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Tiger Woods en difficulté à L.A.

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Tiger Woods a souffert jeudi pour son retour sur le PGA Tour (© KEYSTONE/AP/Ryan Kang)

Tiger Woods a vécu une reprise mouvementée au premier tour de sa première compétition en 2024 jeudi à Los Angeles, où il a attiré tous les regards.

L'Américain a rendu une carte de 72, un coup au-dessus du par, à huit coups du leader provisoire Patrick Cantlay.

Hôte du Genesis Invitational, tournoi du circuit PGA, Tiger Woods a attaqué sa partie et son année 2024 à 09h25 locales, au coeur d'une délicieuse matinée californienne hivernale. Dans un ensemble crème siglé de son nouvel équipementier, l'Américain de 48 ans a aimanté la foule, qui a suivi son pas assuré sur 18 trous, rassurant pour son état de santé après son opération d'une cheville l'an passé.

La légende aux 15 titres majeurs a attaqué sa journée dans le très chic Riviera Country Club d'un birdie salué par les spectateurs, mais l'a terminée dans les arbres au trou no 18. Woods a réussi à s'en sortir d'un joli coup de patte entre deux troncs, pour un simple bogey et une carte finale moyenne de 72.

"J'ai fait beaucoup de bonnes choses et beaucoup de n'importe quoi, l'un ou l'autre. J'ai enchaîné les birdies et les bogeys, je n'ai pas su être régulier", a-t-il commenté. "J'étais stressé. La façon dont je joue m'est importante et je pouvais sentir la tension monter (...) j'espère pouvoir me rattraper demain (vendredi)."

L'Américain, 49e au classement après le premier tour, doit terminer dans les 50 premiers (sur 70) ou à moins de 10 coups de la tête à l'issue de la deuxième journée vendredi pour passer le cut et défendre ses chances ce week-end.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Opérations humanitaires de l'ONU: personnel réduit de 20% (lettre)

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Le bureau des opérations humanitaires de l'ONU va devoir réduire la voilure de près de 20% (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

Le Bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) qui emploie plus de 2000 personnes à travers le monde va réduire son personnel de 20% après les coupes "brutales" de financements, a annoncé son chef dans une lettre aux employés.

Ocha va notamment "réduire sa présence et ses opérations" au Cameroun, en Colombie, en Erythrée, en Irak, en Libye, au Nigeria, au Pakistan, en Turquie, et au Zimbabwe, a précisé Tom Fletcher dans ce courrier envoyé jeudi dont des extraits ont été publiés sur le site internet du Bureau.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des centaines de Chinois combattent en Ukraine, selon Zelensky

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Le président ukrainien a demandé aux alliés 10 nouveaux exemplaires du système de défense anti-aérienne Patriot, de fabrication américaine, devant lequel il posait en juin 2014 (Archives). (© KEYSTONE/DPA/JENS BÜTTNER)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé vendredi que "plusieurs centaines" de ressortissants chinois combattaient pour la Russie en Ukraine, quelques jours après avoir accusé Moscou d'entraîner Pékin dans cette guerre.

"A l'heure actuelle, nous savons qu'au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d'occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s'exprimait par vidéo lors d'une réunion des chefs militaires des pays alliés de l'Ukraine à Bruxelles.

Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".

Plus tôt cette semaine, Volodymyr Zelensky avait annoncé la capture de deux citoyens chinois qui, selon lui, combattaient dans les rangs russes en Ukraine.

Il avait ensuite estimé leur nombre à 155, tout en soulignant qu'ils étaient sans doute "bien plus".

Volodymyr Zelensky avait accusé Pékin de savoir que ses citoyens étaient recrutés par l'armée russe, propos jugés "irresponsables" par la Chine.

Volodymyr Zelensky avait aussi estimé que les autorités russes "entraînent maintenant la Chine dans cette guerre".

Le Kremlin avait répondu que le président ukrainien avait "tort" de dire cela.

