Jeux olympiques - Tokyo 2020
Avec la pandémie, des JO très différents des précédents
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Quasiment pas de spectateurs, pas de festivités, ni d'acclamations et d'accolades: les JO de Tokyo s'annoncent très particuliers à cause de la pandémie de Covid-19 toujours menaçante.
Voici les principales différences par rapport aux précédents Jeux olympiques.
Des cérémonies sobres
Les cérémonies d'ouverture de Rio 2016, Londres 2012 et Pékin 2008 avaient ébloui le monde entier par leur faste, leurs effets spéciaux impressionnants et des chorégraphies impliquant des milliers de participants.
La cérémonie d'ouverture des Jeux de Tokyo, reportés d'un an en 2020, sera "plus simple et plus sobre".
Surtout, elles se dérouleront devant très peu de spectateurs: moins de 1000 personnes, triées sur le volet (responsables olympiques, officiels japonais, dignitaires étrangers...), devraient y assister vendredi.
Par ailleurs, le nombre de sportifs prévus au défilé d'ouverture devrait être divisé par deux, soit 6000 environ.
Pas d'accolades ni d'embrassades
Les champions olympiques ne pourront pas embrasser leurs médailles, car le port du masque sera requis sur le podium, comme partout ailleurs, sauf durant les épreuves et entraînements.
Autre crève-coeur, les sportifs devront en théorie se tenir à une distance de deux mètres les uns des autres en dehors de leurs compétitions. Les accolades et embrassades seront donc bannies.
Un public dégarni
les organisateurs ont renoncé dès mars de cette année à accueillir des spectateurs de l'étranger.
Puis, début juillet, face à l'émergence d'une nouvelle vague infectieuse au Japon, un huis clos quasi-total a été décidé pour l'événement.
Les sportifs seront privés de virées touristiques au Japon et devront rester au Village olympique en dehors de leurs lieux d'entraînement et de compétition.
Ni chants, ni acclamations
Le public, qui sera autorisé sur quelques rares sites hors de Tokyo, sera prié d'éviter de chanter et d'acclamer les sportifs, pour éviter de répandre des postillons.
Au nom de la sécurité face au virus, "l'ambiance festive devra être supprimée" durant les Jeux.
Des ambiances sonores adaptées à chaque discipline seront notamment diffusées en utilisant des sons puisés lors de précédents JO.
Sanctions pour les contrevenants
Les sportifs passeront des tests quotidiens de dépistage du Covid-19.
Les rassemblements et fêtes dans le Village sont théoriquement interdits, y compris la consommation d'alcool en groupe.
Tout participant - sportif ou autre - contrevenant aux restrictions s'exposera à d'éventuelles sanctions, qui pourront aller jusqu'à une disqualification et à une expulsion du Japon.
Jeux olympiques - Tokyo 2020
Mort de Jacques Rogge
Jacques Rogge, ancien président du Comité international olympique (CIO), est mort à 79 ans. Le dirigeant belge aura été le 8e président de l'instance olympique, de 2001 à 2013.
Jacques Rogge laisse derrière lui son épouse, Anne, un fils, une fille et deux petits-enfants, annonce dimanche le CIO, basé à Lausanne.
Le CIO relève que le comte Jacques Rogge aura été un passionné de sport "depuis toujours" et un athlète accompli. Il a représenté la Belgique en équipe nationale de rugby.
Chirugien orthopédique de formation et spécialisé en médecine du sport, M. Rogge a aussi été champion du monde de voile et a participé à trois Jeux olympiques.
Après son mandat de président du CIO, il a été nommé envoyé spécial auprès du secrétaire général des Nations unies pour les jeunes réfugiés et le sport.
Son successeur à la tête du CIO, Thomas Bach, a déclaré, cité dans le communiqué: "Jacques était avant tout un passionné de sport qui aimait être au contact des athlètes, une passion qu'il a transmise à tous ceux qui l'ont connu. Sa joie était communicative."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jeux olympiques - Tokyo 2020
La Serbie décroche le dernier titre décerné à Tokyo
La Serbie a décroché le dernier titre des 339 titres attribués aux JO de Tokyo en s'adjugeant le tournoi messieurs de waterpolo.
Les Serbes ont dominé en finale la Grèce (13-10), qui devra donc encore patienter avant de s'offrir un premier sacre olympique dans un sport collectif.
