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La Suisse finit en tête de son groupe aux Mondiaux
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La Suisse a fini le tour préliminaire du Championnat du monde à Helsinki en tête de son groupe après son succès 4-3 tab contre l'Allemagne. Elle affrontera les Etats-Unis jeudi en quarts de finale.
Sans aller jusqu'à dire que le résultat final est secondaire, on peut tout de même avancer que l'essentiel était de faire un point contre les Allemands pour être certain de finir en tête du groupe. Mission accomplie et c'est un peu tout ce que l'histoire retiendra de cet Allemagne-Suisse.
Alors oui, avec un peu plus de réussite de Timo Meier (tirs sur les montants aux 38e et 55e), la Suisse aurait pu finir sur un septième succès dans le temps réglementaire et faire aussi bien qu'à Stockholm en 2013. Pas grave.
Ceci dit, les Suisses ont une fois de plus souffert contre les Allemands, même s'ils ont dominé ces derniers 22-13 aux shoots dans les deuxième et troisième tiers. Comme si les fantômes de Pyeongchang 2018 et de Riga l'an passé n'étaient finalement jamais très loin. En triomphant lors des tirs au but avec un excellent Reto Berra, les Helvètes les ont peut-être éloignés un peu de la Finlande.
Un deuxième tiers maîtrisé
Les joueurs de Patrick Fischer ont surtout fait preuve de paresse après l'ouverture du score d'Ambühl à la 2e. Pas franchement secoués par ce but, les Allemands ont attendu leur premier power-play pour répliquer. Les Helvètes ont offert un boulevard à Wissmann et le défenseur ne s'est pas fait prier pour fusiller Reto Berra (12e).
Les hommes de Toni Söderholm ont même pris l'avantage à la 16e en mettant du trafic devant Berra. Le tir de Moritz Seider a trouvé Loibl pour une chanceuse déviation. Mais les Allemands ont su comment faire pour ennuyer Hischier et Cie. Quand les Suisses sont bousculés, ils sont moins efficaces: CQFD.
Mais s'il y a une constante au sein de cette équipe de Suisse, c'est cette capacité à réagir lors du tiers médian. En sept matches, la Suisse en a gagné...sept. Là encore, les Helvètes ont mieux géré ces vingt minutes-là que les vingt premières. Pius Suter a égalisé d'un joli lancer à la 22e. Moins dérangés, les joueurs à croix blanche ont retrouvé un terrain plus propice à leurs qualités.
Laxisme
Et lorsque le premier power-play est tombé à la 38e, le trio Meier-Moser-Malgin a joliment combiné pour donner enfin l'avantage à la sélection nationale. Dommage que la défense ait fait preuve de laxisme sur le 3-3 de Plachta à la 48e en le laissant s'infiltrer bien trop facilement dans le territoire helvétique. A corriger pour jeudi.
Car jeudi, ce sera le quart de finale face à une jeune équipe américaine, quatrième du groupe B. Les Etats-Unis ont perdu deux de leurs six premiers matches face à la Finlande (4-1) et la Tchéquie (1-0), mais ils ont réussi à dominer la Suède 3-2 ap. La Suisse partira favorite, mais les matches à élimination directe ne sont jamais une science exacte.
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Une moquerie à 2500 francs pour Andrea Glauser
Andrea Glauser a écopé de 2500 francs d'amende. Le défenseur lausannois est puni pour s'être moqué des officiels lors du match VII entre le LHC et Fribourg samedi dernier.
Après la charge de Walser sur Kevin Pasche en fin de deuxième tiers et alors que le score était de 3-0 en faveur des Vaudois, Glauser avait fini sur le banc des pénalités pour avoir participé à une bagarre.
Sur le banc, le Singinois s'était caché les yeux et avait mimé un arbitre donnant des pénalités au hasard avec son bras. Ce geste n'a donc pas été du goût des officiels qui ont sanctionné le numéro 96 lausannois. Le futur arrière de Fribourg pourra se consoler en se disant que son geste a fait le tour des réseaux sociaux et qu'il sera certainement réutilisé de nombreuses fois à l'avenir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Un air de revanche pour un immense défi
Comme on se retrouve ! Un an après une série épique perdue au septième match, Lausanne défie à nouveau Zurich en finale des play-off de National League, dès mardi à Malley (20h).
L'avantage de la glace et l'esprit de revanche suffiront-ils aux Lions vaudois pour faire chuter ceux de Zurich et décrocher leur premier titre?
Vainqueur in extremis de Langnau et Fribourg-Gottéron lors des deux premiers tours, le LHC a dû puiser dans ses ressources pour rallier la finale. Les joueurs de Geoff Ward ont disputé trois matches de plus que les Zurichois, qui ont facilement battu Kloten en quart de finale (4-1) avant d'écarter Davos en six matches en demi-finale (4-2).
