International
Laaksonen no 1 suisse devant Federer au classement ATP
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Roger Federer n'est plus le meilleur joueur suisse du classement ATP publié ce lundi. Le vainqueur de vingt tournois du Grand Chelem est retombé au 96e rang soit une place derrière Henri Laaksonen.
Federer a perdu les 250 points du tournoi sur herbe de Halle. Ainsi pour la première fois depuis juillet 2017 et son classement derrière Stan Wawrinka, le Bâlois de 41 ans n'est plus le no 1 suisse à l'ATP. Pour sa part, le Vaudois occupe la 265e place mondiale.
Le 11 juillet, Federer devrait disparaître du classement ATP après 25 ans de présence. En effet, il va se voir retirer les 600 points de sa participation à la finale de Wimbledon en 2019, qui étaient encore comptabilisés en raison de la règle d'exception édictée pendant la pandémie du Covid-19.
Federer était apparu dans le classement ATP pour la première fois le 22 septembre 1997 en tant que matricule 803. Le 2 février 2004, il prenait pour la première fois la tête du classement mondial. Au total, il a passé 310 semaines au sommet de la hiérarchie du tennis masculin.
Le Bâlois a livré son dernier match officiel il y a près d'une année lorsqu'il s'était incliné en quart de finale à Wimbledon contre le Polonais Huber Hurkacz. Depuis lors, il a subi trois opérations au genou droit. Il a prévu d'effectuer sa rentrée en octobre à l'occasion de "son" tournoi à Bâle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le Hamas prêt à une trêve contre la libération des otages
Le Hamas est prêt à conclure un accord prévoyant la libération en une seule fois de tous les otages encore retenus à Gaza et une trêve de cinq ans avec Israël, pour mettre fin à la guerre en cours, a dit samedi un responsable du mouvement.
"Le Hamas est prêt pour un échange de prisonniers (otages israéliens contre prisonniers palestiniens, ndlr) en une seule opération et pour une trêve de cinq ans", a déclaré, sous couvert de l'anonymat, ce responsable à l'AFP. Ces propos surviennent alors qu'une délégation du mouvement islamiste palestinien doit rencontrer les médiateurs ce samedi au Caire.
Il n'est pas clair à ce stade si l'idée d'une longue trêve a été proposée par le Hamas lui-même ou les médiateurs égyptiens et qataris.
Le 17 avril, le Hamas, qui se dit opposé à un accord "partiel", avait rejeté une proposition israélienne qui prévoyait notamment une trêve de 45 jours en échange du retour de dix otages vivants.
Demandes aux antipodes
Dans sa vision de l'accord "global" qu'il recherche, le mouvement demande un arrêt des hostilités, un retrait complet des troupes israéliennes, l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens et l'entrée d'aide humanitaire dans Gaza.
Israël, de son côté, réclame le retour de tous les otages et le désarmement du Hamas et des autres groupes armés à Gaza. Ce dernier point constitue une "ligne rouge" pour le mouvement.
La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, laquelle a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.
Des milliers de morts
Une trêve du 19 janvier au 17 mars a permis le retour en Israël de 33 otages, incluant huit morts, en échange de la sortie d'environ 1800 Palestiniens des prisons israéliennes.
Selon des chiffres publiés vendredi par le ministère de la Santé du Hamas, au moins 2062 Palestiniens ont été tués depuis la reprise de l'offensive israélienne le 18 mars, portant à 51'439 le nombre de morts à Gaza depuis le début de la guerre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
François, "un pape proche des gens, avec un coeur ouvert à tous"
François a été un "pape proche des gens, avec un coeur ouvert à tous", a relevé samedi le cardinal Giovanni Battista Re. Il s'exprimait dans son homélie prononcée lors des obsèques du jésuite argentin sur la place Saint-Pierre.
Il a "immédiatement imprimé sa forte personnalité dans la gouvernance de l'Église, en établissant un contact direct avec les individus et les populations, désireux d'être proche de tous, avec une attention particulière pour les personnes en difficulté, se dépensant sans compter, en particulier pour les plus démunis, les exclus", a-t-il également relevé.
Le cardinal a aussi rappelé, sous les applaudissements de la foule, les "gestes innombrables" de François envers les réfugiés et les personnes déplacées.
