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L'Australie annule le visa de Novak Djokovic

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Un fan de Novak Djokovic l'attendait en vain à l'aéroport de Melbourne. (© KEYSTONE/AP/Hamish Blair)

L'Australie a annulé jeudi le visa de Novak Djokovic qui était arrivé à l'aéroport de Melbourne dépourvu des documents nécessaires à l'entrée dans le pays, ont indiqué les douanes australiennes.

Le no 1 mondial, dont le statut vaccinal est inconnu, avait obtenu une dérogation pour pouvoir se rendre à Melbourne en vue d'y disputer le premier tournoi du Grand Chelem de l'année. "Les ressortissants étrangers qui ne disposent pas d'un visa valide ou dont le visa a été annulé seront placés en détention et expulsés d'Australie", ont déclaré les douanes.

Le numéro un mondial a appris tard dans la soirée, heure suisse, que son visa était refusé. Il a reçu l'injonction de quitter l'Australie dès jeudi.

Les avocats de Djokovic tentaient de faire opposition à la décision des autorités australiennes comme le mentionnaient "The Age" et le "Sydney Morning Herald".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / dpa

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Ultimes préparatifs pour les funérailles du pape

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Au moins 130 délégations étrangères sont attendues aux obsèques du pape François à Rome, placée sous haute protection. (© KEYSTONE/EPA/ITALIAN CARABINIERI HANDOUT)

Le Vatican met vendredi la dernière main aux préparatifs des funérailles du pape François, qui se tiendront samedi matin sur la place Saint-Pierre, à Rome, tandis que pour une dernière journée, fidèles et touristes peuvent défiler devant son cercueil ouvert.

La plupart des 50 chefs d'Etat et des 10 monarques qui ont confirmé jusqu'ici leur présence aux obsèques du souverain pontife, dont le président américain Donald Trump et l'Ukrainien Volodymyr Zelensky, doivent arriver à Rome ce vendredi.

Au moins 130 délégations étrangères seront présentes, dont celles de l'Argentin Javier Milei et du Prince William.

L'agence italienne de protection civile estime que "plusieurs centaines de milliers" de personnes se rendront dans la ville éternelle en ce week-end qui s'annonçait déjà très chargé en raison d'un jour férié.

Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de forces de l'ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d'élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.

Des dizaines de milliers de personnes ont déjà fait la queue pendant des heures pour rendre un dernier hommage à François, dont le cercueil sera fermé vendredi à 20 heures lors d'une cérémonie à laquelle assisteront les cardinaux.

C'est le cardinal Kevin Farrell, le "camerlingue" qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu'à l'élection d'un nouveau pape, qui présidera le "rite du scellement du cercueil".

Le premier pape sud-américain de l'Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l'âge de 88 ans, moins d'un mois après sa sortie de l'hôpital romain où il était soigné pour une grave pneumonie.

"Un pape et son troupeau"

L'Argentin, dont la santé était défaillante depuis longtemps et auxquels ses médecins avaient ordonné un strict repos, a défié leurs préconisations pour se présenter aux fidèles à Pâques, la fête la plus importante du calendrier catholique.

Les condoléances ont afflué du monde entier pour le défunt pape, un réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses 12 années à la tête des quelque 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.

Le cercueil capitonné de rouge du jésuite argentin a été placé devant l'autel de la basilique Saint-Pierre. François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.

Un par un, les fidèles se recueillent depuis mercredi devant le cercueil, ne disposant que de quelques secondes. "C'était un moment bref mais intense à côté de son corps", a déclaré jeudi à l'AFP l'Italien Massimo Palo, 63 ans, après sa visite.

"C'était un pape parmi son troupeau, parmi son peuple, et j'espère que les prochains papes seront un peu comme lui", a-t-il ajouté.

Une sobre sépulture

Après les funérailles, le cercueil de François sera transporté pour être inhumé, selon sa volonté, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, à Rome, dédiée au culte de la Vierge.

Un groupe de "pauvres et de nécessiteux" sera présent sur les marches de la basilique pour accueillir le cercueil du pontife, qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.

Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription "Franciscus", François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin.

Après les obsèques, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs - soit ceux âgés de moins de 80 ans - réunis en conclave pour choisir le successeur de François.

La date du début du conclave n'est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s'ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.

Les cardinaux, qui ont commencé à converger à Rome et se sont déjà vus à trois reprises, se réuniront dans la Chapelle Sixtine et procéderont à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l'après-midi.

