International
Red Bull relègue Lawson au profit de Tsunoda
Red Bull a actionné le couperet après deux Grands Prix seulement. Le Néo-Zélandais Liam Lawson a été relégué dans l'équipe Racing Bulls, alors que le Japonais Yuki Tsunoda effectue le chemin inverse.
Ce changement est immédiat: dès le Grand Prix du Japon à Suzuka (6 avril), Tsunoda sera au volant de la Red Bull alors que Lawson retrouvera celui d'une Racing Bulls, pour qui il avait disputé les six dernières courses de la saison 2024.
Lawson (23 ans) avait été promu coéquipier de Max Verstappen pour le début de la saison 2025, succédant au Mexicain Sergio Perez. Mais ses deux premiers week-ends ont été difficiles avec un abandon en Australie et une 12e place en Chine. Les rumeurs de son remplacement couraient depuis quelques jours.
Pour sa part, Tsunoda (24 ans) a convaincu avec une 6e place dans le sprint à Shanghai. Le Japonais aura donc désormais la lourde tâche de se mesurer à Verstappen, qui a toujours dominé ses coéquipiers.
Changement anticipé
"Il a été difficile de voir Liam lutter avec la RB21 lors des deux premières courses et nous avons donc collectivement pris la décision de procéder à un changement anticipé", a expliqué Christian Horner, le patron de l'écurie Red Bull. "Nous avons abordé la saison 2025 avec deux ambitions: conserver le titre des pilotes et reconquérir le titre des constructeurs, et il s'agit d'une décision purement sportive", a-t-il poursuivi.
"Il y a beaucoup de travail à faire avec la RB21 et l'expérience de Yuki s'avérera très bénéfique pour aider à développer la voiture actuelle", a estimé Horner. Du haut de son 1,59 m, Tsunoda est le premier pilote nippon en F1 depuis Kamui Kobayashi en 2014.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Nouveau chef du service de sécurité intérieure en Israël
Benjamin Netanyahu a choisi l'ex-commandant de la marine Eli Sharvit comme nouveau chef du Shin Bet, indiqué lundi son bureau. Cela malgré le gel par la Cour suprême de la demande du gouvernement de destituer le directeur en exercice du service de sécurité intérieure.
"Après avoir mené des entretiens approfondis avec sept candidats qualifiés, le Premier ministre isralien a décidé de nommer l'ancien commandant de la marine, l'amiral réserviste Eli Sharvit, au poste de prochain directeur du Shin Bet", indique le bureau du dirigeant dans un communiqué.
"L'amiral Sharvit a servi pendant 36 ans dans les forces de défense israéliennes, dont 5 ans en tant que commandant de la marine. A ce poste, il a dirigé le développement de la force de défense maritime (...) et géré des systèmes opérationnels complexes contre le (mouvement islamiste palestinien) Hamas, le (mouvement islamiste libanais) Hezbollah et l'Iran", ajoute le communiqué.
Le gouvernement dirigé par Benjamin Netanyahu a décidé de limoger le chef du Shin Bet, Ronen Bar, évoquant "une perte de confiance professionnelle et personnelle persistante entre le Premier ministre et le directeur du service" qui empêche "le gouvernement et le Premier ministre d'exercer efficacement leurs pouvoirs".
Limogeage suspendu
Mais à la suite de requêtes déposées par l'opposition israélienne et une ONG, la Cour suprême a suspendu le 21 mars le limogeage de M. Bar par le gouvernement, jusqu'à l'examen des recours d'ici au 8 avril.
La procureure générale du pays, Gali Baharav-Miara, qui joue aussi le rôle de conseillère juridique du gouvernement, a averti Benjamin Netanyahu que la décision de la Cour suprême lui "interdisait" temporairement de nommer un nouveau chef du Shin Bet.
Mais le septuagénaire a insisté sur le fait qu'il appartenait à son gouvernement de décider qui dirigerait l'agence de sécurité intérieure.
Dérive autocratique
La décision de limoger le chef du Shin Bet a provoqué d'importantes manifestations en Israël.
