International
L'Ukraine est prête à une trêve, à Moscou de "répondre" (Zelensky)
L'Ukraine est prête à une trêve, c'est à la Russie de "répondre", a déclaré mercredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, au lendemain de l'accord donné par Kiev aux Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours.
"Aujourd'hui, cela dépend à 100% de ce pays, parce que l'Amérique a démontré (...) sa position, l'Ukraine a démontré (...) sa position, et aujourd'hui, la Russie doit y répondre", a déclaré M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Kiev.
Les garanties de sécurité pour l'Ukraine seront discutées si la trêve entre en vigueur, a-t-il poursuivi.
De son côté, le chancelier allemand Olaf Scholz a a insisté pour qu'une trêve aboutisse à un "accord durable".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tour de Catalogne: la 1re étape pour Matthew Brennan
Le Britannique Matthew Brennan (19 ans/Visma) a remporté au sprint la 1re étape du Tour de Catalogne à Sant Feliu de Guixols. Il a revêtu le premier maillot de leader (vert et blanc) de la course.
Cette étape de 178 km a été rendue difficile par une pluie quasi constante, qui a rendu les routes glissantes notamment dans les descentes. Le finish a été très spectaculaire.
Parti à 1,5 km de la ligne, le Néerlandais Tibor Del Grosso semblait destiné à signer son premier succès en World Tour. Mais il a coincé dans la rampe finale et s'est fait dépasser... à moins de cinq mètres de la ligne par Brennan et son coéquipier chez Alpecin Kaden Groves. Une issue bien cruelle pour le double champion du monde espoirs de cyclocross (2024 et 2025).
Mardi, la 2e étape mènera le peloton de Banyoles à Figueres sur 176 km. Deux ascensions figurent au menu du jour, mais loin de l'arrivée. Cette étape pourrait donc sourire aux sprinters.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Fin des pourparlers russo-américains, communiqué mardi
Les négociations entre les Etats-Unis et la Russie autour du conflit en Ukraine se sont terminées lundi soir et ont duré plus de douze heures, ont indiqué les agences d'Etat russes en citant des sources anonymes. Les deux pays publieront mardi un communiqué commun.
La déclaration sera publiée mardi par la Maison Blanche et le Kremlin, selon l'agence Tass, qui cite une source au sein de la délégation russe. L'agence Ria Novosti confirme que ce communiqué sera diffusé par les deux pays "demain" mardi.
Les pourparlers qui se sont tenus à huis clos visaient notamment à instaurer une trêve partielle en Ukraine après plus de trois ans d'offensive russe. Ils se sont conclus "après plus de douze heures de consultations", selon l'agence Tass.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Visite américaine au Groenland critiquée, Trump persiste
Le Premier ministre sortant du Groenland, Mute Egede, a vigoureusement dénoncé la prochaine visite de responsables américains, dont le conseiller à la Sécurité nationale, dans ce territoire autonome danois que Donald Trump veut annexer.
Le président américain a réagi en soulignant qu'il s'agissait "d'une démarche amicale". Mais il a affirmé, devant des journalistes à la Maison blanche, que les Etats-Unis répondaient à "l'appel" de "nombreuses personnes du Groenland qui aimeraient que quelque chose se passe pour qu'il soit correctement protégé et que l'on s'en occupe correctement".
"Et je pense que le Groenland sera peut-être un élément de notre avenir. Je pense que c'est important. C'est important du point de vue de la sécurité internationale", a-t-il réitéré lundi. Le conseiller à la Sécurité nationale Mike Waltz se rendra cette semaine au Groenland, selon M. Egede, ainsi que le ministre de l'Energie Chris Wright, d'après la presse américaine. Deux grands avions militaires Hercules de l'équipe de sécurité ont atterri dimanche à Nuuk.
Usha Vance, l'épouse du vice-président américain JD Vance, y sera également en déplacement officiel de jeudi à samedi avec une délégation pour assister à une course nationale de chiens de traîneaux, selon la Maison Blanche. Leur programme n'a pas encore été divulgué mais ils pourraient visiter la base américaine de Pittufik.
"Notre intégrité et notre démocratie doivent être respectées, sans aucune ingérence extérieure", a réagi lundi Mute Egede sur Facebook. Ces déplacements montrent "un appétit inapproprié des Américains", a renchéri auprès de la télévision TV2 le chef de la diplomatie danoise Lars Løkke Rasmussen.
"Des élections viennent d'avoir lieu au Groenland et il n'y a pas de gouvernement groenlandais" constitué pour l'instant, a-t-il souligné. M. Løkke Rasmussen a rappelé que les Américains avaient par le passé une présence militaire plus forte sur l'île. "S'il est nécessaire d'en faire plus, nous aimerions en discuter avec les Américains, mais cela doit se faire dans le respect fondamental" de la souveraineté du Royaume du Danemark, dont fait partie le Groenland, a-t-il insisté.
"S'emparer de notre pays"
Depuis les législatives du 11 mars, le Groenland est en pleines négociations en vue de former une coalition gouvernementale. "Les Américains ont été informés de manière claire qu'il ne pourrait y avoir de rencontres qu'après l'entrée dans ses fonctions d'un nouveau" gouvernement issu des récentes législatives locales, a assuré Mute Egede, qui depuis la défaite de son parti de gauche écologiste dirige un gouvernement par intérim.
Dans un entretien au quotidien groenlandais Sermitsiaq, il a appelé dimanche ses alliés européens à réagir et à afficher leur soutien plus fermement. "Le nouveau gouvernement américain se moque totalement de ce que nous avons bâti ensemble. Désormais, son seul objectif est de s'emparer de notre pays, sans nous consulter", s'est indigné Mute Egede, qui considère que la visite de la délégation américaine sur le sol groenlandais en est une preuve.
