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Sport

Football : Klopp élu entraîneur de l'année par ses pairs

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Jürgen Klopp a permis à Liverpool, après 30 ans d'attente, de redevenir champion d'Angleterre en 2020. (©AP/POOL/LAURENCE GRIFFITHS)
Jürgen Klopp a été élu entraîneur de l'année, lundi, par l'association des entraîneurs de la ligue anglaise. L'Allemand a permis à Liverpool, après 30 ans d'attente, de redevenir champion d'Angleterre de football.

Cette distinction a été annoncée par la légende de Manchester United, Sir Alex Ferguson, qui a donné son nom au trophée. "Jurgen, fantastic," a dit Ferguson sur Sky Sports. "On parle beaucoup de Leeds qui vient de passer 16 ans dans le Championship (D2 anglaise, ndlr), mais Liverpool, qui a dû attendre 30 ans, c'est incroyable", a-t-il ajouté.

"Tu le mérites vraiment. Le niveau de performance de ton équipe était remarquable. Ta personnalité inspire ton club dans toutes ses composantes. C'était une performance merveilleuse. Et je te pardonne de m'avoir reveillé à 3H30 du matin pour me dire que vous aviez gagné le championnat", a aussi dit Sir Alex.

"Je sais que ce n'est pas 100% approprié de dire ça, en tant qu'entraîneur de Liverpool, mais je l'admire... Et je me souviens que c'est le premier entraîneur britannique que j'ai rencontré", a confié l'ancien technicien du Borussia Dortmund.

Chris Wilder, vainqueur de ce trophée l'an dernier, a dû se contenter de la deuxième place, derrière Klopp, avec la satisfaction d'avoir très bien géré le retour de Sheffield United en Premier League. L'Argentin Marcelo Bielsa, qui a fait remonter Leeds en Premier League après 16 ans d'absence au plus haut niveau, a été élu meilleur manager du Championship, l'étage inférieur.

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International

Super-G de Livigno: Odermatt pour un 51e succès

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Marco Odermatt sera forcément l'homme à battre dans le super-G de Livigno (© KEYSTONE/AP/Alessandro Trovati)

La Coupe du monde reprend ses droits samedi après la courte pause de Noël. Les messieurs en découdront à Livigno lors d'un super-G, alors que les dames seront en lice à Semmering pour un géant.

Privé de victoire dans ses trois dernières sorties (super-G puis deuxième descente de Val Gardena, géant d'Alta Badia), Marco Odermatt est évidemment l'homme à battre à Livigno. La station italienne, qui sera à l'honneur lors des JO 2026, accueille pour la première fois la Coupe du monde de ski alpin.

"Odi" vise un 51e succès sur le Cirque blanc pour la dernière course masculine de l'année. Le Nidwaldien a l'occasion de conforter sa 1re place au classement de la discipline, où son avance sur son premier poursuivant Vincent Kriechmayr n'est que de 16 unités, ainsi qu'au général où sa marge sur son dauphin Timon Haugan est de 445 points.

Marco Odermatt aura ensuite l'occasion de recharger pleinement ses batteries: sa course suivante est prévue le 10 janvier à Adelboden, en géant. La pause sera plus courte pour les slalomeurs, qui seront quant à eux en lice le 7 janvier à Madonna di Campiglio.

Rast vise le podium

Le programme des femmes est plus chargé dans les jours à venir. Elles disputeront samedi à Semmering leur cinquième géant de la saison, pour un nouvel épisode du duel Julia Scheib/Alice Robinson. L'Autrichienne et la Néo-Zélandaise ont chacune fêté deux succès cet hiver dans la discipline.

Les Suissesses espèrent avant tout briller dimanche à Semmering, en slalom. Mais la championne du monde de slalom Camille Rast monte également en puissance en géant: la Valaisanne reste sur deux 4es places dans la discipline au Mont-Tremblant, après avoir terminé 5e à Copper Mountain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Décès de Jean-Louis Gasset

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Jean-Louis Gasset est décédé (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

L'entraineur et figure emblématique du football français Jean-Louis Gasset est mort vendredi à l'âge de 72 ans, a indiqué le club de Montpellier, pour qu'il a été successivement joueur et coach.

