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Coronavirus

Lueur d'espoir dans certains pays

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Les Français resteront confinés jusqu'au 11 mai, date à partir de laquelle une sortie se fera pas à pas (archives). (©KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)
Certains des pays les plus touchés par la pandémie entrevoient une lueur d'espoir: après l'Espagne, où "l'hibernation" économique a pris fin, la France a fixé au 11 mai la date du début du déconfinement. L'idée que "le pire est passé" progresse aussi aux Etats-Unis.

Des responsables soulignent toutefois les dangers de procédures de déconfinement trop rapides. "L'ère de la mondialisation signifie que le risque de réintroduction et de résurgence de Covid-19 va continuer", a ainsi averti le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.

En Italie, où le confinement et l'arrêt quasi total de l'activité économique imposé depuis plus d'un mois a été prolongé jusqu'au 3 mai, quelques commerces, comme les librairies ou les laveries, sont autorisés à rouvrir mardi dans certaines régions. Mais cet allègement reste marginal.

L'Autriche, elle, va rouvrir mardi ses petits commerces, estimant avoir suffisamment "aplati" sa courbe des infections. Lundi, la France a prolongé d'un mois son confinement. Mais le président Emmanuel Macron a aussi esquissé la levée des restrictions et une réouverture des écoles.

"L'épidémie commence à marquer le pas", a assuré M. Macron dans une allocution télévisée, annonçant que le 11 mai sonnerait le début du déconfinement partiel de la France, où le Covid-19 a fait près de 15'000 morts.

Sortie progressive en France

Mais ce sera une sortie progressive: si les écoles doivent rouvrir peu à peu à partir du 11 mai, les bars, restaurants ou cinémas resteront fermés jusqu'à nouvel ordre, tout comme les frontières avec les pays non-européens.

Lors de ce début de déconfinement en France, toute personne présentant des symptômes sera testée et, si elle est positive, mise en quarantaine. Le masque de protection "pourrait devenir systématique" dans "certaines situations" comme les transports en commun, a déclaré M. Macron, qui a reconnu que la France était "à l'évidence mal préparée" pour faire face à une telle pandémie.

Aux Etats-Unis, "le pire est passé" dans l'Etat de New York, a déclaré le gouverneur Andrew Cuomo, bien que l'Etat ait franchi lundi la barre des 10'000 morts. "Nous sommes en train de contrôler la propagation" du virus, a-t-il estimé.

Andrew Cuomo commence à envisager avec prudence l'après-confinement, qui prévoira dans un premier temps "le redémarrage de certaines activités, en maîtrisant un fragile équilibre".

"Rouvrir" l'économie américaine

"Nous sommes très près d'achever un plan pour ouvrir notre pays", a déclaré lundi M. Trump, qui a évoqué "un plateau" de l'épidémie. Son conseiller scientifique Anthony Fauci a estimé que l'économie pourrait redémarrer graduellement en mai grâce à un début d'amélioration des principaux indicateurs de la propagation.

Les gouvernements du monde entier planchent sur la stratégie de reprise de l'activité, qui sera forcément graduelle pour éviter une deuxième vague plus mortelle encore que la première.

Certains pays moins touchés, comme l'Autriche, ont déjà déclenché leur plan de sortie de crise. Mais aucun parmi les plus endeuillés, comme les Etats-Unis (plus de 23'500 morts), l'Italie (plus de 20'000), l'Espagne (plus de 17'000) ou le Royaume-Uni (plus de 11'000), n'avait encore donné, comme l'a fait la France, une date précise pour la fin des restrictions les plus draconiennes.

Car dans l'immédiat, l'heure est encore au confinement. Londres envisage de le prolonger. Les "mesures actuellement en vigueur" ne devraient pas être levées immédiatement, le pays n'ayant "toujours pas passé le pic" de l'épidémie, a annoncé lundi le ministre britannique des Affaires étrangères Dominic Raab, qui dirige provisoirement le gouvernement en l'absence de Boris Johnson. Ce dernier, contaminé par le Covid-19, est en convalescence après s'en être sorti de justesse.

