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Djokovic domine Tsitsipas en deux sets

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Djokovic a battu Tsitsipas en deux sets lundi (© KEYSTONE/AP/Antonio Calanni)

Novak Djokovic (no 7) a battu Stefanos Tsitsipas (no 2) 6-4 7-6 (7/4) lundi soir dans le deuxième match du groupe rouge du Masters.

Favori logique du tournoi, le Serbe vise un sixième sacre dans ces ATP Finals, qui lui permettrait d'égaler le record de Roger Federer.

Battu à la surprise générale par le Danois Holger Rune en finale à Bercy huit jours plus tôt, Novak Djokovic a repris sa marche en avant en battant pour la... neuvième fois consécutive Stefanos Tsitsipas. Il a dominé les débats, même s'il a dû patienter jusqu'au tie-break pour faire la différence au deuxième set.

Vainqueur de 21 des 22 matches ayant suivi son élimination en quart de finale à Roland-Garros face à Rafael Nadal (Laver Cup non comprise), Novak Djokovic se frottera à Andrey Rublev (no 6) mercredi dans la deuxième journée de ce groupe. Stefanos Tsitsipas en découdra quant à lui avec Daniil Medvedev (no 4).

Tsitsipas ne sera pas no 1

Stefanos Tsitsipas a par ailleurs déjà perdu toute chance de devenir no 1 mondial au terme de ce tournoi: pour y parvenir, il devait conquérir le titre en gagnant cinq matches. Rafael Nadal est donc le seul joueur encore en mesure de déloger Carlos Alcaraz. Mais le gaucher majorquin doit s'adjuger le trophée pour redevenir no 1.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Alphabet (Google) dépasse largement les attentes au 1er trimestre

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Google a massivement investi dans le cloud, au point d'en devenir l'un des poids lourds avec Microsoft et Amazon (archives). (© KEYSTONE/EPA/HANNIBAL HANSCHKE)

Alphabet (Google) a très largement dépassé les attentes au premier trimestre, catapulté par son activité d'informatique à distance (cloud computing), dont la croissance témoigne d'un appétit toujours soutenu pour l'intelligence artificielle (IA).

Le bénéfice net ressort à 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an, selon un communiqué publié jeudi.

Rapporté par action, il atteint 2,81 dollars, très au-dessus des 2,34 dollars attendus par les analystes, selon un consensus établi par FactSet.

Il s'agit de l'un des plus importants bénéfices trimestriels jamais enregistrés par une société cotée et un record absolu pour Alphabet.

Le groupe de Mountain View (Californie) a vu son chiffre d'affaires croître de 28% sur un an dans le "cloud", à savoir l'ensemble des infrastructures de stockage de données et les logiciels permettant de les exploiter à distance.

Ce rythme est nettement supérieur à celui des ventes totales de l'entreprise (+12%), qui se sont montées à 90,2 milliards de dollars pour la période allant de janvier à mars.

Initialement spécialisé dans la publicité en ligne et les outils de recherche sur internet, Google a massivement investi dans le cloud, au point d'en devenir l'un des poids lourds avec Microsoft et Amazon.

Croissance du cloud

La proportion des revenus tirés de l'informatique à distance a doublé en moins de cinq ans, pour représenter désormais près de 14% du chiffre d'affaires d'Alphabet.

"La croissance du cloud indique que le portefeuille de produits et services IA de Google continue de séduire, malgré une concurrence renforcée", a réagi Yory Wurmser, analyste du cabinet Emarketer, même si "les droits de douane (imposés par Donald Trump) pourraient changer leurs plans en matière d'investissement".

Google met aussi à profit l'IA générative dans son métier d'origine, avec l'intégration de son assistant Gemini à son moteur de recherche.

Le groupe a transformé son célèbre portail en proposant maintenant, en tête des résultats d'une recherche, un texte rédigé par Gemini, dans une fenêtre appelée AI Overview, les traditionnels liens vers des sites n'apparaissant que plus bas.

Google vise ainsi à contrer la concurrence d'interface d'IA générative comme ChatGPT ou Claude, voire Perplexity AI.

