International
La NBA pousse pour la vaccination, Irving en fait les frais
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Le couperet est finalement tombé.
Poussé à se faire vacciner et ainsi être autorisé à jouer à domicile, le meneur de Brooklyn Kyrie Irving a été écarté par son club mardi, interdit de s'entraîner ou de jouer... à moins de se résigner à recevoir ses injections.
La star des Nets était sur la sellette depuis l'instauration, par la ville de New York, de nouveaux protocoles de sécurité sanitaire empêchant les adultes non-vaccinés de prendre part aux entraînements ou aux matches.
"Kyrie a fait un choix personnel et nous respectons" ce choix, a déclaré dans un communiqué Sean Marks, le directeur général du club, qui prévient toutefois: "Nous ne permettrons à aucun membre de notre équipe de n'être disponible que partiellement."
"Notre objectif d'être sacrés champions cette saison reste inchangé et pour l'accomplir, chaque membre (...) doit pousser dans la même direction", résume Sean Marks.
Peu à peu
L'annonce représente le point culminant du conflit opposant la NBA aux quelque 5% de joueurs refusant l'immunisation contre le Covid-19. Elle intervient alors que la mairie de New York avait pourtant décidé d'autoriser Irving à s'entraîner dans les installations de la franchise, considérées comme privées et non publiques.
La Ligue, qui a dans un premier temps envisagé de rendre obligatoire la vaccination, a finalement renoncé face au refus du syndicat des joueurs (NBPA). Les instances du basket américain poussent par d'autres moyens, notamment un protocole sanitaire extrêmement strict pour les non-vaccinés (tests quotidiens, repas en solitaire, sorties et interactions très limitées), qui se laissent peu à peu convaincre.
Appels à la vaccination
Andrew Wiggins, ailier récalcitrant au vaccin des Golden State Warriors, franchise basée à San Francisco, qui a mis en place des restrictions similaires à celles de New York, s'est finalement fait vacciner, a annoncé son club début octobre. La superstar des Lakers LeBron James, un temps "très sceptique", a lui aussi reçu ses doses, refusant toutefois d'appeler à la vaccination. "Je ne pense pas que je devrais me mêler de ce que les gens font pour leur corps", a-t-il lancé fin septembre.
Des appels à la vaccination obligatoire affluent néanmoins, comme celui exprimé avec véhémence par Kareem Abdul-Jabbar, légende du basket, estimant qu'"un joueur devrait impérativement s'y soumettre sans quoi il faudrait le retirer de l'équipe".
380'000 dollars par match
Dont acte chez les Brooklyn Nets. Et Kyrie Irving pourrait bien manquer le début de la saison NBA, qui s'ouvre par un choc opposant son équipe aux Milwaukee Bucks, champions en titre, s'il ne régularise pas sa situation d'ici là. Un coup dur, même si le club pourra tout de même compter sur ses deux autres stars, James Harden et Kevin Durant.
Et si Irving persiste, c'est toute la saison qu'il manquera, ainsi que des millions de dollars de salaire - la bagatelle de 380'000 dollars par match, selon la chaîne sportive ESPN.
Le directeur général des Nets Sean Marks a toutefois précisé mardi lors d'une conférence de presse suivant l'annonce, que seuls les revenus de Kyrie Irving liés aux matches à domicile seraient retenus par le club. Les matches à l'extérieur lui seront bien payés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Cérémonial grandiose aux funérailles de François
François, "le pape des pauvres", va avoir droit samedi à des funérailles grandioses dans une ferveur populaire place Saint-Pierre. Plus de 200'000 fidèles, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées sont attendus.
Dès l'aube, des milliers de personnes ont convergé dans les rues menant à la place, encadrés par des centaines d'agents de sécurité en tenue jaune et orange fluorescents équipés de talkies-walkies.
"On voit énormément de monde. Des jeunes ont passé la nuit à l'extérieur. Ça montre combien de fois le pape François a marqué", a confié à l'AFP Jean-Roger Mounguengui, Gabonais de 64 ans venu avec son épouse. "C'est une journée vraiment historique", ajoute l'homme en costume sombre et cravate prune.