Fin de l'"hibernation" en Espagne

En Espagne, malgré la poursuite du confinement, le gouvernement a autorisé les travailleurs, sous conditions strictes, à reprendre le chemin des usines et des chantiers, après deux semaines d'"hibernation" de toutes les activités économiques non essentielles.

Pour tenter de relancer une économie fragile tout en évitant un rebond des contagions, des policiers et des volontaires ont distribué, dans les métros et les gares, dix millions de masques.

Ces reprises très limitées sont permises par les nouvelles sanitaires qui s'améliorent malgré la litanie des décès égrenée chaque jour sur la planète, qui a enregistré plus de 117'000 morts depuis le début de l'épidémie.

En Italie ou en Espagne, les bilans quotidiens sont un peu moins lourds, et dans plusieurs pays, comme en France, le nombre de patients en réanimation à l'hôpital diminue lentement. Aux Etats-Unis, un certain ralentissement est aussi constaté, même si on déplore toujours plus de 1000 décès par jour (plus de 1500 en 24 heures ont été enregistrés lundi).

En Inde, le Premier ministre indien Narendra Modi a annoncé mardi le prolongement du confinement jusqu'au 3 mai.

Appel de L'OMS

L'OMS, qui avait déjà prévenu vendredi qu'une levée prématurée des mesures de confinement pourrait entraîner une "résurgence mortelle" de la pandémie, a renouvelé son message d'extrême prudence, appelant à un déconfinement "lent".

"Nous savons que le Covid-19 se répand rapidement et nous savons qu'il est mortel: 10 fois plus que le virus responsable de la pandémie de grippe de 2009", a déclaré lundi son directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d'une conférence de presse virtuelle depuis Genève.

"Au final, la mise au point et la distribution d'un vaccin sûr et efficace vont être nécessaires pour interrompre totalement la transmission", a-t-il souligné.

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Covid-19: la fuite de laboratoire privilégiée par la Maison-Blanche

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Le virus du SARS-CoV-2 a fait plus d'un million de morts aux Etats-Unis et des millions d'autres dans le monde (archives). (© KEYSTONE/AP CDC/HANNAH A. BULLOCK, AZAIBI TAMIN)

La thèse de la fuite de laboratoire présentée comme la "véritable origine" du Covid-19 est désormais promue dans la version remaniée de la page Internet de la Maison-Blanche sur le virus, dévoilée vendredi. Cette théorie est fortement contestée.

Une image du président américain Donald Trump et des critiques de la réponse à la pandémie de son prédécesseur à la Maison-Blanche Joe Biden s'affichent aussi sur cette page, qui présentait jusque-là des informations sur la vaccination ou les tests.

Le site Covid.gov cible aussi l'ex-architecte de la stratégie de Washington contre le virus, le docteur Anthony Fauci, pour avoir défendu "le scénario privilégié selon lequel le Covid-19 est d'origine naturelle".

La page liste désormais cinq arguments en faveur de la théorie de la fuite de laboratoire, soulignant notamment que les premiers cas connus de la maladie se sont déclarés à Wuhan, en Chine, où est hébergé un institut de virologie réputé pour ses recherches sur les coronavirus.

FBI et CIA

"S'il existait des preuves d'une origine naturelle, elles seraient déjà apparues. Mais ce n'est pas le cas", peut-on y lire aussi. L'hypothèse de la fuite d'un laboratoire, qualifiée un temps de complotiste, a récemment gagné en popularité aux Etats-Unis.

Des agences américaines comme le FBI ou le ministère de l'énergie la soutiennent désormais à des degrés divers de certitude, bien que la question de l'origine du Covid-19 demeure un mystère largement débattu par les scientifiques.

Principale agence de renseignement des Etats-Unis, la CIA avait aussi estimé en janvier "avec un faible degré de confiance [...] qu'une origine de la pandémie de Covid-19 liée à des recherches est plus probable qu'une origine naturelle". Cette hypothèse a été jugée d'"extrêmement improbable" par la Chine.

