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Wembanyama sélectionné pour son premier All-Star Game

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Victor Wembanyama a été retenu pour jouer son premier All-Star Game (© KEYSTONE/AP/Eric Gay)

Le phénomène Victor Wembanyama (21 ans) a été sélectionné pour disputer le 16 février à San Francisco son premier All-Star Game.

Après Tony Parker, Joakim Noah et Rudy Gobert, l'intérieur de San Antonio sera le quatrième Français à jouer le match des étoiles.

Le géant de 2m24, no 1 de la draft en 2023, connaît l'honneur du All-Star Game dès sa deuxième saison. Il avait disputé le match des meilleurs jeunes et un concours d'adresse l'année dernière.

Wembanyama avait failli faire partie des "titulaires", annoncés la semaine passée, mais avait été devancé de peu par Kevin Durant dans un classement établi à partir du vote des fans (50%), des médias (25%) et des joueurs (25%). Les remplaçants, dont il fait partie, ont été choisis par les entraîneurs.

"Wemby" a pris une nouvelle dimension cette saison avec des statistiques en hausse (24,5 points de moyenne contre 21,4) et une équipe des Spurs en progrès (12e à l'Ouest).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Maison Blanche renforce son emprise sur l'accès de la presse

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Mme Leavitt a indiqué que le "pool", le petit groupe de journalistes ayant un accès privilégié au président, admis par exemple dans le Bureau ovale ou dans son avion, serait ouvert à de nouveaux médias, choisis cette fois par l'exécutif américain. (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO)

La porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt a annoncé lundi un changement des règles d'accès de la presse. L'exécutif américain rompt ainsi avec un système établi et géré par les médias eux-mêmes à travers l'Association des correspondants à la Maison Blanche

Cette dernière a immédiatement reproché à l'administration Trump de "mettre en pièces l'indépendance de la presse". "Dans un pays libre, les dirigeants ne sélectionnent pas les médias", a-t-elle lancé dans un communiqué.

La WHCA a indiqué que le "pool", le petit groupe de journalistes ayant un accès privilégié au président, admis par exemple dans le Bureau ovale ou dans son avion, "Air Force One", serait ouvert à de nouveaux médias, choisis cette fois par l'exécutif américain.

Nous rendons le pouvoir au peuple", a lancé Karoline Leavitt, en assurant que des "centaines" de journalistes méritaient un tel accès. Elle a toutefois précisé que les "médias traditionnels, qui ont fait partie du pool presse depuis des décennies, seront encore autorisés à y participer".

"Indépendance de la presse libre en pièces"

Jusqu'ici, l'admission dans ce groupe restreint, dont l'AFP fait partie, est décidée par l'Association des correspondants à la Maison Blanche (WHCA), une association créée en 1914.

C'est elle qui gère le fonctionnement du groupe de journalistes qui accompagne le président lors de chacune de ses apparitions publiques, à la Maison Blanche ou lorsqu'il voyage aux Etats-Unis et dans le monde entier.

"Pouvoir à la Maison Blanche"

Le "pool" est chargé de rendre compte, pour les journalistes qui ne sont pas sur place, des faits, gestes et déclarations du chef de l'Etat.

La décision de la Maison Blanche "ne rend pas le pouvoir au peuple, elle donne le pouvoir à la Maison Blanche", a critiqué sur X Jacqui Heinrich, journaliste de la chaîne Fox News, prisée des conservateurs, et membre du conseil d'administration de la WHCA.

Bras de fer avec l'agence AP

L'annonce intervient en plein de bras de fer de la Maison Blanche avec l'agence américaine AP, qui historiquement a toujours fait partie du cercle restreint de journalistes admis au plus près du président américain, mais qui en est désormais bannie.

L'exécutif américain lui reproche de ne pas se conformer à la nouvelle appellation du Golfe du Mexique, rebaptisé en "Golfe d'Amérique" par un décret de Donald Trump.

Lundi, un juge fédéral a rejeté un recours présenté par l'Associated Press, pilier du journalisme américain, demandant de rétablir son plein accès à la Maison Blanche, sans toutefois statuer sur le fond.

"Repose en paix, WHCA"

"RIP WHCA" ("Repose en paix, WHCA") s'est réjoui dans un message sur X Jason Miller, l'un des conseillers de la Maison Blanche, en partageant une vidéo d'hommes qui portent un cercueil en dansant, un "meme" très populaire auprès des habitués des réseaux sociaux.

