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Le peloton rattrapé par des premiers cas de Covid

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Geoffrey Bouchard de l'équipe AG2R est le premier coureur qui a dû se retirer en raison du Covid. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Tour de France a été rattrapé samedi par les premiers cas de Covid-19 qui ont eu pour conséquence le retrait de plusieurs coureurs, dont un des coéquipier du maillot jaune slovène Tadej Pogacar.

Le Norvégien Vegard Stake Laengen (UAE) a quitté la course avant le départ de la 8e étape à Dole tout comme le Français Geoffrey Bouchard (AG2R Citroën), lui aussi testé positif au coronavirus.

"Vegard a été testé négatif hier matin lors du protocole de test de routine de l'équipe interne. Mais il a signalé des symptômes de maux de gorge tard la nuit dernière", a expliqué le médecin de l'équipe émiratie, le Dr Adriano Rotunno. "Le test antigénique a été positif et il a été confirmé par un test PCR ce matin."

Quelques minutes plus tôt, l'équipe de Bouchard avait fait part du départ de son grimpeur, vainqueur par le passé du classement de la montagne au Giro et à la Vuelta mais néophyte sur le Tour.

Bouchard, souffrant au cours de la 7e étape, a été testé positif en soirée et immédiatement isolé du reste du groupe, a précisé la formation.

Ces deux cas sont les premiers concernant les coureurs du peloton mais la nouvelle vague de Covid a déjà provoqué des départs dans l'encadrement de plusieurs équipes, tant dans le personnel que dans la direction des groupes.

Tests obligatoires

A elle seule, la formation Quick-Step a dû faire appel à trois nouveaux directeurs sportifs depuis le début du Tour. Lylian Lebreton, l'un des directeurs sportifs de TotalEnergies, a lui aussi quitté l'épreuve et devrait revenir prochainement, dès qu'il ne sera plus contagieux.

Avant le départ de Copenhague, une demi-douzaine de coureurs ont été remplacés au sein de leurs formations respectives. Dans l'équipe de Pogacar, l'Italien Matteo Trentin notamment a dû laisser la place au Suisse Marc Hirschi alors que le champion de France Florian Sénéchal doit sa présence au forfait du Belge Tim Declercq.

A la suite de la cascade d'abandons enregistré au Tour de Suisse à la mi-juin, le protocole anti-Covid a été actualisé avant le début du Tour par l'Union cycliste internationale (UCI).

Les tests sont obligatoires avant le départ et lors des deux journées de repos de l'épreuve, coureurs et personnels d'équipes compris. L'ensemble du peloton sera donc testé dimanche soir ou lundi, lors de la journée de repos avant les Alpes.

En cas de positivité, le protocole prévoit que "la décision d'isolement éventuelle sera prise de manière collégiale par le médecin de l'équipe concernée, le médecin Covid-19 de l'épreuve et le directeur médical de l'UCI".

La fédération internationale a renoncé à la règle de l'exclusion automatique de la course pour une équipe ayant deux coureurs positifs au Covid dans un délai de sept jours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ukraine: l'émissaire US évoque une séparation comme à Berlin

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L'émissaire américain pour l'Ukraine, Keith Kellog (à droite) lors d'une récente visite au président polonais Andrzej Duda. (© KEYSTONE/AP/CZAREK SOKOLOWSKI)

L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire américain Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.

Après plus de trois ans d'une guerre déclenchée par l'invasion russe du 24 février 2022 et des avancées extrêmement limitées vers une trêve, plusieurs pays tels que la France et le Royaume-Uni se sont dits favorables à l'idée d'une présence militaire européenne de maintien de la paix en Ukraine, dont ils proposent même de faire partie une fois le conflit terminé.

"Vous pourriez presque faire ressembler cela à ce qui s'est passé avec Berlin après la Deuxième Guerre mondiale, quand vous aviez une zone russe, une zone française, une zone britannique, une zone américaine", dépeint le général Kellogg dans un entretien publié samedi par le Times.

Et pour remplacer le mur de séparation construit en 1961 dans la capitale allemande - puis abattu en 1989 - il pense au fleuve Dniepr.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump assure être "en pleine forme" après sa visite médicale

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Le président américain Donald Trump ne boit pas d'alcool et ne fume pas, mais ne cache pas son goût pour les sodas et fast-food. (© KEYSTONE/AP/Manuel Balce Ceneta)

Donald Trump, qui à 78 ans est le président le plus âgé jamais élu aux Etats-Unis, et qui a été accusé pendant son premier mandat de ne pas être transparent sur sa santé, a assuré vendredi être "en pleine forme" après une visite médicale annuelle.

"Dans l'ensemble, j'ai eu le sentiment d'être en pleine forme. Un bon coeur. Une bonne âme. Une très bonne âme", a affirmé le milliardaire républicain à bord de son avion Air Force One, qui l'emmenait en Floride après une visite médicale qui s'est déroulée à l'hôpital militaire Walter Reed, en proche banlieue de Washington.

En plus d'examens cardiaques, il a affirmé avoir passé un test cognitif pour être "un peu différent de Biden".

Pendant la dernière campagne présidentielle, Donald Trump avait plusieurs fois mis au défi son rival démocrate, qu'il n'avait cessé d'attaquer sur son âge, de se soumettre à un tel test.

"Je ne sais pas quoi vous dire, si ce n'est que j'ai eu toutes les bonnes réponses", a souligné le républicain.

Il a précisé qu'un compte rendu de ces examens serait publié dimanche.

