International
Après un premier triomphe, Trump vers l'investiture républicaine
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Faire campagne jusque, et même surtout devant les tribunaux: Donald Trump poursuit mardi la stratégie qui lui a valu la veille une victoire écrasante dans la première primaire républicaine, dans l'Iowa.
L'ancien président est arrivé dans la matinée à New York pour l'ouverture d'un procès en diffamation, intenté par une autrice qui l'avait déjà fait condamner pour agression sexuelle en 2023.
Ni cette affaire, ni les quatre inculpations au pénal du magnat de 77 ans n'entament la ferveur de ses partisans, qui, lundi soir dans l'Iowa, l'ont rapproché encore d'un nouveau duel avec l'actuel président démocrate Joe Biden, 81 ans, lors de la présidentielle de novembre.
Un peu plus de 100'000 électeurs de cet Etat rural et très conservateur ont bravé des températures glaciales pour donner à l'ancien président 51% des voix, loin devant Ron DeSantis et Nikki Haley, désormais ses seuls rivaux à droite.
"Cette élection, c'est vous et moi contre les trumpistes extrémistes", a réagi Joe Biden, qui lui-même n'a guère de concurrence pour la future investiture démocrate, sur son compte X (anciennement Twitter).
Promesse de "vengeance"
Donald Trump, faisant campagne sur une promesse de "vengeance" après l'élection de 2020, qu'il conteste toujours avoir perdue, a été donné vainqueur avant même que ne se concluent les opérations de vote des "caucus" de l'Iowa.
Ces assemblées tenues dans des écoles, bibliothèques et casernes de pompiers, où les participants écrivent le nom d'un candidat sur des morceaux de papier, collectés dans des sachets de congélation ou des pots à popcorn, sont depuis des décennies le premier ring de la primaire républicaine, qui se finira en juillet par la convention du parti.
Vainqueur par K.O. dans l'Iowa, Donald Trump mènera son prochain combat dans le New Hampshire, petit Etat du nord-est réputé plus centriste, où il se rend dès mardi. S'il l'emporte à nouveau largement, il fera, de fait, le vide autour de lui avant même l'investiture officielle.
"Pas une surprise"
La première victoire de l'ancien président n'est "pas une surprise", a commenté Dennis Goldford, politologue à la Drake University dans l'Iowa, notant la "force impressionnante de Trump auprès des ouvriers, des classes populaires et de l'électorat rural".
"Il est temps maintenant (...) pour notre pays de s'unir", a dit Donald Trump lundi à Des Moines, la capitale de l'Iowa. La déclaration tranche avec les attaques violentes contre ses adversaires politiques et contre les migrants qu'il a lancées ses derrières semaines, usant d'un vocabulaire que Joe Biden qualifie de "nazi".
Lundi soir, un Donald Trump moins incendiaire a promis à nouveau de "fermer la frontière" avec le Mexique aux migrants venus d'Amérique centrale et latine, un sujet très porteur auprès de son électorat.
Haley et DeSantis au coude à coude
Alors que 49 Etats américains doivent encore voter jusqu'en juin, l'ancien président a déjà réduit la concurrence à deux rivaux. Le gouverneur de Floride Ron DeSantis et l'ancienne ambassadrice à l'ONU Nikki Haley sont en effet arrivés au coude à coude dans l'Iowa.
Le premier, un conservateur quadragénaire aux positions dures sur l'immigration ou l'avortement, a engrangé quelque 21% des voix. La seconde, unique femme dans la course, en a récolté 19% et espère faire bien mieux auprès de l'électorat plus modéré du New Hampshire.
Aucun des deux n'entend pour l'heure jeter l'éponge, et cette rivalité pour la seconde place pourrait bien, en fin de compte, renforcer encore l'emprise de Donald Trump sur la droite américaine.
Le Parti républicain s'est déjà majoritairement rallié à ses positions les plus radicales. Un sondage mené par la chaîne CNN auprès des participants aux primaires de l'Iowa montre ainsi que deux tiers d'entre eux adhèrent à la théorie sans fondement de Donald Trump selon laquelle Joe Biden aurait volé la victoire à la présidentielle de 2020.
Fossoyeur de la démocratie
De son côté, l'actuel président fait jusqu'ici essentiellement campagne en présentant Donald Trump comme le fossoyeur en puissance de la démocratie américaine.
Joe Biden devrait, sauf surprise, être désigné en août comme le candidat de son parti, malgré l'effet négatif de son âge auprès des électeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Quatre sur quatre pour les Suisses à Garmisch
Les quatre sauteurs suisses en lice ont passé l'écueil de la qualification jeudi à Garmisch, théâtre de la deuxième étape de la Tournée des Quatre tremplins.
Gregor Deschwanden a réalisé la meilleure performance helvétique en se classant 19e. Le Lucernois s'est posé à 132,5 mètres pour devancer de peu son coéquipier Sandro Hauswirth, 23e avec 133,5 mètres. Le vétéran Simon Ammann (39e) a validé son ticket en atterrissant à 124,5 mètres, alors que Juri Kesseli a profité d'une disqualification pour décrocher la 50e et dernière place qualificative.