"Son insistance à oeuvrer en faveur des pauvres a également été constante", a-t-il ajouté, soulignant qu'il était "significatif que le premier voyage du pape François ait été celui à Lampedusa, île symbole du drame de l'émigration avec des milliers de personnes noyées en mer". Le pape n'a cessé "d'implorer la paix", d'appeler à des "négociations honnêtes", a également relevé le prélat.
Marée humaine
Une marée d'au moins 200'000 fidèles avait auparavant déferlé place Saint-Pierre, remplie à craquer pour les funérailles au cérémonial grandiose du pape François. Celles-ci ont commencé en présence d'un aréopage de chefs d'Etat et de têtes couronnées.
Avant le début des funérailles à 10h00, le président américain Donald Trump est entré dans la basilique pour se recueillir devant le cercueil du pape, tout comme l'Ukrainien Volodymyr Zelensky, le Français Emmanuel Macron, le Brésilien Lula et l'Argentin Javier Milei. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter, également présente à la cérémonie, a salué sur X "une vie au service des autres".
Les cloches de Saint-Pierre ont sonné le glas avant le début de la cérémonie sur la place, un grand écrin devant la basilique enchâssé dans l'élégante colonnade du Bernin n'ayant pu accueillir tous les fidèles, qui débordent sur la grande avenue de la Conciliation.
Applaudissements
Puis le cercueil du pape, mort d'un AVC lundi à 88 ans, a été transporté hors de la basilique, où il a été accueilli par des applaudissements et installé devant l'autel où est célébrée la messe en plein air.
Sont également présents le roi Philippe et la reine Mathilde, le prince William ainsi que le prince Albert de Monaco et son épouse Charlene.
Outre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, sont aussi présents pour l'Europe le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer. Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova.
Trump rencontre Zelensky
Donald Trump a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé Kiev, alors que le président américain avait affirmé quelques heures auparavant que Kiev et Moscou étaient "très proches d'un accord", trois ans après l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes.
Le septuagénaire a également échangé une poignée de main avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, en plein conflit sur les droits de douane entre les deux continents. Au total, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées assistent à la cérémonie funèbre.
Cette semaine, plus de 250'000 personnes ont patienté pendant des heures pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre.
Au terme de la messe, le cercueil sera escorté de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à la basilique Sainte-Marie-Majeure. C'est dans cet imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes que François a choisi d'être inhumé.
Conclave en vue
Une fois les obsèques célébrées, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs - soit ceux âgés de moins de 80 ans - convoqués au conclave pour choisir dans les prochaines semaines, à huis clos dans la Chapelle Sixtine, un successeur au pape François.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise
Le Premier ministre pakistanais a martelé samedi que son pays était "prêt" à "protéger chaque centimètre carré" de son sol, après un deuxième échange de tirs au Cachemire avec le voisin indien. New Delhi l'accuse d'une récente attaque meurtrière.
S'exprimant en anglais, fait inhabituel, lors d'une cérémonie militaire, Shehbaz Sharif a répété qu'accuser son pays d'être lié à la mort de 26 civils mardi dans les contreforts de l'Himalaya au Cachemire disputé, était "infondé". Le chef du gouvernement a même réclamé une "enquête neutre" sur cette attaque dont son voisin indien l'accuse.
L'Inde, elle, mène toujours une chasse à l'homme au Cachemire, assurant notamment rechercher deux tireurs pakistanais.
Alors que tous les regards sont tournés vers la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire, forces indiennes et pakistanaises ont de nouveau échangé des tirs, pour la deuxième journée consécutive, a rapporté l'armée indienne.
Elle assure que des tirs d'armes légères "non provoqués" sont venus de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise, qui, elle, ne commente pas l'événement.
Eviter l'escalade
Tôt vendredi, les deux puissances nucléaires - qui se sont livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947 au départ du colonisateur britannique - avaient déjà brièvement échangé des tirs.
L'Arabie saoudite, allié traditionnel du Pakistan et où le Premier ministre indien Narendra Modi se trouvait au moment de l'attaque mardi, assure vouloir enrayer la spirale du conflit.
Ryad "mène des démarches pour éviter une escalade" et "que la situation échappe à tout contrôle", a indiqué un haut responsable saoudien à l'AFP.
