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International

Tour de France: 1re étape aujourd'hui en Italie

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Tadej Pogacar sera le grand favori du Tour de France (© KEYSTONE/EPA/KIM LUDBROOK)

Le 111e Tour de France débute aujourd'hui en Italie. La 1re étape, au profil accidenté, mènera les coureurs de Florence à Rimini sur 206 km. La course restera durant trois jours sur le sol italien.

Le favori logique de l'épreuve est le Slovène Tadej Pogacar, épaulé par une équipe très forte et qui a remporté le Tour d'Italie en mai avec une facilité déconcertante. Double vainqueur de la Grande Boucle en 2020 et 2021, il avait subi la loi du Danois Jonas Vingegaard en 2022 et 2023.

Le tenant du titre sera bien au départ à Florence, mais son état de forme est soumis à des interrogations. Vingegaard a en effet été victime d'une terrible chute en avril lors du Tour du Pays basque et n'est plus apparu en compétition depuis. Et l'un de ses principaux lieutenants, l'Américain Sepp Kuss, a dû déclarer forfait.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Suisse - Angleterre: une autre série noire à briser

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Paul Wolfisberg (à droite) enlace Gianpietro Zappa après la victoire contre l'Angleterre du 30 mai 1981. (© KEYSTONE/STR)

Après avoir attendu 31 ans pour s'imposer devant l’Italie, la Suisse brisera-t-elle une nouvelle série noire ? Elle rencontrera samedi à Düsseldorf l’Angleterre qu’elle n’a plus battue depuis... 43 ans.

Le 30 mai 1981 à Bâle dans le "vieux" stade St. Jacques, la sélection alors dirigée par Paul Wolfisberg s’était imposée 2-1 devant les Three Lions sur des réussites avant la demi-heure de Fredy Scheiwiler et de Claudio Sulser. Cette victoire, aussi belle fusse-t-elle, n’avait servi à rien. Les Suisses ne s’étaient pas qualifiés pour la Coupe du monde en Espagne l’année suivante.

Trois rencontres mémorables

Trois des quatorze rencontres disputées lors de ces 43 dernières années restent dans les mémoires. Il y a eu, bien sûr, le 1-1 de Wembley pour le match d’ouverture de l’Euro 1996 avec le penalty transformé par Kubilay Türkyilmaz qui avait laissé penser pendant trois jours que la Suisse d’Artur Jorge pouvait nourrir certaines ambitions dans ce tournoi. Huit ans plus tard lors de l’Euro au Portugal, la Suisse s’inclinait 3-0 à Coimbra sur un doublé de Wayne Rooney, qui avait tout juste 18 ans, et sur une réussite de Steven Gerrard. Ce dernier avait été lors de cette rencontre la "victime" du geste le plus stupide de la carrière d’Alex Frei, ce crachat dans la nuque que l’ASF avait nié avant que les images de la télévision alémanique ne pulvérisent cette défense presque anachronique.

Il y a eu, enfin, le 2-2 du 4 juin 2011 avec le doublé de Tranquillo Barnetta dans une rencontre qui fut la première de Granit Xhaka sous les couleurs de l’équipe de Suisse. 128 ont suivi depuis ce samedi ensoleillé de Wembley pour le Bâlois. La 130e peut lui permettre de forger encore davantage sa légende, de devenir le premier capitaine à hisser l’équipe de Suisse dans le dernier carré d’une grande compétition.

Jude Bellingham le sauveur

La tâche qui attend Granit Xhaka et ses coéquipiers s’annonce particulièrement ardue. A défaut de convaincre vraiment par son collectif, l’Angleterre peut s’appuyer sur des individualités marquantes. Dimanche à Gelsenkirchen, Jude Bellingham, d’une inspiration presque géniale, a sauvé les Three Lions du naufrage avec son égalisation au bout du temps additionnel face à la Slovaquie. "A 30 secondes près, on était de retour à la maison", sourit le joueur du Real Madrid. Dans les prolongations, c’est Harry Kane qui a qualifié les siens grâce à son... 65e but en sélection. A chaque instant, les deux hommes peuvent faire basculer le sort d’une rencontre

L’autre force des Anglais est sa défense de fer. Sous la férule de Gary Southgate, l’Angleterre est vraiment devenue une machine à défendre. Lors de l’Euro 2021, Jordan Pickford n’avait encaissé que deux buts en sept matches avant d’aligner trois clean-sheets en cinq rencontres lors de la Coupe du monde 2022. Et dans cet Euro, le portier d’Everton n’a été battu qu’à deux reprises en quatre rencontres. Malgré une ligne de quatre devant lui qui se permet parfois quelques oublis à l’image des deux Citizens Kyle Walker et John Stones, la défense anglaise donne souvent l'impression d'être invulnérable. Aux Suisses de trouver la faille face à une équipe qui joue sans doute moins bien qu’elle au football mais qui est si difficile à battre !