Une partie des Israéliens dénoncent ce qu'ils considèrent comme une dérive autocratique du Premier ministre, à la tête d'un des gouvernements les plus à droite de l'histoire d'Israël.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a choisi l'ancien commandant de la marine Eli Sharvit, comme prochain directeur du service de sécurité intérieure israélien (Shin Bet), selon un communiqué de ses services lundi.
"Après avoir mené des entretiens approfondis avec sept candidats qualifiés, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a décidé de nommer l'ancien commandant de la marine, l'amiral réserviste Eli Sharvit, comme prochain directeur du Shin Bet", indique le texte. Plus tôt ce mois-ci, la Cour suprême a suspendu le limogeage de l'actuel chef du Shin Bet, Ronen Bar, le temps d'examiner, d'ici le 8 avril, les recours déposés contre la décision du gouvernement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une bagarre et sept expulsions lors du match Minnesota - Detroit
Une importante mêlée a mené à sept expulsions lors du match NBA entre les Minnesota Timberwolves et les Detroit Pistons dimanche. Les Timberwolves ont finalement remporté la partie 123-104.
En début de deuxième quart-temps, une bagarre a éclaté au Target Center de Minneapolis lorsque l'intérieur des Wolves Naz Reid a exprimé auprès de Ron Holland son mécontentement après une faute de ce dernier.
Reid a pointé Holland du doigt avec énervement avant que Donte DiVincenzo et Holland ne s'attrapent, pour une mêlée qui a rapidement grossi avec des joueurs des deux équipes s'entrechoquant au niveau de spectateurs présents au bord du parquet.
Après une minute les esprits ont fini par se calmer et les arbitres ont pris des sanctions en expulsant sept personnes: les joueurs DiVincenzo et Reid (Minnesota), Marcus Sasser, Isaiah Stewart et Holland (Detroit), ainsi que l'entraîneur des Pistons J.B. Bickerstaff et l'assistant des Wolves Pablo Prigioni.
Un enfant dans le tumulte
D'après plusieurs médias un enfant faisait partie des spectateurs ensevelis dans le chaos. Ce jeune fan a reçu par la suite un maillot de Naz Reid des mains de l'ex-star du baseball Alex Rodriguez, copropriétaire des Wolves.
"Je trouvais avant l'incident que le match était trop physique, a commenté le coach des Wolves Chris Finch. On peut dire qu'on l'a vu venir."
Bickerstaff, exclu, a lui déclaré qu'il était "dans le même bateau que [s]es joueurs". "Leur assistant coach a dit certaines choses. On se défend les uns les autres, je ne laisse pas mes joueurs se faire insulter (...). Je ne pense pas avoir franchi la ligne rouge et envenimé la situation, mais je comprends la position des arbitres", a-t-il déclaré.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Djokovic privé d'un 100e titre par le jeune Tchèque Mensik
Novak Djokovic a été privé d'un 100e titre par Jakub Mensik dimanche au Masters 1000 de Miami. Le jeune Tchèque de 19 ans s'est imposé 7-6 (7/4) 7-6 (7/4) en finale.
Le destin est parfois coquin. A l'issue d'une finale des extrêmes entre deux joueurs de 18 ans d'écart d'âge, c'est le jeune loup Mensik, en quête d'un premier succès, qui a dominé la légende Djokovic (37 ans), son idole, qui visait lui son 100e titre.
Après un début de partie retardé de près de six heures à cause de la pluie, Mensik (ATP 54) a surfé sur la confiance d'un tournoi formidable, lors duquel il aura gagné les sept tie-breaks qu'il a eu à disputer.
Impérial au service (14 aces) et solide dans les moments chauds, Mensik a su, malgré son inexpérience, maîtriser un match serré et au niveau de jeu très élevé face au grand maître serbe aux 24 titres en Grand Chelem.
"Grâce à toi"
"Si je suis là c'est grâce à toi. J'ai commencé le tennis grâce à toi. J'ai pu m'entraîner avec toi. Il n'y a pas de meilleur chose que te jouer en finale d'un tournoi. Merci pour tout ce que tu as fait pour notre sport, tu es une personne incroyable", a déclaré Mensik lors d'une cérémonie des trophées en forme de passation de pouvoir.
"Ca me fait mal de l'admettre, mais tu as été meilleur dans les moments importants, notamment au service dans les moments chauds, a souri Djokovic. Pour un jeune joueur comme toi c'est un grande qualité, je suis sûr que tu l'utiliseras souvent dans le futur."
