Économie
Royaume-Uni: le PIB rebondit et dépasse son niveau pré-pandémie
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La croissance du Royaume-Uni a rebondi en novembre à 0,9%, dépassant pour la première fois son niveau d'avant la pandémie de Covid-19, a annoncé vendredi l'Office national des statistiques (ONS) vendredi dans un rapport mensuel.
Le produit intérieur brut (PIB) se situe désormais 0,7% au-dessus de son niveau de février 2020, a précisé l'ONS. Il avait enregistré une augmentation de 0,2% en octobre, un chiffre révisé à la hausse après une première estimation à 0,1%.
"L'économie a fortement progressé au cours du mois précédant l'impact d'Omicron, les architectes, les détaillants, les coursiers et les comptables ayant connu un mois exceptionnel", a indiqué Grant Fitzner, économiste en chef de l'ONS, sur Twitter.
"La construction s'est également rétablie après plusieurs mois en berne, car de nombreuses matières premières sont désormais plus faciles à obtenir", a-t-il ajouté.
Selon les données de l'ONS, le PIB a ainsi profité en novembre d'une hausse de l'activité dans les secteurs de la production, des services et de la construction, ces deux derniers se trouvant au-dessus de leurs niveaux pré-pandémie.
Le ministre des Finances Rishi Sunak s'est réjoui de ces chiffres, ajoutant dans un communiqué que "le gouvernement continue de soutenir l'économie, notamment par le biais de subventions, prêts, allègements fiscaux pour les entreprises".
Si la hausse du PIB est supérieure aux attentes des économistes, ceux-ci avertissent toutefois que l'arrivée du nouveau variant se fera sentir dès la publication des chiffres du mois de décembre.
"L'impact d'Omicron pourra signifier que le PIB retombera temporairement en dessous (de son niveau d'avant crise) d'ici le mois de janvier", prévient Paul Dales, de Capital Economics, qui prévoit une contraction du PIB de 0,5% à la fois en décembre et janvier.
"Les signes récents indiquant que la vague d'Omicron commence à s'atténuer laissent penser que le PIB rebondira probablement en février et mars", ajoute M. Dales. Mais la croissance sera alors freinée par une hausse des taxes et des prix de l'énergie qui pèseront sur les ménages à partir du mois d'avril, prévoit-il.
L'ONS a par ailleurs publié vendredi un rapport sur le commerce extérieur qui montre que les importations en provenance de l'UE, qui ont augmenté de 800 millions de livres en novembre (958 millions d'euros), sont restées derrière les importations de pays hors-UE (+1,1 milliard de livres) pour le 11e mois consécutif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'Inde affirme être devenue la quatrième économie du monde
L'Inde est devenue la quatrième économie de la planète, devant le Japon, et les autorités espèrent qu'elle dépassera l'Allemagne d'ici trois ans, selon le bilan économique de fin d'année établi par le gouvernement.
La publication en 2026 des chiffres du produit intérieur brut (PIB) annuel viendront ou non confirmer officiellement ces prévisions.
"L'Inde fait partie des grandes économies affichant la croissance la plus rapide au monde et est bien placée pour maintenir cet élan", affirme la note économique.
"Avec un PIB évalué à 4180 milliards de dollars (3296 milliards de francs), l'Inde a dépassé le Japon pour devenir la quatrième économie mondiale et est sur le point de déloger l'Allemagne de la troisième place dans les 2,5 à 3 prochaines années, avec un PIB estimé à 7300 milliards de dollars d'ici 2030".
Selon le Fonds monétaire international, ce n'est qu'en 2026 que l'Inde figurera à la quatrième place : il estime que son PIB atteindra alors 4,51 milliards de dollars, contre 4.460 milliards pour le Japon. Les Etats-Unis, la Chine et l'Allemagne sont, dans cet ordre, les plus grandes économies au monde, selon le FMI.
Les prévisions optimistes de New Delhi interviennent dans un contexte économique compliqué pour le pays le plus peuplé de la planète, avec 1,4 milliard d'habitants.
Fin août, Washington, le premier partenaire commercial du pays, a imposé une hausse de 50% des droits de douane sur les produits "made in India" arrivant aux Etats-Unis, en représailles à ses achats de pétrole russe.
