International
Plus de 1000 arrestations au Soudan depuis le coup d'Etat
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Plus de 1000 personnes ont été arrêtées depuis le coup d'Etat en octobre dernier au Soudan, selon l'ONU. La plupart ont été victimes d'abus, a affirmé lundi à Genève la Haute commissaire aux droits de l'homme Michelle Bachelet devant le Conseil des droits de l'homme.
La situation de trois d'entre elles n'est pas connue. Alors qu'un expert onusien était dans le pays la semaine dernière, 115 détenus ont été relâchés. Au total, selon des sources médicales que l'ONU affirme "crédibles", 85 personnes ont été tuées dans la répression des manifestations depuis le coup d'Etat.
Mme Bachelet se dit "choquée" par au moins 25 cas de viols ou violences sexuelles identifiés ces derniers mois. Les assauts contre les défenseurs des droits humains augmentent également, a-t-elle affirmé.
La Haute commissaire demande au gouvernement des investigations indépendantes rapides sur toutes les violations des droits humains, d'établir un calendrier pour la fin de l'état d'urgence et de mettre un terme au recours excessif à la force.
Le chef de l'armée, le général Abdel Fattah al-Burhane, avait dissous le 25 octobre les institutions. Il était depuis mai 2019 à la tête du Conseil provisoire qui aurait dû remettre le pouvoir aux civils, avant des élections.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Nino Niederreiter et les Jets sous pression
Tout est à refaire pour Winnipeg ! Battus 5-1 à Saint-Louis lors de l'Acte IV du quart de finale de leur Conference, les Jets ne mènent plus le bal.
Victorieux des deux premiers matches mais déjà battus lors de l'Acte III, Nino Niederreiter et ses coéquipiers ont pourtant eu le bonheur d'ouvrir le score dimanche. Mais deux buts concédés en l'espace de 91'' à la fin du deuxième tiers ont sonné le glas des espérances de la meilleure équipe de la saison régulière.
Crédité d'un bilan de -2, Nino Niederreiter n'a pas encore comptabilisé le moindre point dans cette série. A lui de rectifier le tir mercredi soir à Winnipeg dans un Acte V qui vaudra son pesant d'or.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La gauche reste en tête à Vienne, l'extrême droite triple son score
Le Parti social-démocrate autrichien (SPÖ) s'est maintenu en tête aux élections municipales dimanche à Vienne, selon des projections basées sur des résultats partiels. Mais il est en recul, alors que l'extrême droite a triplé son score.
Les sociaux-démocrates du maire sortant Michael Ludwig, qui tiennent la municipalité sans interruption depuis 1945, ont remporté plus de 39,5% des voix, contre presque 42% en 2020, selon les projections de la télévision publique ORF à 21h30.
Le Parti de la liberté (FPÖ, extrême droite), arrive en deuxième position avec 20,4% des suffrages, un bond spectaculaire par rapport aux 7% des voix qu'il avait remportées il y a cinq ans, alors qu'il était éclaboussé par un scandale de corruption.
Les Verts arrivent troisième avec presque 15% des voix selon les projections, tandis que les libéraux de Neos se voient attribuer presque 10%, au coude à coude avec les conservateurs. Ces derniers, qui dirigent l'Autriche avec le SPÖ et le Neos, subissent une baisse notoire par rapport aux quelque 20% qu'ils avaient récoltés en 2020.
Pas d'alliance avec le FPÖ
Le FPÖ est arrivé pour la première fois en tête des législatives autrichiennes l'an dernier, avec presque un tiers des suffrages, mais il n'a pas réussi à trouver des partenaires pour former un gouvernement.
Michael Ludwig, 64 ans, a exclu de diriger la municipalité de Vienne avec le FPÖ. Lors de son dernier mandat, il avait formé une coalition avec les libéraux du Neos.
L'extrême droite affirme que la ville est en proie à l'insécurité et qu'elle devrait cesser de dépenser de l'argent pour l'intégration des demandeurs d'asile, syriens, afghans ou originaires d'autres pays. Un total de 1,1 million d'électeurs étaient appelés à voter dans la capitale. Plus du tiers des 2 millions d'habitants de Vienne n'ont pas la nationalité autrichienne - un nombre en augmentation.
Championne des logements sociaux et des transports publics, Vienne, l'une des villes les plus denses d'Europe, a souvent été citée comme ville phare pour sa qualité de vie. Selon M. Ludwig, la réputation de Vienne dans le monde entier est due "à la très forte continuité politique" de la gauche au pouvoir depuis 1945. Le pire résultat électoral du SPÖ à Vienne avait été de 39,15% en 1996.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Un septième but en championnat pour Zeki Amdouni
Zeki Amdouni a trouvé pour la première fois le chemin des filets en avril. Le Genevois a marqué lors du succès 6-0 à domicile de Benfica face à Aves lors de la 31e journée du championnat du Portugal.
