International
Yannick Jadot remporte la primaire des écologistes
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/09/yannick-jadot-a-remporte-la-primaire-ecologiste-en-vue-de-lelection-presidentielle-francaise-archives-1000x600.jpg&description=Yannick Jadot remporte la primaire des écologistes', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'eurodéputé Yannick Jadot a battu d'une courte tête l'"éco-féministe" Sandrine Rousseau et gagné mardi la primaire des écologistes. Il a fait respecter son statut de favori malgré la dynamique de sa rivale.
Yannick Jadot, 54 ans, a finalement fait parler son statut de favori en obtenant au second tour 51,03% des quelque 104'000 voix exprimées parmi les 122'670 inscrits à ce scrutin en ligne, contre 48,97% pour son adversaire.
Disant son "immense joie" après une "primaire serrée", M. Jadot a estimé qu'il lui faudra pour la campagne présidentielle "être à la hauteur du dérèglement climatique et du chaos social".
Yannick Jadot, qui s'était effacé lors de la dernière présidentielle derrière le socialiste Benoît Hamon, a promis qu'il défendrait "une société apaisée", "une planète vivante (...) en harmonie, quels que soient nos milieux sociaux, nos aspirations". Il a placé sa confiance dans ceux qui "innovent, inventent, agissent, dans les fermes, dans les entreprises, associations, collectivités".
"Bravo, Yannick Jadot", a de son côté déclaré, avec un sourire timide, la finaliste Sandrine Rousseau. "Vous pouvez compter sur moi pour soutenir la suite", a-t-elle rassuré. Mais de toutefois mettre une forme de pression sur le vainqueur: "Le dérèglement climatique appelle une réponse radicale" et "le temps des demi-mesures et des renoncements est révolu".
Rassembler les écologistes
Yannick Jadot a désormais pour défi de rassembler des écologistes que le premier tour avait grossièrement divisés en quatre blocs. Mais aussi d'imposer sa candidature au sein d'une gauche déjà bien pourvue en aspirants présidents, de l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon à la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo en passant par l'ancien ministre Arnaud Montebourg et le communiste Fabien Roussel.
Au premier tour avec 27,7% des voix, Yannick Jadot avait devancé de peu Sandrine Rousseau (25,14% des voix). Cette dernière avait confirmé sa bonne dynamique médiatique en se qualifiant au détriment de l'ex-ministre Delphine Batho (22,32%), chantre de "la décroissance", et du maire de Grenoble Eric Piolle (22,29%), qui défendait un "arc humaniste" pouvant rassembler toutes les forces de gauche.
Ligne pragmatique
Aucun des deux challengers malheureux n'avait donné de consigne de vote pour le second tour, accentuant le suspense sur les reports de voix. Seul l'entrepreneur Jean-Marc Governatori, dernier au premier tour (2,35%), a appelé à voter pour Yannick Jadot.
Les deux finalistes divergeaient notamment sur la manière de porter l'écologie au pouvoir. Tenant d'une ligne pragmatique, Yannick Jadot met en avant une écologie "de rassemblement" et "de gouvernement". En face, Sandrine Rousseau défendait la "radicalité" et une écologie "qui transforme les modèles de production, sort du productivisme, de la société de consommation".
Le résultat aura une grande incidence sur la gauche. Notamment au sein du Parti socialiste et de la France Insoumise qui espèrent, chacun, attirer les déçus de la primaire. En privé, un cadre PS tacle l'"écologie politique, objet politique non identifié. Est-ce que c'est la décroissance, la cuisine au wok ou l'écologie gestionnaire, on ne sait plus très bien".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Italie: au moins 3 morts dans la chute d'une cabine de téléphérique
Au moins trois personnes ont trouvé la mort jeudi après-midi dans la chute de la cabine d'un téléphérique dans la région de Naples, dans le sud de l'Italie, a indiqué à l'AFP la mairie locale.
"Aux dernières nouvelles (...), il y avait trois ou quatre morts et des disparus", a déclaré un fonctionnaire de la commune de Castellammare di Stabia où s'est produit l'accident.
Selon Umberto de Gregorio, président de la société gestionnaire du téléphérique, il y aurait trois morts, un disparu et un blessé, le même bilan que celui fourni par l'agence Ansa.