La croissance continue reflète "la résilience de l'Inde face aux incertitudes persistantes (qui pèsent) sur le commerce international", estime le gouvernement.
Le PIB par habitant de l'Inde atteignait 2.694 dollars en 2024, selon les derniers chiffres de la Banque mondiale, soit douze fois moins que les 32.487 dollars du Japon et vingt fois moins que les 56.103 dollars de l'Allemagne.
Plus d'un quart des habitants de l'Inde ont entre 10 et 26 ans, selon les données gouvernementales, mais le taux de chômage des jeunes diplômés reste très élevé.
Le Premier ministre Narendra Modi a annoncé des allégements fiscaux et des réformes du droit du travail après que la croissance économique a atteint un plus bas en quatre ans, au cours de l'exercice annuel clos le 31 mars.
La roupie indienne a atteint un niveau historiquement bas face au dollar début décembre - après avoir chuté d'environ 5% en 2025 - en raison des notamment inquiétudes persistantes liées à l'absence d'accord commercial avec Washington.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Citigroup anticipe une perte avec la vente d'actifs en Russie
La banque américaine Citigroup a annoncé dans la nuit de lundi à mardi la vente de ses derniers actifs en Russie et anticipe de perdre 1,1 milliard de dollars (789 millions de francs) dans cette opération.
La vente devrait être bouclée dans la première partie de 2026, mais reste soumise à l'approbation des autorités de régulation, a précisé le groupe.
Les dernières activités en Russie seront inscrites dans les comptes comme "détenues en vue d'une vente" à compter du 4e trimestre 2025, a indiqué Citigroup dans un document transmis au gendarme américain des marchés financiers, la SEC (Securities and Exchange Commission).
Cette décision entraînera une perte nette après impôts inscrite dans les comptes pour le trimestre en cours, a ajouté la banque dans le même document.
AO Citibank, qui gère les dernières activités du groupe en Russie, va être vendu à Renaissance Capital, selon la banque.
Mi-octobre, le groupe avait publié des résultats pour le 3e trimestre en nette hausse, portée - à l'instar de ses concurrents - par le dynamisme des marchés financiers, en dépit des tensions commerciales mondiales.
Citigroup avait notamment affiché un bénéfice net en hausse de 16% à 3,8 milliards de dollars.
Ce 3e trimestre avait été aussi marqué par une dépréciation exceptionnelle de 726 millions de dollars liée à la vente de 25% des parts de sa filiale Banamex au Mexique. Sans cela, le bénéfice aurait atteint quasiment 4,5 milliards, avait alors indiqué la banque.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Les perspectives conjoncturelles s'éclaircissent encore
Les attentes pour l'évolution de l'économie suisse continuent de s'améliorer, les entrepreneurs retrouvant leur optimisme d'avant la guerre commerciale initiée par les Etats-Unis.
L'activité manufacturière est optimiste pour les prochains mois, alors que les exportateurs et la consommation sont plus prudents.
Le baromètre conjoncturel de l'institut KOF, qui évalue les anticipations économiques des prochains mois, a grimpé de 1,7 point sur un mois à 103,4 points en décembre, selon un communiqué publié mardi.
Cet indicateur très suivi des milieux économiques dépasse ainsi son niveau de février (103,3 points), soit avant la proclamation en avril du "Liberation day" par le président américain Donald Trump où l'indice avait chuté à son niveau le plus bas (95,5 points) de l'année.
Dans l'industrie et la construction, la tendance est positive, ont relevé les experts du centre d'études zurichois, notamment pour les perspectives d'emploi, de stocks et de marche des affaires. L'activité de production et les entrées de commandes se trouvent cependant sous pression.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les Bourses asiatiques ont flambé, aidées par le boom de l'IA
Les cours des métaux précieux se reprennent mardi en Asie dans la foulée de fortes prises de bénéfices suite au récent record de l'argent, tandis que les Bourses de Tokyo et Séoul clôturent sans éclat une année 2025 faste qui les a vu flamber grâce au boom de l'IA.
