International
Royaume-Uni: Penny Mordaunt lance la course à Downing Street
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La ministre conservatrice Penny Mordaunt a été la première vendredi à officialiser sa candidature pour succéder à Liz Truss. Elle lance ainsi la course à Downing Street pour laquelle se renforce l'hypothèse, il y a peu inimaginable, d'un retour de Boris Johnson.
Au lendemain de la démission de la Première ministre, après seulement 44 jours au pouvoir, trois noms ont émergé pour cette campagne-éclair au sein du Parti conservateur: l'actuelle ministre des relations avec le Parlement Penny Mordaunt, Rishi Sunak, l'ex-ministre des Finances qui avait perdu début septembre face à Liz Truss, et l'ex-Premier ministre Boris Johnson.
"Je suis candidate pour être la cheffe du parti conservateur et votre Première ministre, pour unir notre pays, réaliser nos engagements et remporter les prochaines élections législatives", a écrit sur Twitter la députée de 49 ans, mettant en avant "l'intérêt national".
Ancienne ministre de la Défense charismatique, Penny Mordaunt, 49 ans, avait créé la surprise l'été dernier en arrivant en troisième position dans la campagne qui avait suivi la démission de Boris Johnson.
Wallace soutient Johnson
Dans cette semaine rocambolesque que traverse le Royaume-Uni, ce dernier semble se positionner: trois mois après sa démission due à une succession de scandales, sa candidature prend corps - et suscite une opposition féroce - à mesure que les députés dévoilent qui ils soutiendront.
Populaire et respecté auprès de la base du parti, le ministre de la Défense Ben Wallace a indiqué qu'il penchait pour son ancien patron. "Il reste encore plusieurs jours, nous verrons ce qui se passe", a-t-il tempéré.
Mais selon un sondage YouGov, 52% des Britanniques seraient mécontents de voir "Boris" revenir. Seuls 27% souhaitent ce retour, mais une majorité des électeurs conservateurs de 2019, signe de sa popularité persistante dans l'électorat de la majorité malgré les scandales qui ont entraîné sa chute.
Chasse aux parrainages
Les prétendants sont à la chasse aux soutiens pour atteindre le seuil des 100 parrainages requis, sur 357 députés, d'ici lundi en début d'après-midi.
Ensuite, les députés devront soit se mettre d'accord sur deux noms que les 170'000 adhérents du parti devront départager par un vote en ligne d'ici au 28 octobre, soit sur le nom d'une seule personne qui entrerait alors immédiatement à Downing Street.
Selon le site Guido Fawkes, qui suit de très près les soubresauts de la course, Rishi Sunak est pour l'heure en tête avec 81 parrainages devant Boris Johnson (62) et Penny Mordaunt (21).
Grave crise
Le futur chef du gouvernement sera le cinquième depuis le référendum du Brexit en 2016 et le troisième en deux mois. Il ou elle prendra la tête d'un parti miné par les divisions face à une opposition au plus haut dans les sondages, mais surtout d'un pays plongé dans une grave crise du coût de la vie.
L'inflation dépasse les 10%, au plus haut depuis 40 ans, dans un contexte social tendu au Royaume-Uni où les grèves se sont multipliées ces derniers mois, notamment dans les transports.
L'opposition réclame des élections
Confortée par des sondages qui lui donnent une avance inédite depuis un quart de siècle, l'opposition travailliste n'a de cesse de réclamer la tenue immédiate d'élections anticipées, sans attendre fin 2025-début 2025 comme prévu. Mais la majorité, après 12 ans de pouvoir, se refuse à une telle hypothèse et cherche un successeur en interne.
Les proches de Boris Johnson, actuellement en vacances dans les Caraïbes, mettent en avant la légitimité qu'il tire de son triomphe électoral fin 2019.
Ses opposants rappellent la succession de mensonges et d'affaires embarrassantes des trois ans de son mandat, qui ont laissé des traces profondes. Certains députés conservateurs avertissent même qu'ils démissionneront si Johnson revient.
Vu par le camp Johnson comme un traître qui a précipité sa chute, Rishi Sunak était le candidat préféré des députés conservateurs l'été dernier, avant d'être finalement écarté au profit de Liz Truss par les adhérents.
Crise de confiance
Arrivée le 6 septembre à son poste, cette dernière reste à la tête du gouvernement en attendant la nomination de son successeur. Elle a été emportée par une profonde crise de confiance après des revirements pour calmer la tempête sur les marchés déclenchée par les annonces budgétaires de son gouvernement.