Soda et fast-food

La question de la santé du président américain est devenue particulièrement sensible à la fin de la présidence de Joe Biden, qui, achevant son mandat à 82 ans, apparaissait avec une démarche chaque jour plus raide et une élocution de plus en plus embrouillée, là où son adversaire donne l'apparence d'une plus grande vigueur physique.

Donald Trump ne boit pas d'alcool et ne fume pas, mais ne cache pas son goût pour les sodas et la nourriture des chaînes de fast-food.

Lors de la course à la présidentielle de 2024, il avait déjà assuré avoir passé un test cognitif et l'avoir réussi "avec brio", sans donner aucun détail.

En novembre 2023, le républicain avait simplement publié une courte lettre de son médecin affirmant qu'il était en "excellente" santé et qu'il avait perdu du poids - sans préciser combien.

Depuis, le milliardaire n'a pas fourni de bulletin de santé.

Joe Biden faisait publier de longs comptes-rendus très détaillés, mentionnant jusqu'à son taux de cholestérol ou le nom du médicament qu'il prenait pour ses allergies.

Coloscopie de Biden

Il avait aussi passé une coloscopie sous anesthésie générale le 19 novembre 2021, pendant laquelle la vice-présidente Kamala Harris avait brièvement assuré les fonctions présidentielles.

Donald Trump a été souvent accusé par ses opposants de ne pas être transparent sur sa santé, en particulier lorsque pendant les derniers mois de son premier mandat il avait été hospitalisé plusieurs jours pour une infection au Covid-19.

Un ancien médecin du républicain, Harold Bornstein, avait assuré que le président américain lui avait un jour "dicté" une lettre le présentant en excellente santé, avant qu'il ne soit élu pour la première fois.

"S'il était élu, je peux affirmer sans équivoque que M. Trump sera l'individu en meilleure santé jamais élu à la présidence", disait ce bulletin publié en décembre 2015, sans fournir aucune preuve appuyant cette assertion.

En mai 2018, le Dr Bornstein, un gastroentérologue qui avait son cabinet sur Park Avenue, non loin de Central Park, avait ensuite affirmé que Donald Trump lui avait "entièrement dicté cette lettre".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ambassadrice: Israël et la Suisse ne sont "pas d'accord sur tout"

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Pour l'ambassadrice d'Israël en Suisse, Ifat Reshef, l'agenda est commun lorsqu’il s’agit de lutter contre l’antisémitisme (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

L’ambassadrice d’Israël à Berne, Ifat Reshef, affirme que sur le conflit israélo-palestinien, la Suisse et son pays entretiennent des relations amicales. Mais elle réitère des critiques sur certaines positions helvétiques au sein des instances onusiennes.

Berne et Israël ne sont pas d’accord sur tout. "Au moment de l’attaque du 7-Octobre, la Suisse était pour la première fois membre non permanente du Conseil de sécurité et je n’ai pas toujours été heureuse des positions qu’elle a prises et qu’elle continue de prendre", déclare Ifat Reshef samedi dans les colonnes du Temps.

Elle cite un récent vote au Conseil des droits de l’homme à Genève, où la Suisse "a de nouveau voté en faveur d’un texte qui nous accuse, sans mentionner le Hamas ni le massacre". Selon l'ambassadrice, Israël n’est pas seulement soumis à un "double standard", il est "soumis à des exigences impossibles".

"Tomber les masques"

S'exprimant sur l'augmentation des actes ou paroles antisémites en Suisse, Mme Reshef jute "très douloureux et alarmant de voir que des citoyens suisses souffrent parce qu’ils sont juifs". Elle voit un pic d’actes antisémites déjà juste après le 7-Octobre, alors qu'Israël n’avait pas entamé son offensive terrestre à Gaza.

"Cela donne l’impression que les gens n’attendaient qu’une excuse pour faire tomber les masques", selon la diplomate. Elle assure que la Suisse reste en bien meilleure position que ses voisins, et loue les initiatives locales et cantonales pour lutter contre l’antisémitisme.

Critique "légitime"

En qualité "d’ambassadrice d’un Etat démocratique, Israël, dans un autre Etat démocratique, la Suisse", Ifat Reshef dit tenir à la liberté d’expression pour une valeur fondamentale: "la critique d’Israël est donc légitime, même si je ne la partage pas".

Et de souligner qu'elle ne représente pas les juifs de Suisse. "Les Suisses de confession juive ne représentent pas Israël. Je trouve donc scandaleux que les gens mettent la pression sur les juifs pour qu’ils se distancient de la politique menée par Israël".

Cependant, l'agenda est conjoint lorsqu’il s’agit de lutter contre l’antisémitisme: comme diplomate israélienne, lutter contre l’antisémitisme "est ma mission sacrée", dit l'ambassadrice. La lutte contre l’antisémitisme est une tâche commune à nous tous: en Suisse, elle est avant tout une responsabilité suisse, insiste-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'Argentine annonce un accord pour un prêt du FMI de 20 milliards

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L'Argentine pourra mettre fin dès lundi au contrôle des changes en vigueur depuis 2019 dans le pays (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Rodrigo Abd)

L'Argentine a conclu un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt de 20 milliards de dollars qui permettra la fin dès lundi du contrôle des changes en vigueur depuis 2019 dans le pays, a annoncé vendredi le ministre de l'Economie Luis Caputo.

"Nous sommes parvenus à un nouvel accord avec le Fonds monétaire international", qui permettra "de recapitaliser la Banque centrale pour une monnaie plus saine", a annoncé le ministre à la presse. Le peso argentin sera autorisé à flotter dans une bande d'entre 1000 et 1400 pesos pour un dollar, et la limite d'accès à 200 dollars par mois sera levée pour les Argentins, a annoncé simultanément la Banque centrale dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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