Désormais engagée dans une guerre commerciale majeure avec Washington, Pékin avait également accusé les Etats-Unis "de politiser et d'instrumentaliser la question de la recherche des origines" de la pandémie.

Dans une rubrique intitulée "désinformation", le site accuse également M. Biden d'avoir discrédité des "traitements alternatifs" et de s'être entendu avec les grandes plateformes pour censurer les discours dissidents sur les réseaux sociaux, un reproche fréquemment adressé par les conservateurs.

Plus d'un million de personnes sont mortes du Covid-19 aux Etats-Unis et des millions d'autres dans le monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Coronavirus

Covid: la Suisse a éliminé des vaccins pour 1,3 milliard de francs

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La Suisse a utilisé pour 0,57 milliard de francs de vaccins contre le Covid-19. (© KEYSTONE/DPA/SVEN HOPPE)

La Confédération a éliminé des vaccins contre le Covid-19 non utilisés pour une valeur de plus de 1,3 milliard de francs. Le matériel effectivement utilisé en Suisse a atteint moins de la moitié de cette somme, selon les données des autorités.

Interrogée par l'agence de presse Keystone-ATS, l'Administration fédérale des finances (AFF) a confirmé les calculs effectués par la "Sonntagszeitung" et "Le Matin Dimanche".

Entre 2020 et 2023, la Suisse a acheté du matériel sanitaire contre le Covid-19 pour une valeur d'environ 2,3 milliards de francs. Elle en a utilisé pour 0,57 milliard et envoyé des vaccins à l'étranger au titre de l'aide humanitaire pour une valeur de 0,27 milliard de francs.

Le reste du matériel, d'une valeur de 1,45 milliard de francs, a fait l'objet de "corrections de valeur", selon l'administration des finances.

90% de ces "corrections de valeur" concernent des vaccins qui ont dû être éliminés après leur date de péremption, selon l'AFF. Cela correspond à plus de 1,3 milliard de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Coronavirus - Économie

Nouvel Hôpital des enfants: le CHUV centralise ses soins pédiatriques

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Le nouvel Hôpital des enfants du CHUV a été inauguré jeudi à Lausanne. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le CHUV à Lausanne a inauguré ce jeudi son nouvel Hôpital des enfants. La majorité des activités pédiatriques sont maintenant regroupées à la cité hospitalière. L'ouverture officielle de l'établissement aux patients est prévue pour le 14 mai.

C’est un projet d’envergure qui voit le jour à Lausanne. Le CHUV a inauguré ce jeudi son nouvel Hôpital des enfants. Situé au cœur de la cité hospitalière, cet établissement regroupe la majorité des activités pédiatriques de l’hôpital universitaire vaudois, qui étaient jusque-là réparties sur deux sites différents. Cette centralisation des prestations optimise les services de soins à l’enfant, selon les autorités vaudoises, offrant une vraie plus-value aux familles.

"Cet hôpital symbolise l'importance accordée à la prise en charge des plus vulnérables tout en rappelant que l'avenir d'une société dépend de sa capacité à protéger et à soigner les jeunes générations (...) Pour les familles, c'est une promesse d'espoir et de sérénité: savoir que leurs enfants peuvent recevoir les meilleurs soins possibles dans un cadre conçu pour eux", a aussi affirmé la Conseillère d'Etat.

L’établissement a été pensé spécifiquement pour répondre aux besoins des enfants, des adolescents et de leurs proches, autant en termes d’accès que d'infrastructures. Une terrasse thérapeutique de 3'000 mètres carrés a notamment été aménagée. 

Plus de 70 lits

Surplombant la station de métro "CHUV", juste en face du bâtiment principal et au pied de la maternité, l'Hôpital des enfants occupe un emplacement stratégique. Il accueillera 1200 collaborateurs, plus de 70 lits d'hospitalisation, un service d'urgences pédiatriques 24/24, six salles de bloc opératoire, trois espaces éducatifs et une salle de classe.

