International
Une voiture fonce sur une foule allant à un carnaval, six morts
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/03/la-police-sur-les-lieux-du-drame-1000x600.jpg&description=Une voiture fonce sur une foule allant à un carnaval, six morts', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Une voiture a foncé sur une foule se rassemblant pour participer à un carnaval dimanche matin à Strépy-Bracquegnies dans le Sud de la Belgique, tuant au moins six personnes et en blessant 26 autres, ont annoncé les autorités.
L'accident s'est produit vers 05h00. "Une voiture roulant à grande vitesse a foncé sur la foule qui s'était rassemblée pour assister (au carnaval)", a indiqué à l'agence de presse Belga Jacques Gobert, le maire de La Louvière, ville située non loin de la frontière française et dont dépend le village de Strépy-Bracquegnies.
Selon un communiqué du bureau du maire, un groupe dit "de ramassage" (des personnes se regroupant pour aller au carnaval) d'une centaine de personnes venait de quitter la salle Omnisports pour remonter vers le centre du village lorsqu'un véhicule a foncé dans la foule.
"Dans l'état actuel de l'enquête, on sait qu'un véhicule a foncé dans un groupe de ramassage et qu'on déplore six décès, 26 blessés à des stades divers" dont "10 personnes dont les jours sont actuellement en danger", a déclaré Damien Verheyen, substitut du procureur du Roi de Mons, lors d'une conférence de presse à La Louvière.
Piste terroriste exclue
"La voiture était occupée par deux personnes qui ont été interpellées", a-t-il ajouté, précisant qu'elles étaient originaires de La Louvière et nées respectivement en 1988 et 1990. Il a ajouté que la piste terroriste était exclue pour le moment.
"Horrible nouvelle depuis Strépy-Bracquegnies", a déploré sur Twitter le Premier ministre belge Alexander De Croo. "Une communauté qui se rassemblait pour faire la fête a été frappée en plein coeur".
"Mes pensées vont aux victimes et leurs proches. Tout mon soutien va aussi aux services d'urgence pour leur aide et l'assistance apportées", a ajouté M. De Croo qui devait se rendre dans la journée sur place, accompagné du roi Philippe selon le bureau du Premier ministre.
En Belgique, villes et villages organisent de nombreux défilés de rues pour le Carnaval, les plus connus à Binche et Alost. Comme celui de Binche, le carnaval de Strépy-Bracquegnies accueille des participants costumés, les "Gilles", convoqués tôt pour participer au défilé.
"Je marchais à côté", a raconté un témoin, Théo, à la télévision publique belge RTBF. "Je me suis retourné et j'ai vu une voiture qui fonçait dans la troupe".
"Plein de gens à terre"
"Elle est arrivée très vite et n'a pas freiné. Elle a continué et elle a embarqué un Gille 100 mètres plus loin", a poursuivi le jeune homme. "Il y avait plein de gens à terre".
"Ce qui était censé être une fête conviviale a tourné au drame. Nous suivons la situation de près", a tweeté la ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden. "Mes sincères condoléances aux familles et amis des personnes décédées et blessées lors de l'incident survenu ce matin à Strépy".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / belga
International
Airbus: accord pour le rachat d'une partie de Spirit AeroSystems
Le constructeur européen Airbus a annoncé lundi la signature de l'accord final pour le rachat d'une partie des activités du sous-traitant américain SpiritAeroSystems, dont la plus grande partie est reprise par Boeing.
Ce projet avait été annoncé en juillet 2024. Spirit AeroSystems est l'un des plus importants fournisseurs au monde de structures pour avions commerciaux comme les fuselages ou les ailes.
La finalisation était attendue pour mi-2025.
L'avionneur européen reprend notamment la production de sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord) et à Saint-Nazaire (France), des ailes et de sections du fuselage de l'A220 à Belfast (Irlande du Nord) et à Casablanca (Maroc), ainsi que des pylônes de l'A220 à Wichita (Kansas), a-t-il indiqué dans un communiqué.
Airbus reprend aussi la production d'éléments pour les ailes des A320 et A350 à Prestwick (Ecosse).
Le constructeur européen recevra une compensation de 439 millions de dollars pour ce rachat (contre 559 millions prévu en juillet). Il s'était engagé, toujours en juillet dernier, à réaliser des investissements sur les lignes de production.
Avec cet accord, Airbus entend assurer la stabilité de l'approvisionnement de ses programmes d'avions commerciaux, avait souligné le groupe en juillet.
