Sport
Athletissima: un retour à la vie normale après les JO
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L'athlétisme reprend son rythme de croisière. Après la parenthèse olympique, les athlètes avaient rendez-vous à Lausanne pour Athletissima. Une soirée plus que réussie dans un stade plein à craquer. Tour de piste de réactions.
Sprint
Il y a quelques semaines, la Vaudoise Léonie Pointet vivait ses premiers Jeux Olympiques. Un rêve qui devenait réalité. Mais malheureusement, les résultats n'ont pas été au rendez-vous sur 200m. Au premier tour, elle était passée à côté de sa course et avait fini en repêchage, sans plus de succès. Médaille ou pas, l'expérience a été gourmande en énergie.
À la Pontaise jeudi, la Vaudoise était également alignée sur le 200m. Qu’a-t-elle pris de son expérience parisienne pour aborder cette course et ce meeting?
Jeudi, Léonie Pointet s'est classée 5e avec un chrono de 23''02.
Les Jeux Olympiques, c'est aussi un moment euphorique, hors du temps. Sarah Atcho-Jacquier, sur les réseaux sociaux, ne s'est pas cachée de ressentir un blues post-JO. Est-ce que retourner à la compétition dans un lieu familier, à la maison, aide à passer au-delà de ce sentiment?
La sprinteuse a aussi pris part au 200m. Elle s’est classée 6e, juste derrière Léonie Pointet, en 23''26. Les deux Vaudoises ont connu plus de succès avec le relais 4x100 mètres. Les Suissesses ont pris la deuxième place en réalisant leur meilleure performance de la saison en 42''16.
Saut en hauteur
Un bon nombre de médaillés des Jeux de Paris avaient répondu présents jeudi à Lausanne. Mais Athletissima, ce ne sont pas juste les stars du moment, ce sont aussi celles en devenir. Et il y en a pour qui c'était une grande première. À l'instar du perchiste Valentin Imsend mercredi, la Vaudoise Marithé Engondo faisait ses premiers pas en Diamond League au saut en hauteur. Un moment tout à fait spécial.
L'athlète de 22 ans s'est notamment retrouvée sur la piste avec toutes les médaillées de Paris. Mais l'ambiance reste bon enfant, indépendamment du palmarès des unes et des autres.
Et lorsqu'elle a découvert son nom sur la liste officielle du concours, parmi ces grands noms de la discipline, comment a-t-elle réagi?
Marithé Engondo a passé deux barres, à 1m79 et 1m84. Elle a ensuite échoué à 1m88. Un résultat qui la place tout en bas du classement pour ce meeting. Vu que son concours s'est terminé précocement, la Vaudoise a pu profiter des performances de ses concurrentes. Et le temps n'a pas paru long pour celle qui se projette déjà dans l'avenir.
1'500m
Ce jeudi, il y en a un qui avait une revanche à prendre. À Paris, Jakob Ingebrigtsen a fait une erreur stratégique lors du 1'500. Et malgré le fait qu'il ait couru en tête quasi tout du long, le Norvégien s'est fait souffler non seulement la médaille d'or, mais le podium. C'est l'Américain Cole Hocker qui l'avait emporté. Ingebrigtsen, lui, avait fini par se classer 4e.
Alors, pour son retour à la compétition, sur 1'500m, dans quel état d'esprit était-il?
Le Norvégien a remis les pendules à l'heure à la Pontaise. Il a réalisé une excellente course et a décroché la victoire, en plus du record du meeting. "C'est toujours un moment incroyable de courir à Lausanne", a ajouté Ingebrigtsen, Le public l'a poussé et il s'est imposé avec un peu plus de deux secondes d'avance sur... Cole Hocker!
Deux podiums pour les Suisses
Mujinga Kambundji et Simon Ehammer ont singé les meilleurs résultats nationaux de la soirée.
La Bernoise a pris la 3e place du 100m en 11''06. "Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, a expliqué la sprinteuse après sa course. J'ai senti que le corps est encore bien, mais j'ai senti aussi de la fatigue des JO." Elle a également pris part au relais 4x100.
Ehammer est monté sur la dernière marche du podium à la longueur. Il avait mené le concours pendant un moment avec son saut à 7m99. Mais il a finalement été battu par Miltiadis Tentoglou et Wayne Pinnock
Football
Expulsé en fin de match, Rüdiger risque gros
Trois joueurs du Real Madrid ont été expulsés pour des protestations violentes envers l'arbitre en toute fin de match lors de la finale de Coupe du Roi perdue face au FC Barcelone en prolongation.
Il s'agit d'Antonio Rüdiger, Jude Bellingham et Lucas Vazquez, qui risquent d'être suspendus.