Dès son premier briefing, Karoline Leavitt avait annoncé l'invitation de "nouveaux médias", également choisis par la Maison Blanche, pour poser des questions lors de ce point-presse régulier.

Donner l'occasion à Trump de se vanter

Et ces derniers jours, l'accès au Bureau ovale avait d'ores et déjà été ouvert à des journalistes travaillant pour des médias très populaires auprès des partisans de Donald Trump. Le plus souvent, leurs questions permettent au chef de l'Etat de vanter son bilan.

Lundi, lors d'une conférence de presse commune avec le président français Emmanuel Macron, le dirigeant américain avait choisi pour poser la première question Brian Glenn, figure de la sphère trumpiste "MAGA" (Make America Great Again), et présentateur sur la chaîne Right Side Broadcasting Network.

Brian Glenn avait demandé sur un ton enthousiaste à Donald Trump de commenter un récent sondage plutôt favorable, montrant selon lui que le président bénéficiait du "soutien du peuple". Le milliardaire de 78 ans avait abondé dans son sens, en se disant "honoré" par le résultat de l'enquête d'opinion en question.

Lors d'un briefing le 31 janvier de Karoline Leavitt, un podcasteur invité par la Maison Blanche lui avait posé la question suivante: les médias traditionnels "sont-ils déconnectés des Américains qui demandent des actes contre l'immigration illégale?" La porte-parole avait répondu en riant: "Les médias sont très certainement déconnectés."

Le républicain s'est beaucoup appuyé sur des podcasteurs et influenceurs pendant sa campagne électorale, tout en attaquant violemment les médias traditionnels, à la fois verbalement et devant les tribunaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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TdF 2026: un chrono par équipes à Barcelone pour commencer

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Tadej Pogacar visera sans aucun doute la victoire au Tour de France 2026 (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Le Tour de France 2026 commencera par un contre-la-montre par équipes dans le coeur de Barcelone. La nouvelle a été annoncée par les organisateurs et la ville lors d'une conférence de presse.

Ce sera la première fois depuis 2019 à Bruxelles - et la première fois de l'histoire pour une première étape - qu'un chrono collectif sera au menu du Tour. La 113e édition s'élancera le samedi 4 juillet 2026 de Barcelone pour le 26e départ de l'étranger, le quatrième en cinq ans.

Comme c'est le cas sur Paris - Nice depuis deux ans, le classement du contre-la-montre par équipes sera établi sur le chrono du premier coureur de chaque formation, mais les temps seront enregistrés de manière individuelle pour le classement général. Le parcours de 19,7 km est tracé au coeur de Barcelone, qui avait déjà accueilli le Tour à trois reprises en 1957, 1965 et 2009, mais jamais de "grand départ".

Le chrono comportera un aller-retour en bord de mer, un passage au pied de la Sagrada Familia et un final vitaminé avec la côte de Montjuic (1,1 km à 5,1%) et celle du Stade Olympique (800 m à 7%) où sera jugée l'arrivée et décerné le premier maillot jaune.

La deuxième étape, également dévoilée mardi, partira de Tarragone pour finir là aussi à Barcelone après 178 km et une triple ascension de la montée du château de Montjuic (1,6 km dont 600 m à 13%). Le lendemain, le peloton s'élancera de Granollers, dans la grande périphérie de Barcelone, pour se diriger vers la France et une ville d'arrivée qui ne sera dévoilée qu'en octobre avec le reste du parcours.

Ce sera la première fois depuis 2019 à Bruxelles - et la première fois de l'histoire pour une première étape - qu'un chrono collectif sera au menu du Tour. La 113e édition s'élancera le samedi 4 juillet 2026 de Barcelone pour le 26e départ de l'étranger, le quatrième en cinq ans.

Comme c'est le cas sur Paris - Nice depuis deux ans, le classement du contre-la-montre par équipes sera établi sur le chrono du premier coureur de chaque formation, mais les temps seront enregistrés de manière individuelle pour le classement général. Le parcours de 19,7 km est tracé au coeur de Barcelone, qui avait déjà accueilli le Tour à trois reprises en 1957, 1965 et 2009, mais jamais de "grand départ".