L'Iran, rival historique de l'Arabie saoudite et qui a mené début 2024 une série de tirs au Pakistan, a également proposé sa médiation.
Menaces et sanctions
Au Cachemire, après que M. Modi a promis que son pays traquerait les tireurs de mardi "jusqu'au bout de la terre", la police indienne a diffusé les portraits-robots de deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taiba (LeT), basé au Pakistan.
Et l'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque.
Mercredi, le ministre indien de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.
Le ministre pakistanais de la Défense a rétorqué vendredi sur la chaîne Sky News. "Nous répliquerons, nous ajusterons notre réponse en fonction de ce que fera l'Inde (...) il est possible qu'une guerre totale éclate et cela aura des répercussions graves", a menacé Khawaja Asif.
Sanctions
Mercredi, l'Inde a ouvert le bal des sanctions, avec la suspension d'un traité sur le partage des eaux de l'Indus, la fermeture du principal poste-frontière terrestre et l'expulsion de diplomates.
A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté en appliquant à chaque sanction une mesure de réciprocité.
Conséquence immédiate, les compagnies aériennes indiennes ont été contraintes de modifier le trajet de leurs vols vers l'ouest et le nord-ouest pour éviter le Pakistan.
Et à la frontière, désormais fermée, des familles déchirées font leurs adieux à des épouses, des cousins ou des enfants forcés de rester d'un côté ou de l'autre de la frontière maintenant que tous les visas ont été annulés par Islamabad et New Delhi - le Pakistan fait toutefois exception pour les pèlerins sikhs venus d'Inde.
"Régler le problème"
Le Conseil de sécurité de l'ONU, dont le Pakistan est actuellement membre non permanent, a condamné l'"attaque terroriste" de mardi. En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre un convoi de militaires indiens, les deux pays avaient échangé des tirs.
De nombreux experts craignent une riposte militaire de New Delhi, alors que les opinions publiques des deux pays sont chauffées à blanc. Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique" et réclame "la retenue maximale".
Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire. Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Décès de Virginia Giuffre, plaignante clé de l'affaire Epstein
Virginia Giuffre, l'une des principales plaignantes de l'affaire Jeffrey Epstein, financier américain qui était accusé de trafic sexuel de mineures, s'est suicidée à son domicile en Australie à l'âge de 41 ans, a annoncé samedi sa famille.
Mme Giuffre avait accusé le milliardaire américain Jeffrey Epstein, mort en détention en 2019, de l'avoir utilisée comme "esclave sexuelle" au tournant des années 2000.
L'Américano-Australienne avait conclu en 2022 un arrangement de plusieurs millions de dollars avec le prince Andrew, frère du roi Charles III d'Angleterre, qu'elle accusait d'agression sexuelle quand elle était mineure dans cette affaire.
"C'est avec le coeur brisé que nous annonçons que Virginia est décédée la nuit dernière dans sa ferme en Australie occidentale", a déclaré la famille dans un communiqué transmis à l'AFP par son agent.
"Elle s'est suicidée après avoir souffert tout au long de sa vie des agressions sexuelles et du trafic sexuel" dont elle a été victime.
"Incroyable courage"
"Il n'y a pas de mots qui puissent exprimer la grave perte que nous ressentons aujourd'hui avec le décès de notre douce Virginia", a déclaré la famille, se souvenant de son "incroyable courage et de son esprit aimant".
"En fin de compte (...) il est devenu insupportable pour Virginia de supporter le poids des agressions" subies. Mme Giuffre laisse trois enfants, Christian, Noah et Emily, a précisé sa famille.
Son avocate, Sigrid McCawley, pour qui Mme Giuffre avait été une "amie très chère" a souligné qu'elle avait contribué à défendre d'autres victimes dans cette affaire. "Son courage m'a poussé à me battre plus fort, et sa force était impressionnante".
L'agente new-yorkaise Dini von Mueffling a décrit sa cliente comme "l'un des êtres humains les plus extraordinaires" qu'elle ait connus. "Profondément aimante, sage et drôle, elle était un phare pour les autres survivants et victimes", a-t-elle déclaré.
Les accusations de Virginia Giuffre avaient précipité la disgrâce du prince Andrew, qui s'est retiré de la vie publique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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