International
Killian Peier attend son heure
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Killian Peier continue à tourner autour du top 10. Le Vaudois s'est classé 13e dimanche du deuxième concours au grand tremplin du week-end à Klingenthal (GER), après sa 12e place de la veille.
Cet hiver, le médaillé de bronze des Mondiaux 2019 au grand tremplin a terminé à chaque concours de Coupe du monde entre la 6e et la 16e place. Une bonne plateforme, à partir de laquelle il doit être en mesure bientôt d'aller plus loin, lui qui fait son retour après une déchirure du ligament croisé antérieur au genou droit. Peier avait pris le 2e rang des qualifications en matinée.
Une belle équipe de Suisse se met en place. Les quatre Helvètes en lice se sont hissés en 2e manche. Derrière Peier (132 m comme meilleur saut), Dominik Peter a fini 18e, tout près de son meilleur classement en Coupe du monde, Simon Ammann a atterri à la 25e place et Gregor Deschwanden à la 28e.
Le Japonais Ryoyu Kobayashi (139 m en manche finale) a fêté son 21e succès devant cinq Norvégiens, dont Daniel Andre Tande (2e) et Marius Lindvik (3e). L'Allemand Karl Geiger (22e) reste leader de la Coupe du monde.
Le week-end prochain, le circuit fait étape à Engelberg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
GAVI veut "encourager" la Suisse à devenir un "donateur important"
L'Alliance mondiale du vaccin (GAVI) à Genève veut "encourager" la Suisse à devenir un "donateur important". Elle n'a toujours pas reçu de notification d'un arrêt des financements américains et n'a décidé pour le moment d'aucune restriction.
La Suisse donne une quinzaine de millions de francs sur plusieurs années comme Etat hôte de l'organisation. "Nous nous réjouissons de poursuivre le dialogue avec elle et de l'encourager à devenir un donateur important", a affirmé vendredi la directrice exécutive de GAVI, Sania Nishtar, aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU).
Il y a quelques semaines, le New York Times avait dévoilé des documents de l'administration américaine dans lesquels étaient prévues des coupes du financement à cet acteur incontournable pour la vaccination dans le monde. Mme Nishtar s'est rendue à Washington la semaine dernière pour plaider la cause de cette alliance auprès des autorités et des parlementaires.
"Nous n'avons pas encore reçu de notification d'un arrêt du contrat" avec les Etats-Unis, explique la Pakistanaise. L'administration américaine lui répond qu'elle n'est pas en position d'en dire davantage tant que l'évaluation de la participation américaine à toutes les organisations internationales n'est pas achevée.
Les Etats-Unis alimentent environ 13% de l'enveloppe de l'organisation qui demandera 9 milliards de dollars en juin à la réunion de reconstitution de ses fonds. "Nous avons beaucoup de soutien dans les deux Chambres du Congrès", affirme la directrice exécutive.
Pas encore de restriction
Si les Etats-Unis ont donné un milliard de dollars sur cinq ans, GAVI a dépensé quatre fois plus auprès des entreprises pharmaceutiques sur la même période. "Nous sommes un très bon investissement pour eux", dit l'ancienne ministre pakistanaise.
Autre argument, GAVI maintient les stocks de vaccins qu'elle finance en permanence. Elle est "la seule organisation" à pouvoir oeuvrer immédiatement en cas d'épidémie importante, selon Mme Nishtar. Sans les Etats-Unis, 18 millions de personnes n'auraient pas pu être sauvées ces 25 dernières années grâce à leur immunisation, affirme GAVI.
En attendant que ce pays décide de poursuivre ou non sa participation, l'institution n'a validé pour le moment aucune restriction dans ses activités. Près de 85 vaccins seront lancés cette année. GAVI va aussi demander une analyse des possibles perturbations liées aux droits de douane américains, surtout si ceux-ci devaient affecter le prix des médicaments sur le marché. Pour le moment, les effets ne semblent pas "significatifs", affirme la directrice exécutive.
Depuis son arrivée il y a un an, Mme Nishtar a lancé un chantier pour adapter le cadre de GAVI aux changements de la situation internationale. Avec un accélérateur à 1,2 milliard de dollars, l'institution facilite aussi la possibilité de fabricants africains de vaccins pour qu'ils puissent être concurrentiels et obtenir une homologation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BCE prête à agir si une guerre commerciale menace la stabilité
La Banque centrale européenne est "prête à intervenir" en cas de risque pour la stabilité financière en zone euro, a déclaré vendredi sa présidente, après une semaine de tempête sur les marchés financiers provoquée par la guerre commerciale déclenchée par Donal Trump.
L'institution monétaire "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré Christine Lagarde à Varsovie en marge d'une réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro, sans donner plus de détails.
Ses propos interviennent à moins d'une semaine de la prochaine réunion de la BCE pour décider du cap monétaire, tandis que la plupart des marchés boursiers baissaient vendredi, avec un dollar qui ne cesse de s'enfoncer face à l'euro.
En cause, l'annonce de Pékin d'une nouvelle hausse de ses droits de douane sur les produits venant des Etats-Unis, illustrant l'escalade entre les deux puissances.
Des tensions commerciales supplémentaires pourraient entraîner de fortes turbulences sur les marchés où se négocient les actions, obligations et autres devises, avec le risque de déstabiliser le système financier de la zone euro.
Arsenal face aux crises
"Jusqu'à présent, nous ne voyons aucun signe de tension de liquidité sur les marchés", a tempéré Claudia Buch, présidente du superviseur bancaire au sein de la BCE, dans une interview donnée vendredi à Bloomberg.
La BCE redoute, de son côté, qu'une guerre commerciale freine les exportations et la croissance, l'obligeant à ajuster sa politique monétaire pour soutenir l'économie.