Pour autant, au premier trimestre, le chiffre d'affaires tiré du moteur de recherche n'a progressé de 10%, un rythme sensiblement moins élevé que lors des trimestres précédents (au moins 12% sur chaque trimestre de 2024).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

En France, les librairies indépendantes se battent pour leur avenir

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Malgré le succès de manifestations dédiées aux livres, comme "Le Livre sur les Quais" à Morges, les librairies indépendantes se battent pour leur survie. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Quel avenir pour les librairies indépendantes? Cette exception française, menacée, face à la désaffection pour le livre et à la part de marché croissante des grandes enseignes, se bat avec inventivité.

La profession célèbre samedi la 27e Fête de la librairie indépendante, dans près de 700 librairies en France, Belgique, Suisse et Luxembourg.

À Genève, plusieurs boutiques vont jouer le jeu, à commencer par Le Temps d'un livre dans le quartier des Eaux-Vives, qui fête sa première année d’existence. Les bouquineurs seront aussi attendus à la Librairie du Boulevard notamment. Lausanne et sa quinzaine de librairies indépendantes devrait aussi être de la partie.

La date correspond au samedi proche de la Sant Jordi en Catalogne, une journée où on s'offre traditionnellement des roses et des livres. En Espagne en 2024, il s'était vendu ce jour-là 1,98 million de livres, un record.

Dans les pays francophones, la tradition n'est pas encore établie mais les organisateurs de cette fête y travaillent. Thème de l'édition 2025: "Pourquoi les librairies ne sont pas des commerces comme les autres ?"

Signaux inquiétants

Les signaux sont en effet inquiétants. Dans l'étude bisannuelle "Les Français et la lecture" réalisée en janvier-février pour le Centre national du livre, en 2025, pour la première fois depuis la première édition en 2015, les librairies sont passées derrière les grandes surfaces culturelles comme lieu d'achat des livres.

Les sondés ont été 66% à citer les librairies et 75% ces grandes enseignes, tandis qu'en 2023, 73% citaient les libraires et 69% les grandes surfaces.

"Oui, aujourd'hui on est fortement concurrencés", commente auprès de l'AFP la libraire parisienne promotrice de la manifestation, Marie-Rose Guarnieri.

"Les librairies sont des lieux imparfaits, elles ont des lacunes dans leur stock, des limites, mais un style et un savoir-faire. Quand il n'y aura plus que des chaînes, uniformisées, elles n'offriront que des best-sellers. Et s'il y a une alerte à lancer, c'est de dire: ne désertez pas les librairies, car vous perdriez quelque chose de très important", ajoute-t-elle.

Marché en recul

Le marché sur lequel se joue cette concurrence a tendance à stagner, voire reculer en 2025.

Pour une éditrice parlant sous le couvert de l'anonymat, "la baisse des ventes sur Amazon ne s'accompagne pas d'un report vers les librairies, même si on aimerait beaucoup".

Amazon, qui ne veut donner aucun chiffre, semble en effet pâtir des 3 euros de frais de port sur les commandes de moins de 35 euros, obligatoires depuis octobre 2023.

Cette mesure a été conçue pour maintenir à flot le réseau de librairies en France. Mais la rentabilité est parmi les plus faibles des commerces de détail, d'après des chiffres du cabinet Xerfi, dans une étude commandée en 2024 par le Syndicat de la librairie française.

"On distribue 26'000 exemplaires d'un livre, grâce aux Éditions Gallimard, ce qui attire les gens. Mais l'idée est aussi de rassembler la profession, y compris les libraires qui sont dans de petites villes, des villages, très isolés, pour qu'ils sentent cette confrérie", selon Marie-Rose Guarnieri.

Le métier continue d'attirer des vocations. Une figure de la gauche française, Philippe Poutou, trois fois candidat à l'élection présidentielle pour le Nouveau Parti anticapitaliste, en reprend une à Bordeaux (sud-ouest), dont il promet que ce ne sera "pas un supermarché du livre".

D'autres ferment, comme L'Écume des jours à Toulouse (sud), en mars, ce qui fait redouter, dans son quartier des Minimes, un "désert culturel" selon un journal régional.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Une lycéenne tuée à Nantes, le suspect hospitalisé

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Vers 12h30, un élève armé d'un couteau s'est attaqué à quatre de ses camarades, avant d'être maîtrisé par le corps enseignant et interpellé. (© KEYSTONE/EPA/Jerome Fouquet)

Une lycéenne a été mortellement poignardée et trois autres lycéens ont été blessés, dont un pas totalement "tiré d'affaire" selon Élisabeth Borne, après l'attaque dans un lycée nantais par un élève qui a été hospitalisé jeudi soir après un examen psychiatrique.