Selon le règlement de la Fédération espagnole, Rüdiger pourrait écoper de quatre à douze rencontres de suspension. Le défenseur allemand a en effet "lancé un objet" vers l'arbitre Ricardo de Burgos Bengoetxea, qui avait fondu en larmes vendredi en dénonçant les pressions constantes de la chaîne Real Madrid TV.
Cette suspension s'appliquerait notamment aux prochains matches de Liga, alors que le Real compte quatre longueurs de retard sur le Barça, leader, qu'il affrontera le 11 mai prochain pour un choc décisif dans la course au titre. Vinicius n'a quant à lui pas été exclu, mais il a également jeté un objet en direction de l'arbitre au terme de cette finale.
Bellingham et Lucas Vazquez, eux aussi expulsés pour protestation alors qu'ils étaient sur le banc pendant la prolongation, risquent une sanction moins lourde. Celle-ci n'impactera pas leur fin de saison et sera purgée l'an prochain en Coupe du Roi.
Selon le rapport arbitral du match, le milieu anglais a reçu un carton rouge pour avoir montré "un comportement agressif" envers l'arbitre, et a même dû être "retenu par ses coéquipiers" alors qu'il tentait de revenir sur la pelouse.
Contexte délétère
Cette finale s'est jouée dans un contexte délétère autour de l'arbitrage, après la prise de parole de ses deux arbitres principaux vendredi dénonçant les pressions constantes de Real Madrid TV et annonçant une riposte collective à venir face aux vagues de harcèlement qu'ils subissent.
Ces propos ont provoqué la colère du Real, lancé depuis février dernier dans une guerre institutionnelle contre un arbitrage qu'il juge "complètement discrédité" et un système "corrompu de l'intérieur", après des décisions en sa défaveur en Liga.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Koundé offre un 32e sacre au Barça
Au terme d'une finale houleuse et renversante, jouée dans un contexte délétère autour de l'arbitrage, le FC Barcelone a remporté sa 32e Coupe du Roi.
Le Barça est venu à bout de son éternel rival, le Real Madrid, en prolongation (3-2) samedi soir à Séville.
Après 116 minutes d'effort, l'inusable Jules Koundé a libéré les siens d'une frappe limpide de l'extérieur de la surface. Le latéral français a ainsi offert au géant catalan son deuxième titre de la saison après la Supercoupe d'Espagne, déjà remportée en janvier face au Real (5-2).
Loué pour son jeu offensif, le Barça d'Hansi Flick, déjà vainqueur lors des deux premiers Clasico de la saison, a une nouvelle fois su souffrir. Les Catalans conservent donc leurs espoirs d'un quadruplé historique (Liga, Ligue des champions, Coupe du Roi, Supercoupe d'Espagne).
Tout proche d'un 21e trophée, qui aurait sauvé, a minima, une saison bien terne, le Real se dirige lui vers une saison ratée, sans trophée majeur, hormis la Supercoupe d'Europe et la Coupe intercontinentale.
Décisions litigieuses
Sous une immense pression après le chaos de la veille, où il avait dénoncé, en larmes, les attaques de la chaîne Real Madrid TV, M. De Burgos Bengoechea a eu beaucoup de travail, mais aucune des deux équipes ne pourra, au final, accuser l'arbitre de favoriser un camp.
Les deux ennemis trouveront de quoi se plaindre: le Real s'est vu refusé un but de Bellingham (35e) et un pénalty clair sur Vinicius (47e), mais à chaque fois pour des hors-jeu indiscutables. Le Barça a protesté, en vain, pour une main dans la surface de Federico Valverde (17e) et un tacle violent d'Aurélien Tchouaméni qui ne lui a valu qu'un jaune (31e).
Le club catalan a surtout cru arracher la victoire à la 96e minute. Mais le pénalty d'abord accordé à Raphinha a été annulé après intervention de la VAR, dirigée par l'homme à l'origine du courroux madrilène, et pas en mesure d'officier selon le club.
Mbappé encore décisif en vain
Sur le terrain, le Barça, d'abord largement dominateur et en tête au score après un coup de canon en lucarne de son magicien Pedri (28e, 1-0), a paru, comme souvent, sur un fil défensivement, dès que le Real parvenait à sauter sa première ligne en cherchant la profondeur.
Les hommes de Carlo Ancelotti ont attendu l'entrée de Kylian Mbappé à la mi-temps pour mettre la défense barcelonaise en difficulté. Le Français s'est mis en évidence dès son premier ballon, et lui comme Vinicius ont buté sur le gardien polonais Wojciech Szczesny (50e, 54e), bien aidé ensuite par Jules Koundé (56e).
