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Maduro plaide pour "nouveau départ" avec Washington

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Le président vénézuélien Nicolas Maduro (à droite) a plaidé vendredi pour "un nouveau départ dans les relations" avec Washington lors de sa réunion avec Richard Grenell (à gauche), envoyé par Trump. (© KEYSTONE/EPA/Palacio de Miraflores HANDOUT)

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a plaidé vendredi pour "un nouveau départ dans les relations" avec Washington lors de sa réunion avec Richard Grenell, l'émissaire de Donald Trump, venu parler des rapatriements de migrants, selon un communiqué du gouvernement.

M. Maduro "a évoqué (...) un nouveau départ dans les relations bilatérales" avec le représentant du président américain, souligne le texte qui indique que les deux hommes ont notamment évoqué les "migrations, l'impact négatif des sanctions économiques contre le Venezuela, les citoyens américains impliqués dans des crimes sur le territoire national".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Bayrou salue Zelensky, un président qui "n'a pas plié"

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"Pour l'honneur de la responsabilité démocratique, pour l'honneur de l'Ukraine et, j'ose le dire, pour l'honneur de l'Europe, le président (ukrainien) n'a pas plié et je crois que nous pouvons lui en manifester de la reconnaissance", a déclaré François Bayrou. (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

Le 1er ministre français François Bayrou a salué mardi le fait que le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'ait "pas plié" après son altercation avec Donald Trump. Cela dans une "scène sidérante, marquée de brutalité et de volonté d'humiliation".

"Pour l'honneur de la responsabilité démocratique, pour l'honneur de l'Ukraine et, j'ose le dire, pour l'honneur de l'Europe, le président (ukrainien) n'a pas plié et je crois que nous pouvons lui en manifester de la reconnaissance", a déclaré le Premier ministre en ouvrant un débat au Parlement français sur l'Ukraine et la sécurité de l'Europe.

Le "but était de faire plier par la menace Volodymyr Zelensky pour qu'il se rende aux exigences de ses agresseurs. Le tout résumé en une phrase devant les caméras de la planète 'ou bien vous trouvez un accord avec Poutine, ou bien nous vous laissons tomber'", a ajouté François Bayrou.

"Un basculement entre deux mondes"

Pour lui, il y a "deux victimes" dans cette scène: "la sécurité de l'Ukraine, qui se bat pour sa survie et pour le droit des nations", pour "l'identité et l'unité de l'Occident", mais aussi "une certaine idée de l'alliance" entre l'Europe et les États-Unis.

L'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022 "a été un basculement entre deux mondes, un basculement aux conséquences planétaires depuis 1945", a souligné le chef du gouvernement français, évoquant "une situation historique" qui est "la plus grave, la plus déstabilisée, la plus dangereuse" que le continent européen ait connu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

"Nous sommes forts"

"Nous sommes forts et nous ne le savons pas. Et nous nous comportons comme si nous étions faibles", a encore affirmé M. Bayrou, tandis que Paris et ses alliés cherchent la parade à un possible désengagement des Etats-Unis en Ukraine.

"Le produit intérieur de l'Union, additionné à celui de la Grande-Bretagne, c'est plus de dix fois le produit intérieur de la Russie" et "si l'on compare les arsenaux (...), nos forces armées continentales additionnées à celles du Royaume-Uni, c'est plus de 2 millions et demi de soldats professionnels, 25% de plus que les forces russes. Ce sont 3000 avions de combat (...), deux fois plus que les Etats-Unis et deux fois plus que l'aviation russe", a développé le Premier ministre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le lancement d'Ariane 6 reporté à cause d'une "anomalie au sol"

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Le premier vol commercial d'Ariane 6, ici lors de son lancement réussi en juillet, a été reporté in extremis. (© KEYSTONE/AP European Space Agency/STEPHANE CORVAJA)

Le premier lancement commercial de la fusée européenne Ariane 6, prévu lundi à 17h24, a été reporté à cause d'une "anomalie au sol", a déclaré le patron d'Arianespace David Cavaillolès. "Je n'ai pas de doute que nous repartirons en vol prochainement", a-t-il ajouté.

