International
Une Floridienne enceinte incarcérée pour meurtre veut être libérée
Une femme enceinte inculpée pour meurtre et incarcérée en Floride réclame d'être libérée au motif que son foetus n'est accusé de rien et qu'il a par conséquent droit à la liberté. La suspecte de 24 ans avait tiré une autre femme dans un véhicule Uber en juillet 2022.
"L'enfant n'avait pas voix au chapitre lorsque la décision d'incarcérer la mère a été prise", a indiqué jeudi l'avocat de l'"enfant à naître" à l'AFP.
Lorsqu'elle avait abattu la victime, la suspecte avait une arme dans son sac à main et "craignait pour sa vie et celle de son enfant à naître", d'après le texte déposé la semaine dernière.
"L'enfant à naître n'a été inculpé d'aucun crime par le procureur" et est "incarcéré de manière illégale", argue le document, qui affirme que la suspecte n'a pas reçu les soins nécessaires à son état de femme enceinte en prison.
IVG plus reconnue au niveau fédéral
L'avocat demande donc sa libération au nom de la procédure d'habeas corpus, qui permet de contester une détention vue comme arbitraire. "Il est intéressant de voir comment la société progresse", a dit l'avocat, qui a été embauché par le futur père. "Les gens commencent à reconnaître qu'un enfant à naître est une personne".
Cette affaire rappelle celle d'une automobiliste enceinte, verbalisée par la police du Texas, parce qu'elle roulait dans une voie réservée au covoiturage, et qui a estimé l'an dernier que son foetus comptait comme un passager. Elle avait porté l'affaire devant les tribunaux.
Ces dossiers interviennent après que la cour suprême des Etats-Unis a dynamité, en juin 2022, l'arrêt Roe v. Wade, qui garantissait le droit à l'interruption volontaire de grossesse au niveau fédéral, remettant cette décision entre les mains de chaque Etat.
Si elle ne résulte pas directement de cette décision, la requête de la suspecte en Floride, enceinte d'environ huit mois aujourd'hui, en est "une conséquence", a reconnu l'avocat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alcaraz chute d'emblée à Miami
Carlos Alcaraz a été sorti vendredi dès son entrée en lice au 2e tour du Masters 1000 de Miami. Novak Djokovic s'est en revanche qualifié pour le 3e tour.
Le dernier match en session nocturne a réservé une grande surprise au Hard Rock Stadium, avec la défaite du no 3 mondial Carlos Alcaraz contre David Goffin (ATP 55) 5-7 6-4 6-3. "Bataille, bataille, bataille, sur chaque point": les encouragements de Juan Carlos Ferrero, entraîneur d'Alcaraz, face à la mauvaise soirée de son protégé n'y ont rien fait. Le Belge lui a été supérieur.
Vainqueur du tournoi floridien en 2022 et quart de finaliste la saison passée, Alcaraz aura donc connu un "doublé du soleil" décevant après son élimination en demi-finale à Indian Wells la semaine passée. Le tout alors qu'il faisait figure de favori de ces tournois en l'absence du no 1 mondial Jannik Sinner, suspendu par l'antidopage.
Novak Djokovic a lui tenu son rang et signé sa première victoire en simple depuis près de deux mois et un quart de finale de gala remporté contre Carlos Alcaraz à l'Open d'Australie. L'homme aux 24 tournois du Grand Chelem, six fois titré à Miami, a battu 6-0 7-6 (7/1) l'Australien Rinky Hijikata (ATP 86) et jouera au 3e tour contre l'Argentin Camilo Ugo Carabelli (ATP 65).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Expulsions de migrants: Trump dit ne pas avoir signé un décret
Le président américain Donald Trump a affirmé vendredi qu'il n'était pas le signataire de la déclaration d'utilisation d'une loi d'exception pour chasser du territoire des migrants accusés d'être des criminels. Les expulsions ont été suspendues par la justice.
Le juge James Boasberg, qui a pris cette mesure la semaine précédente, s'est inquiété vendredi lors de l'audience au tribunal fédéral de Washington des répercussions "incroyablement problématiques" du recours à cette loi.
La communauté américaine du renseignement a conclu dans un récent rapport que le gang vénézuélien Tren de Aragua, décrété "organisation terroriste" par Washington et officiellement visé par l'invocation de cette loi, n'était pas un instrument du régime du président Nicolás Maduro, selon le New York Times, citant des responsables ayant requis l'anonymat.
Donald Trump s'est déchaîné cette semaine contre le juge, allant jusqu'à appeler à sa révocation, suscitant un rare rappel à l'ordre du président de la cour suprême, John Roberts.
