Sport
Foxes: "Contre Fribourg, on ne peut pas se permettre de faire des erreurs"
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Les Pully Lausanne Foxes disputaient leur premier match à domicile de la saison. Il accueillaient pour l'occasion les champions de Fribourg Olympic à la Vallée de la Jeunesse. La soirée s'est soldée par une défaite 54 à 97.
Le match s'annonçait compliqué avant même le coup d'envoi. Très vite, ils ont accusé une dizaine de points de retard et ils n'ont jamais réussi à recoller au score. Écoutez la réaction de Bryan Colon.
En début de match, la tâche ne semblait pourtant pas impossible. Mais les Foxes se sont peu à peu effondrés. Notamment dans la deuxième partie de la rencontre. Comment l'expliquer?
Le weekend dernier, les Pully Lausanne Foxes avaient perdu leur première rencontre face à Massagno au Tessin. Alors, notamment pour les nouveaux joueurs, cette entame de saison est une motivation pour travailler encore plus. À l'image de Bryan Colon.
Les Foxes accusent donc deux défaites en 2 matchs. Mais ils ont affronté les deux meilleures équipes de la Swiss Basketball League. Le prochain match ce sera samedi à la Vallée de la Jeunesse face au BBC Monthey-Chablais.
Football
Le Real Madrid et Mbappé en mission remontada face à Arsenal
Corrigé 3-0 à l'aller à Londres, le Real de Mbappé, champion d'Europe en titre, va tenter de faire marcher sa magie. Ceci pour renverser Arsenal en quart de finale retour de la Ligue des champions.
Il faudra un exploit, une nouvelle nuit magique, pour que le roi d'Europe reste en vie, dans "sa" compétition mercredi. Car la marche, une équipe d'Arsenal rodée collectivement et qui a largement dominé l'aller, paraît bien haute, même pour le géant espagnol, spécialiste des renversements épiques sur la scène européenne.
Le club madrilène a donc tenté d'invoquer les esprits en publiant avant cette manche retour les images des dernières "remontadas" sur les réseaux sociaux, contre Wolfsburg, en 2016 (2-0, 3-0) ou Paris (1-0, 3-1), Chelsea (1-3, 3-2) et Manchester City (4-3, 3-2), en 2022.
"C'est ainsi que remonte Madrid"
"Asi, asi remontada el Madrid" (c'est ainsi, ainsi que remonte Madrid), titre également le quotidien "Marca", en rappelant les autres exploits similaires, contre Derby County en 1975, le Celtic Glasgow en 1980, ou l'Inter en 1986.
"S'il y a bien une équipe capable de le faire, c'est le Real", martelaient un à un les joueurs madrilènes mardi dernier. "Oui, bien sûr qu'on peut le faire", avait glissé Kylian Mbappé. "Si on regarde le match de ce soir, on peut se dire qu'il n'y a quasiment aucune chance. Mais dans le football il se passe des choses imprévisibles. Personne ne s'attendait à ce que Rice marque deux buts sur coup franc, mais il l'a fait", avait poursuivi l'entraîneur merengue Carlo Ancelotti.
"Nous devons y croire, avoir confiance en nous-mêmes, parce que parfois, souvent, il se passe des choses de ce type au Bernabéu", avait-il ajouté.
Mbappé attendu en sauveur
Des "choses de ce type", comme la qualification pour la finale de l'an dernier, sur la route d'une 15e couronne, en terrassant le Bayern Munich sur le gong en demi-finale retour avec un doublé en trois minutes de l'Espagnol Joselu (88e, 91e).
Pour mercredi, les Merengues placent leurs espoirs en Kylian Mbappé, leur recrue star de l'été dernier, venue pour vivre ce genre de soirée du bon côté, après l'avoir subie avec le PSG en 2022.
L'attaquant français, toujours en quête d'une première Ligue des champions et du Ballon d'Or, avait prouvé face à Manchester City en février dernier qu'il était capable de faire tomber un géant presque à lui seul, avec un triplé retentissant (3-1).
"Je rêvais de ces moments-là depuis mon enfance. De jouer pour ce club et de ressentir ce que c'est une grande soirée au Bernabéu. Beaucoup de gens m'en ont parlé, maintenant j'ai pu le voir de mes yeux, et j'espère que nous allons en connaître beaucoup d'autres", avait-il savouré.
Expulsé pour une violente semelle ce week-end face à Alavés, le meilleur buteur merengue (33 buts en 49 matchs) se sait une nouvelle fois attendu au tournant par ses supporters, euphoriques à son arrivée, considérant qu'il était le joyau capable de rapporter au Real une 16e Ligue des champions.