"C'est le premier d'une longue série", a promis Djokovic à son jeune adversaire, devenu le premier Tchèque victorieux en Masters 1000 depuis Tomas Berdych en 2005 à Paris.
Le plaisir de Djokovic
Grand espoir du tennis, Mensik n'était pas né lorsque Djokovic jouait ses premiers matchs en Grand Chelem en 2005. Vingt ans plus tard, le Serbe reste en quête d'un 100e titre, une barrière seulement franchie jusque là chez les hommes par Roger Federer (103) et Jimmy Connors (109).
Djokovic, forfait en demi-finale de l'Open d'Australie en janvier et champion olympique l'été dernier à Paris, a prouvé qu'il pouvait toujours tutoyer les sommets, lors du tournoi floridien où il a "connu le plus de plaisir depuis des années".
Avec un oeil droit gonflé sur lequel il a appliqué régulièrement des gouttes, Djokovic a rapidement perdu son service dans la première manche (2-0 Mensik).
Mais le Serbe, qui a fait admirer sa qualité de retour malgré la propreté de l'engagement adverse, a débreaké à sa première occasion (3-4) avant d'emmener Mensik au tie-break. Le Tchèque a alors été royal, notamment au filet, pour rapidement mener 5-0 puis plier la manche à 7-4.
"Un miracle"
Djokovic, qui a ensuite sauvé deux balles de break à 2-2 dans la deuxième manche, a demandé l'appui de la foule après des points superbes, est tombé plusieurs fois à terre, avant de chuter pour de bon dans un nouveau tie-break où il s'est rendu coupable de plusieurs fautes.
Mensik, qui a révélé avoir failli déclarer forfait, touché à un genou, avant "un miracle" de son kiné, sera 24e mondial lundi, de loin son meilleur classement, alors que Djokovic va rester à la 5e place, mais repartir confiant en quête d'un 100e tournoi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Accord sur les minerais: Trump avertit Zelensky contre un rejet
Le président américain Donald Trump a averti dimanche son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'en cas de rejet d'un accord en discussions sur les minerais, il aura de "gros problèmes".
"Je vois qu'il essaie de se retirer de l'accord sur les terres rares. Et s'il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes", a déclaré à bord de l'Air Force One Donald Trump, qui fait pression sur M. Zelensky pour qu'il signe un accord permettant aux groupes américains d'exploiter des minerais ukrainiens, tout en tentant de négocier un accord de cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie.
Le président américain Donald Trump s'est aussi dit auparavant "très énervé" et "furieux" contre son homologue russe Vladimir Poutine sur le dossier ukrainien et a menacé d'imposer de nouvelle taxes sur le pétrole russe, selon une interview accordée dimanche à la chaîne NBC.
Cessez-le-feu à tout prix
"Si la Russie et moi ne sommes pas capables de parvenir à un accord pour mettre un terme au bain de sang en Ukraine, et je pense que c'était la faute de la Russie (...), je vais imposer des droits de douane secondaires sur tout le pétrole qui sort de Russie", a averti Donald Trump, dans un changement de registre majeur vis-à-vis de Moscou alors qu'il veut mettre un terme à trois ans de conflit en Ukraine.
Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines, faisant craindre aux Ukrainiens et aux Européens un accord sur leur dos.
Sous pression américaine, Kiev avait accepté une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours, rejetée depuis par Moscou.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
FootballIl y a 3 jours
Toujours plus de footballeuses dans le canton de Vaud
-
InternationalIl y a 2 jours
Opérations de secours après le séisme, répliques à Mandalay
-
CultureIl y a 3 heures
Le Venoge Festival s'offre Jason Derulo, Mika et Sean Paul
-
CultureIl y a 3 heures
Une programmation riche pour la 30e édition du Venoge Festival
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Les perspectives restent robustes pour l'économie suisse
-
SuisseIl y a 3 jours
La guerre commerciale pousse l'or vers de nouveaux sommets
-
InternationalIl y a 3 jours
Vance en visite au Groenland, qui s'est doté d'un gouvernement
-
LausanneIl y a 3 jours
PCi vaudoise: pas d'accord entre le Canton et les communes