Le joueur prêté par Burnley a inscrit le 3-0 à la 26e. Remplacé à la 67e, Zeki Amdouni a comptabilisé son 7e but en championnat, son 9e toutes compétitions confondues. Au coude-à-coude avec le Sporting, Benfica jouera très certainement le titre le 10 mai lors du derby.
S’il prolonge son expérience à Benfica, Zeki Amdouni aura le bonheur de disputer la première Coupe du monde des clubs avec un derby suisse le 16 juin contre le Boca Juniors de Lukas Blondel à Miami.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le Groenland ne sera pas une propriété à vendre (Premier ministre)
Le nouveau Premier ministre du Groenland a affirmé dimanche que cette vaste île arctique ne serait jamais une "propriété" à vendre. Il a jugé "irrespectueux" les propos américains sur une annexion de ce territoire autonome danois.
Les tensions sont fortes entre Washington et Copenhague depuis que Donald Trump a, à plusieurs reprises, averti qu'il voulait prendre le contrôle de ce territoire autonome danois, invoquant des raisons de sécurité et refusant d'exclure le recours à la force pour s'en emparer.
"Nous ne serons jamais, au grand jamais, une propriété que quiconque peut acheter et c'est le message qu'il me semble le plus important de comprendre", a déclaré Jens-Frederik Nielsen devant la presse, au côté de la Première ministre danoise Mette Frederiksen.
Il s'agit de sa première visite au Danemark depuis qu'il a pris la tête d'un gouvernement de coalition, après la victoire en mars aux élections législatives groenlandaises de son parti de centre droit, Les Démocrates.
"Rester unis"
"Nous nous trouvons désormais dans une situation où nous devons rester unis", a encore dit M. Nielsen, avant d'estimer que "les propos des Etats-Unis n'ont pas été respectueux". "Je suis tout à fait d'accord", a renchéri Mme Frederiksen.
Quand Donald Trump dit vouloir acheter le Groenland, ce n'est "pas une blague", avait assuré fin janvier le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio,
"Je pense que nous en avons besoin pour la paix internationale et, si nous ne l'avons pas, cela constituera une menace majeure pour notre monde. Je pense donc que le Groenland est très important pour la paix internationale", a dit M. Trump jeudi aux journalistes.
Son vice-président, JD Vance, s'est quant à lui rendu le 28 mars sur la base militaire américaine de Pituffik, un déplacement que tant le Danemark que le Groenland ont perçu comme une provocation. M. Vance avait alors accusé le Danemark de n'avoir "pas fait du bon travail pour le peuple du Groenland", lui reprochant en particulier de ne pas y avoir suffisamment investi.
Appel au "respect mutuel"
Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Løkke Rasmussen, avait alors affirmé: "Nous sommes ouverts aux critiques, mais permettez-moi d'être tout à fait honnête, nous n'apprécions pas le ton sur lequel elles sont formulées."
Jens-Frederik Nielsen avait pour sa part déclaré: "les Etats-Unis n'obtiendront pas le Groenland. Nous n'appartenons à personne d'autre. Nous décidons de notre propre avenir".
Dimanche, M. Nielsen a toutefois réaffirmé que son gouvernement était disposé à approfondir les liens avec les Etats-Unis. "Nous sommes prêts à un partenariat solide, nous sommes prêts à davantage de développement mais nous voulons le respect", a-t-il lancé. "On ne peut pas avoir de partenaire sans respect mutuel".
Sa visite de deux jours au Danemark intervient après celle début avril dans l'île de la Première ministre danoise qui avait alors martelé, s'adressant aux dirigeants américains: "Vous ne pouvez pas annexer un autre pays".
Visite royale
Dans un communiqué annonçant la visite de M. Nielsen, le gouvernement danois a souligné cette semaine que la coopération bilatérale serait au centre des entretiens. "Nous devons nous soutenir mutuellement dans la situation de politique étrangère difficile dans laquelle se trouvent actuellement le Groenland et le Royaume" du Danemark, a insisté Mette Frederiksen.
A Copenhague, M. Nielsen rencontrera aussi le roi Frederik X et des membres du Parlement. La Maison royale du Danemark a fait savoir que le roi partirait lundi pour le Groenland où il doit rester jusqu'à jeudi.
Selon les sondages, la grande majorité des 57'000 habitants de ce territoire autonome danois souhaitent leur indépendance et ne veulent pas qu'il soit annexé par les Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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