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Économie

Répit judiciaire à Trump dans son procès à New York pour fraudes

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Donald Trump a passé près de trois jours au palais de justice de Manhattan (archives). (© KEYSTONE/AP/Seth Wenig)

La justice new-yorkaise a accordé vendredi un répit provisoire à l'ex-président américain Donald Trump dans son procès au civil pour fraudes, en suspendant pour l'instant le démantèlement partiel de son empire immobilier à New York. Le procès a débuté lundi.

Le milliardaire républicain avait interjeté appel mercredi pour faire arrêter son procès devant un tribunal de première instance dénommé "cour suprême de New York".

Les audiences, sans jury mais en présence de M. Trump, ont commencé lundi, mais ont été précédées le 26 septembre d'une décision surprise en référé d'un juge concluant à des "fraudes répétées" de la Trump Organization et ordonnant le retrait de licences commerciales dans l'Etat de New York à Donald Trump et à deux de ses deux fils, Don Jr et Eric.

Dans un arrêt d'une cour d'appel à New York vendredi, la justice a refusé de suspendre le procès, mais a décidé de "suspendre la mise en oeuvre de l'annulation des licences commerciales" et la confiscation de sociétés de la famille Trump.

Reprise des audiences mardi

C'est une victoire partielle pour l'ancien président des Etats-Unis d'Amérique, qui obtient un répit dans le démantèlement partiel de son groupe immobilier.

Donald Trump a passé près de trois jours au palais de justice de Manhattan, dans le prétoire et dans les couloirs avec la presse.

La procureure générale de l'Etat de New York (équivalent de ministre locale de la justice) Letitia James l'a raillé mercredi pour son "spectacle" et ses "coups politique [et] opération de collecte de fonds". Il a traité en retour cette magistrate afro-américaine et élue du parti démocrate de "corrompue" et de "raciste".

Elle a réaffirmé que la "justice l'emportera" dans ce procès, qui reprendra mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

La Fed débute sa réunion sur les taux dans un contexte fébrile

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Le président de la banque centrale américaine, Jerome Powell, a dit sans équivoque qu'il préférait le statu quo en attendant d'y voir plus clair. (archive) (© )

Les responsables de la Réserve fédérale américaine (Fed) ont entamé mardi matin leur deuxième réunion de politique monétaire sous la présidence de Donald Trump, à l'issue de laquelle un statu quo sur les taux est attendu.

La réunion du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) "a débuté à 09h00 (14h00 en Suisse) comme prévu", a indiqué un porte-parole à la presse.

Les observateurs prévoient, quasi unanimement, que les discussions, qui se tiennent jusqu'à mercredi, débouchent sur un maintien des taux d'intérêt à leur niveau actuel, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.

Le président de la banque centrale américaine, Jerome Powell, a dit sans équivoque qu'il préférait le statu quo en attendant d'y voir plus clair sur les conséquences des décisions prises au pas de charge par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.

"Nous n'avons pas besoin de nous presser, et sommes bien placés pour attendre plus de clarté", a-t-il déclaré le 7 mars dans un discours.

La Fed est potentiellement confrontée à une situation qui impliquerait de modifier ses taux d'intérêt dans des directions contraires.

D'un côté, les nouvelles taxes sur les importations sont susceptibles de provoquer un regain d'inflation, sa bête noire.

De l'autre, les analystes anticipent un ralentissement de l'économie américaine et commencent même à évaluer la possibilité d'une récession, une situation que la Fed doit aussi éviter, le plein-emploi étant inscrit dans son mandat.

La Fed publiera sa décision mercredi à 14h00 (19h00 en Suisse) et Jerome Powell tiendra une conférence de presse 30 minutes plus tard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Environ un frontalier sur 70 en Suisse travaille en Valais

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Près de 15'000 frontaliers franchissent quotidiennement la douane à Saint-Gingolph pour venir travailler en Valais ou dans le canton de Vaud (photo d'illustration). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Fin 2024, 5537 frontaliers travaillaient en Valais. Cela correspondait à 1,4% de tous les travailleurs transfrontaliers en Suisse, la plus faible proportion de frontaliers en comparaison cantonale.

Ce chiffre de 1,4% est très éloigné de cantons comme Genève (28,2%) ou le Tessin (19,3%), précise le Service de statistique et de péréquation dans un communiqué diffusé mardi.

En Valais, la plupart des travailleurs venant de l’étranger résident en Italie (51%) ou en France (47%). La part des femmes est de 33%. Deux tiers des frontaliers travaillent dans le secteur des services, un tiers dans le secteur secondaire. En Valais, les frontaliers occupent 2,8% des postes de travail.

Une hausse de 254% en 20 ans

Entre 2004 et 2024, le nombre de frontaliers est passé de 1565 à 5537 personnes. Rien qu’au cours des dix dernières années, ce nombre a plus que doublé.