Mais Joël Genazzi l'assure: il n'y a pas de marques de fatigue dans le vestiaire lausannois. "On se sent tous en forme et on est prêts pour ce premier match", affirme le vétéran (37 ans), interrogé lundi à l'issue de l'entraînement du LHC. Le vainqueur de la saison régulière pourrait même récupérer certains joueurs blessés en demi-finale. Tim Bozon a été notamment aperçu sur la glace lundi.
Regarder droit devant
Pleinement concentrés sur cette nouvelle opportunité d'écrire l'histoire de leur club, les joueurs de la capitale olympique ne préfèrent pas s'épancher sur leurs souvenirs d'il y a douze mois. "Le passé est le passé. Il nous a permis d'acquérir de l'expérience, mais cela ne nous sert à rien de regarder en arrière désormais. Ce qui est important, ce sont les joueurs qui seront sur la glace lors de ce premier match. Et j'adore cette équipe. Je suis fier de tous les gars qui forment le vestiaire", déclare Joël Genazzi.
Son entraîneur Geoff Ward s'apprête lui à vivre sa sixième série depuis son arrivée sur le banc du LHC en 2022. Sur les cinq premières, quatre se sont réglées au match 7. "Cela en dit long sur la résilience des joueurs et à quel point ils sont soudés en tant qu'équipe", apprécie le technicien canadien.
La seule perdue? La finale contre Zurich, l'unique série disputée sans l'avantage de la glace. Un privilège que les Lausannois ont cette fois acquis en terminant en tête de la saison régulière et qui pourrait donc s'avérer précieux.
Andrighetto, l'arme fatale
Mais pour en profiter jusqu'au bout, le LHC devra faire mieux devant son public que face aux Dragons, vainqueurs de deux matches à Malley en demi-finale. La probante victoire dans l'acte VII (5-1), lors de laquelle la première ligne vaudoise a retrouvé toute sa superbe, doit servir de match référence pour espérer réussir l'exploit.
Car oui, battre Zurich en finale constituerait un véritable exploit pour Lausanne, malgré son nouveau statut sur la scène nationale. Face au LHC se dresse, en effet, un club sacré dix fois champion de Suisse, devenu champion d'Europe en février, et porté par un Sven Andrighetto au sommet de son art (7 buts, 12 assists en 11 matches de play-off). Mais aucun palmarès ne se forge sans coup d'éclat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Fribourg: une défaite qui peut annoncer un avenir radieux
Le parcours de Fribourg-Gottéron s'est terminé samedi soir à Lausanne au 7e match de cette demi-finale des play-off. Mais les Fribourgeois ont de quoi se réjouir pour l'avenir.
Il y a bien entendu la déception de ne pas avoir atteint la finale avec un avantage de 3-1 dans la série, mais les Dragons ont de quoi être satisfaits de leur exercice 2024/25. Car au soir du 21 décembre, le club pointait à la 11e place avec 39 points, soit trois de plus que Lugano, 13e, et à dix longueurs de Zoug, 6e.
En limogeant Pat Emond avant le match contre Zoug le 23 décembre et en confiant les rênes à Lars Leuenberger, futur assistant de Roger Rönnberg pour la saison 25/26, le directeur sportif Gerd Zenhäusern a réparé quelques erreurs. Structuré en défense, bon devant un Reto Berra qui est monté en puissance, Gottéron a remonté la pente pour accrocher la 6e place synonyme de play-off. Un finish en fanfare qui a pris naissance dans les Grisons avec une victoire à la Coupe Spengler.
Interrogé sur le banc des Dragons samedi soir à Malley, le président fribourgeois Hubert Waeber avait de quoi être fier de son club. Le Singinois a tiré un petit bilan à chaud: "Le début de saison était catastrophique et cela ne nous a pas plu. Depuis Noël, on a vu une tout autre équipe. Enfin, c'est la même, mais qui a travaillé totalement différemment. Les quarts contre Berne étaient magnifiques, la demi-finale contre Lausanne aussi, simplement ce soir il a manqué un peu de forces. Alors bien sûr, on aurait voulu la finale, mais on peut être content de notre saison."
Etoffer le contingent
En menant 3-1 dans la série, Fribourg a tutoyé la finale. Seulement, sur la longueur, Lausanne a fini par passer l'épaule en enlevant les trois derniers actes. Si les deux clubs comptent plusieurs blessés d'impact, l'absence des deux centres suédois Lucas Wallmark et Jacob de la Rose a pesé dans les rangs fribourgeois. "Je pense qu'avec nos deux centres en santé, on allait en finale, assure Hubert Waeber. Mais les blessures font partie du sport et il faut faire avec."