Avec un déficit de trois buts à remonter, le capitaine de l'équipe de France fait donc face à un défi majeur pour maintenir son équipe, et sa quête de gloire personnelle, en vie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Lausanne laisse un premier bout de territoire à Zurich
Lausanne a commencé sa finale du mauvais patin. Face à Zurich, les hommes de Geoff Ward se sont inclinés 0-3 à la Vaudoise Aréna. Ils sont ainsi contraints de gagner au moins un match à l’extérieur pour remporter la coupe.
Ça y est, la finale de National League est lancée! À la Vaudoise Aréna, l’excitation se faisait déjà sentir dans l'après-midi. Il faut dire que vivre deux finales en deux saisons, les premières de l’histoire du club en National League, c'est presque un rêve éveillé pour les supporters.
Les Lions lausannois retrouvaient une nouvelle fois le clan de fauves zurichois. Mais qui dit nouvelle saison dit aussi nouveaux joueurs, nouveau coach, nouvelle dynamique. Alors, quelle tournure allait prendre ce duel?
Trop fort
Les premières minutes, les deux équipes se sont tournées autour. Elles sondaient, attendaient de flairer la bonne opportunité. Et à ce petit jeu-là, c'est Zurich qui a été le plus fort. Avec une pénalité différée sifflée contre Lausanne, les Zurichois évoluaient à 6 contre 5. Ils ont mis la pression alors que les Vaudois n’arrivaient pas à intercepter le puck. Et puis Denis Malgin, tel un lion qui a repéré sa proie et jaillit d'un buisson, s'est infiltré dans le slot pour envoyer un magnifique tir au fond des filets (12e, assist: Kukan).
Une minute plus tard, les ZSC Lions frappaient à nouveau. Cette fois lors d'un powerplay en bonne et due forme. Sur ce coup-là, les Lausannois peuvent s'en vouloir. Car Damien Riat avait réussi à bloquer une passe, sans pour autant garder le contrôle du puck. Théo Rochette n’a pas eu plus de succès et David Sklenicka qui arrivait derrière a manqué son dégagement. Malgin ne s'est pas fait prier pour récupérer la rondelle. Sa passe a Derek Grant, juste à côté de la cage, a permis à l’attaquant canadien de doubler la mise dans un angle pourtant très fermé (13e, assist: Malgin).
L’arrogance d’Andrighetto scelle le score
Lausanne a essayé de revenir en seconde période. Ils se sont offerts plus de tirs que leurs adversaires, mais rien n’y a fait. Devant la cage, Simon Hrubec a enchaîné les arrêts.
Sur la glace, les esprits ont petit à petit commencé à chauffer. Dans les tribunes, l’indignation s'est faite entendre au moment du 0-3. En effet, Antti Suomela a perdu la possession du puck qui s'est pris dans les pieds d’un arbitre à la bande. Un Zurichois a pu le récupérer et passer à Sven Andrighetto. L’attaquant est entré en zone pour s’offrir un tir de toute beauté (34e). Alors que le kop visiteur clamait sa joie et que le reste de la patinoire sifflait, le n°10 du Z a célébré en mettant la main derrière l’oreille, comme s’il n’entendait pas bien. Une petite provocation qui fait le show.
Le score est resté inchangé dans le troisième tiers. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir eu 6 minutes de powerplay plus un peu de temps lors d'une pénalité différée pour tenter de se démarquer. Mais c’était un soir sans.
Les Lausannois s’attendaient-ils à voir Zurich entrer de telle manière dans cet Acte I?
Le défenseur vaudois relativise en rappelant qu’il reste toute une série à jouer. Néanmoins, avec le public qui s’est empressé de quitter la patinoire, et les mines des joueurs à la sortie de la glace marquées par le résultat, on pourrait se dire que les Lions lausannois ont pris un coup.
En perdant cet Acte I, le LHC perd aussi d’emblée l’avantage de la glace. Tout comme lors de la demi-finale. Mais cette expérience-là n’aidera pas forcément à mieux gérer la situation maintenant.
L’Acte II aura lieu à Zurich jeudi. Coup d’envoi à 20h.
Football
Ligue des champions: le PSG et Barcelone dans le dernier carré
ll n'y a pas eu de surprise mardi lors des deux premiers quarts de finale retour de la Ligue des champions. Le Paris Saint-Germain et Barcelone se sont hissés dans le dernier carré, non sans mal.
Vainqueur 3-1 au Parc des Princes à l'aller, le PSG a mené 2-0 avant de finalement s'incliner 3-2 face à un Aston Villa qui a joué sa chance à fond. Le Barça, pour sa part, a perdu 3-1 sur la pelouse du Borussia Dortmund. Les Catalans avaient fait l'essentiel à l'aller en gagnant 4-0.