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Sydney McLaughlin-Levrone bat le record du monde du 400 m haies

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Sydney McLaughlin-Levrone: un cinquième record du monde sur le 400 m haies. (© KEYSTONE/AP/Ashley Landis)

La reine du 400 m haies Sydney McLaughlin-Levrone a conclu les sélections olympiques américaines avec un nouveau record du monde. Elle a signé un chrono de 50''65 à Eugene.

Dernière épreuve du programme après dix jours de compétition, le 400 m haies féminin a vu la démonstration de McLaughlin-Levrone. Elle a rappelé après une année 2023 difficile qu'elle serait bien la favorite pour sa succession aux Jeux olympiques de Paris dans un mois (26 juillet - 11 août).

Sydney McLaughlin-Levrone, qui s'entraîne à Los Angeles avec l'historique coach Bob Kersee, avait déjà participé aux Jeux de Rio à 17 ans avant de ramener deux médailles d'or de Tokyo en 2021 (400 m haies et 4 x 400 m). Absente aux Mondiaux de Budapest l'an passé à cause d'une blessure, McLaughlin-Levrone n'avait pas couru un seul 400 m haies en 2023, malgré quelques 400 m probants en meeting.

Cinquième record

Cette année, après une sortie de réglage fin mai puis une série et une demie sans pousser cette semaine, l'Américaine de 24 ans a tout donné en finale pour son cinquième record du monde en trois ans, le quatrième dans l'écrin du Hayward field.

Elle avait battu le record une première fois en juin 2021 à Eugene pour les sélections olympiques déjà, en 51''90 avant d'améliorer sa marque à Tokyo deux mois plus tard (51''46), puis en juin 2022 encore à Eugene (51''41) et enfin en juillet 2022, toujours dans l'Oregon, pour devenir championne du monde (50''68).

A 24 ans, sa marge sur la concurrence semble immense, même si la championne du monde néerlandaise Femke Bol s'est rapprochée l'an passé (51''45), et promet de lui livrer un duel intense à Paris. Sa performance d'exception a presque éclipsé l'énorme chrono de son homologue Rai Benjamin, vainqueur de la finale masculine en 46''46, meilleure performance mondiale de la saison et cinquième chrono de l'histoire.

Benjamin aura une revanche à prendre à Paris après sa deuxième place lors d'un duel homérique avec le Norvégien Karsten Warholm aux Jeux de Tokyo en 2021. Le Brésilien Alison dos Santos s'est désormais joint à la mêlée pour l'une des courses les plus attendues des JO.

Masai Russell (24 ans) a, pour sa part, dominé la finale du 100 m haies en 12''25, meilleure performance mondiale de la saison, faisant d'elle la quatrième athlète la plus rapide de l'histoire de la discipline, et une sérieuse prétendante au podium olympique à Paris. Russell sera accompagnée aux Jeux par Alaysha Johnson (12''31, son record) et Grace Stark (12''31 également, record).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Simone Biles verra Paris

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Une démonstration au sol pour Simone Biles. (© KEYSTONE/AP/Tony Gutierrez)

Simone Biles s'est qualifiée pour les Jeux olympiques de Paris (26 juillet-11 août). Elle a remporté les sélections américaines à Minneapolis.

Dans l'ambiance électrique de Minneapolis, la quadruple Championne olympique a remporté les sélections américaines, s'assurant ainsi d'une place par équipes et en individuel à Paris, à l'issue d'une nouvelle performance exceptionnelle au sol.

"Je savais que je n'étais pas finie après Tokyo", a soufflé au micro de NBC la gymnaste de 27 ans attendue comme l'une des grandes stars des Jeux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Semaine cruciale en France après l'arrivée en tête du RN

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Marine Le Pen et Jordan Bardella ont tous les deux appelé à une majorité absolue. (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

La France entre lundi dans une semaine de tractations politiques au lendemain du premier tour de législatives qui a vu l'extrême droite arriver largement en tête et aux "portes du pouvoir". Avec 33,2-33,5% des voix, le RN et ses alliés obtiennent leur meilleur score.