A l'ouverture des accès à la place peu après 06h00, nombre de fidèles ont couru pour tenter d'avoir une place assise. Plusieurs ont des drapeaux de leur pays sur le dos. D'autres exhibent une photo du pape François sur des banderoles. "Oh mon Dieu, je n'arrive pas y croire", lance une jeune américaine en arrivant sur la place.
Emotion dans le monde entier
La mort, lundi de Pâques, d'un AVC à l'âge de 88 ans du premier pape sud-américain qui avait été élu en 2013, a suscité une émotion et des hommages planétaires.
Le président américain, accompagné de son épouse Melania, est arrivé à Rome vendredi soir et pourrait avoir des entrevues bilatérales en marge de la cérémonie, avec par exemple la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à propos de la hausse des droits de douane que M. Trump a imposée.
En revanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi soir qu'il n'était pas certain d'"avoir le temps" de faire le déplacement.
Messe à 10h00
La messe au rituel très solennelle doit débuter à 10h00 dans le cadre majestueux de la place Saint-Pierre, un écrin posé face à la basilique et enchâssé dans la colonnade du Bernin.
Elle sera présidée par le doyen du collège des cardinaux, l'Italien Giovanni Battista Re. Des écrans géants ont été installés tout le long de la Via della Conciliazione, la grande artère reliant le Vatican aux rives du Tibre, pour permettre à la foule de la suivre.
Cette semaine, plus de 250'000 personnes ont patienté pendant des heures pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre. Face à cet afflux, le Vatican a même été contraint de laisser ouvertes les portes de la basilique jusqu'au bout de la nuit.
Rois et reines
Un élan reflétant la popularité de ce défenseur inlassable de la paix, des migrants et des laissés pour compte, devenu au fil des ans une boussole morale dans un monde toujours plus instable. Sa simplicité, sa bonhomie et son franc-parler, parfois abrasif, ont aussi contribué à élargir son audience au-delà des catholiques.
Le cercueil a été fermé vendredi soir lors d'une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l'Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu'au conclave qui élira le successeur de François. Sa date n'est pas encore connue mais il devrait débuter autour du 5 mai.
Des milliers de chaises ont été alignées pour accueillir 224 cardinaux vêtus de pourpre, plus de 750 évêques et prêtres, mais aussi des représentants d'autres confessions venus rendre hommage à cet avocat du dialogue inter-religieux.
Comme pour Jean-Paul II en 2005, plus de 160 délégations de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront à ces funérailles en mondovision.
Outre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, seront aussi présents pour l'Europe le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter y assistera aussi.
Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova. L
L'Amérique du Sud, continent d'origine de Jorge Bergoglio, sera représentée par son compatriote, le président argentin Javier Milei, et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Ainsi que quelques têtes couronnées: le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le prince de Galles William représentant son père Charles III, le roi du Lesotho Letsie III, le roi Abdallah II et la reine Rania de Jordanie, ainsi que le prince Albert II de Monaco et son épouse Charlène.
Tireurs d'élite
Les mesures de sécurité sont draconiennes. La gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens sont sur les dents et surveillent les accès au Vatican, dotés de contrôles de sécurité semblables à ceux d'un aéroport, dont des scanners à rayons X.
Une zone d'exclusion aérienne au-dessus de Rome est en place et des unités antidrones ont été déployées avec des brouilleurs d'ondes. Des avions de chasse sont aussi prêts à décoller et des tireurs d'élite sont positionnés sur les toits.
Au terme de la messe, le cercueil sera escorté de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à la basilique Sainte-Marie-Majeure. C'est dans cet imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes que François a choisi d'être inhumé.
"Franciscus"
Située dans une petite niche près de l'autel dédié à saint François, la sobre tombe en marbre portera comme seule inscription "Franciscus", François en latin.