L'ancien milieu de terrain a passé la quasi-totalité de sa carrière de joueur à Montpellier (1975-85), contribuant à l'essor de ce club de quartier co-fondé par son père Bernard avec Louis Nicollin, avant d'y être entraineur à plusieurs reprises, la dernière fois il y a moins d'un an.

"Enfant du club, il a marqué tous ceux qui l'ont croisé par son professionnalisme, sa gentillesse et sa soif de transmission", a réagi le MHSC, soulignant avoir "perdu l'une de ses figures emblématiques". "Notre tristesse est immense lorsque l'on se rappelle de son sourire, de sa voix inimitable et de son sens aiguisé de la formule", a ajouté le club héraultais.

Natif de Montpellier, Jean-Louis Gasset n'a eu de cesse de revenir dans son club de coeur. Mais il a aussi entrainé d'autres clubs français parmi lesquels Saint-Etienne, Bordeaux ou encore plus récemment l'Olympique de Marseille.

Longtemps adjoint indissociable de Laurent Blanc, à Bordeaux, avec les Bleus (de 2010 à 2012) puis avec le Paris St-Germain (de 2013 à 2016), il a en outre été sélectionneur de la Côte d'Ivoire, jusqu'à la dernière CAN 2023, démissionnant au beau milieu d'un tournoi que les Elephants avaient finalement remporté à domicile.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Jamiro Reber signe pour deux ans à Fribourg

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L'international M20 Jamiro Reber (6) rejoindra Fribourg l'été prochain (© KEYSTONE/EPA TT NEWS AGENCY/ADAM IHSE)

Fribourg-Gottéron s'est attaché les services d'un autre espoir helvétique. Les Dragons ont annoncé vendredi l'arrivée de Jamiro Reber (19 ans), qui débarquera durant l'été 2026.

L'attaquant bernois de 19 ans, qui représente la Suisse lors du Mondial M20, a signé un contrat de deux ans avec Fribourg. Il évolue actuellement au HV71, club de 1re division suédoise pour lequel il a inscrit 3 buts depuis le début de la saison.

L'arrivée de Jamiro Reber confirme le rajeunissement d'une équipe qui perdra au terme de la saison son emblématique capitaine Julien Sprunger. Il retrouvera d'autres grands espoirs du hockey suisse comme Ludvig Johnson, qui joue déjà à Gottéron, ou Jonas Taibel qui rejoindra aussi les bords de la Sarine l'été prochain.

Le défenseur Simon Seiler (29 ans) restera quant à lui fidèle au club de St-Léonard, a également annoncé Gottéron vendredi. Il a prolongé son bail d'une année soit jusqu'en 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Mouna Skaria, la dermatologue qui soigne le basket lausannois

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La dermato-chirurgienne Mouna Skaria est depuis quatre mois présidente des Pully Lausanne Foxes. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Dermatologue à Vevey (VD), mais également l'une des premières femmes à présider un club masculin de basket, Mouna Skaria ne ménage pas ses efforts pour professionnaliser les Pully Lausanne Foxes. A leur tête depuis quatre mois, elle plaide pour des infrastructures adaptées à l’élite du basket vaudois.

Rien ne prédestinait cette dermato-chirurgienne d’origine libanaise à s'impliquer dans le basket. Ce sont ses fils, passionnés par Michael Jordan, qui la plongent en 2016 dans l’univers des Pully Lausanne Foxes. Eux lâcheront les paniers, mais elle, au contraire, s'investira toujours davantage jusqu’à être élue présidente en septembre dernier.

Une nomination encore rare dans un milieu largement masculin. Le club, engagé en Swiss Basket League, se félicite d’ailleurs de ce "jalon majeur dans la reconnaissance du leadership féminin", l’un des objectifs affichés par la Confédération en matière de sport.