Chaque chambre compte maximum deux lits et peut recevoir un parent sur une banquette qui se transforme en lit, durant l'hospitalisation de son enfant. Des espaces de détente et de jeux ont aussi été prévus pour les familles, y compris une cafétaria publique de 80 places, le tout avec une signalétique "rassurante, joyeuse et sympathique" dans un environnement accueillant et des infrastructures modernes.

Le regroupement du Service de pédiatrie et du Service de chirurgie de l'enfant et de l'adolescent, rattachés au Département femme-mère-enfant du CHUV, supprime les allers-retours parfois fastidieux entre les deux précédents sites (Montétan et Bugnon). Ce regroupement permet également un accès rapide à la Maternité et au plateau technique du bâtiment hospitalier principal du CHUV.

"Ce nouvel hôpital marque un tournant historique pour les soins à l'enfant en Suisse romande, actualisant la manière dont les soins pédiatriques sont conçus et délivrés au CHUV. Il offrira des soins multidisciplinaires de pointe, ont affirmé ses responsables.

De la cardiologie à l'oncologie en passant par la chirurgie pédiatrique, la médecine d'urgence ou encore la pneumologie et l'ORL, l'expertise universitaire pédiatrique du CHUV se trouve ainsi regroupée sur un même site. L'objectif du CHUV est de prendre en charge l'enfant dans sa globalité, avec des soins adaptés autant aux enfants en bas âges qu'aux jeunes qui s'approchent de l’âge adulte. 

Coût de 204 millions

Financé par les pouvoirs publics à hauteur de 204,5 millions pour sa réalisation et ses équipements, l'Hôpital des enfants est un projet développé par le groupement GMP Architekten de Hambourg et Ferrari Architectes de Lausanne. Les travaux ont duré près de six ans.

Jusqu'à présent, les activités pédiatriques du CHUV étaient réparties sur deux sites à Lausanne: l'Hôpital de l'enfance (chemin de Montétan 16) et la cité hospitalière (rue du Bugnon 46). Dès le mois de mai 2025, la majorité des activités pédiatriques - hospitalisations, consultations générales et spécialisées, urgences pédiatriques, radiologie ou encore bloc opératoire - déménageront progressivement dans le nouvel hôpital (rue du Bugnon 50).

L'emménagement des équipes dans le nouvel hôpital débutera le 8 mai prochain. Les deux autres sites fermeront dès le 14 mai, mais seront réaffectés à d'autres activités hospitalières. Une campagne d’information à la population relative à cette transition sera menée dès la fin du mois d'avril 2025.

Avec Keystone ats

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Coronavirus

Covid: il y a cinq ans, le Conseil fédéral décrétait le confinement

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Le 16 mars 2020, le Conseil fédéral décrétait l'état de situation extraordinaire, prenant seul les commandes de la crise (archives). (© Keystone/ANTHONY ANEX)

Il y a cinq ans jour pour jour, le 16 mars 2020, le Conseil fédéral déclarait l'état de situation extraordinaire pour toute la Suisse en raison de la pandémie de Covid-19. Durant le confinement, les restaurants, magasins, marchés et centres de loisirs ont dû fermer.

Le confinement et les mesures contre le Covid-19 ont eu un impact sur différents secteurs de la société:

TRAVAIL: La pandémie a entraîné une extension mondiale du télétravail dans les entreprises. Près de la moitié de tous les employés ont eu la possibilité de travailler à domicile en permanence ou au moins de temps en temps depuis le début des mesures, a montré une enquête de l'Office fédéral de la statistique (OFS) de 2021. Les personnes titulaires d'un diplôme tertiaire et celles disposant d'un revenu élevé étaient particulièrement nombreuses à télétravailler, à savoir respectivement 67,7 et 72,3%.

