe a raconté à la commission du Congrès la façon dont elle avait été harcelée sexuellement par Snyder. Dans un mémo de 29 pages diffusé mercredi, les législateurs détaillent la manière dont les Commanders ont traité les allégations portées par des employées du club.
"Enquête fantôme"
Ils dénoncent aussi l'ouverture par Snyder d'une "enquête fantôme" destinée à "discréditer ses accusateurs aux yeux de la NFL". Cette "enquête fantôme" avait pour but de monter "un dossier (...) consistant en un document PowerPoint de 100 pages détaillant les communications privées et les activités sur les réseaux sociaux de journalistes du Washington Post et d'anciens employés".
"Cette présentation, en date du 23 novembre 2020, semble se baser sur des textos, des courriels, des registres d'appels téléphoniques, des transcriptions d'appels téléphoniques et des messages postés sur les réseaux sociaux d'une cinquantaine de personnes dont M. Snyder semblait penser qu'elles étaient impliquées dans un complot visant à le dénigrer", poursuivent les parlementaires.
La commission a également établi que, pendant l'enquête de la NFL dirigée par l'ancienne procureure fédérale Beth Wilkinson, Snyder et son équipe juridique avaient proposé des transactions financières à d'anciennes pom-pom girls pour acheter leur silence.
Mme Wilkinson a également dit avoir trouvé des preuves contestant le caractère indépendant de l'enquête diligentée par la NFL, car Snyder disposait d'un moyen pour bloquer la communication de certaines informations.
La Ligue, informée des efforts de Snyder visant à faire échouer l'enquête dirigée par Beth Wilkinson, "n'a pas pris de mesures significatives pour l'en empêcher", a cinglé la commission, fustigeant de surcroit l'incapacité de la NFL de publier un rapport écrit complet.
"Raisons impérieuses"
Le patron de la Ligue, Roger Goodell, a plaidé mercredi, devant les membres du Congrès, des "raisons impérieuses" de ne pas rendre publiques les conclusions complètes de l'enquête.
"Nous avons été francs et directs sur le fait que la culture du travail au sein des Commanders n'était pas uniquement non-professionnelle, mais toxique pendant beaucoup trop longtemps", a-t-il dit, se drapant ensuite dans l'importance de préserver la confidentialité des témoins.
Interrogé, quant à savoir s'il était "prêt à faire plus" pour sanctionner Snyder, Goodell a répondu: "Je n'ai pas l'autorité pour le destituer."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Appel de 14 pays contre l'expansion des colonies en Cisjordanie
Quatorze pays, dont la France, l'Italie et l'Allemagne, ont condamné mercredi soir l'approbation récente de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Ils exhortent le gouvernement israélien à revenir sur cette décision et "à cesser l'expansion des colonies".
"Nous, représentants de l'Allemagne, de la Belgique, du Canada, du Danemark, de l'Espagne, de la France, de l'Italie, de l'Irlande, de l'Islande, du Japon, de Malte, des Pays-Bas, de la Norvège et du Royaume-Uni, condamnons l'approbation par le cabinet de sécurité du gouvernement israélien de la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie occupée", selon un communiqué commun diffusé par le ministère français des Affaires étrangères.
"Nous réitérons notre claire opposition à toute forme d'annexion ainsi qu'au développement de la politique de colonisation", ajoute le texte.
Les autorités israéliennes avaient annoncé dimanche avoir approuvé l'installation de 19 colonies en Cisjordanie, une mesure visant selon elles à "bloquer l'établissement d'un Etat palestinien terroriste", dans un contexte d'intensification de la colonisation depuis le 7-octobre.
Violation du droit international
Dans leur communiqué, les pays rappellent que cette action unilatérale constitue "une violation du droit international". "Cette action risque de compromettre la mise en ½uvre du plan de paix pour Gaza, alors même que sont déployés des efforts pour passer à la deuxième phase (de ce plan, ndlr), et elle nuit aux perspectives de paix et de sécurité durables dans l'ensemble de la région", ajoutent-ils.
"Nous appelons Israël à revenir sur cette décision, ainsi qu'à cesser l'expansion des colonies, conformément à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies", écrivent-ils, ajoutant qu'ils sont "déterminés à soutenir le droit à l'autodétermination des Palestiniens".
Ces pays rappellent enfin leur "attachement indéfectible à une paix globale, juste et durable reposant (...) sur la solution des deux Etats où deux Etats démocratiques, Israël et la Palestine, vivent côte à côte en paix et en sécurité, à l'intérieur de frontières sûres et reconnues".
Accélérée depuis le 7 octobre
La colonisation s'est poursuivie sous tous les gouvernements israéliens, de gauche comme de droite depuis 1967, et s'est nettement intensifiée sous l'exécutif actuel, en particulier depuis le début de la guerre à Gaza déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Hormis Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, plus de 500'000 Israéliens vivent aujourd'hui en Cisjordanie dans des colonies que l'ONU juge illégales au regard du droit international, au milieu de quelque trois millions de Palestiniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.
Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.
En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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