Spirit AeroSystems a vu le jour en 2005, lorsque Boeing a décidé de regrouper ses activités installées à Wichita (son siège), Tulsa et McAlester (Oklahoma) au sein d'une entreprise indépendante.
Grâce à l'acquisition en avril 2006 de BAE Aerostructures, la société récupère des contrats avec Airbus qui ont encore augmenté après le rachat en octobre 2020 d'actifs de l'avionneur Bombardier en Irlande du Nord et au Maroc.
Spirit AeroSystems a accusé une perte nette de 616 millions de dollars en 2023.
En juillet 2024, Boeing avait annoncé la réintégration en son sein de cette entreprise, parallèlement à la cession d'une partie des activités à Airbus.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Un teckel retrouvé en Australie après une fugue de 529 jours
Un teckel nommé Valerie a été retrouvé en Australie après une longue fugue de 529 jours et d'intenses efforts de recherche sur une île où abondent kangourous, koalas et pingouins.
"Valerie a été récupérée en toute sécurité", elle est "en vie et en bonne santé", a déclaré vendredi soir l'association de protection des animaux qui cherchait à capturer ce chien intrépide sur l'île Kangourou, dans le sud de l'Australie.
"Nous sommes absolument ravis et profondément soulagés que Valerie soit enfin en sécurité" et bientôt en route pour retrouver ses maîtres, a indiqué l'association Kangala Wildlife Rescue sur les réseaux sociaux.
Le teckel, une espèce aussi appelée chien saucisse, s'était enfui pendant une sortie de camping avec ses propriétaires, Georgia Gardner et Josh Fishlock, sortant de son enclos pour s'enfoncer dans le bush australien.
Depuis novembre 2023, elle a échappé à toutes les tentatives de recherches, faisant seulement récemment de discrètes apparitions de nuit sur des caméras de surveillance, où son collier rose était reconnaissable.
Ses propriétaires avaient abandonné tout espoir après des jours de recherche sur l'île de plus de 4400 kilomètres carrés.
Bénévoles en renfort
La chienne disparue n'a pas été vue pendant plus d'un an. Puis, elle a été repérée sur des enregistrements de vidéosurveillance et des habitants l'ont à nouveau aperçue, poussant des bénévoles à relancer les recherches pour la retrouver.
"Valerie semble impossible à piéger", se désespéraient encore des sauveteurs dans un message sur les réseaux sociaux en mars. Les bénévoles ont passé plus de 1000 heures à traquer la chienne, parcouru plus de 5000 kilomètres et déployé des caméras, des pièges et des appâts pour tenter de la récupérer.
Après avoir réussi à attraper le chien errant, les membres de l'association ont indiqué prendre une "courte pause pour digérer ce résultat incroyable".
Malgré leur petite taille, les teckels "dressés pour être des chasseurs indépendants de proies dangereuses, peuvent être courageux jusqu'à la témérité et un peu têtus", selon la documentation de l'American Kennel Club.
La propriétaire de Valerie s'est déclarée "incroyablement reconnaissante" envers les bénévoles qui ont aidé à retrouver sa chienne.
"Ne perdez jamais espoir", a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux à l'adresse de ceux qui ont perdu un animal de compagnie.
Pénurie de professeurs d'allemand: une députée du Haut-Rhin propose d'assurer les cours
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Hausse "sans précédent" des dépenses militaires en 2024
Les dépenses militaires mondiales ont connu en 2024 leur plus forte augmentation depuis la fin de la Guerre froide, atteignant 2700 milliards de dollars à cause des guerres et conflits en cours sur la planète, selon un rapport du Sipri publié lundi.
Celles-ci ont particulièrement augmenté en Europe et au Moyen-Orient, dévoile l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).
Les dépenses ont bondi de 9,4% en 2024 - 10e année consécutive à avoir enregistré une hausse - par rapport à 2023.
"Cela témoigne vraiment des fortes tensions géopolitiques", estime Xiao Liang, chercheur au sein du programme "Dépenses militaires et production d'armes" du Sipri. "C'est sans précédent. Il s'agit de la plus importante augmentation depuis la fin de la Guerre froide".
Plus de 100 pays ont accru leurs budgets de défense l'année dernière, souligne le rapport.
Impact profond
La facture, salée, aura par ailleurs "un profond impact socio-économique et politique", relève M. Liang, car "les pays doivent faire des arbitrages dans leurs choix budgétaires".