Patriot

Vendredi, Volodymyr Zelensky a également demandé à ses alliés de lui fournir dix systèmes de défense aérienne Patriot supplémentaires, de fabrication américaine.

Les chefs militaires sont à Bruxelles pour une réunion dite "format Ramstein", qui comprend les principaux alliés de l'Ukraine.

"Je vous demande de vous concentrer avant tout sur la défense aérienne de l'Ukraine. Nous en avons vraiment besoin", a-t-il déclaré.

Il s'exprimait depuis sa ville natale, Kryvyï Rig (centre), où un missile russe a tué la semaine dernière 19 personnes, dont neuf enfants.

Le dirigeant ukrainien a aussi appelé les Occidentaux à avancer dans la création d'un contingent militaire destiné à être déployé en Ukraine, en cas d'arrêt des combats, pour dissuader la Russie d'attaquer de nouveau son voisin.

"Nous devons définir des détails clairs concernant la taille, la structure, le déploiement, la logistique, le soutien, l'équipement et l'armement de ce contingent de sécurité en Ukraine", a expliqué M. Zelensky.

La Russie avait balayé cette option début mars, disant qu'"aucun compromis possible" n'était possible à propos du déploiement de troupes européennes de maintien de la paix en Ukraine.

Le président américain Donald Trump dit vouloir mettre fin à la guerre qui fait rage depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie il y a trois ans.

Volodymyr Zelensky a reproché vendredi à la Russie d'avoir refusé "il y a exactement un mois" une proposition américaine de cessez-le-feu inconditionnel et complet.

Donald Trump, malgré son rapprochement avec la Russie, n'a pu obtenir de Vladimir Poutine que des accords bien plus limités.

En mars, la Maison Blanche avait annoncé que Kiev et Moscou avaient accepté un moratoire des frappes sur les infrastructures énergétiques. Depuis, les deux pays s'accusent de le violer.

Un accord en vue d'une trêve en mer Noire, plutôt flou et à la portée limitée, avait aussi été annoncé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Afrique du Sud: un hélicoptère s'écrase à cause d'un manchot à bord

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Près de 2000 manchots vivent surv Bird Island (Photo prétexte). (© KEYSTONE/AP Benoît Gineste via Nature)

Un manchot transporté dans une boîte en carton non arrimée a provoqué le crash d'un hélicoptère sur Bird Island, minuscule îlot au large de la côte sud-est de l'Afrique du Sud, sans faire de victime, a indiqué la direction de l'aviation civile.

Le 19 janvier, le petit hélicoptère transportant quatre personnes effectuait un survol de l'île abritant près de 2000 manchots du Cap, espèce en voie de disparition.

Après avoir atterri, un "spécialiste" à bord de l'hélicoptère a demandé à "transporter l'un des manchots" vers la grande ville côtière de Gqeberha (ex-Port Elizabeth), selon le rapport d'incident publié mercredi par la direction sud-africaine de l'aviation civile.

"Le passager assis sur le siège avant gauche a placé la boîte en carton contenant le manchot sur ses genoux et l'a tenue avec ses mains", décrit-il.

Lors du décollage, à environ 15 mètres au-dessus du sol, la boîte en carton "a glissé vers la droite et sur le manche cyclique du pilote", entraînant le basculement de l'hélicoptère vers la droite et la collision des pales avec le sol.

Si l'hélicoptère a été sérieusement endommagé, aucun des passagers n'a été blessé et le volatile est "également indemne", précise le rapport.

Guerre commerciale plaisantée

Des photographies jointes au rapport montrent l'hélicoptère blanc gisant sur l'îlot, le cockpit détruit, ainsi que l'oiseau dans une boîte en carton aux airs de nid de fortune.

Sur les réseaux sociaux, des utilisateurs ont plaisanté de l'incident en le reliant aux taxes douanières annoncées par le président américain Donald Trump, qui visaient notamment des îles volcaniques isolées près de l'Antarctique habitées seulement par des manchots et des phoques, à savoir les îles Heard-et-MacDonald, appartenant à l'Autstralie.