Kesseli aura l'honneur d'affronter Domen Prevc, vainqueur du concours d'Oberstdorf ainsi que de la qualification mercredi, en première manche de ce saut du Nouvel An. Deschwanden en découdra avec le Kazakhe Ilya Mizernykh, Hauswirth avec l'Allemand Ben Bayer et Ammann avec le Polonais Kacper Tomasiak.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La région Pacifique est passée en 2026
Les pays du Pacifique ont les premiers à célébrer le passage à la nouvelle année. Plusieurs feux d'artifice ont été tirés, mais l'ambiance était lourde à Sydney, suite à l'attentat antisémite qui a eu lieu le 14 décembre.
En Nouvelle-Zélande, la capitale Wellington s'est illuminée de feux d'artifice, donnant le coup d'envoi à une chaîne de festivités dans le monde.
A Sydney, qui s'est proclamée "capitale mondiale du Nouvel An", l'événement a été assombri par l'attentat antisémite ayant fait 15 morts à la mi-décembre sur l'une de ses plages emblématiques.
Une minute de silence a été observée à 23h00 (13h00 suisses) par la foule, que sillonnaient des patrouilles de policiers lourdement armés, tandis que le célèbre pont du port s'illuminait d'une lumière blanche pour symboliser la paix.
"Là, maintenant, la joie que nous ressentons habituellement au début de la nouvelle année est tempérée par la tristesse de l'année écoulée", a déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, dans un message vidéo.
Rio vise un record
Des centaines de milliers de spectateurs se sont massés sur les quais de Sydney pour admirer l'énorme feu d'artifice tiré à minuit, pendant que des bateaux s'assuraient les meilleurs emplacements à proximité du célèbre opéra. "J'ai toujours rêvé d'assister à ce feu d'artifice et je suis ravie d'être ici", a confié Susana Suisuikli, une touriste anglaise.
A Hong Kong, le grand feu d'artifice prévu dans la baie Victoria a carrément été annulé en hommage aux 161 personnes mortes dans l'incendie d'un complexe d'habitations en novembre.
Au Brésil, à Rio de Janeiro, la "plus grande célébration du Nouvel An" reconnue par le Guiness des records, s'annonce grandiose avec 2,5 millions de fêtards sur la plage de Copacabana.
Douze minutes de feux d'artifice et 1200 drones doivent illuminer le ciel carioca. Treize scènes ont été installées pour des concerts gratuits dans toute la ville.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Football
Mbappé absent au moins trois semaines
Kylian Mbappé sera absent au moins trois semaines, a indiqué mercredi le Real Madrid dans un communiqué. La star française souffre d'une entorse du genou gauche.
Le Real Madrid souligne dans son communiqué que son état serait réévalué prochainement. Mbappé est touché au ligament externe du genou, selon une source proche du joueur.
Le capitaine des Bleus, qui a passé une IRM mercredi, devrait rater plusieurs matches de championnat, mais aussi la Supercoupe d'Espagne du 7 au 11 janvier en Arabie saoudite et probablement la rencontre contre son ancien club, Monaco, en Ligue des champions le 20 janvier.
Depuis le début de la saison, le no 10 a enchainé les matches avec le Real Madrid, qui se repose sur lui offensivement ces dernières semaines. Le 20 décembre, il a égalé le record de Cristiano Ronaldo (2013) avec un 59e but inscrit en 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Bangladesh a fait ses adieux à son ex-Première ministre
Une foule immense a assisté mercredi à Dacca aux funérailles nationales de l'ancienne Première ministre Khaleda Zia. Cette personnalité a marqué la vie politique du Bangladesh pendant 40 ans.
Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d'Asie du Sud de 170 millions d'habitants.
Des milliers d'agents des forces de l'ordre ont été déployés le long des artères de la capitale empruntées par le convoi funéraire pavoisé aux couleurs du drapeau national.
Des prières ont été dites autour de son cercueil et, pour ces funérailles nationales, une marée humaine portant le deuil s'est rassemblée devant le Parlement. Dans la foule, beaucoup brandissaient le drapeau national ou celui du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) de l'ex-dirigeante.
Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n'avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre.
"Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires", a-t-il confié, derrière une barrière surmontée de fil de fer barbelé.
"Son héritage demeure"
Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du BNP pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l'été 2024 et de briguer un siège au Parlement.
Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l'assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d'Etat militaire de 1981.
"Elle n'est plus là, mais son héritage demeure - et le BNP aussi", a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de route pour assister au passage du cortège funéraire.
Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d'un exil volontaire au Royaume?Uni.
A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026.
Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national.
"Une grande protectrice"
Les funérailles se sont tenues mercredi après-midi devant le Parlement et l'ex-cheffe du gouvernement a ensuite été inhumée aux côtés de son mari.
Des dirigeants ainsi que des officiers de l'armée ont déposé des gerbes, et un clairon a retenti.
Le pays "a perdu une grande protectrice", a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant "son leadership inflexible".
"Le pays pleure la perte d'une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques", a déclaré son fils dans un communiqué.
Elle "a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante", a-t-il ajouté, mais "sa résilience (...) était inébranlable".
Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d'un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire.
"Une source d'inspiration"
Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d'une main de fer pendant 15 ans jusqu'à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après.
Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que "sa vision et son héritage continuer(aient) de guider notre relation".
Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre les deux pays voisins.
L'Inde était l'un des principaux soutiens de l'ex-Première ministre Sheikh Hasina qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire .
Le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, s'est rendu à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi. C'est la visite du plus haut responsable du gouvernement indien depuis le renversement de l'ex-Première ministre. Il a indiqué avoir rencontré M. Rahman et lui avoir présenté les "plus profondes condoléances" de l'Inde.
En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l'été 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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