"Par exemple, nous avons vu de nombreux pays européens réduire d'autres postes budgétaires, comme l'aide internationale, afin de financer la hausse des moyens consacrés à l'armée, (...) ou encore envisager d'augmenter les impôts ou s'endetter", énumère-t-il.
L'Europe, Russie incluse, est la région à avoir mis le plus la main à la poche: les dépenses militaires y ont bondi de 17%, atteignant 693 milliards de dollars.
La Russie a consacré 149 milliards de dollars à son armée en 2024, en hausse de 38% sur un an, un niveau deux fois supérieur à celui de 2015.
Le budget militaire de l'Ukraine, envahie par la Russie, a lui progressé de 2,9%, atteignant 64,7 milliards.
Bien que cela ne représente que 43% de l'équivalent des moyens russes, Kiev a enregistré la charge militaire la plus élevée au monde, avec 34% de son PIB dédié à la défense.
L'Allemagne se réarme
Quelques pays européens se démarquent, note le rapport.
Les dépenses militaires de l'Allemagne ont par exemple grimpé de 28%, s'établissant à 88,5 milliards de dollars et détrônant l'Inde au quatrième rang mondial.
"Pour la première fois depuis sa réunification, l'Allemagne est devenue le principal contributeur en matière de défense en Europe centrale et occidentale", observe Xiao Liang.
Les États-Unis, premier pays mondial en termes de dépenses militaires, ont augmenté leur budget de 5,7% en 2024, atteignant 997 milliards de dollars, soit 37% des dépenses mondiales et 66% de celles des pays membres de l'Otan.
Les 32 membres de l'Alliance atlantique, engagés dans une dynamique de réarmement à l'aune d'un possible désengagement américain, ont tous considérablement accru ce poste de dépense.
"En 2024, 18 des 32 pays ont atteint l'objectif de 2% du PIB" consacré aux dépenses militaire, inédit depuis la fondation de l'Otan, selon le chercheur.
"Des projets d'acquisitions massives dans l'industrie de l'armement sont à prévoir dans les années à venir", dit-il
La tendance est la même au Moyen-Orient.
Israël poursuit sa guerre dans la bande de Gaza et en 2024, ses dépenses militaires ont explosé de 65% pour atteindre 46,5 milliards de dollars - soit la plus forte augmentation depuis la guerre des Six Jours en 1967, selon le Sipri.
Celles de l'Iran ont à l'inverse diminué de 10% et représentent 7,9 milliards de dollars en 2024, "malgré son implication dans les conflits régionaux", pointe le Sipri, car "l'impact des sanctions a fortement limité sa capacité à accroître ses dépenses".
En deuxième position derrière les Etats-Unis, la Chine, qui investit dans la modernisation de ses forces armées, l'expansion de ses capacités en guerre cybernétique et son arsenal nucléaire, représente désormais la moitié des dépenses militaires en Asie et en Océanie.
En 2024, elle a augmenté son budget militaire de 7%, atteignant 314 milliards de dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Washington dit croire Zelensky prêt à renoncer à la Crimée
Le président américain Donald Trump a dit croire que le dirigeant ukrainien Volodomyr Zelensky est prêt à renoncer à récupérer la Crimée occupée par la Russie, au moment où les négociations sur l'Ukraine entrent lundi dans une "semaine cruciale" selon Washington.
Bien que Kiev ait jusqu'à présent toujours exclu l'idée d'abandonner cette péninsule annexée par la Russie en 2014, le dirigeant américain a estimé dimanche que la position de son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pourrait changer.
"Je pense que oui. La Crimée, c'était il y a 12 ans", a déclaré M. Trump à des journalistes lors d'un déplacement dans le New Jersey, en réponse à la question de savoir s'il pensait que M. Zelensky était prêt à "abandonner" ce territoire dans un contexte de recul des troupes ukrainiennes sur le front.
L'abandon de la Crimée par l'Ukraine est régulièrement avancé par Washington comme une possible prémisse à un plan de paix avec Moscou. Celui-ci comprendrait également un gel de la ligne de front, selon les projets de l'administration américaine.
Les propos de M. Trump interviennent à un moment où Moscou affirme avoir entièrement "libéré" la région russe de Koursk, dont l'Ukraine avait conquis plusieurs centaines de kilomètres carrés en août 2024 et que M. Zelensky avait dit vouloir monnayer dans le cadre d'un "échange" territorial.