Le cardinal italien Pietro Parolin, qui était le numéro deux de François, est donné favori par le bookmaker britannique William Hill, devant le Philippin Luis Antonio Tagle, archevêque métropolitain émérite de Manille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Guerre en Ukraine: la Russie se dit prête à un accord, dit Lavrov

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Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov déclare que la Russie est "prête" à conclure un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine dans une interview à une chaîne américaine mis en ligne jeudi (archives). (© KEYSTONE/EPA/TATYANA MAKEYEVA / POOL)

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a assuré jeudi que Moscou était prête à un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine, après un avertissement de Donald Trump à Vladimir Poutine à la suite de frappes meurtrières sur Kiev.

La salve lancée par la Russie dans la nuit de mercredi à jeudi - 70 missiles et 145 drones visant au total six régions et faisant 12 morts à Kiev selon les autorités ukrainiennes - est intervenue à un moment où les laborieuses négociations entreprises par le président américain se crispent sur la question de la Crimée.

Donald Trump "parle d'un accord et nous sommes prêts à conclure un accord, mais certains éléments spécifiques doivent encore être peaufinés", a affirmé M. Lavrov dans un entretien diffusé jeudi soir par la chaîne américaine CBS.

"Il y a plusieurs signes qui montrent que nous allons dans la bonne direction", louant Donald Trump comme "probablement le seul dirigeant sur la planète qui reconnaît le besoin de s'attaquer aux causes profondes de la situation".

Le président américain a indiqué cette semaine être "très proche" d'un compromis avec la Russie pour mettre fin à la guerre déclenchée par l'invasion à grande échelle lancée par la Russie en février 2022.

Il a fait porter la responsabilité du blocage actuel des tractations au président ukrainien Volodymyr Zelensky et les éléments distillés par les responsables américains supposent des concessions majeures de la part de Kiev. Mais les derniers bombardements meurtriers l'ont conduit à sortir du ton très conciliant adopté ces derniers temps envers Vladimir Poutine.

"Vladimir, ARRÊTE!", s'est agacé Donald Trump par une de ses formules lapidaires sur sa plateforme Truth Social, ajoutant n'être "pas content" de ces frappes au "très mauvais timing".

Missile nord-coréen

Alors que l'armée russe a indiqué avoir "mené une attaque massive avec des armes de précision à longue portée" contre plusieurs entreprises liées au complexe militaro-industriel ukrainien, M. Lavrov a insisté sur CBS que les forces russes ne visaient "que des objectifs militaires ou des sites civils utilisés par l'armée".

Le bilan dans la seule capitale est l'un des plus lourds depuis des mois.

Dans le quartier de l'ouest de Kiev touché, des journalistes de l'AFP ont vu des corps gisants au sol, des immeubles endommagés et calcinés, et les secours s'employant à rechercher d'éventuelles victimes supplémentaires ou survivants dans les décombres.

Volodymyr Zelensky, qui a écourté une visite en Afrique du Sud, a accusé la Russie d'avoir utilisé un missile "fabriqué en Corée du Nord" lors de ces frappes.

Il a aussi affirmé que l'armée russe avait tenté de profiter de ces bombardements aériens massifs pour intensifier leur offensive au sol.

"Alors que le gros de nos forces se concentrait sur la protection contre les missiles et les drones, les Russes ont considérablement intensifié leurs attaques au sol", a-t-il déclaré sur Telegram, ajoutant que cet assaut avait été repoussé.

"Pression sur la Russie"

La vague de missiles et de drones explosifs lancés par la Russie intervient à un moment critique pour le processus de négociation que Donald Trump a engagée pour faire cesser la guerre lancée par Moscou en février 2022, et dont le bilan se chiffre au moins en dizaines de milliers de morts de part et d'autre.

L'émissaire américain Steve Witkoff est attendu d'ici à la fin de la semaine à Moscou, tandis que Donald Trump et Volodymyr Zelensky seront tous les deux présents aux funérailles du pape François samedi à Rome.

Des informations de presse ont fait état de discussions russo-américaines sur la reconnaissance de l'annexion par la Russie de la Crimée, péninsule ukrainienne dont Moscou a pris le contrôle en 2014.

Sans reconnaître un tel point explicitement, le président américain a cependant jugé cette semaine le territoire "perdu" pour l'Ukraine, tandis que son vice-président JD Vance suggérait de "geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu'elles sont aujourd'hui".

Le président ukrainien est revenu sur le sujet jeudi avant de quitter Pretoria précipitamment: "Nous faisons tout ce que nos partenaires ont proposé, sauf ce qui est contraire à notre législation et à la Constitution" ukrainienne sur l'intégrité territoriale du pays, Crimée comprise, a-t-il souligné, exigeant à l'inverse "plus de pression sur la Russie".