Jorge Bergoglio, très attaché au culte de la Vierge Marie, avait l'habitude de se recueillir dans cette basilique, qui fait partie du territoire du Vatican, à la veille et au retour de ses visites à l'étranger.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise
Le Premier ministre pakistanais a martelé samedi que son pays était "prêt" à "protéger chaque centimètre carré" de son sol, après un deuxième échange de tirs au Cachemire avec le voisin indien. New Delhi l'accuse d'une récente attaque meurtrière.
S'exprimant en anglais, fait inhabituel, lors d'une cérémonie militaire, Shehbaz Sharif a répété qu'accuser son pays d'être lié à la mort de 26 civils mardi dans les contreforts de l'Himalaya au Cachemire disputé, était "infondé". Le chef du gouvernement a même réclamé une "enquête neutre" sur cette attaque dont son voisin indien l'accuse.
L'Inde, elle, mène toujours une chasse à l'homme au Cachemire, assurant notamment rechercher deux tireurs pakistanais.
Alors que tous les regards sont tournés vers la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire, forces indiennes et pakistanaises ont de nouveau échangé des tirs, pour la deuxième journée consécutive, a rapporté l'armée indienne.
Elle assure que des tirs d'armes légères "non provoqués" sont venus de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise, qui, elle, ne commente pas l'événement.
Eviter l'escalade
Tôt vendredi, les deux puissances nucléaires - qui se sont livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947 au départ du colonisateur britannique - avaient déjà brièvement échangé des tirs.
L'Arabie saoudite, allié traditionnel du Pakistan et où le Premier ministre indien Narendra Modi se trouvait au moment de l'attaque mardi, assure vouloir enrayer la spirale du conflit.
Ryad "mène des démarches pour éviter une escalade" et "que la situation échappe à tout contrôle", a indiqué un haut responsable saoudien à l'AFP.
Menaces et sanctions
Au Cachemire, après que M. Modi a promis que son pays traquerait les tireurs de mardi "jusqu'au bout de la terre", la police indienne a diffusé les portraits-robots de deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taiba (LeT), basé au Pakistan.
Et l'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque.
Mercredi, le ministre indien de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.
Le ministre pakistanais de la Défense a rétorqué vendredi sur la chaîne Sky News. "Nous répliquerons, nous ajusterons notre réponse en fonction de ce que fera l'Inde (...) il est possible qu'une guerre totale éclate et cela aura des répercussions graves", a menacé Khawaja Asif.
Sanctions
Mercredi, l'Inde a ouvert le bal des sanctions, avec la suspension d'un traité sur le partage des eaux de l'Indus, la fermeture du principal poste-frontière terrestre et l'expulsion de diplomates.
A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté en appliquant à chaque sanction une mesure de réciprocité.
Conséquence immédiate, les compagnies aériennes indiennes ont été contraintes de modifier le trajet de leurs vols vers l'ouest et le nord-ouest pour éviter le Pakistan.
Et à la frontière, désormais fermée, des familles déchirées font leurs adieux à des épouses, des cousins ou des enfants forcés de rester d'un côté ou de l'autre de la frontière maintenant que tous les visas ont été annulés par Islamabad et New Delhi - le Pakistan fait toutefois exception pour les pèlerins sikhs venus d'Inde.
"Régler le problème"
Le Conseil de sécurité de l'ONU, dont le Pakistan est actuellement membre non permanent, a condamné l'"attaque terroriste" de mardi. En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre un convoi de militaires indiens, les deux pays avaient échangé des tirs.
De nombreux experts craignent une riposte militaire de New Delhi, alors que les opinions publiques des deux pays sont chauffées à blanc. Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique" et réclame "la retenue maximale".
Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire. Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Décès de Virginia Giuffre, plaignante clé de l'affaire Epstein
Virginia Giuffre, l'une des principales plaignantes de l'affaire Jeffrey Epstein, financier américain qui était accusé de trafic sexuel de mineures, s'est suicidée à son domicile en Australie à l'âge de 41 ans, a annoncé samedi sa famille.
Mme Giuffre avait accusé le milliardaire américain Jeffrey Epstein, mort en détention en 2019, de l'avoir utilisée comme "esclave sexuelle" au tournant des années 2000.