"La seule décision possible maintenant est de repousser le lancement" qui "n'aura pas lieu aujourd'hui", a déclaré le responsable, trente minutes avant le décollage prévu.

Après le vol inaugural réussi d'Ariane 6 en juillet, un an après le dernier d'Ariane 5, ce premier lancement embarquant un satellite commercial devait sécuriser l'accès autonome de l'Europe à l'espace dont elle a été privée pendant plusieurs mois, ne pouvant plus disposer de Soyouz depuis l'invasion de l'Ukraine en 2022.

Initialement envisagée en décembre, puis fixée au 26 février, la mission d'Ariane 6 avait finalement été reportée à ce lundi. Ce vol opérationnel doit être le premier des 32 que compte le carnet de commandes d'Ariane 6, offrant des années d'activité au centre spatial de Kourou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mannheim: un automobiliste fonce sur des piétons et tue 2 personnes

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Le suspect arrêté est un Allemand de 40 ans, originaire de Rhénanie Palatinat, un Etat régional de l'ouest de l'Allemagne, a indiqué un porte-parole du ministère de l'Intérieur du Bade Wurtemberg. (© KEYSTONE/dpa/Boris Roessler)

Un automobiliste a lancé sa voiture lundi sur une foule en plein centre de Mannheim en Allemagne, tuant deux personnes avant d'être arrêté par la police. Celle-ci exclut à ce stade "un mobile politique" et penche pour des problèmes psychiques.

L'homme est suspecté d'être atteint d'une "maladie psychique", a déclaré le procureur en charge de l'enquête. "Nous avons plutôt des indices concrets" en ce sens, "c'est pourquoi l'enquête se concentre sur cet aspect", a déclaré à la presse le procureur Romeo Schüssler.

Cet acte de violence intervient à la suite de plusieurs attentats à la voiture-bélier qui ont ébranlé ce pays déjà ces dernières semaines et dominé la récente campagne électorale.

En milieu de journée, le conducteur a foncé dans la zone piétonne de Mannheim "à très grande vitesse", se servant de sa voiture "comme d'une arme", a déclaré le ministre de l'Intérieur de l'Etat régional où est située cette ville, le Bade-Wurtemberg, dans le sud-ouest.

"Cet acte s'inscrit dans plusieurs crimes récents où une voiture a servi d'arme", a dit à la presse Thomas Strobl, selon lequel il n'existe "aucun indice d'un fond extrémiste ou religieux" dans cet acte.

"Un acte insensé"

Le suspect est un Allemand de 40 ans demeurant à Ludwigshafen, une ville voisine de Mannheim. Le chancelier Olaf Scholz a déploré "un acte insensé".

L'automobiliste a percuté "un groupe de personnes" sur une place du centre de Mannheim où se trouvait une foire avec manèges et stands de nourriture. Un carnaval s'était déroulé la veille dans cette cité. Les autorités ont fait état de deux morts, cinq blessés graves et cinq blessés légers.

Le secteur a été bouclé, les enquêteurs ont notamment examiné le véhicule suspecté d'avoir servi à foncer sur la foule, une voiture noire, de marque Ford, à la partie avant très endommagée.

"Corps sans vie"

"J'ai entendu un bruit très, très fort (...) pas un bruit que l'on entend tous les jours", a raconté à l'AFP Enes Yildiz, 24 ans, qui était dans son bureau à proximité du lieu du drame.

En descendant dans la rue, il a vu "un corps sans vie allongé, des mares de sang". "La personne semblait avoir été projetée dans les airs par l'impact", a ajouté cet employé.

"Il y avait beaucoup de gens qui pleuraient, des gens qui appelaient à l'aide, des gens qui appelaient la police, c'était un vrai désordre", a-t-il encore raconté.