Champions du monde à trois reprises (2005, 2009, 2015), les Serbes conservent ainsi le titre obtenu en 2016 aux Jeux de Rio. Il s'agit de leur cinquième podium olympique consécutif en waterpolo masculin après l'argent de 2004 - obtenu sous la même bannière que le Monténégro - et les médailles de bronze conquises en 2008 et en 2012.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Jeux olympiques - Tokyo 2020
Ralph Stöckli tire un bilan "très, très positif"
Avec une moisson de 13 médailles, la satisfaction est forcément de mise du côté de Swiss Olympic au terme des JO de Tokyo.
"C'est un bilan très, très positif. Mais nous devons rester humbles", tempère le Chef de Mission Ralph Stöckli.
"Nous avons remporté beaucoup plus de médailles qu'attendu. Mais ça n'est pas la norme", poursuit l'ancien curleur, dont l'objectif initial était de décrocher au moins autant de podiums qu'en 2016 à Rio (7). "Qui aurait osé imaginer 13 médailles? C'est si difficile d'être au sommet de sa forme le jour J", rappelle-t-il.
Exploits dans les sports universels
Ralph Stöckli ne boude néanmoins pas son plaisir après que la Suisse a réalisé sa récolte la plus prolifique depuis les Jeux d'Helsinki en 1952 (14). Il se dit ainsi particulièrement impressionné par les performances réalisées en athlétisme et en natation, les deux sports universels par excellence du programme olympique.
"C'est historique, c'est inimaginable d'avoir placé deux femmes en finale du 100 m en athlétisme (réd: Ajla Del Ponte 5e et Mujinga Kambundji 6e). Et nous étions aussi proches d'obtenir une médaille sur 4x100 m", où la Tessinoise et la Bernoise ont terminé au 4e rang en compagnie de Riccarda Dietsche et de Salomé Kora, lâche-t-il.
"C'est également impressionnant d'avoir pu obtenir deux médailles en natation", où le Genevois Jérémy Desplanches (200 m 4 nages) et le Tessinois Noè Ponti (100 m papillon) se sont parés de bronze. "C'est un sport dans lequel les grandes nations investissent énormément d'argent", souligne le St-Gallois.
Une nouvelle génération
Ralph Stöckli se réjouit également du "girl power" affiché par la délégation suisse, les femmes ayant conquis 10 des 13 médailles helvétiques dans ces joutes. "Les conditions d'entraînement se sont beaucoup améliorées pour les femmes, notamment grâce à l'armée. Et les femmes peuvent aussi beaucoup mieux s'épanouir dans le sport depuis une vingtaine d'années", relève-t-il.
Tout n'est évidemment pas encore parfait. "Nous devons travailler sur les détails. La préparation peut encore s'améliorer, et nous pouvons aussi mieux faire en ce qui concerne la professionnalisation dans certains sports. Il y a également moyen de faire mieux dans la synergie entre les fédérations nationales, et nous devons investir dans les innovations", estime-t-il.
N'empêche que l'avenir s'annonce prometteur. "C'est impossible de dire dès maintenant quel sera le potentiel de médailles en 2024 à Paris", note-t-il. "Mais je constate que tous nos médaillés ont décroché leur premier podium olympique dans ces Jeux. Une nouvelle génération a donc émergé, et j'ai bon espoir que tous soient encore de la partie dans trois ans", a conclu Ralph Stöckli.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Elena Quirici portera le drapeau suisse
Elena Quirici portera ce dimanche le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Tokyo. Avec ce choix, Swiss Olympic a tenu à récompenser les qualités de battante de l'Argovienne.
Samedi, Elena Quirici a échoué d'un souffle dans la course aux demi-finales pour se classer cinquième. On rappellera que le karaté figurait pour la première et... la dernière fois au programme olympique. "L'esprit combatif qu'Elena a montré sur son chemin vers les Jeux Olympiques et sa performance pleine de courage lors du tournoi olympique m'ont fasciné. Elle est donc un modèle pour de nombreuses athlètes féminines de notre pays et mérite le rôle de porte-drapeau", explique Ralph Stöckli, le Chef de Mission de Swiiss Olympic.
Elena Quirici succède à Nino Schurter qui avait porté le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Rio alors qu'il venait de remporter l'or en VTT. A Tokyo, l'épéiste Max Heinzer et la sprinteuse Mujinga Kambundji avaient porté ensemble le drapeau suisse lors de la cérémonie d'ouverture.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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