D'un coup franc génial qu'il avait lui-même provoqué (70e, 1-1), et d'une tête rageuse sur corner (77e, 2-1), Mbappé, auteur de son 34e but de la saison, et Tchouaméni ont alors pensé offrir une nouvelle remontée folle aux Merengues.
Mais Ferran Torres, lancé dans la profondeur, a devancé Courtois et égalisé quelques instants plus tard, envoyant les deux équipes en prolongation (83e, 2-2). Les Blaugranas n'étaient pas au bout de leurs émotions, et ils ont chaviré de bonheur à la 116e sur le coup de canon du marathonien Koundé, nouveau héros barcelonais.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Le FC Bienne en finale de la Coupe de Suisse
Il aura fallu attendre la 100e édition de la Coupe de Suisse pour saluer la présence d’une équipe de troisième division en finale. Le FC Bienne a, en effet, réussi l’impossible.
Déjà "tombeur" du Champion d’automne Lugano en quart de finale, les Seelandais se sont imposés 1-0 sur leur pelouse devant les Young Boys dans une demi-finale qui semblait si déséquilibrée sur le papier. Le 1er juin, le FC Bienne affrontera pour la deuxième finale de son histoire après celle perdue en 1961 contre La Chaux-de-Fonds le vainqueur de la rencontre qui opposera ce dimanche le FC Bâle au Lausanne-Sport.
La décision est tombée à la 96e minute. David von Ballmoos, le gardien déchu, a commis l’irréparable devant Loïc Socka pour provoquer un penalty transformé magistralement par l’international M20 Malko Sartoretti. Même si le FC Bienne a été copieusement dominé si Lukasz Lakomy a trouvé la barre à la 113e, Chris Bedia rater l'immanquable à la... 121e et, enfin la VAR annuler - justement - deux buts adverses, cette victoire ne sort pas de nulle part. Les joueurs de Samir Chaibeddra ont cherché à piquer l’adversaire à chaque fois que c’était possible.
Kastriot Imeri le symbole
Ainsi, les Young Boys auraient pu être éliminés avant même les prolongations si la VAR n’avait pas convaincu l’arbitre d’annuler le penalty qu’il avait accordé pour une faute de Katriot Imeri sur Abdoulaye Coulibaly. Justement expulsé après cette action alors qu’il venait d’entrer en jeu, Katriot Imeri personnifie sans doute le mieux les maux que traversent les Young Boys cette saison.
Le transfert le plus onéreux de l’histoire du club ne joue plus que les utilités dans une équipe bien trop souvent à côté de son sujet. Comme ses deux prédécesseurs Patrick Rahmen et Joël Magnin, Giorgio Contini se demande encore comment faire pour lui éviter de telles sorties de route. A 8 points du FC Bâle avant d'aborder le sprint final du championnat, les Young Boys ont galvaudé leur dernière chance de redorer leur blason.
Bienne n'a rien volé
En course pour la promotion en Challenge League, son objectif majeur cette saison, le FC Bienne n’aura donc rien volé dans ce derby. Cette victoire récompense un esprit de corps magnifique, une faculté presque inouïe de dépasser ses limites et un mental d'acier. Sur le plan individuel, tous les joueurs méritent bien sûr une pluie d’éloges. On insistera toutefois sur le brio du gardien Raphaël Radtke, écarté pourtant depuis le début du mois, et sur le culot de Brian Beyer qui a allumé les premières mèches. Celui qui fut il y a deux ans le grand artisan de la promotion d’Yverdon en Super League retrouve la lumière après s’être égaré à Annecy et à Osnabrück. A Bienne, l’Alsacien évolue à nouveau dans un contexte favorable qui lui commande de croire que l’impossible est toujours possible.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Un grand footballeur romand s'est éteint
Le football genevois et romand pleure l’un de ses joueurs les plus emblématiques. International à quatre reprises, André Bosson s’est éteint à l’âge de 83 ans annonce le Servette FC.
Découvert par Paul Garbani à Etoile Carouge où il fut titulaire à 15 ans déjà, André Bosson a ensuite porté les couleurs du Servette FC, du FC Sion et du Lausanne-Sport. Ce demi à la technique raffinée a remporté deux championnats avec le Servette FC en 1961 et en 1962. En 1971, il fut le capitaine des Grenat lors de la victoire en finale de la Coupe de Suisse face au FC Lugano.
Après sa carrière de joueur, il a connu une expérience d’entraîneur en LNA à la tête du CS Chênois lors de la saison 1977/1978 conclue de manière positive avec le maintien. Son remplacement à l'époque par Hervé Revelli avait suscité bien des incompréhensions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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