International
Bombardement ukrainien en Russie: le bilan monte à 14 morts
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Moscou a accusé l'armée ukrainienne d'une attaque qui a fait quatorze morts, dont deux enfants, et 108 blessés samedi à Belgorod, une ville russe proche de la frontière, au lendemain de frappes massives ayant tué 39 personnes en Ukraine.
"D'après les dernières informations, 12 adultes et deux enfants sont morts à Belgorod", a indiqué le ministère russe des Situations d'urgence sur Telegram, ajoutant que "108 personnes, dont quinze enfants, ont été blessées".
Des images mises en ligne montrent des voitures en feu, des immeubles aux vitres cassées, ainsi que des colonnes de fumée noire s'élevant de certains bâtiments.
Poutine "informé"
Le président russe Vladimir Poutine a été "informé" de cette attaque sur "des quartiers résidentiels" de la ville, a affirmé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, selon les agences russes.
L'Ukraine mène régulièrement des frappes en Russie, notamment dans les régions les plus proches de son territoire, mais leur bilan est généralement moins élevé.
Kiev n'a pas encore réagi aux accusations russes.
Plus tôt, le gouverneur de la région de Belgorod, Viatcheslav Gladkov, avait fait état de la mort de deux enfants lors d'une frappe ukrainienne dans la capitale régionale.
Les autorités n'ont pas précisé si ces victimes étaient comprises dans le bilan communiqué par le ministère, ou s'il s'agissait de frappes distinctes.
De son côté, le gouverneur de la région russe frontalière de Briansk, Alexandre Bogomaz, avait affirmé qu'une attaque ukrainienne avait tué "un enfant né en 2014".
Corps sortis des décombres
L'Ukraine comptait encore ses morts samedi, après des frappes intenses de la Russie la veille sur plusieurs villes, dont la capitale Kiev, qui ont tué 39 personnes et blessé des dizaines d'autres.
La vague d'attaques, l'une des plus violentes depuis le début de la guerre il y a bientôt deux ans, a ciblé des immeubles, une maternité ou encore un centre commercial mais aussi des infrastructures industrielles et militaires.
"A l'heure actuelle, on dénombre malheureusement 39 morts" sur l'ensemble du pays, a annoncé samedi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, ajoutant qu'une centaine de personnes avaient été blessées.
"Près de 120 villes et villages ont été touchés", a-t-il dit, précisant que les opérations de recherches continuaient.
Rien qu'à Kiev, au moins 16 personnes ont été tuées vendredi, d'après l'administration locale. Des corps continuaient d'être sortis des décombres samedi dans cette ville, où les attaques meurtrières s'étaient faites plus rares ces derniers mois.
Cette attaque a été "la plus importante en termes de victimes civiles", a affirmé samedi le maire de Kiev, Vitali Klitschko, qui a déclaré un "jour de deuil" pour le 1er janvier.
Pour le porte-parole de l'armée de l'air, Iouri Ignat, il s'agissait de "l'attaque de missiles la plus massive" du conflit, à l'exclusion des premiers jours de la guerre.
- Appel au Congrès -
Les frappes russes de vendredi ont provoqué de fermes condamnations internationales, le secrétaire général de l'ONU s'élevant contre des "attaques effroyables".
Ces attaques viennent clore une année difficile pour l'Ukraine, marquée par l'échec de sa contre-offensive estivale et une relance des forces de Moscou, qui ont revendiqué cette semaine la prise de la ville de Marinka sur le front est.
Des nouvelles d'autant plus inquiétantes pour Kiev que l'aide occidentale commence à s'essouffler, en Europe comme aux Etats-Unis, faisant entrevoir le risque d'un assèchement du flot de munitions et de fonds.
Samedi, Volodymyr Zelensky a lancé un nouvel appel à ses alliés, assurant qu'armer l'Ukraine est "un moyen de protéger des vies".
"Chaque manifestation de la terreur russe prouve qu'on ne peut pas attendre pour apporter de l'assistance à ceux qui combattent", a-t-il plaidé.
Des propos qui font écho à ceux de son homologue américain Joe Biden, qui avait appelé les élus de son pays à "agir sans plus attendre" pour porter secours à Kiev.