Ils devancent le Nouveau Front populaire réunissant la gauche, qui a obtenu entre 28,1 et 28,5% des suffrages, selon les dernières estimations, loin devant le camp du président français Emmanuel Macron (21-22,1%).

Le Rassemblement National (RN) a demandé aux Français de lui donner une majorité absolue au deuxième tour. Le second tour des législatives de dimanche prochain sera "l'un des plus déterminants de toute l'histoire de la Ve République" française, fondée en 1958, a lancé le jeune président du RN, Jordan Bardella, 28 ans.

Les Français "ont rendu un verdict sans appel", s'est-il réjoui dimanche soir. Trente-neuf députés RN ont été élus dès le premier tour, contre 32 pour le Nouveau Front populaire.

Majorité absolue

"Il nous faut une majorité absolue", a lancé de son côté la cheffe de l'extrême droite française, Marine Le Pen, présidente des députés RN, élue dès le premier tour dans le Nord.

Si Jordan Bardella devenait premier ministre, ce serait la première fois qu'un gouvernement issu de l'extrême droite dirigerait la France depuis la seconde guerre mondiale, au cours de laquelle un régime collaborationniste non élu avait été mis en place.

Le père de Marine Le Pen, Jean-Marie Le Pen, avait cofondé en 1972, avec deux anciens Waffen-SS, le Front national (devenu RN en 2018). M. Le Pen avait alors choisi le même emblème que celui du parti néo-fasciste italien: une flamme tricolore.

Obsédé par l'immigration et les juifs, Jean-Marie Le Pen a été condamné plusieurs fois pour ses dérapages, qualifiant notamment les chambres à gaz de "point de détail de l'histoire".

Alors que le traditionnel "front républicain" en France contre le RN apparaît moins systématique que par le passé, le parti de Jordan Bardella et Marine Le Pen est en mesure d'obtenir une forte majorité relative voire une majorité absolue dimanche prochain.

Cohabitation inédite

Mais le scénario d'une assemblée nationale bloquée, sans alliances majoritaires envisageables entre les trois blocs en présence, reste aussi une possibilité, un scénario qui plongerait la France dans l'inconnu.

Le pari d'Emmanuel Macron de dissoudre l'assemblée nationale au soir de la déroute de ses candidats aux élections européennes du 9 juin, est, dans tous les cas, définitivement perdu.

Visage d'apparence lisse incarnant un parti lepéniste dédiabolisé, Jordan Bardella, qui aspire à entrer à Matignon, a promis d'être "un premier ministre de cohabitation, respectueux de la constitution et de la fonction du président de la République, mais intransigeant" sur son projet de gouvernement.

Il s'agirait d'une cohabitation inédite entre Emmanuel Macron, président pro-européen, et un gouvernement beaucoup plus hostile à l'Union européenne, qui pourrait faire des étincelles au sujet des prérogatives des deux têtes de l'exécutif, notamment en matière de diplomatie et défense.

RN "aux portes du pouvoir"

"L'extrême droite est aux portes du pouvoir", a alerté le premier ministre Gabriel Attal, appelant à "empêcher le Rassemblement national d'avoir une majorité absolue".

"Nous avons sept jours pour éviter à la France une catastrophe", a lancé de son côté le député européen de gauche Raphaël Glucksmann, qui a appelé tous les candidats arrivés en troisième position à se désister.

Une centaine d'organisations en France, dont des associations et des syndicats, ont appelé dimanche soir à voter contre le RN au second tour. "Pas une voix ne doit manquer à la défaite du RN", ont estimé les signataires de cet appel, rédigé à l'initiative de la Ligue des droits de l'homme (LDH).

Interrogé séparément par l'AFP, SOS Racisme a regretté une tendance à la dédiabolisation du RN et du FN depuis une vingtaine d'années.

"Progressivement il a été expliqué qu'il ne fallait pas diaboliser le FN, évoquer le racisme et les racines de ce parti, parce qu'on nous disait que cette façon de lutter ne permettait pas de contrer le RN", a déclaré Dominique Sopo, président de SOS Racisme. "Au bout de plus de 20 ans de cette doxa, on voit que cela ne marche pas: le RN a vu ses scores exploser".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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