L'Américano-Australienne avait conclu en 2022 un arrangement de plusieurs millions de dollars avec le prince Andrew, frère du roi Charles III d'Angleterre, qu'elle accusait d'agression sexuelle quand elle était mineure dans cette affaire.
"C'est avec le coeur brisé que nous annonçons que Virginia est décédée la nuit dernière dans sa ferme en Australie occidentale", a déclaré la famille dans un communiqué transmis à l'AFP par son agent.
"Elle s'est suicidée après avoir souffert tout au long de sa vie des agressions sexuelles et du trafic sexuel" dont elle a été victime.
"Incroyable courage"
"Il n'y a pas de mots qui puissent exprimer la grave perte que nous ressentons aujourd'hui avec le décès de notre douce Virginia", a déclaré la famille, se souvenant de son "incroyable courage et de son esprit aimant".
"En fin de compte (...) il est devenu insupportable pour Virginia de supporter le poids des agressions" subies. Mme Giuffre laisse trois enfants, Christian, Noah et Emily, a précisé sa famille.
Son avocate, Sigrid McCawley, pour qui Mme Giuffre avait été une "amie très chère" a souligné qu'elle avait contribué à défendre d'autres victimes dans cette affaire. "Son courage m'a poussé à me battre plus fort, et sa force était impressionnante".
L'agente new-yorkaise Dini von Mueffling a décrit sa cliente comme "l'un des êtres humains les plus extraordinaires" qu'elle ait connus. "Profondément aimante, sage et drôle, elle était un phare pour les autres survivants et victimes", a-t-elle déclaré.
Les accusations de Virginia Giuffre avaient précipité la disgrâce du prince Andrew, qui s'est retiré de la vie publique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Coupe du Roi: duel Barcelone - Real Madrid très attendu
Le FC Barcelone et le Real Madrid seront aux prises ce soir tard (22h00) à Séville en finale de la Coupe du Roi. Ce troisième Clasico de la saison est attendu avec passion en Espagne.
Deux fois corrigé (4-0, 5-2) par les Catalans lors des deux premiers duels de l'exercice (en Liga et en Supercoupe d'Espagne), le Real a une première occasion de sauver une saison assez terne et de se racheter auprès de ses socios. Sous pression, l'équipe de Carlo Ancelotti est en quête de revanche... et d'oxygène.
Car un troisième revers de rang face au Barça, leader du championnat espagnol avec quatre points d'avance, et une nouvelle finale perdue, dirigerait le géant madrilène vers une saison sans trophée majeur. Le club a dû se contenter de la Supercoupe d'Europe et de la Coupe intercontinentale.
Surtout, les Madrilènes ont déjà subi douze défaites cette saison toutes compétitions confondues. En 2023/24, ils n'avaient perdu que deux fois au total...
Ancelotti sur la sellette
Une treizième pourrait, selon plusieurs médias, précipiter le départ annoncé de l'entraîneur italien en fin de saison, malgré son souhait de rester jusqu'au terme de son contrat en 2026. En ce printemps quasi chaotique, avec une élimination sèche en quarts de finale de la Ligue des champions par Arsenal (5-1 au total) et des victoires poussives en Liga pour rester dans la course au titre, Ancelotti cherche encore la bonne formule pour faire briller toutes ses stars en même temps.
Et Mbappé, bien qu'auteur d'une première saison brillante au niveau statistique (meilleur buteur du club avec 33 réalisations), est devenu pour certains le visage d'une saison bien terne. Pourtant, les supporters madrilènes rêvaient à son arrivée d'une 16e C1 et d'un potentiel sextuplé.
Sans Lewandowski
Sûr de sa force collective, le Barça s'avance comme favori pour ce premier Clasico en finale de Coupe depuis onze ans, mais devra faire sans son arme fatale en attaque, Robert Lewandowski, blessé à la cuisse. Le Polonais de 36 ans avait inscrit un doublé en Liga au Bernabéu (4-0).
Mais les Catalans ont d'autres joueurs offensifs capables de martyriser la défense merengue. A commencer par Raphinha, auteur d'une saison de feu, et le prodige Lamine Yamal.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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