En revanche, selon l'agence AGI et les sites internet des principaux quotidiens italiens, quatre personnes ont été retrouvées mortes, tandis qu'une cinquième est portée disparue.
Le téléphérique relie la ville de Castellammare di Stabia, dans le golfe de Naples, au mont Faito sur une distance de près de trois kilomètres.
L'accident s'est produit à la suite de la rupture d'un câble de ce téléphérique, alors qu'une cabine avec 16 passagers à bord était toute proche de la ville et du sol ferme, tandis qu'une seconde cabine se trouvait au mont Faito au-dessus d'un précipice.
Les 16 passagers de la première cabine ont tous été rapidement secourus, mais le mauvais temps et le brouillard en altitude ont empêché de secourir rapidement les passagers de la seconde cabine.
Ce téléphérique a été inauguré en 1952 et jusqu'à présent un accident a été enregistré, en 1960, lorsqu'une cabine est tombée au sol provoquant la mort de quatre personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Amiante: neuf ans de prison pour Stephan Schmidheiny en Italie
L'homme d'affaires suisse Stephan Schmidheiny a été condamné à 9 ans et 6 mois de prison par la Cour d'appel de Turin dans le cadre du procès Eternit "bis", en lien avec les décès dus à l'amiante en Italie. En 1re instance, il s'était vu infliger 12 ans de prison.
Le procès faisait suite à la mort de 91 personnes consécutivement à leur exposition à l'amiante dans les usines Eternit de Casale Monferrato (Piémont). Le bureau du procureur général avait demandé une condamnation pour homicide, mais les juges d'appel ont retenu l'homicide involontaire, indique jeudi l'agence de presse italienne ansa.
La défense de M. Schmidheiny a annoncé un pourvoi en cassation. "Pour bon nombre des chefs d'accusation contestés, l'acquittement a été prononcé parce que le fait n'existe pas. Cela signifie que la structure construite par l'accusation continue de s'effondrer", a déclaré l'avocat Astolfo di Amato, membre du collège de défense de l'industriel.
Dans une prise de position adressée à Keystone-ATS, la défense de l'accusé relève que "Stephan Schmidheiny n'est pas responsable de la tragédie de l'amiante à Casale Monferrato". Elle souligne "l'absence de preuves directes" et rappelle que "M. Schmidheiny avait lancé dès 1976 un programme de sortie de l’amiante, alors encore légale en Italie".
En parallèle, l'industriel "poursuit un programme humanitaire de compensation aux victimes, avec plus de 2000 personnes indemnisées".
Et la défense de poser la question: "Cette affaire relance le débat: justice pénale individuelle ou responsabilité collective face à une tragédie sanitaire mondiale?".
"Justice rendue"
Dans l'autre camp, l’Observatoire national de l’amiante, qui s’est constitué partie civile avec l’avocat Andrea Ferrero Merlino, a exprimé sa satisfaction, interrogé par askanews. La sentence "rend justice aux nombreux morts du mésothéliome (cancer rare) et des autres pathologies liées à l’amiante, qui ont touché au fil du temps les ouvriers et les habitants des zones proches de l’usine Eternit", a-t-il estimé.
Ce verdict intervient "après des années de batailles judiciaires et donne une voix aux victimes de l’amiante. Il reconnaît la gravité de ce qui s’est passé", a poursuivi l'Observatoire.
Et de compléter: "La condamnation n’efface pas la douleur, mais affirme un principe fondamental: la vie et la santé des personnes passe avant tout. C’est un signal fort, qui dit que ceux qui polluent, qui dissimulent, qui placent le profit avant la sécurité, ne peuvent rester impunis."
"A ceux qui ont lutté pendant des années, souvent dans le silence, va aujourd’hui notre plus profond respect", a encore commenté Ezio Bonanni, avocat et président de l’Observatoire National de l’amiante.
Un autre jugement, prononcé par la Cour d’assises de Novare, avait pointé de graves violations des normes de sécurité au travail (en sachant que le risque de mort était réel), en lien avec la mort de 392 personnes, dont 62 travailleurs de l’usine Eternit et 330 habitants des zones proches de l’usine, a encore rappelé l'Observatoire.