Des buvettes à la présidence

Dans le "temple lausannois du basket" à la Vallée de la Jeunesse, Mouna Skaria commence modestement: elle gère les buvettes, se démène pour trouver des frigos, organise un baskethon, remplace les maillots jugés "trop moches". Parallèlement, le club fusionne avec celui de Pully, géant des années 80-90, pour devenir les Pully Lausanne Foxes.

En 2020, alors que la structure frôle la faillite, elle rejoint le comité. S’ouvrent alors "trois ans de calvaire. Je n'étais pas prise très au sérieux dans ce milieu masculin", confie-t-elle.

La quinquagénaire - elle est aujourd'hui âgée de 54 ans - met en place une billetterie en ligne, construit une équipe marketing et communication, développe les produits dérivés. Sa détermination et son engagement portent leurs fruits. Le club se stabilise.

En deux ans, les Foxes passent de LNB à la SBL, disputent à deux reprises les play-off et décrochent une troisième place en 2024, malgré l’un des plus petits budgets du championnat. L'équipe pointe actuellement au quatrième rang.

Liste d'attente

Aujourd’hui, le club compte 400 joueurs, 20 entraîneurs et 20 équipes de jeunes, faisant du club l’un des plus importants du canton. Il est aussi le seul labellisé "formateur".

Les objectifs de la présidente sont clairs: décrocher un titre national et développer le mouvement jeunesse. La demande augmente: "L’an dernier, elle a bondi de 30% dans les clubs de basket en Suisse. Pourtant, à Lausanne, une centaine d’enfants restent sur liste d’attente, faute de salles adéquates", explique la présidente.

Malgré le développement important du club, "les installations ne suivent pas. Sollicitée pour une infrastructure adaptée, la ville de Lausanne est aux abonnés absents", déplore-t-elle.

Obsolète et non adaptée

L’équipe de SBL joue ainsi dans une salle omnisports "obsolète et non adaptée: gradins à installer à chaque match, matériel de sponsors à monter, interdiction de mettre au sol des autocollants de sponsoring, joueurs devant traverser les gradins pour rejoindre les vestiaires", énumère-t-elle. Sans compter la concurrence d’autres activités scolaires et sportives pour obtenir des créneaux horaires.

Le budget des Foxes, lui, ne représente qu’un quart de celui de ses concurrents fribourgeois ou genevois. La situation actuelle "insatisfaisante" ne lui permet pas d’augmenter ses moyens, en matière de sponsoring notamment.

Une pionnière

Outre son métier, Mouna Skaria, sportive dans l'âme mais pas basketteuse, consacre aujourd’hui plus de la moitié de son temps au club, entièrement bénévolement. L’entraîneur des Foxes, Randoald Dessarzin, coach historique de Boncourt et Lugano, salue l’engagement et la ténacité d'une présidente, qu’il décrit comme "la meilleure dirigeante qu’il ait jamais connue".

"Je vois l’adversité dans laquelle elle évolue. C’est une pionnière", affirme-t-il, rappelant que Nicoletta Mettel, première femme présidente d’un club de LNA au Tessin dans les années 2000, n’avait laissé qu’un souvenir amer.

Pour lui également, l’obstacle principal reste, encore et toujours, l’absence d’une salle dédiée: "C'est un mauvais calcul. Quand les enfants font du sport, leurs parents savent où ils sont", glisse-t-il.

A bout de bras

L'ancien municipal lausannois des sports Oscar Tosato, qui suit le club depuis longtemps, partage ce constat. "Se battre pour avoir une salle, c’est noble comme idéal", dit-il de la présidente tout en soulignant la concurrence intense des autres sports à Lausanne: handball, waterpolo, courses... Sans oublier le football et le hockey qui concentrent millions et projecteurs.

Malgré les embûches, Mouna Skaria continue de porter le club à bout de bras et multiplie les démarches pour faire grandir les Foxes. Son moteur: le dévouement au club, à ses jeunes et à un sport qui, dans l’ombre du hockey et du football, ne demande qu’à s'épanouir.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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