Le chrono comportera un aller-retour en bord de mer, un passage au pied de la Sagrada Familia et un final vitaminé avec la côte de Montjuic (1,1 km à 5,1%) et celle du Stade Olympique (800 m à 7%) où sera jugée l'arrivée et décerné le premier maillot jaune.

La deuxième étape, également dévoilée mardi, partira de Tarragone pour finir là aussi à Barcelone après 178 km et une triple ascension de la montée du château de Montjuic (1,6 km dont 600 m à 13%). Le lendemain, le peloton s'élancera de Granollers, dans la grande périphérie de Barcelone, pour se diriger vers la France et une ville d'arrivée qui ne sera dévoilée qu'en octobre avec le reste du parcours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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RDC: déploiement militaire burundais, sanctions britanniques

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Des rebelles du M23 à leur entrée dans le centre de la ville de Bukavu, au Kivu. (© KEYSTONE/AP/Janvier Barhahiga)

Des troupes du Burundi, allié de Kinshasa, continuaient de se déployer mardi au nord d'Uvira, dans l'est de la République démocratique du Congo. Cela en ligne de mire du groupe M23 soutenu par le Rwanda, envers lequel Londres a annoncé suspendre ses aides financières.

Sur fond de craintes d'une conflagration régionale, la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et la Communauté des Etats d'Afrique de l'Est (EAC), dont les initiatives séparées sont restées jusqu'ici infructueuses, ont décidé de joindre leurs efforts en vue d'obtenir un cessez-le-feu.

Elles ont nommé les ex-présidents kényan et nigérian Uhuru Kenyatta et Olusegun Obasanjo, ainsi que l'ancien Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn, "facilitateurs du processus de paix de l'EAC-SADC" dans l'est de la RDC.

4000 soldats rwandais en RDC

Lors d'une offensive éclair ces dernières semaines dans l'est de la RDC, les combattants du M23, soutenu par quelque 4000 soldats rwandais, selon des experts de l'ONU, ont pris le contrôle de Goma et Bukavu, chefs-lieux des provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu.

Les combats ont fait des milliers de morts selon l'ONU, qui redoute un embrasement dans cette région en proie à des conflits depuis trois décennies.

Armée de la RDC en déroute

Le M23 et ses alliés ont ensuite progressé facilement dans plusieurs directions, sans véritable opposition de la part d'une armée de la RDC en pleine déroute, dont les soldats ont multiplié les exactions dans leur fuite, selon des habitants.

Le M23 s'est notamment rapproché rapidement d'Uvira, ville de la pointe nord-ouest du lac Tanganyika, face à Bujumbura, la capitale du Burundi.

Déploiement de troupes burundaises

Des troupes burundaises se déploient depuis dimanche aux alentours de Luvungi, à environ 60 km au nord d'Uvira, à une dizaine de km au sud des positions du M23 qui semblait ces derniers jours avoir stoppé sa progression dans cette zone.

Depuis dimanche, "nous observons des mouvements des militaires burundais lourdement armés qui prennent la direction de Luvungi", certains par la route venant d'Uvira, d'autres "traversant la rivière Ruizi" qui longe la frontière entre RDC et Burundi, a expliqué à l'AFP par téléphone un habitant de Sange, située à mi-chemin d'Uvira et de Luvungi.

De nombreux miliciens congolais progouvernementaux Wazalendo ("patriotes") "les rejoignent à Luvungi", a ajouté cet habitant ayant requis l'anonymat.

Les troupes du M23 sont présentes autour de Kamanyola. La ville "est calme" mais "continue de se vider de ses habitants qui craignent une reprise des affrontements", a indiqué, sous couvert de l'anonymat, un habitant joint par l'AFP.

Londres suspend son aide à Kigali

Dénonçant une "violation inacceptable de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la RDC", le Royaume-Uni a annoncé suspendre, tant qu'il n'y aura pas de "progrès significatifs", son aide financière bilatérale au Rwanda, à l'exception des programmes britanniques destinés aux "plus pauvres et aux plus vulnérables".

Londres a également déclaré qu'il prévoyait de se "coordonner avec ses partenaires sur de potentielles nouvelles sanctions".

Rwanda accusé de vouloir les minerais

Les trois "facilitateurs" africains auront notamment pour objectifs "un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel", l'accès de l'aide humanitaire et la sécurisation de l'aéroport de Goma.