Washington vient de débloquer une nouvelle tranche de 250 millions de dollars, la dernière sans un nouveau vote au Congrès, qui refuse pour l'instant d'allouer davantage d'aide.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a lui mis son veto à une nouvelle enveloppe d'aide de l'UE, un problème que les Européens espèrent régler lors d'un sommet début février 2024.
La Pologne, pays membre de l'Otan, a elle dénoncé vendredi une "violation" de son espace aérien "par un missile de croisière", appelant la Russie à "cesser immédiatement de genre d'opération".
En novembre 2022, un missile ukrainien était tombé sur le village polonais de Przewodow, près de l'Ukraine, tuant deux civils et suscitant brièvement les craintes d'une extension du conflit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le pape fustige les "blessures ouvertes" laissées par les guerres
Le pape a dénoncé jeudi dans son homélie de Noël "l'absurdité" des discours belliqueux et les "blessures ouvertes" laissées par les guerres dans le monde, évoquant notamment la situation humanitaire à Gaza.
"Fragile est la chair des populations vulnérables, éprouvées par tant de guerres en cours ou terminées, laissant derrière elles des ruines et des blessures ouvertes", a-t-il déclaré lors d'une messe célébrée dans la basilique Saint-Pierre au Vatican.
Le pape américain a dit penser aux "tentes de Gaza, exposées depuis des semaines à la pluie, au vent et au froid", alors que des centaines de milliers de Gazaouis font face aux pluies hivernales dans des conditions extrêmes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Japon: après les attaques d'ours, leur viande dans des restaurants
Une viande "juteuse et savoureuse": Koji Suzuki peine à satisfaire les nombreux gourmets avec ses morceaux grillés d'ours. La viande provient d'ours abattus avec l'aval des autorités pour endiguer les attaques qui ont fait un nombre record de 13 morts en 2025.
L'établissement de M. Suzuki, situé dans l'agglomération vallonnée de Chichibu, près de Tokyo, sert également du cerf et du sanglier, mais la popularité de ses plats d'ours a explosé après des mois d'incidents largement médiatisés: plantigrades s'introduisant dans des maisons, rôdant près des écoles, semant la panique dans des supermarchés...
"Avec toutes ces informations sur les ours, le nombre de clients qui veulent en manger a beaucoup augmenté", explique Koji Suzuki, 71 ans, également chasseur. "Il vaut mieux utiliser sa viande dans un restaurant comme celui-ci plutôt que d'enterrer" sa carcasse, estime-t-il.
Son épouse Chieko, qui gère le restaurant, affirme refuser régulièrement des clients, mais reste discrète sur l'ampleur de la fréquentation supplémentaire.
Des milliers d'ours tués
En abattant les ours - qui peuvent peser une demi-tonne et courir plus vite qu'un homme - les autorités espèrent endiguer la menace dans certaines régions du nord du Japon.
Le nombre de victimes d'attaques décédées cette année est déjà deux fois supérieur au précédent record annuel, alors qu'il reste encore quatre mois d'ici à la fin de l'exercice nippon qui s'achèvera à la fin mars. Les scientifiques attribuent le phénomène à une population d'ours en forte croissance, une pénurie de nourriture et le dépeuplement humain de certaines régions.
Pour réagir, Tokyo a déployé des militaires et des unités de policiers anti-émeutes. Le nombre de 9100 ours tués sur l'année 2023-2024 a déjà été dépassé en six mois.
Parallèlement, les autorités espèrent que la viande pourra devenir une source de revenus pour les villages ruraux. "Il est important de transformer ces nuisibles en quelque chose de positif", a insisté le ministère japonais de l'agriculture plus tôt en décembre.
Les autorités locales recevront 100 millions d'euros pour contrôler les populations d'ours et promouvoir une consommation "durable".
Les ours bruns ne vivent qu'à Hokkaido, où leur population a doublé en l'espace de trois décennies pour dépasser 11'500 individus en 2023. Les ours noirs sont eux communs dans une grande partie du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tour de Ski, le feu d'artifice devenu feu de paille
Le Tour de Ski fête ses 20 ans...en format réduit: 2 sites, 6 étapes et un passage intégral en Italie. De cinq destinations à travers l’Europe, le circuit se concentre aujourd’hui sur deux vallées.