Durant le confinement, nettement moins de personnes ont été victimes d'accidents en Suisse, ce qui s'est répercuté sur les finances de l'assurance-accidents Suva. Cette dernière a quadruplé son résultat d'exploitation en 2020 pour atteindre 241 millions de francs. Elle a réduit ses primes d'assurance en 2021. Les accidents professionnels ont diminué de 10,8% par rapport à l'année précédente, les accidents de loisirs de 10,9%.

REVENUS: Une enquête menée par l'OFS en 2021 a également montré que 11,3% de la population avait subi une baisse de revenus en raison de la pandémie. Dans les secteurs de la restauration et de l'hébergement, une personne sur trois a gagné moins en raison des conséquences de la pandémie.

SANTÉ PSYCHIQUE: La pandémie a aussi eu des conséquences négatives sur la santé psychique de la population: 40,2% des personnes ont indiqué qu'elle avait eu un effet négatif sur leur humeur. La proportion était particulièrement élevée chez les personnes de 16 à 24 ans (55,1%), celles ayant une formation tertiaire (44,8%) et celles avec un bon revenu (45,1%). Les retraités ont été plus sereins face à la crise sanitaire: seule une personne sur quatre a laissé le sujet lui gâcher la vie.

Selon une étude de l'Université de Bâle, près d'une personne sur deux était plus stressée pendant le confinement qu'avant la crise, les principales raisons invoquées étant les changements au niveau du travail ou de la formation, la vie sociale réduite ainsi que la charge de travail liée à la garde des enfants.

La proportion de personnes souffrant de symptômes dépressifs a en outre augmenté. 57% des personnes interrogées ont ainsi indiqué que de tels symptômes s'étaient renforcés chez elles.

L'offre d'aide de La Main Tendue a mené nettement plus d'entretiens en 2020 que l'année précédente: 7% d'appels supplémentaires ont été reçus par le "143".

ADDICTION: Selon Addiction Suisse, la pandémie a créé de nouveaux groupes à risque. Les personnes qui avaient déjà un comportement de consommation problématique avant la crise ont présenté une augmentation de leur consommation d'alcool. Une grande partie des fumeurs quotidiens ont aussi renforcé leur consommation pendant et après le confinement. Parmi les fumeurs occasionnels, le tabagisme a eu tendance à diminuer.

TRANSPORT ROUTIER: Le confinement a eu une influence déterminante sur la réduction du trafic routier. Au cours de la première année de pandémie, ce dernier a considérablement diminué, comme le montre très clairement le nombre de morts sur les routes: alors qu'en 2019, 42 personnes par million d'habitants sont mortes en Suisse, elles n'étaient plus que 22 en 2020, soit 52,4% de moins.

POLLUTION: La réduction du trafic routier a amélioré la qualité de l'air en 2020, mais pas trop: les valeurs limites pour l'ozone ont de nouveau été dépassées, de même celles pour les poussières fines respirables, du moins au sud des Alpes, comme le montre le rapport sur la qualité de l'air 2020 de l'Office fédéral de l'environnement.

AIDES FINANCIÈRES: Pour lutter contre la pandémie, différentes mesures ont été prises pour stabiliser l'économie. Elles visaient les entreprises, les travailleurs et les indépendants. Des indemnités de chômage partiel, des allocations pour perte de gains ou des crédits transitoires ont notamment été prévus.

La Confédération a dépensé 16,8 milliards de francs pour indemniser le chômage partiel et 17 milliards pour les crédits transitoires accordés aux entreprises durant la première vague. La Confédération a également soutenu certains secteurs comme la culture (478 millions), le sport professionnel (350 millions) et le sport de masse et de compétition (259 millions).

ARMEE: Pour soutenir les autorités civiles, le Conseil fédéral a mobilisé 8000 militaires. Il s'agissait de la plus grande mobilisation depuis la Deuxième Guerre mondiale. Les militaires ont notamment été engagés dans les soins, la surveillance des patients, les transports sanitaires ou la logistique hospitalière.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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