Plein de maîtrise, certain de sa force, le PSG a pris un départ idéal à Villa Park. Sur un contre, Hakimi a profité d'un mauvais renvoi de Martinez pour donner l'avantage aux visiteurs (11e).
Cette réussite a éteint les supporters anglais, en fusion dans les premières minutes, et douché les espoirs des Villans de renverser la vapeur. Nuno Mendes, sur un nouveau contre dévastateur, a encore mis les visiteurs sur la voie royale (27e).
Les Anglais n'ont jamais renoncé
Mais les Anglais n'ont jamais renoncé, pour le plus grand bonheur du prince William, fan avéré du club de Birmingham. Tielemans a réduit l'écart (34e) avant que le capitaine McGinn ne remette les deux équipes à 2-2 (55e).
Konsa faisait ensuite exploser le stade (58e) et relançait totalement ce duel qui semblait pourtant plié à la demi-heure. Donnarumma a dû s'employer en plusieurs circonstances pour éviter aux siens d'être embarqués dans les prolongations. Les visiteurs ont vraiment tremblé jusqu'au bout - sauvetage sur la ligne de Pacho à la 93e! - même s'ils ont aussi eu des occasions d'égaliser sur des contres en fin de match.
Le Borussia y a cru
A Dortmund, le Borussia, qui a mis beaucoup d'intensité dans son jeu, a pu croire un moment réussir un incroyable retour. Après sa correction subie à l'aller, le BVB du gardien suisse Gregor Kobel a en effet fait la moitié du chemin et mené 2-0 après un doublé de Guirassy (11e pen/49e).
Mais cinq minutes après le deuxième but, le Barça a sorti la tête de l'eau grâce à un malheureux autogoal de Bensebaini. Ce coup du sort a cassé l'élan des Allemands, qui ont quand même eu le mérite de sérieusement inquiéter les Catalans. L'espoir est revenu après le troisième but signé Guirassy à la 76e, après un mauvais dégagement d'Araujo. Le score n'a cependant plus bougé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Lausanne perd l'acte I et l'avantage de la glace
Lausanne a perdu le premier match de la finale des play-off de National League mardi. A domicile, les Vaudois sont restés "muets" face à Zurich. Les champions en titre se sont imposés 3-0.
Le LHC va devoir faire mieux pour prendre sa revanche sur le "Z" dans ce remake de la finale de l'an dernier. Malgré le soutien de leur public, les Lausannois ont commis trop d'erreurs dans ce premier acte pour espérer autre chose qu'une défaite qui ne souffre aucune discussion.
Zurich, qui a bénéficié de deux jours de repos supplémentaires après sa qualification en six matches contre Davos, a pleinement exploité deux situations spéciales pour faire le break dès le premier tiers-temps, en l'espace de 61 secondes.
Malgin en détonateur
Les champions d'Europe ont profité d'une pénalité différée pour ouvrir le score à la 12e minute. A 6 contre 5, Denis Malgin a pris le meilleur sur le Canadien Brendan Perlini, préféré au Finlandais Lauri Pajuniemi dans l'alignement du LHC, avant d'envoyer le puck au-dessus de l'épaule droite de Kevin Pasche.
S'il endosse une légère responsabilité sur ce but, le jeune gardien lausannois n'a, en revanche, pas été aidé par ses coéquipiers une minute plus tard. Ni Théo Rochette, ni David Sklenicka ne sont parvenus à dégager le puck alors que le LHC évoluait à 4 contre 5. Il n'en fallait pas plus à Malgin, qui n'a eu qu'à décaler Derek Grant pour le 2-0 (13e).
Andrighetto clinique
Sonnés, les joueurs de Geoff Ward ont bien tenté de répliquer lors du tiers médian, mais ont eu bien de la peine à se créer des occasions, se limitant à des envois sur les côtés qui n'ont pas vraiment inquiété le portier tchèque du "Z" Simon Hrubec. Et les Lions alémaniques n'ont eu besoin que d'un exploit personnel de Sven Andrighetto pour clore les débats.
A la 33e, le meilleur compteur des play-off (8 buts, 12 assists en 12 matches) a enrhumé Andrea Glauser et nettoyé la lucarne de Kevin Pasche. Un troisième but dont ne se sont pas remis les Lausannois, qui n'ont pas su concrétiser trois power-plays en troisième période.
L'avantage de la glace désormais perdu, le LHC devra impérativement s'imposer au moins une fois à Zurich. Il y a un an, c'est tout ce qui lui avait manqué pour décrocher son premier titre de champion de Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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