Troisième femme à avoir dirigé le gouvernement britannique, elle a battu des records d'impopularité et décroche le titre peu enviable de Première ministre la plus éphémère que le Royaume-Uni ait jamais connu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
NBA: Les Knicks matent les Cavaliers pour Noël
Après avoir connu 2 défaites lors de leurs 3 dernières rencontres de NBA, les New York Knicks ont pris le dessus sur les Cleveland Cavaliers 126-124. Jalen Brunson, auteur de 34 points, a été décisif.
Au terme d'une rencontre très serrée, les New-Yorkais sont parvenus à remonter un écart qui est monté jusqu'à 16 point en faveur de Cleveland en début de dernière période. Le meneur des Knicks Jalen Brunson a une nouvelle fois été très prolifique avec 34 points inscrits, le même total que Donovan Mitchell côté Cavaliers.
Solidement arrimés à la 2e place du classement de Conférence Est grâce à leurs 21 victoires en 30 matches, les New-Yorkais sont néanmoins toujours surclassés par les Detroit Pistons, qui comptent eux 24 succès. A la mi-décembre, les Knicks ont remporté la Coupe NBA face aux San Antonio Spurs, également 2e du classement de Conférence Ouest.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Zelensky a parlé avec les émissaires américains Witkoff et Kushner
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé jeudi avoir discuté au téléphone avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, après avoir révélé la veille les détails du nouveau plan américain visant à mettre fin à la guerre avec la Russie.
"Nous avons discuté de certains détails importants du travail en cours. Il existe de bonnes idées qui peuvent contribuer à un résultat commun et à une paix durable", a indiqué M. Zelensky sur Facebook.
Il a affirmé avoir eu une "très bonne conversation" avec les émissaires américains et les a remerciés pour "leur approche constructive, leur travail intensif et leurs paroles aimables".
"J'espère que les ententes conclues aujourd'hui à l'occasion de Noël et les idées dont nous avons discuté s'avéreront utiles", a poursuivi M. Zelensky.
Le président ukrainien avait révélé mercredi la nouvelle mouture du plan américain visant à mettre fin à la guerre entre la Russie et l'Ukraine, négociée depuis des semaines entre Washington et Kiev.
Ce texte prévoit un gel du front aux lignes actuelles tout en n'offrant aucune solution immédiate sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie, qui représentent plus de 19% de l'Ukraine.
Contrairement à la version originale, rédigée par les Américains, de ce document, la nouvelle mouture laisse de côté deux exigences majeures de Moscou: un retrait des forces ukrainiennes des territoires du Donbass encore sous leur contrôle et un engagement juridiquement contraignant de Kiev à ne pas adhérer à l'Otan.
Pour cette raison, un accord de Moscou à cette nouvelle version semble improbable. Interrogé à ce sujet mercredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a indiqué que Moscou était en train de "formuler sa position" et refusé d'en commenter les détails.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Cadeaux: 900'000 annonces sur les sites de revente en France
Au lendemain du réveillon de Noël et des ouvertures de cadeaux, près de 900'000 annonces de revente ont été publiées en France, pulvérisant les scores de l'année dernière, selon les chiffres communiqués par les plateformes eBay et Rakuten.
"eBay observe déjà 500'000 nouvelles annonces en ligne le 25 décembre et prévoit une augmentation du nombre d'annonces de 400% par rapport à la moyenne, dans les jours suivant Noël", a indiqué dans un communiqué la plateforme de revente.
L'année dernière, 340'000 annonces avaient été enregistrées le 25 décembre dans la matinée.
Son concurrent Rakuten France "a enregistré environ 390.000 annonces déposées par des vendeurs particuliers sur sa plateforme depuis hier soir, soit une augmentation de 2% comparé à 2024 à la même heure", a annoncé la plateforme, en se basant sur des chiffres arrêtés à 11h30.
Rakuten prévoit "de dépasser le million d'annonces mises en ligne dans les jours à venir".
Pour les deux sites, la pratique de la revente de cadeaux est désormais ancrée dans les moeurs.
Selon les chiffres de son dernier baromètre sur le sujet, mené par Kantar, eBay estime à "près de 20 millions" le nombre de Français qui ont déjà revendu des cadeaux en 2025, soit 1,6 million de plus que l'année précédente.
Selon Rakuten, les reventes concernent principalement les produits culturels (livres, jeux vidéo, musique, DVD), high-tech (majoritairement des smartphones) et les jouets.