Eternit (Italie) a cessé ses activités en 1986, soit six ans avant l'interdiction de l'amiante dans la péninsule. Mais les représentants des victimes font valoir que l'entreprise était déjà au courant des risques posés par ce matériau.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / ansa
Économie
Google a monopolisé le marché de la publicité sur internet aux USA
Une juge fédérale américaine a conclu que Google avait monopolisé le marché de la publicité sur internet, estimant que le géant américain des technologies avait sciemment entrepris une série d'actions anticoncurrentielles et causé des dommages importants à ses clients.
L'administration de Joe Biden avait assigné Google en janvier 2023 devant un tribunal fédéral de Virginie (Est des Etats-Unis), réclamant que le groupe soit contraint de céder des actifs.
Le procès s'est achevé en novembre 2024 par la présentation des conclusions du gouvernement américain et de Google, après trois semaines d'audience sans jury en septembre.
"Les plaignants ont prouvé que Google avait sciemment entrepris une série d'actions anticoncurrentielles pour atteindre et conserver un pouvoir de monopole dans le serveur de publications publicitaires et dans les marchés d'échanges de publicités sur internet", a conclu la magistrate, dans une décision de 115 pages rendue publique jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le pape, en sortie à Rome, dit vivre Pâques "comme il peut"
"Je vis (Pâques) comme je peux", a déclaré jeudi le pape François, convalescent et toujours affaibli après une grave pneumonie. Il s'exprimait en marge d'une visite dans une prison du centre de Rome.
Interrogé par les journalistes à travers la fenêtre de sa traditionnelle Fiat 500 sur la manière dont il vivait cette année Pâques, que célèbreront dimanche les chrétiens du monde entier, le pape de 88 ans a répondu d'une voix essoufflée: "Je le vis comme je peux."
"Chaque fois que j'entre dans ces lieux, je me demande: pourquoi eux et pas moi?", a-t-il ajouté en arrivant à la prison Regina Coeli, la plus grande de la capitale italienne, à l'occasion du Jeudi saint.
François, sensible à l'univers carcéral, est resté une trentaine de minutes dans cette maison d'arrêt délabrée et surpeuplée située dans le quartier touristique de Trastevere.
Accueilli par des cris et des applaudissements nourris, le pape, en fauteuil roulant mais sans canules nasales à oxygène, y a salué un par un quelque 70 détenus de différentes nationalités qui lui ont serré et embrassé la main et remis des cadeaux ou des intentions de prière, selon des images diffusées par le Vatican.
Pas de lavage de pieds
Contrairement aux années précédentes, le jésuite argentin - censé en théorie observer un strict repos de deux mois, sans activités publiques - ne s'est pas livré au traditionnel rite du lavement des pieds, qui commémore le geste du Christ pour les apôtres.
"Cette année, je ne peux pas le faire, mais je peux et je veux être près de vous. Je prie pour vous et vos familles", a déclaré le pape.
Depuis son élection en 2013, François effectue cette célébration en dehors du Vatican, dans des centres de détention pour mafieux repentis, pour femmes ou pour mineurs, auprès de malades ou de personnes marginalisées.
Dans la tradition chrétienne, le Jeudi saint commémore le dernier repas du Christ (la Cène) avec ses 12 apôtres. Il s'agit d'un temps fort de la Semaine sainte, qui fait mémoire des derniers jours du Christ avant sa résurrection à Pâques.
Rentré au Vatican le 23 mars après 38 jours d'hospitalisation pour une double pneumonie ayant menacé sa vie, François, dont l'état de santé s'améliore mais reste fragile, a progressivement repris les apparitions publiques ces derniers jours.
Il ne présidera toutefois pas la veillée pascale samedi soir ni la messe du dimanche de Pâques au Vatican, qui ont été déléguées à des cardinaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 1 jour
"À 500m du parc, j'ai compris. Puis je suis allé voir le carnage"
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Valais: les gens du voyage ont rebroussé chemin, autoroute rouverte
-
HockeyIl y a 3 jours
Un air de revanche pour un immense défi
-
HockeyIl y a 2 jours
Une moquerie à 2500 francs pour Andrea Glauser
-
CultureIl y a 2 jours
Crissier: la métamorphose urbaine vue par de jeunes photographes
-
VaudIl y a 2 jours
L'autoroute entre Rolle et Gland fermée jusqu'au coeur de la nuit
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
De fortes pluies sont attendues dans le Haut-Valais
-
SuisseIl y a 3 jours
Situation partiellement rétablie à la radio valaisanne Rhône FM