International
Moscou critique le projet américain de bouclier anti-missile
La Russie a critiqué vendredi le projet du président américain Donald Trump de construire un bouclier anti-missile similaire au "Dôme de fer" israélien. Elle y voit un plan "comparable à la guerre des étoiles" soutenu par Ronald Reagan durant la Guerre froide.
"Nous considérons qu'il s'agit là d'une nouvelle confirmation de l'intention des Etats-Unis de faire de l'espace une arène de confrontation armée et d'y déployer des armes", a dénoncé la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, lors d'un point-presse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Rien à faire pour Atlanta face à Oklahoma City
Atlanta a subi une cinquième défaite lors des six derniers matches de NBA. L'équipe de Clint Capela a perdu à domicile vendredi face au Thunder d'Oklahoma City (135-119).
Emmenés par l'élégant Shai Gilgeous-Alexander, les leaders de la Conférence Ouest n'ont pas tremblé face à des Hawks bien trop irréguliers ces derniers temps. La star canadienne a inscrit 31 points pour offrir au Thunder une 48e victoire cette saison, en 59 matches.
Une nouvelle fois aligné en sortie de banc, Clint Capela n'a pas pesé sur cette rencontre. Le pivot genevois n'a passé qu'une dizaine de minutes sur le parquet, sans inscrire de points malgré 4 rebonds récupérés. Son remplaçant au poste de titulaire, Onyeka Okongwu, a terminé meilleur marqueur des Hawks (23 points).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le PKK annonce un cessez-le-feu avec la Turquie
Le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé samedi un cessez-le-feu avec la Turquie répondant à l'appel de son chef et fondateur Abdullah Öcalan, précise-t-il dans un communiqué.
"Afin d'ouvrir la voie à la mise en oeuvre de l'appel d'Apo (oncle, en kurde, ndlr) à la paix et à une société démocratique, nous déclarons un cessez-le-feu à partir d'aujourd'hui", annonce le comité exécutif du PKK, basé dans le nord de l'Irak, dans un message publié par l'agence ANF, proche du parti armé.
"NOUS SOMMES D'ACCORD AVEC LE CONTENU DE L'APPEL TEL QU'IL EST, ET NOUS DÉCLARONS QUE NOUS LE RESPECTERONS ET LE METTRONS EN OEUVRE" précise encore le PKK en lettres majuscules dans un long texte rédigé en turc.
"Aucune de nos forces ne mènera d'action armée à moins d'être attaquée", affirme-t-il.
Libération de son fondateur
Le PKK réclame la liberté pour son fondateur, âgé de 75 ans, condamné à vie et emprisonné depuis 26 ans sur une ile au large d'Istanbul, qui a appelé jeudi le PKK à se dissoudre et à déposer les armes après quatre décennies de combat qui ont fait au moins 40'000 morts.
"Le dirigeant Abdullah Öcalan doit pouvoir vivre et travailler en toute liberté physique et établir des relations sans entrave avec qui il veut, y compris ses amis", réclame le PKK.
Il appelle M. Öcalan à diriger en personne le congrès du Parti qui procèdera à sa dissolution: "Seul le leadership pratique du leader Apo peut permettre la réalisation pratique de questions telles que le dépôt des armes. POUR LE SUCCES DU CONGRES, LE LEADER APO DOIT LE DIRIGER PERSONNELLEMENT", souligne-t-il.
Le PKK conclut, de nouveau en lettres capitales, en affirmant que "L'APPEL (d'Öcalan) N'EST PAS UNE FIN MAIS UN NOUVEAU DÉPART".
"Opportunité historique"
Le président turc Recep Tayyip Erdogan qui avait initié le dialogue avec le leader historique du PKK avait qualifié vendredi l'appel lancé par ce dernier "d'opportunité historique".
"Nous avons une opportunité historique d'avancer vers l'objectif de détruire le mur de la terreur", avait déclaré le chef de l'Etat turc, promettant de "veiller de près à ce que le processus engagé soit mené à bien".
A l'issue de quatre mois de dialogue conduit par le principal parti prokurde DEM, M. Öcalan a lancé un appel pour "la paix et une société démocratique": dans son message, lu jeudi à Istanbul, il ordonnait au PKK de "déposer les armes" et de "se dissoudre", estimant que l'époque qui prévalait lorsqu'il a décrété la lutte armée, en 1984, était révolue et affirmant "assumer la responsabilité historique de cet appel".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: la présidente de la Confédération s'engage pour la paix
La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter a réaffirmé samedi matin l'engagement en faveur d'une paix en Ukraine. La Suisse reste déterminée à soutenir une paix juste et durable, a-t-elle écrit sur la plateforme X.
La Suisse condamne "l'agression de la Russie contre un Etat souverain", écrit encore Karin Keller-Sutter dans sa prise de position.
Après le coup d'éclat de la rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, plusieurs dirigeants européens ont apporté leur soutien à l'Ukraine.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a écrit sur X à l'adresse de M. Zelensky: "Votre dignité honore le courage du peuple ukrainien".
Selon la responsable des affaires étrangères de l'UE Kaja Kallas sur X, il est devenu clair "que le monde libre a besoin d'un nouveau leader. C'est à nous, Européens, de relever ce défi".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Rubio appelle Zelensky à s'excuser après l'altercation avec Trump
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a appelé vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky à s'excuser après l'altercation avec le président Donald Trump à la Maison Blanche.
Le dirigeant ukrainien devrait "s'excuser de nous avoir fait perdre notre temps pour une réunion qui allait se terminer de la sorte", a affirmé le chef de la diplomatie américaine lors d'une interview à la chaîne CNN. "Nous avons détaillé très clairement ce qu'était notre plan, qui est d'amener les Russes à la table des négociations", a-t-il dit.
Mais "depuis dix jours dans tous les engagements que nous avons eus avec les Ukrainiens, il y a eu des complications, y compris les déclarations publiques du président Zelensky", a-t-il dit en s'interrogeant sur la volonté du président ukrainien "de conclure la paix".
"Peut-être qu'il ne veut pas d'accord de paix. Il dit qu'il le souhaite, mais peut-être que ce n'est pas le cas", a déclaré M. Rubio, ajoutant que "cette façon de saper les efforts pour amener la paix est très frustrante".
Le président ukrainien a estimé vendredi ne pas devoir d'excuses à son homologue américain, quelques heures après leur affrontement verbal à la Maison Blanche devant les caméras du monde entier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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