"En moyenne, les Français qui ont revendu leurs cadeaux reçus à Noël 2024 déclarent avoir récupéré près de 100 euros. Ce montant peut même dépasser les 300 euros pour certains !", ajoute le site de revente.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le pape appelle l'Ukraine et la Russie à dialoguer directement
Le pape Léon XIV a appelé jeudi l'Ukraine et la Russie à trouver "le courage de dialoguer directement et fustigé les "blessures ouvertes" laissées par les guerres, à l'occasion de son premier message de Noël.
Le pape américain a également dit penser aux "tentes de Gaza, exposées depuis des semaines à la pluie, au vent et au froid", alors que des centaines de milliers de Gazaouis font face aux pluies hivernales dans des conditions extrêmes.
Assombrie par les conflits et polarisations politiques, l'année 2025 s'achève avec des sources d'espérance pour la communauté chrétienne qui a célébré son premier Noël festif à Bethléem, en Cisjordanie occupée, depuis le début de la guerre à Gaza.
Mais l'appel du souverain pontife à une trêve d'un jour dans le monde n'a pas été entendu en Ukraine, où la guerre fait rage depuis près de quatre ans.
Lors de sa traditionnelle bénédiction "Urbi et Orbi" (à la ville et au monde), Léon XIV a exhorté les parties impliquées à "trouver le courage de dialoguer de manière sincère, directe et respectueuse" alors que Moscou et Kiev négocient séparément depuis plusieurs semaines le plan américain.
Depuis l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes en février 2022, la guerre a fait des dizaines de milliers de morts, des millions de déplacés et dévasté l'est du pays.
Pour son premier Noël depuis son élection en mai, le chef de l'Eglise catholique s'est livré à un tour d'horizon des conflits internationaux devant 26'000 fidèles massés sur la place Saint-Pierre par un temps pluvieux, évoquant 15 pays dont Haïti, le Mali, la Syrie ou la Birmanie.
Quelques minutes plus tôt, il avait fustigé lors de la messe les guerres qui "laissent derrière elles des ruines et des blessures ouvertes" et l'"absurdité" des discours belliqueux qui envoient les jeunes mourir sur le front.
"Nouvelle ère"
Malgré la grave crise humanitaire, la trêve entrée en vigueur en octobre à Gaza, bien que fragile, a permis le retour des célébrations festives à Bethléem, berceau du christianisme en Cisjordanie occupée.
Des centaines de fidèles se sont massés à l'approche de minuit dans la basilique de la Nativité, comble au point qu'ils étaient nombreux à être assis à même le sol.
Les célébrations de Noël de ces deux dernières années y avaient été ternies par la guerre dévastatrice à Gaza déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023.
Par solidarité avec les Palestiniens du territoire, les festivités avaient été annulées mais cette année, avec la trêve, l'immense sapin de Noël s'est de nouveau illuminé devant la basilique de la Nativité.
Comme ailleurs dans la région et au Moyen-Orient, les chrétiens représentent une minorité en Terre sainte, avec une communauté de 185'000 personnes en Israël et 47'000 dans les Territoires palestiniens.
Mercredi soir, des dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants ont assisté à la messe dans la seule église catholique romaine du territoire palestinien, à Gaza City.
Parmi eux, Elias Al-Jalda, un chrétien palestinien, a confié à l'AFP son espoir de voir "le retour de la vie à Gaza" et le "début d'une nouvelle ère" dans l'année à venir.
Lors de la messe, le patriarche latin de Jérusalem, le cardinal Pierbattista Pizzaballa, a délivré une homélie pour la paix, l'espoir et le renouveau, face aux décisions politiques et équilibres de pouvoirs qui "semblent souvent déterminer le destin des peuples".
Politique et intempéries
Tranchant avec les discours des dirigeants religieux, Donald Trump a souhaité un joyeux Noël "à tous, y compris aux pourritures de gauche radicale", en référence à ses opposants démocrates.
Mais au-delà du climat politique électrique aux Etats-Unis depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, ce sont des intempéries majeures qui viennent perturber les fêtes de fin d'année en Californie.
Craignant de dangereuses inondations, les autorités ont décrété l'état d'urgence à Los Angeles et ordonné l'évacuation de centaines de foyers.
En Australie, la fin d'année est assombrie par l'attentat antisémite de Bondi qui a fait 15 morts le 14 décembre.
Dans le sud-ouest de la France, des agriculteurs mobilisés contre la grave crise frappant leur secteur ont préféré passer le réveillon en bloquant une autoroute, où des habitants leur ont apporté huîtres et bûches, plutôt qu'en famille.
Ils se disent prêts à faire de même pour le Nouvel an, comme l'a assuré l'un d'eux, Frédéric Meynard: "On ne l'espère pas, mais s'il faut en arriver là on le fera".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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