Rubio pointé
La déclaration présidentielle invoquant la loi de 1798 autorisant l'arrestation et l'expulsion des "ennemis étrangers", datée du 14 mars, a été publiée par la Maison-Blanche le lendemain, peu avant l'expulsion vers le Salvador de plus de 200 personnes présentées comme des membres présumés du gang.
Dans la version numérique publiée au registre fédéral, apparaît la signature de M. Trump. "Je ne sais pas quand elle a été signée parce que je ne l'ai pas fait. D'autres personnes s'en sont chargées", a-t-il affirmé vendredi, semblant l'attribuer à son secrétaire d'Etat. "Marco Rubio a fait du bon travail et voulait qu'ils s'en aillent et nous sommes d'accord avec cela".
"Pourquoi cette déclaration a-t-elle été signée dans l'obscurité vendredi [14 mars, ndlr] et ces gens embarqués à la hâte dans des avions?", s'est interrogé le juge lors de l'audience.
"Il me semble que la seule raison d'agir ainsi est que vous savez qu'il y a un problème et que vous voulez les faire sortir du pays avant que des recours judiciaires ne soient présentés", avait-il lancé au juriste représentant le gouvernement, Drew Ensign.
"Que se passe-t-il pour ceux qui ne sont pas membres de Tren de Aragua ou pas citoyens vénézuéliens? Comment peuvent-ils contester leur expulsion?", a souligné le magistrat.
"Les répercussions politiques sont incroyablement problématiques et préoccupantes", a-t-il ajouté, relevant que cette déclaration représentait "une utilisation sans précédent et étendue" d'une loi jusqu'alors invoquée exclusivement dans un contexte de conflit militaire, "lorsqu'il était indiscutable qu'il y avait une déclaration de guerre, et qui était l'ennemi".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
George Foreman, légende des poids lourds, est mort à 76 ans
Légende des poids lourds, George Foreman est mort à 76 ans, a annoncé sa famille vendredi.
L'ancien champion du monde était entré dans l'histoire de la boxe après sa défaite face à Mohamed Ali lors du mythique combat "Rumble in the Jungle" en 1974 à Kinshasa.
"C'est avec une grande tristesse que nous annonçons le décès de notre bien-aimé George Edward Foreman Sr, qui s'en est allé paisiblement le 21 mars 2025, entouré par ses proches", écrit sa famille dans un communiqué.
"Un humaniste, un olympien, un double champion du monde, il était grandement respecté. Il était une force du bien, un homme de discipline, de conviction, un protecteur de son héritage, qui s'est battu sans relâche pour préserver son nom, pour sa famille."
George Foreman, à la puissance surhumaine, était devenu une première fois champion du monde en 1973 en battant Joe Frazier, après avoir été champion olympique en 1968 à Mexico.
Foreman avait été battu par Mohamed Ali en 1974 à Kinshasa devant près de 100'000 spectateurs, terrassé par l'endurance, la tactique, et la roublardise d'avant-combat de son adversaire, qui s'était mis tout le public dans la poche. L'affrontement est resté comme l'un des plus grands combats de l'histoire, par son niveau et sa férocité.
Foreman avait raccroché les gants à 28 ans, entrant en religion, avant de remonter sur les rings dix ans plus tard pour un retour spectaculaire. Après deux échecs pour un nouveau titre, il était redevenu champion du monde en 1994 à 45 ans face à Michael Moorer, avant d'arrêter définitivement en 1997 à 48 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bencic lourdement battue par Svitolina à Miami
Belinda Bencic (WTA 45) a été lourdement battue au 2e tour du WTA 1000 de Miami. La St-Galloise s'est inclinée 6-1 6-2 devant l'Ukrainienne Elina Svitolina (WTA 22) vendredi en fin d'après-midi.
Ecrasée 6-1 6-1 par la championne d'Australie Madison Keys en quart de finale à Indian Wells, Belinda Bencic a donc subi un deuxième échec cuisant en moins de dix jours. Vendredi à Miami, elle n'a pourtant inscrit que 4 points de moins que son adversaire en retour de service dans une partie qui n'a duré que 72 minutes.
La championne olympique de Tokyo 2021 fut une proie beaucoup trop facile pour Elina Svitolina, laquelle a converti les cinq occasions qu'elle s'est offertes à la relance tout en effaçant les trois balles de break que son adversaire s'est procurées. Belinda Bencic n'a en outre gagné que 18% des points disputés derrière sa deuxième balle de service.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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