Il confie être "choqué". "J'ai grandi ici, je travaille ici tous les jours. Je marche tous les jours le long de la route où cela s'est produit", explique-t-il.

A l'endroit du drame, des effets personnels abandonnés jonchaient le sol, une chaussure d'enfant, un sac ou encore un blouson.

Contexte sombre

Mi-février à Munich, un automobiliste avait précipité sa voiture sur des manifestants, tuant deux personnes, dont une enfant de deux ans, et faisant plusieurs blessés. L'auteur présumé de cet acte, arrêté sur place, est un Afghan de 24 ans qui aurait agi "par motivation religieuse".

A Magdebourg, en décembre, c'est un médecin saoudien de 50 ans qui avait fauché la foule d'un marché de Noël à bord d'un puissant véhicule BMW lancé à toute allure dans une attaque qui a fait six morts et quelque 300 blessés.

A ces attentats se sont ajoutés d'autres actes violents qui ont remis au premier plan les questions de sécurité et d'immigration.

Attentat au couteau

Mannheim avait été en outre le théâtre d'un attentat au couteau ayant causé la mort d'un policier au printemps 2024, au cours d'un rassemblement public. Le procès du suspect afghan s'est ouvert le mois dernier.

Le 21 février, un réfugié syrien de 19 ans a poignardé un touriste espagnol, le blessant grièvement, dans l'enceinte du Mémorial de l'Holocauste à Berlin, à deux jours des élections législatives en Allemagne.

Ce scrutin a vu la victoire du parti conservateur de Friedrich Merz et une poussée spectaculaire du parti d'extrême droite AfD, qui a doublé son score avec un discours prônant des expulsions massives d'étrangers et un durcissement de la politique pénale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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"J'ai failli mourir", admet Sarrazin après sa chute de Bormio

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Sarrazin héliporté après sa terrible chute (© KEYSTONE/AP/Alessandro Trovati)

"J'ai failli mourir", a raconté le skieur français Cyprien Sarrazin. Il s'est exprimé lors de sa première apparition en public depuis sa violente chute fin décembre à Bormio.

"Je suis un peu miraculé d'avoir récupéré aussi bien et aussi vite", a poursuivi le skieur de 30 ans, précisant n'avoir "plus de séquelles neurologiques". Il s'exprimait lors d'une conférence de presse à Marseille où il devait assister dans l'après-midi au lancement du Parlement régional des Jeux d'hiver 2030.

"Il n'y a pas du tout de haine, de déception, j'ai pris conscience que je ne suis pas passé loin de ne plus être là, donc quoi qu'il arrive c'est que du positif", a enchaîné le sportif qui poursuit actuellement sa rééducation en hôpital de jour à Gap. "J'ai bien récupéré et je suis conscient de tout ce que j'ai eu, la gravité de ma chute", a poursuivi Cyprien Sarrazin.

Moments difficiles pas enregistrés

Il a estimé que le fait qu'il ne se souvienne pas de sa chute ni de l'opération au cerveau qui a suivi lui avait permis de ne pas enregistrer "tous ces moments difficiles", a-t-il dit. "Je ne me souviens plus de 20 mètres avant la chute et jusqu'à cinq jours après la chute, après l'opération (...) et ça, c'est grâce à la sédation qui a été bien faite", a détaillé le skieur.

Il se déplace normalement, mais souffre encore d'une diplopie, c'est-à-dire le fait de voir double, même si sa vision "s'améliore jour après jour", selon ses dires. "J'étais conscient pendant ces cinq jours, mais mon cerveau n'enregistrait pas. Et tant mieux, comme ça, je n'ai pas de stress post-traumatique", a jugé le double vainqueur de la descente de Kitzbühel l'hiver dernier.

Il a encore dit être toujours "animé par cette flamme" du sport de haut niveau, même s'il est encore trop tôt, selon lui, pour reparler de compétition.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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