Il ne s'agit pas d'"une simple visite anodine de l'épouse d'un responsable politique", a-t-il insisté. "Pourquoi un conseiller à la sécurité nationale se rendrait-il au Groenland ? Son seul objectif est de nous imposer une démonstration de force (...). Sa seule présence au Groenland renforcera la conviction des Américains quant à la faisabilité de l'annexion et la pression s'accentuera après cette visite".
En réaction à l'appel de M. Egede au soutien des Européens, la Commission européenne a rappelé qu'elle continuerait de "défendre les principes de la souveraineté nationale, de l'intégrité territoriale des frontières et de la Charte des Nations unies". "Ce sont des principes universels que nous défendons et que nous ne cesserons de défendre, d'autant plus si l'intégrité territoriale d'un État membre de l'Union européenne est remise en question", a dit sa porte-parole, Anitta Hipper, lors d'une conférence de presse.
"Démarche agressive"
L'annonce de cette visite officielle par les Etats-Unis constitue "une démarche agressive" à contre-courant de toute tradition diplomatique, juge Ulrik Pram Gad, chercheur à l'Institut danois pour les études internationales, auprès de l'AFP. Quand un pays cherche à former un gouvernement, "en tant que voisin amical ou allié, normalement, on ne s'en mêle pas".
"Ils n'ont pas été invités par les Groenlandais, ils n'ont pas été invités par les Danois, ils ont simplement annoncé qu'ils s'y rendraient", constate-t-il. Les Etats-Unis sont maintenant vus comme une menace pesant sur le Groenland, argue Ulrik Pram Gad.
Mi-mars, le président américain avait estimé que l'annexion par les Etats-Unis allait finir par "arriver" et qu'elle favoriserait la "sécurité internationale". Si tous les principaux partis groenlandais sont favorables à l'indépendance de ce territoire à plus ou moins long terme, aucun ne soutient l'idée d'un rattachement à Washington.
D'après les sondages, la population de 57'000 habitants y est également massivement opposée. Grand comme quatre fois la France, le Groenland revêt un intérêt stratégique en raison de son emplacement et de ses richesses minérales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le CICR dénonce une attaque contre ses locaux à Rafah, aucun blessé
Le Comité international de la Croix-Rouge a dénoncé lundi "une attaque" contre ses locaux à Rafah, une ville de la bande de Gaza. L'armée israélienne a reconnu avoir tiré mais "sans savoir" qu'il s'agissait d'un bâtiment de la Croix-Rouge.
"Aujourd'hui, un bureau du CICR à Rafah a été endommagé par un projectile explosif bien qu'il soit clairement identifié et notifié auprès de toutes les parties. Heureusement, aucun membre du personnel n'a été blessé dans cet incident mais cela a un impact direct sur la capacité du CICR à opérer. Le CICR déplore vivement l'attaque contre ses locaux", a déclaré l'organisation dans un communiqué.
De son côté, l'armée israélienne a expliqué dans un communiqué que "plus tôt aujourd'hui (lundi), des forces de l'armée opérant à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, ont tiré en direction d'un bâtiment après avoir identifié des suspects (...) Après vérification, il s'est avéré que le bâtiment appartenait à la Croix-Rouge, ce que nos forces ne savaient pas au moment de l'incident". L'armée a précisé qu'une enquête allait être ouverte.
Le CICR, dont le siège est à Genève, a souligné que le droit international humanitaire accordait une protection spéciale au personnel humanitaire et médical, aux établissements médicaux ainsi qu'aux équipements utilisés pour les opérations de secours humanitaires. Les personnels du CICR ont joué un rôle clé d'intermédiaire lors des échanges d'otages, pris le 7-Octobre par le Hamas et ses alliés, contre des Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes.
"Conséquences humanitaires"
Malgré les services rendus, le CICR a été vertement critiqué par les autorités israéliennes et certaines familles d'otages qui accusent l'organisation de ne pas faire assez pour convaincre le Hamas de pouvoir visiter les otages. Des accusations que le Comité rejette.
Le CICR a aussi indiqué avoir perdu le contact dimanche avec des techniciens médicaux urgentistes du Croissant-Rouge palestinien dont le sort restait inconnu. En outre, des travailleurs humanitaires dans la bande de Gaza ont été tués ou blessés la semaine dernière, a-t-il ajouté.
Dimanche, l'armée israélienne a poursuivi ses opérations terrestres dans tout ce territoire palestinien, encerclant une partie de Rafah, près de la frontière égyptienne, après environ une semaine d'attaques renouvelées sur le territoire palestinien. Israël a repris ses bombardements intensifs sur la bande de Gaza le 18 mars, invoquant une impasse dans les négociations sur les prochaines étapes de la trêve avec le Hamas, après la fin de la première phase ce mois-ci.
"L'escalade des hostilités à Gaza au cours de la dernière semaine a eu des conséquences humanitaires significatives, avec des centaines de civils tués, dont certains restent ensevelis sous les décombres, tandis que d'autres n'ont pas pu être secourus", a déploré le CICR.
De nouveaux ordres d'évacuation poussent les gens à fuir sans savoir où se trouvent des zones sûres, et beaucoup n'ont nulle part où aller. Beaucoup ont été contraints d'abandonner leurs tentes et leurs biens". "La reprise des hostilités et de la violence entraîne une perte d'espoir de toutes parts", a ajouté le CICR.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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