Des marchés volatils peuvent aussi nuire à l'efficacité des décisions de politique monétaire, par exemple si le taux bas ne se répercuterait pas correctement sur les prêts aux entreprises ou aux ménages.
Durant ses vingt premières années d'existence, la BCE a déjà dû déployer un arsenal de mesures pour calmer plusieurs crises.
Entre 2010 et 2012, plusieurs pays de la zone euro (Grèce, Portugal, Espagne, Italie) faisaient face à des taux d'intérêt très élevés sur leurs dettes, menaçant la stabilité de la zone euro.
En 2012, Mario Draghi, président de la BCE, prononçait son célèbre "Whatever it takes" (Quoi qu'il en coûte) pour sauver l'euro, via des rachats potentiellement illimités de dette, finalement jamais utilisés.
Lors de l'éclatement de la pandémie du Covid-19, l'institut a lancé un programme d'urgence (PEPP pour Pandemic Emergency Purchase Program) consistant en 1850 milliards d'euros de rachats de dette, pour soutenir Etats et entreprises.
Et face à la hausse rapide des taux d'intérêt et des tensions sur les dettes dans le contexte d'inflation record liée à la guerre en Ukraine, la BCE a créé un nouvel outil pour intervenir si des écarts de taux d'intérêt entre pays deviennent trop importants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
BP prévient d'un recul de sa production de gaz au premier trimestre
Le géant britannique des hydrocarbures BP a prévenu vendredi qu'il s'attendait à une production de gaz en recul au premier trimestre 2025 par rapport trimestre précédent, avec en outre des ventes "faibles" de cet hydrocarbure sur la période.
Le groupe a publié vendredi une mise à jour au marché en amont de la publication de ses résultats trimestriels prévue le 29 avril.
La production devrait globalement "être inférieure à celle du trimestre précédent, avec une production légèrement supérieure dans la production et les opérations pétrolières et inférieure dans le gaz et l'énergie à faible émission de carbone", détaille le groupe.
Par ailleurs "à la fin du premier trimestre, la dette nette devrait être supérieure d'environ 4 milliards de dollars à celle du quatrième trimestre" 2024, mais cela est principalement dû à des effets saisonniers et de calendrier, précise BP.
Le titre de BP reculait de 2,40% à 333,40 pence vendredi à la Bourse de Londres peu avant 08H00 GMT, dans un marché en petite hausse.
BP a renoncé en février à une stratégie climatique autrefois ambitieuse pour se recentrer sur le pétrole et le gaz, avec l'espoir de doper ses bénéfices en berne et ses redistributions aux actionnaires.
Le groupe, qui s'était distingué à partir de 2020 par un plan de neutralité carbone qui allait plus loin que ses principaux rivaux, était déjà largement revenu depuis deux ans sur ses objectifs climatiques.
BP, qui a publié un bénéfice net en chute de 97% pour l'an passé, a aussi annoncé en janvier 4.700 suppressions d'emplois en interne, soit plus de 5% de ses effectifs.
Le groupe britannique n'est pas le seul à faire machine arrière sur ses objectifs climatiques pour doper sa rentabilité: c'est aussi le cas de son compatriote Shell.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Stellantis a livré moins de véhicules début 2025
Le constructeur automobile Stellantis (Fiat, Peugeot, Chrysler) a annoncé vendredi une baisse de 9% de ses volumes de véhicules livrés au premier trimestre 2025 sur un an, attribuée principalement à une baisse de la production en Amérique du Nord.
1,22 million de véhicules des marques du groupe franco-italo-américain ont été livrés aux concessionnaires, aux distributeurs et aux entreprises pour leur flotte au premier trimestre 2025, contre 1,33 au premier trimestre 2024.
Cette "baisse de la production en Amérique du Nord" est la conséquence "d'une période prolongée de vacances en janvier", a avancé le groupe dans un communiqué : 20% de véhicules en moins ont été livrés dans la région sur un an.
L'Europe s'en sort mieux, mais le volume de véhicules livrés y est quand même en baisse : -8%. Stellantis y voit "l'impact conjugué de la transition vers de nouveaux produits et de la baisse des volumes de véhicules utilitaires légers".
Du côté du positif, Stellantis rapporte une "dynamique positive de la prise de commandes" de ses nouveaux modèles ou des nouvelles générations de ses modèles existants, comme le nouveau C3 Aircross de Citroën ou la future Fiat Grande Panda, disponible en électrique et en hybride.
Le constructeur a fait part d'une hausse de sa part de marché sur sa région Europe, qui prend 1,9 point à 17,3% du marché au premier trimestre.
Le repli de 9% des volumes de véhicules livrés au premier trimestre représente une stabilisation par rapport au quatrième trimestre 2024 (-9%) et une légère amélioration par rapport à l'année 2024 dans son ensemble (-12%).
Le groupe, qui a évincé son patron Carlos Tavares en décembre, a vu ses marges s'effondrer l'an dernier, et compte sur une relance de ses gammes de voitures.
Il avait publié en janvier un bénéfice net en forte baisse sur l'année 2024, à 5,5 milliards d'euros (-70%), pour une marge opérationnelle de 5,5%.
Stellantis était resté évasif sur ses prévisions pour 2025, annonçant "une croissance positive du chiffre d'affaires avec une marge opérationnelle courante à +un chiffre+", et un vrai rétablissement à partir du second semestre.
Après l'annonce de nouveaux droits de douane par Donald Trump, le constructeur a annoncé la semaine dernière une "pause" de plusieurs semaines de ses usines Jeep de Toluca (2.700 salariés au Mexique) et Chrysler de Windsor (4.000 salariés au Canada) et prévoit aussi ralentir la cadence dans quatre usines de pièces aux Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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