"Cette guerre commerciale dégénère rapidement", a tweeté l'un. "Trump avait raison à 100 %. Ces manchots sont un problème pour la sécurité mondiale", a plaisanté un autre.

Le rapport d'incident conclut que la décision du pilote n'était pas conforme aux règlements de vol car "l'absence de confinement sécurisé du manchot a créé une situation dangereuse".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Bolsonaro hospitalisé pour de fortes douleurs à l'abdomen

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L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été héliporté à l'hôpital, souffrant à l'abdomen (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Luis Nova)

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été hospitalisé vendredi à Natal (nord-est) après avoir ressenti de "fortes douleurs" à l'abdomen héritées d'une attaque à l'arme blanche subie en 2018.

L'ancien chef d'Etat d'extrême droite (2019-2022) avait débuté une tournée pour mobiliser ses partisans dans cette région pauvre du Brésil, deux semaines après avoir été renvoyé en procès pour tentative présumée de coup d'Etat.

Déjà inéligible jusqu'en 2030, il risque une peine cumulée de plus de quarante ans de prison mais espère encore concourir au scrutin de 2026.

Vêtu d'un maillot jaune et vert de l'équipe nationale brésilienne de football, M. Bolsonaro, 70 ans, est sorti d'une ambulance sur un brancard, une perfusion à un bras, selon des images d'un photographe de l'AFP.

Il est ensuite entré dans une clinique privée à Natal, capitale de l'Etat du Rio Grande do Norte.

Une porte-parole du Parti libéral (PL), sa formation politique, a expliqué à l'AFP qu'il avait été transféré en hélicoptère depuis la ville de Santa Cruz, à une centaine de kilomètres de là, où il avait commencé à être soigné dans un autre hôpital.

"Il a eu un malaise, lié à l'attentat à l'arme blanche de 2018", a expliqué cette porte-parole.

Cette année-là, l'ancien capitaine de l'armée avait été poignardé par un déséquilibré en plein bain de foule, à quelques semaines de l'élection présidentielle qu'il a finalement remportée.

Les séquelles ont valu à M. Bolsonaro plusieurs hospitalisations ces dernières années. Lors de certains de ces passages à l'hôpital, il a subi des interventions chirurgicales.

"Douleurs insupportables"

Le sénateur Rogerio Marinho, ancien ministre du gouvernement Bolsonaro et actuellement sénateur élu du Rio Grande do Norte, avait publié plus tôt dans la matinée sur les réseaux sociaux une vidéo montrant l'ex-chef d'Etat au contact de sympathisants.

"Quand nous sommes arrivés dans la ville de Tangara, il a commencé à ressentir des douleurs insupportables et nous avons mis fin au programme prévu", a-t-il raconté.

"Nous l'avons amené à l'hôpital régional de Santa Cruz, où il a été très bien soigné (...), puis un hélicoptère s'est posé dans un terrain de football de la ville pour l'amener à Natal", a-t-il ajouté.

Selon lui, l'hélicoptère a été mis à disposition par les autorités locales du Rio Grande do Norte.

"Espérons qu'il ne s'agit que d'un incident mineur et qu'il n'y aura pas besoin d'une intervention chirurgicale", a poursuivi M. Marinho, appelant à "prier" pour l'ex-président.

Fin mars, la Cour suprême a décidé d'ouvrir un procès contre M. Bolsonaro pour une tentative présumée de coup d'Etat qu'il aurait ourdie pour conjurer sa défaite électorale de 2022 face au président actuel de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva.

Le parquet l'accuse d'être le "leader d'une organisation criminelle" ayant conspiré de longue date pour "garantir son maintien au pouvoir".

L'ex-président a toujours clamé son innocence, se disant victime de "persécution" politique.

Déclaré inéligible jusqu'en 2030 pour ses attaques sans preuves sur la fiabilité du système d'urnes électroniques brésilien, il espère encore faire annuler ou réduire cette condamnation pour se présenter à la présidentielle de 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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