A ce sujet, Donald Trump a assuré jeudi devant la presse que les Etats-Unis mettaient "une forte pression" sur la Russie pour mettre fin à la guerre, ajoutant que Moscou ferait "une assez grosse concession" en acceptant de ne pas s'emparer de tout le pays.

Reçu par Donald Trump, le patron de l'Otan, Mark Rutte, a paru s'inscrire en faux par rapport aux déclarations du président américain accusant Kiev d'entraver les tractations de paix.

"Il y a quelque chose sur la table maintenant, je pense, et les Ukrainiens jouent vraiment le jeu. Et je pense que la balle est clairement dans le camp de la Russie maintenant", a déclaré M. Rutte à Washington. "Des pas de géants ont été accomplis au cours des derniers jours".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump signe pour l'extraction des fonds marins, aussi en haute mer

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Aucune extraction minière commerciale n'a encore eu lieu dans les fonds marins, aux Etats-Unis ou ailleurs, mais certains Etats ont déjà octroyé des permis d'exploration dans leurs zones économiques exclusives (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Mary Altaffer)

Donald Trump a signé jeudi un décret destiné à ouvrir l'extraction à grande échelle de minerais dans les fonds océaniques, y compris en eaux internationales, une remise en cause de l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), en théorie compétente en haute mer.

Le texte demande au secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, "d'accélérer l'examen" de candidatures "et la délivrance de permis d'exploration et d'extraction" de minéraux "au-delà des juridictions" américaines.

Il saisit également le ministre de l'Intérieur, Doug Burgum, pour en faire de même pour les eaux territoriales. L'initiative doit permettre de collecter un milliard de tonnes de matériaux en dix ans, a indiqué un haut responsable américain.

L'AIFM a juridiction sur les fonds marins des eaux internationales, en vertu d'accords que les Etats-Unis n'ont, néanmoins, jamais ratifiés. Aucune extraction minière commerciale n'a encore eu lieu dans les fonds marins, aux Etats-Unis ou ailleurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Alphabet (Google) dépasse largement les attentes au 1er trimestre

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Google a massivement investi dans le cloud, au point d'en devenir l'un des poids lourds avec Microsoft et Amazon (archives). (© KEYSTONE/EPA/HANNIBAL HANSCHKE)

Alphabet (Google) a très largement dépassé les attentes au premier trimestre, catapulté par son activité d'informatique à distance (cloud computing), dont la croissance témoigne d'un appétit toujours soutenu pour l'intelligence artificielle (IA).

Le bénéfice net ressort à 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an, selon un communiqué publié jeudi.

Rapporté par action, il atteint 2,81 dollars, très au-dessus des 2,34 dollars attendus par les analystes, selon un consensus établi par FactSet.

Il s'agit de l'un des plus importants bénéfices trimestriels jamais enregistrés par une société cotée et un record absolu pour Alphabet.

Le groupe de Mountain View (Californie) a vu son chiffre d'affaires croître de 28% sur un an dans le "cloud", à savoir l'ensemble des infrastructures de stockage de données et les logiciels permettant de les exploiter à distance.

Ce rythme est nettement supérieur à celui des ventes totales de l'entreprise (+12%), qui se sont montées à 90,2 milliards de dollars pour la période allant de janvier à mars.

Initialement spécialisé dans la publicité en ligne et les outils de recherche sur internet, Google a massivement investi dans le cloud, au point d'en devenir l'un des poids lourds avec Microsoft et Amazon.

Croissance du cloud

La proportion des revenus tirés de l'informatique à distance a doublé en moins de cinq ans, pour représenter désormais près de 14% du chiffre d'affaires d'Alphabet.

"La croissance du cloud indique que le portefeuille de produits et services IA de Google continue de séduire, malgré une concurrence renforcée", a réagi Yory Wurmser, analyste du cabinet Emarketer, même si "les droits de douane (imposés par Donald Trump) pourraient changer leurs plans en matière d'investissement".

Google met aussi à profit l'IA générative dans son métier d'origine, avec l'intégration de son assistant Gemini à son moteur de recherche.

Le groupe a transformé son célèbre portail en proposant maintenant, en tête des résultats d'une recherche, un texte rédigé par Gemini, dans une fenêtre appelée AI Overview, les traditionnels liens vers des sites n'apparaissant que plus bas.

Google vise ainsi à contrer la concurrence d'interface d'IA générative comme ChatGPT ou Claude, voire Perplexity AI.

Pour autant, au premier trimestre, le chiffre d'affaires tiré du moteur de recherche n'a progressé de 10%, un rythme sensiblement moins élevé que lors des trimestres précédents (au moins 12% sur chaque trimestre de 2024).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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