"Le psychiatre ayant procédé à l'examen du mis en cause a conclu à l'incompatibilité de son état de santé avec la mesure de garde à vue en cours", a indiqué le procureur de la République de Nantes Antoine Leroy à des journalistes.

"L'intéressé va donc être désormais conduit à l'hôpital", a ajouté le magistrat, précisant qu'il tiendrait une conférence de presse vendredi à 18H00 au palais de justice de Nantes.

Les faits se sont déroulés jeudi vers 12h30 au collège-lycée privé Notre-Dame de Toutes-Aides. Pour une raison encore inconnue, un élève armé d'un couteau s'est attaqué à quatre de ses camarades, avant d'être maîtrisé par le corps enseignant et interpellé.

Après s'être rendue dans le lycée en fin d'après-midi aux côtés de son collègue de l'Intérieur Bruno Retailleau, la ministre de l'Education Élisabeth Borne a indiqué qu'il n'y avait "pas de garantie" qu'un des trois jeunes blessés soit "totalement tiré d'affaire".

"Je voudrais à nouveau saluer le courage de ces professeurs qui sont intervenus, qui ont eu le courage d'affronter un jeune qui était armé et qui venait de blesser et de tuer une élève", a déclaré Mme Borne.

Selon Bruno Retailleau, qui s'est également rendu à Nantes, cette attaque mortelle n'est "pas un fait divers mais un fait de société", dénonçant "l'ensauvagement" de la société.

Emmanuel Macron a aussi réagi à ce drame.

"J'adresse mes pensées émues aux familles, aux lycéens et à toute la communauté éducative dont la Nation partage le choc et la peine. Par leur intervention, des professeurs ont sans doute empêché d'autres drames. Leur courage force le respect", a écrit sur X le président de la République.

François Bayrou a lui estimé que l'installation de portiques à l'entrée des établissements scolaires était "une piste" pour éviter de nouvelles attaques au couteau dans les écoles.

"Un couteau, une arme blanche potentiellement dangereuse et même létale (...) ces armes-là, elles doivent être bannies, donc elles doivent être pourchassées. Tout le monde doit savoir qu'elles sont interdites et les contrôles nécessaires doivent être conduits", a déclaré le Premier ministre devant la presse.

De source proche du dossier, les cours sont maintenus vendredi pour l'école primaire mais suspendus pour les collégiens et les lycéens, la cellule psychologique restera ouverte au sein du groupe scolaire.

"Bizarre"

Une collégienne, que l'AFP a pu joindre, a livré un témoignage.

"J'étais au self avec mes amies et on nous a dit qu'un lycéen avait poignardé des élèves de seconde dans plusieurs classes. On nous a demandé de ne pas sortir du self pendant une vingtaine de minutes puis on nous a confinés dans un gymnase", a déclaré cette collégienne de 3e.

"Le lycéen, les gens le connaissaient comme dépressif, il disait qu'il adorait Hitler. Il a envoyé un mail de 13 pages à tout le monde pour expliquer tous ses problèmes à midi", a-t-elle ajouté.

L., collégien de troisième, s'est lui retranché dans les toilettes. "On a vu des adultes qui bloquaient la porte du lycée et quand on s'est rapprochés, ils ont hurlé 'cassez-vous y a quelqu'un avec un couteau'. On a couru aux toilettes pour se cacher et on a entendu une fille hurler", a-t-il dit.

"Le lycéen, les gens le connaissaient parce qu'il était bizarre, il suivait des groupes néo-nazis sur les réseaux. On est tous un peu choqués", a-t-il ajouté.

"Santé mentale"

Un lycéen a transmis à l'AFP le manifeste du tueur présumé, où il évoque "la mondialisation (qui) a transformé notre système en une machine à décomposer l'humain".

Aux côtés de M. Retailleau et Mme Borne, la maire de Nantes Johanna Rolland a dit ne pas vouloir faire de "politique".