Des hausses annuelles de 10% et plus ont été enregistrées entre 2010 et 2012 et entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020 (pandémie de Covid-19), où le nombre de travailleurs résidant à l’étranger n’a augmenté que de 8,4% par rapport à l’année précédente. Cette croissance a toutefois ralenti en 2024. Elle n’est plus que de 4,2%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Le National veut renforcer la FINMA

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Le National a soutenu mardi un renforcement de la FINMA suite à l'affaire Credit Suisse. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter est d'accord avec la mesure. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La régulation en matière de fonds propres des grandes banques doit être revue et le rôle de la FINMA renforcé. Le Conseil national a soutenu mardi toutes les mesures proposées par la commission d'enquête parlementaire (CEP) sur la débâcle de Credit Suisse.

La CEP a conclu que la mauvaise gestion de Credit Suisse par ses responsables est à l'origine de sa chute, pointant aussi des manquements au niveau des autorités de surveillance et politiques.

Pour la droite, la faute incombe avant tout aux dirigeants de la banque. Plusieurs orateurs du camp bourgeois ont fait valoir que des instruments nécessaires pour réguler efficacement le secteur bancaire étaient déjà disponibles et que les mesures à venir devaient être ciblées, pour ne pas entraver la compétitivité de la place suisse.

A gauche, on a insisté sur la taille désormais problématique d'UBS et des interventions "pas suffisantes" pour faire face aux défis que pose cette banque XXL. Le PS a notamment critiqué le Parlement, le Conseil fédéral et la BNS pour son inaction passée.

Renforcer la FINMA

La CEP avait déposé quatre motions et six postulats. Toutes les propositions ont été soutenues tacitement.

Mesure centrale, la CEP veut donner plus de pouvoir à la FINMA. La surveillance de la révision des grandes banques devrait être centralisée sous l'autorité de l'autorité de surveillance des marchés financiers. Celle-ci devrait en outre pouvoir faire efficacement appliquer ses procédures d'application de la loi.

Elle devrait pouvoir communiquer par principe sur chaque procédure à l'encontre de banques d’importance systémique. La FINMA devrait aussi pouvoir infliger des amendes à des grandes banques et leur ordonner une planification précoce des fonds propres. Le Conseil fédéral était d'accord. L'UDC a tenté en vain d'enlever le point sur les amendes, le parti ayant échoué par 124 voix contre 65.

Aucune garantie

Ces mesures se recoupent en grande partie avec celles que le Conseil fédéral avait proposées dans son rapport sur les banques, a rappelé la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter, en charge du dossier.

Le Conseil fédéral présentera des orientations en vue de la révision de la stratégie "Too big to fail" au début de l'été. "Même si nous révisons la réglementation, même si nous tirons les leçons de la crise du Credit Suisse, il n'y a pas de garantie à 100%", a encore prévenu Mme Keller-Sutter. Toutes les crises sont différentes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'économie suisse au ralenti pour deux ans

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Le PIB de la Suisse devrait progresser de 1,4% en 2025 et de 1,6% en 2026, selon les projections du Seco. (archives) (© KEYSTONE/EPA/BIENVENIDO VELASCO)

Les experts du Secrétariat d'Etat à l'Economie (Seco) ont abaissé leurs prévisions de croissance pour l'économie helvétique pour cette année et la suivante, sur fond d'incertitudes au niveau mondial.

La croissance devrait être inférieure à la moyenne historique pour au moins deux années supplémentaires.

"Le climat général d'incertitude sur le front économique et commercial continue de peser sur les perspectives de l'économie mondiale et partant, sur la conjoncture suisse", indiquent les prévisionnistes du Seco dans un communiqué diffusé mardi. Ces derniers partent du principe qu'il n'y aura pas une escalade des tensions vers une guerre commerciale mondiale, sans complètement écarter ce risque.

Selon ce scénario de base, le produit intérieur brut (PIB) corrigé des événements sportifs devrait progresser de 1,4% en 2025 et de 1,6% en 2026, alors que les estimations remontant à décembre tablaient encore sur une croissance de respectivement 1,5% et 1,7%.

Risque de scénario "extrême"

La croissance devrait ainsi être inférieure à la moyenne historique de 1,8%, les incertitudes actuelles compliquant les décisions d'investissement et ralentissant la conjoncture, selon le Seco.

Le faible taux d'inflation, prévu à 0,3% pour 2025, devrait toutefois soutenir les dépenses de consommation des ménages privés, tandis qu'une certaine hausse de l'emploi est attendue. Les activités de construction devraient également continuer à se redresser, estiment les spécialistes.

La reprise devrait se dessiner dès 2026, lorsque les pays européens émergeront progressivement de la période de faiblesse actuelle et insufflent un nouveau dynamisme notamment aux exportations helvétiques.

"Des évolutions bien plus extrêmes restent cependant de l'ordre du possible", sur le front commercial. Le ralentissement de la conjoncture internationale qu'induirait un tel scénario négatif aurait des conséquences notables sur le commerce extérieur de la Suisse et sur sa conjoncture.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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