MM. Trump et Zelensky se sont depuis parlés en tête à tête à Rome en marge des funérailles du pape François samedi.
Dans ce contexte, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a estimé dimanche que des progrès pourraient être accomplis dans les prochains jours.
"Nous sommes proches (d'un accord), mais pas assez proches", a-t-il déclaré à la chaîne NBC. "Je pense que cette semaine sera cruciale."
Le président américain a toutefois exprimé des doutes ces derniers jours sur la volonté de Vladimir Poutine de mettre un terme à la guerre.
"Asseyez-vous et signez !"
"Je veux qu'il arrête de tirer. Asseyez-vous et signez l'accord", a lancé M. Trump dimanche. "Nous avons les bases d'un accord, je crois, et je veux qu'il le signe", a-t-il ajouté.
Le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius a pour sa part estimé que l'Ukraine ne devrait pas céder tous les territoires occupés par la Russie comme le voudrait M. Trump.
"L'Ukraine sait bien sûr depuis longtemps qu'un cessez-le-feu ou un accord de paix durable et crédible pourrait impliquer des concessions territoriales", a-t-il dit dimanche à la chaîne de télévision ARD. "Mais celles-ci n'iront certainement pas aussi loin (...) que la dernière proposition du président américain."
Trente-huit mois après avoir déclenché une invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, la Russie occupe environ 20% du territoire ukrainien, en incluant la Crimée.
Samedi, le chef d'état-major de l'armée russe, Valéri Guérassimov, avait assuré que la région de Koursk avait été entièrement "libérée" des troupes ukrainiennes.
Le général avait notamment salué l'"héroïsme" des soldats nord-coréens combattant pour la Russie - la première admission par Moscou de leur participation au conflit.
La Corée du Nord a elle aussi confirmé lundi pour la première fois la présence de ses troupes en Russie pour participer "aux opérations de libération des zones de Koursk" dans le cadre de l'accord de défense mutuelle entre les deux pays. L'agence officielle KCNA a assuré que l'effort de guerre de ces soldats s'était "conclu victorieusement".
Futur monument à Pyongyang
"Ceux qui se sont battus pour la justice sont tous des héros et des représentants de l'honneur de la patrie", a déclaré le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un, cité par KCNA. Il a ajouté qu'un monument commémorant les "exploits de la bataille" serait bientôt érigé dans la capitale Pyongyang.
L'Ukraine a cependant affirmé dimanche que ses troupes continuaient de se battre en territoire russe.
"Notre armée continue de mener des opérations dans les régions (russes) de Koursk et Belgorod. Nous maintenons notre présence en territoire russe", a déclaré dimanche M. Zelensky lors de son discours du soir.
Un commandant russe à Koursk a confirmé que l'armée russe conduisait toujours des opérations dans la région frontalière, selon une émission de la télévision d'Etat diffusée dimanche.
M. Zelensky a appelé à faire davantage pression sur Moscou afin de créer des opportunités pour de la "véritable diplomatie".
"La situation sur les lignes de front et les activités actuelles de l'armée russe prouvent que les pressions exercées en ce moment sur la Russie pour arrêter cette guerre sont insuffisantes", a-t-il jugé.
Parallèlement aux combats sur le front, les deux pays se livrent quasi quotidiennement à des attaques aériennes. Dans la nuit de dimanche à lundi, un civil a été tué et une autre blessée dans une "attaque massive de drones ukrainiens" sur la ville russe de Briansk, au sud-ouest de Moscou, selon le gouverneur local Aleksandr Bogomaz.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Alpes bernoises: deux blessés dans un accident d'hélicoptère
-
InternationalIl y a 2 jours
Explosion dans un port en Iran: 40 morts
-
VaudIl y a 3 jours
Ils se présentaient comme policiers auprès de personnes âgées
-
InternationalIl y a 3 jours
Un général russe tué dans l'explosion d'une voiture près de Moscou
-
InternationalIl y a 2 jours
La Colombie reconnaît l'échec de sa politique de "paix totale"
-
InternationalIl y a 3 jours
McLaren quittera le championnat à la fin de la saison
-
VaudIl y a 3 jours
Belmont-sur-Lausanne: 162 km/h au lieu de 80 sur l'A9
-
InternationalIl y a 2 jours
Une marée humaine aux funérailles du pape au "coeur ouvert à tous"