Après avoir placé Linden Vey en première ligne avec Marcus Sörensen, Lars Leuenberger avait choisi de remettre Sandro Schmid au centre pour le dernier match. Sans grand succès.
Avec un contingent un peu court, Leuenberger a été contraint de lancer des jeunes dans l'aventure. Et les Jan Dorthe, héros de l'acte IV en prolongations, Kevin Etter, unique buteur samedi, ou encore Kevin Nicolet ont acquis une expérience intéressante pour la suite. Il n'en demeure pas moins que Fribourg va devoir gagner en profondeur. Les signatures d'Andrea Glauser, Ludvig Johnson, Attilio Biasca ou encore Patrick Nemeth vont dans le bon sens.
Sept ou huit étrangers?
"On a toujours misé sur la qualité avant la quantité, analyse Hubert Waeber. Là on doit améliorer la profondeur. En augmentant petit à petit le budget, on doit pouvoir le faire. J'ai toujours dit que l'on doit lutter chaque année pour le top 4-5, mais qu'on doit gagner en profondeur pour que cela passe une fois. Le thème des sept étrangers va revenir sur la table. On va mener une réflexion. Faudra-t-il commencer avec sept voire huit étrangers ? On verra. Tout est question de budget."
Exemplaire dans l'attitude samedi soir, Yannick Rathgeb a peut-être gagné une plus grande place dans le vestiaire fribourgeois. Avec encore Maximilian Streule, la défense va logiquement progresser. Reste au final à envisager la succession de Reto Berra, au bénéfice d'une année de contrat, et qui fêtera ses 39 ans en janvier prochain.
Attendu avec impatience par tout Fribourg, Roger Rönnberg rejoint un club qui semble aller dans la bonne direction. Au coach suédois de faire en sorte que la mayonnaise prenne, mais les ingrédients sont là.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Lausanne et Suomela ont su monter en puissance
Lausanne a validé son ticket pour une deuxième finale de National League consécutive en écartant Fribourg 5-1 au 7e match de la demi-finale. Et ce grâce à un Antti Suomela particulièrement dominant.
Durant ces play-off, Lausanne comptait trois potentiels "soucis" dans son jeu: le rendement de sa première ligne, son power-play et les performances de son jeune gardien Kevin Pasche. Ce dernier match contre Fribourg, et même les duels précédents, ont fini par dissiper tous les doutes.
Pasche a effectué une très jolie sortie, n'encaissant qu'un but et se gardant bien de répondre aux provocations de Reto Berra. Hormis les actes I et IV, le portier de 22 ans a livré la marchandise. Lors des trois derniers succès vaudois, il n'a pris que trois buts avec des pourcentages d'arrêts de 95,8, 96,3 et 96,6 pour finir.
"Je faisais des bons matches, mais il me manquait cet arrêt supplémentaire que j'arrivais à faire, a reconnu le gardien des Lions. J'ai été de mieux en mieux. Contre Langnau c'était dur parce que j'avais peu de shoots et quand il y en avait, c'était dangereux. Je n'ai pas eu beaucoup de shoots au début, mais dès le premier arrêt c'est allé et ça a roulé."
Un power-play à nouveau efficace
Le jeu de puissance est aussi monté...en puissance. Au cours de l'acte V, c'est l'avantage numérique qui permet au LHC d'égaliser. Jeudi à Fribourg, le 2-1 de Riat tombe avec un homme de plus sur la glace et samedi soir c'est à nouveau Riat qui débloque la situation après 2'30 après un excellent travail de Suomela.
Suomela, justement. Le top scorer finlandais a pesé de tout son poids sur ce match décisif. Passeur sur le 1-0 et le 3-0, le centre no 1 de Lausanne a en plus marqué ce 2-0 qui a permis au LHC de maintenir Fribourg à distance. Il a bouclé sa soirée de travail avec un but, le 4-1, dans la cage vide. Pointé du doigt avec ses compères d'une première ligne si performante en saison régulière, l'ancien attaquant des San Jose Sharks a explosé samedi. Mais il avait déjà haussé le ton depuis la troisième partie. Sur ses cinq dernières rencontres, Suomela a inscrit 10 points (2 buts/8 assists).
"Bien sûr que ça fait plaisir de se qualifier et de marquer des points, a lancé celui qui fut nommé meilleur joueur côté vaudois. Pour être honnête, je ne me sentais pas au top en me levant. J'avais un peu de fièvre. La fièvre est partie et évidemment que je suis heureux d'avoir pu survivre de la sorte. J'ai essayé de me concentrer encore plus avant le match et ça a peut-être aidé."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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