Dans un communiqué diffusé jeudi soir, Mme Rolland a aussi salué la "réactivité des forces de secours et de sécurité, ainsi que l'action de la communauté éducative de Notre Dame de Toutes Aides. (...) Pendant le drame, deux membres de l'équipe ont réussi à faire en sorte que l'élève auteur des faits puisse être entravé dans sa progression".

"Nous sommes profondément accablés devant cette vie enlevée et ces autres vies blessées. L'enquête menée par le Procureur de la République de Nantes permettra d'apporter des explications sur la gravité de ce geste", ont déclaré dans un communiqué commun Philippe Delorme, secrétaire général de l'Enseignement catholique, et mgr Benoît Rivière, président du Conseil épiscopal pour l'Enseignement catholique.

Notre-Dame de Toutes-Aides est un établissement scolaire privé sous contrat situé dans l'est de Nantes qui accueille environ 2000 élèves, de l'école maternelle au lycée, d'après son site internet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Gaza: 36 morts dans des bombardements israéliens

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"Un par un, nous tombons en martyrs, nous sommes mis en morceaux", se lamente une femme de Khan Younès, Rania al-Jumla, en évoquant sa soeur, tuée dans un bombardement israélien. "On n'en peut plus. Chaque jour, c'est la mort". (© KEYSTONE/AP/ABDEL KAREEM HANA)

Au moins 36 personnes, dont six membres d'une même famille, ont été tuées dans de nouveaux bombardements israéliens sur la bande de Gaza jeudi matin, ont annoncé la Défense civile palestinienne et des sources hospitalières.

L'hôpital indonésien à Jabalia (nord) a dit avoir reçu les corps de neuf victimes après une frappe israélienne sur un commissariat de police de cette ville du nord du territoire palestinien.

L'armée israélienne a confirmé dans un communiqué avoir effectué une frappe dans le secteur, précisant qu'elle ciblait "des terroristes opérant dans un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique".

"Le bombardement était extrêmement intense et a secoué toute la zone", a expliqué un témoin, Abdel Qader Sabah, à l'AFP. "Tout le monde s'est mis à courir et à crier, ne sachant pas quoi faire".

Famille de six personnes tuées

Un autre bombardement aérien sur une maison du nord de la ville de Gaza (nord) a tué une famille de six personnes, un couple et ses quatre enfants, a indiqué la Défense civile.

"Que dire? La destruction n'épargne personne", s'est lamenté le cousin du père de famille, Nidal al-Sarafiti, auprès de l'AFP. Plusieurs autres frappes ont tué au moins 21 personnes, notamment à Khan Younès (sud), al-Zawaida (centre) et Gaza-ville.

Des images de l'AFP sur une maison touchée à Khan Younès montrent des personnes éteignant les flammes provoquées par le bombardement et d'autres inspectant les décombres à la lumière de torches.

"Chaque jour, la mort"

"On était assis en paix quand le missile est tombé (...) Je ne comprends tout simplement pas", a déclaré un témoin, Mohammed Faris.

Des corps gisaient à même le sol, dont une jeune femme et un garçon, dans des housses mortuaires, entourés de proches en pleurs, embrassant et caressant leurs visages.

"Un par un, nous tombons en martyrs, nous sommes mis en morceaux. Ses enfants et elle ont été tués et réduits en morceaux", se lamente Rania al-Jumla, en évoquant sa soeur, tuée dans le bombardement. "On n'en peut plus. Chaque jour, c'est la mort".

"Pourquoi? Qu'ont-ils fait? Quelle est la faute de ces enfants? Ils les ont bombardés alors qu'ils dormaient simplement! Ils sont innocents. Tous les enfants de Gaza", s'emportait Oum Ibrahim al-Zamili, qui a aussi perdu un membre de sa famille.

Plus de 51'000 morts

Rompant une trêve de près de deux mois dans la guerre déclenchée il y a plus d'un an et demi, Israël a repris le 18 mars son offensive aérienne puis terrestre dans la bande de Gaza, où au moins 1978 Palestiniens ont depuis été tués depuis selon le ministère de la Santé du Hamas.

Ce bilan porte à 51'355 le nombre de morts dans la bande de Gaza, selon la même source, depuis le début de l'offensive israélienne lancée en représailles à l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.

Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours otages à Gaza dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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