L'argent avait fortement creusé ses pertes lundi après avoir atteint un nouveau record historique à quelque 84 dollars l'once: le cours s'était effondré dans la foulée, de nombreux investisseurs choisissant d'empocher leurs bénéfices.
Or, le métal précieux tentait mardi de rebondir, signe que son éclat ne s'est pas terni: vers 06H45 GMT, l'argent s'affichait en hausse de quasiment 4% à 74,99 dollars l'once.
Un dollar plus faible et l'escalade des tensions géopolitiques ont encore renforcé l'attrait des métaux précieux cette année.
L'argent est perçu comme une valeur refuge autre que l'or. Il est également porté par la demande industrielle croissante pour le photovoltaïque, les véhicules électriques et les centres de données utilisés par le secteur de l'intelligence artificielle, alors que les stocks physiques d'argent sont restreints.
Depuis janvier, l'or a bondi de près de 70% et l'argent de plus de 150%, des performances annuelles inédites depuis 1979.
L'or a lui aussi lourdement trébuché lundi. Mais vers 06H30 GMT mardi, il se reprenait, progressant de 0,68% à 4.361 dollars l'once.
De son côté, le bitcoin, qui avait chuté après avoir dépassé les 126.000 dollars en octobre, se stabilise désormais juste en dessous de 90.000 dollars après une fin d'année mouvementée.
Le pétrole, lui, est en léger repli tout en surveillant les discussions en cours sur le sort de l'Ukraine. Le baril de WTI nord-américain cédait 0,17% à 57,98 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord 0,10% à 61,88 dollars.
Bourses en manque d'élan
Dans la foulée des Bourses américaines et européennes, qui ont terminé lundi sans grand entrain, les places asiatiques sont restées sans élan mardi dans des marchés peu fréquentés avant le Nouvel An.
A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a cédé 0,37% à 50.339,48 points et l'indice élargi Topix 0,51% également à 3.408,97 points.
"Suivant la tendance observée sur le marché américain, où les investisseurs se sont montrés plus averses au risque en raison de la forte chute des cours des métaux précieux, de nombreux titres (nippons) ont subi des vagues de ventes, les investisseurs prenant leurs bénéfices ou liquidant leurs positions", ont commenté les experts du cabinet IwaiCosmo Securities.
De fait, c'était la dernière séance d'échanges de l'année pour la place japonaise.
L'indice Nikkei aura engrangé sur l'ensemble de 2025 une hausse d'environ 26% et a atteint des niveaux inédits - une année exceptionnelle dopée notamment par les performances des valeurs technologiques, à l'image des firmes liées aux puces comme Advantest (+120%).
A Séoul, l'indice Kospi a perdu 0,15%, pour ce qui était pour lui aussi l'ultime séance de 2025.
Il s'est envolé d'environ 76% sur l'année, gonflé notamment par le succès des géants des puces Samsung (+126% sur l'année) et SK Hynix (+273%), poids lourds de la cote.
Ailleurs en Asie, Sydney a cédé 0,10% et Taipei 0,36%. L'indice hongkongais Hang Seng progressait de 0,98% vers 06H45 GMT.
Les investisseurs surveilleront plus tard mardi le compte rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed), au cours de laquelle elle a abaissé ses taux d'intérêt pour la troisième fois consécutive, afin de déterminer si une quatrième baisse est envisageable en janvier.
L'assouplissement monétaire de la Fed en fin d'année a été un moteur essentiel du récent sursaut des marchés, amplifiant la flambée du secteur technologique déjà nourrie par les investissements massifs dans l'intelligence artificielle.
Cela a également contribué à atténuer les inquiétudes récentes concernant une éventuelle bulle technologique.
SoftBank sous pression
Le mastodonte japonais des investissements technologiques SoftBank a perdu 1,89% à la Bourse de Tokyo.
SoftBank a annoncé tard lundi racheter pour 4 milliards de dollars DigitalBridge, firme de capital-investissement américaine spécialisée dans les infrastructures numériques au sens large, des centres de données aux pylônes de téléphonie mobile.
"SoftBank suscite des inquiétudes croissantes quant au fardeau financier de l'acquisition de cette société d'investissement américaine", expliquent les experts d'IwaiCosmo Securities.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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