Lancé à l’hiver 2006/07, le Tour de Ski imaginé par Jürg Capol et Vegard Ulvang s’est imposé comme un rendez-vous incontournable du calendrier. La semaine la plus dure de l’année, le test ultime de polyvalence et de résistance. En Suisse, elle a gagné une aura particulière grâce aux quatre victoires de Dario Cologna.
Pendant des années, le Tour de Ski a sillonné l'Europe avec plusieurs étapes, des sprints en ville et toujours, pour finir, la montée vers l’Alpe Cermis. Une rampe d’abord décriée, devenue ensuite l’emblème de la compétition.
Répétition olympique
C’est ce final spectaculaire qui maintient encore le Tour en vie. Pour son édition anniversaire, le format est réduit: seulement deux étapes, Dobbiaco et le Val di Fiemme, à une centaine de kilomètres. L’Italie sauve la saison de fond avec six courses, alors que le sport souffre du coût logistique, de la pression du calendrier autour des Fêtes et du manque d’infrastructures d’accueil. Autant de raisons qui ont poussé plusieurs organisateurs à renoncer, y compris Swiss-Ski, pourtant riche d’une longue tradition et d’un vrai engouement pour la discipline.
Cette saison, le Tour de Ski dispose pourtant d’un atout: le sprint dans le Val di Fiemme se dispute sur la nouvelle piste olympique. De quoi inciter les meilleurs à faire le déplacement pour reconnaître une dernière fois le tracé. Parmi les grandes figures du sprint, seule Jonna Sundling, rivale directe de Nadine Fähndrich, a choisi de faire l’impasse pour privilégier l’entraînement.
Klaebo vise un 5e titre
Derrière Fähndrich, Anja Weber a franchi un cap. Quarts, demi-finales, une 10e place en sprint à Davos, un 16e rang sur le 10 km skating: la Zurichoise aligne les prestations solides et marque des points à chaque course. Elle occupe actuellement la 13e place du classement général.
Chez les messieurs, Valerio Grond et Janik Riebli ont montré de belles choses en sprint, mais peinent à trouver de la régularité. Sur les longues distances, l’équipe souffre davantage. Seul Beda Klee évolue actuellement à un niveau olympique, mais il a décidé de renoncer à ce Tour de Ski. Le Norvégien Johannes Hösflot Klaebo n'a qu'un objectif: un cinquième succès qui ferait de lui le seul recordman de l'épreuve. Jusqu'ici, il doit partager les honneurs avec Dario Cologna.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le président russe salue l'"amitié invincible" avec Pyongyang
Le président russe Vladimir Poutine a fait l'éloge d'une "amitié invincible" entre Russie et Corée du Nord dans une lettre de voeux adressée au dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, a rapporté jeudi KCNA. Les deux pays se sont rapprochés sur fond de guerre en Ukraine.
Le président russe affirme que la participation de soldats nord-coréens à l'effort de guerre de Moscou en Ukraine prouve la "fraternité militante" des deux Etats, dans cette lettre reçue la semaine dernière par Pyongyang.
"L'entrée héroïque des soldats de l'armée populaire coréenne dans les combats pour libérer la région de Koursk des occupants et les activités ultérieures des ingénieurs coréens sur le sol russe ont clairement prouvé cette amitié invincible", a écrit M. Poutine, selon l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.
Les liens solides entre Pyongyang et Moscou "contribueront à l'établissement d'un ordre juste dans un monde multipolaire", a abondé le président russe.
Soldats nord-coréens au front
La Corée du Nord a activement participé à l'effort de guerre de la Russie en lui fournissant des soldats pour repousser la percée ukrainienne dans la région de Koursk.
Les deux pays sont liés par un accord de défense mutuelle signé en 2024 à l'occasion d'une visite de Vladimir Poutine en Corée du Nord.
Les services de renseignement sud-coréens estiment qu'environ 10'000 soldats du Nord ont participé à la guerre contre l'Ukraine et que 2000 d'entre eux sont morts.
La Corée du Nord n'a confirmé qu'en avril avoir déployé des troupes pour soutenir la guerre menée par la Russie en Ukraine et a admis que ses soldats avaient été tués au combat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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