Kinshasa accuse Kigali de vouloir contrôler l'exploitation et le commerce de minerais - dont le sous-sol de l'est de la RDC est riche - utilisés notamment dans les batteries et les équipements électroniques. Le Rwanda nie et affirme que sa sécurité est menacée par des groupes armés hostiles présents dans la région.

Procureur de la CPI sur place

Pour la première fois vendredi, le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné directement le Rwanda pour son soutien au M23.

Le procureur de la CPI Karim Khan est arrivé dans la nuit de lundi à mardi à Kinshasa, insistant sur l'inquiétude de la juridiction internationale.

"Un message très clair doit être passé: aucun groupe armé, aucune force armée, aucun allié d'un groupe armé ou d'une force armée n'a de chèque en blanc", a-t-il indiqué à son arrivée.

Les populations de la RDC sont "aussi précieuses que celles d'Ukraine, d'Israël ou de Palestine, que les filles et femmes d'Afghanistan", a-t-il ajouté.

Soldats sud-africains blessés ou tués

Mardi, l'armée sud-africaine - qui constitue le gros des effectifs de la force militaire déployée par la SADC dans l'est de la RDC, a annoncé avoir évacué certains de ses soldats "grièvement blessés" lors de combats contre le M23.

Quatorze militaires sud-africains ont été tués dans l'est de la RDC depuis le début de l'année.

Les récents combats font craindre une répétition de ce que l'on a appelé la deuxième guerre du Congo (1998-2003), qui a impliqué de nombreux pays africains et entraîné des millions de morts par la violence, les maladies et la famine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ventes d'armes: Trump annule une directive sur les droits humains

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Le sénateur Jim Risch a dénoncé un texte destiné uniquement à satisfaire "la gauche progressiste" et "embarrasser notre allié Israël" et qui "a, au final, réduit la sécurité des Etats-Unis et de ses alliés",ajoutant que désormais "l'Amérique est de retour". (© KEYSTONE/AP/ALEX BRANDON)

Donald Trump a révoqué une directive de son prédécesseur démocrate qui demandait aux Etats-Unis de s'assurer que leurs armes vendues à l'étranger ne soient pas utilisées en violation du droit humanitaire international, rapporte lundi le Washington Post.

L'annulation de la directive, adoptée en février 2024 par Joe Biden en pleine polémique sur l'offensive israélienne à Gaza, a été saluée comme "excellente nouvelle" par le sénateur républicain Jim Risch, président de la commission des Affaires étrangères.

Le gouvernement précédent, sous pression d'élus démocrates dénonçant l'emploi d'armes américaines par Israël dans la Bande de Gaza, avait demandé aux pays recevant de l'aide militaire de fournir des garanties "crédibles et fiables" qu'ils respectent les droits humains.

Rapport controversé

La directive, connue sous le nom NSM-20, a entrainé la publication d'un rapport controversé en mai 2024, critiquant l'emploi par Israël d'armes américaines sans pour autant suspendre leur envoi.

S'il est "raisonnable d'estimer" qu'Israël a utilisé des armes d'une manière incompatible avec le droit humanitaire international et donc la loi américaine, les Etats-Unis n'ont pas pu parvenir à ce stade à des "conclusions" définitives, faute d'informations suffisantes.

Le rapport avait aussi examiné les envois d'armes en Colombie, en Iraq, au Kenya, au Nigeria, en Somalie et en Ukraine.

"L'Amériue est de retour"

La directive à l'origine du rapport a désormais été révoquée, a rapporté le Washington Post, citant "plusieurs" sources proches de l'administration américaine et un mémo du conseiller à la Sécurité nationale, Michael Waltz.

Le sénateur Jim Risch a dénoncé un texte destiné uniquement à satisfaire "la gauche progressiste" et "embarrasser notre allié Israël" et qui "a, au final, réduit la sécurité des Etats-Unis et de ses alliés", ajoutant que désormais "l'Amérique est de retour".

"La seule chose que l'administration Trump fait en éliminant NSM-20 est de signaler aux partenaires des Etats-Unis que le gouvernement ne se préoccupe tout simplement pas de la manière - même illégale ou immorale - dont les armes américaines sont utilisées", a réagi dans le Washington Post Christopher Le Mon, chargé des droits humains au département d'Etat sous Joe Biden.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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