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L'incendie maîtrisé dans la banlieue Sud d'Athènes

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Le violent incendie dans la banlieue Sud d'Athènes a été maîtrisé et les habitants ont pu regagner leurs foyers, ont indiqué dimanche les services de secours. (© KEYSTONE/EPA/YANNIS KOLESIDIS)

Les pompiers grecs ont réussi à maîtriser un violent incendie dans la banlieue Sud d'Athènes où les habitants ont pu regagner leurs foyers, ont indiqué dimanche les services de secours.

"A ce stade, le feu a été circonscrit, les habitants sont de retour dans leurs maisons", a déclaré le ministre adjoint à la Protection civile, Evangelos Tournas, lors d'un point de presse.

De nombreux pompiers restent déployés dans la zone "et resteront aussi longtemps que nécessaire, tandis que les avions continueront de larguer de l'eau" de manière préventive, a-t-il déclaré.

Au total, 283 pompiers dans 65 véhicules, avec l'aide de groupes de passants, se sont mobilisés au cours de la nuit pour parvenir à maîtriser l'incendie. Deux avions de pompiers et deux hélicoptères étaient toujours en opération tôt dimanche.

Toujours en alerte

Alors que l'incendie est maîtrisé, les autorités ont néanmoins déclaré qu'elles restaient en état d'alerte au cas où il redémarrerait. Le feu attisé par des vents violents a ravagé samedi la végétation dans la banlieue Sud d'Athènes, obligeant de nombreux habitants à évacuer.

La protection civile grecque a appelé par SMS via le numéro d'urgence 112 les habitants d'Ano Voula et des environs à quitter leurs logements, les flammes ayant déjà atteint une zone d'habitation.

Giorgos Papanikolaou, le maire de Glyfada, où l'incendie s'est déclaré, a expliqué, sans fournir d'autres détails, qu'une centrale électrique à haute tension avait été à l'origine du sinistre.

Plus tard dans l'après-midi, un autre incendie s'est déclaré près d'Athènes, à Kouvaras, mais aucune zone résidentielle n'était menacée.

Pompiers européens

L'été dernier, la vague de chaleur la plus grave qu'ait connue la Grèce depuis des décennies, que les autorités ont imputée au changement climatique, a provoqué des incendies qui ont détruit plus de 100'000 hectares de forêts et de terres agricoles, les pires dégâts causés par des incendies depuis 2007.

Plus de 200 pompiers et des équipements fournis par d'autres pays de l'Union européenne (UE) seront bientôt déployés en Grèce pour l'aider dans la lutte contre ces feux de forêt.

La Bulgarie, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Roumanie et la Norvège participeront à cette opération, coordonnée par le mécanisme de protection civile de l'UE, a annoncé jeudi la Commission européenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Marc Marquez remporte le sprint, devant son frère Alex

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Marc Marquez a dominé le sprint du GP d'Espagne (© KEYSTONE/EPA/ROMAN RIOS)

Marc Marquez (Ducati) est décidément intouchable lorsqu'il ne part pas à la faute.

Le leader du championnat du monde de MotoGP a remporté samedi le sprint du GP d'Espagne en devançant une nouvelle fois son frère cadet Alex (Ducati).

Vainqueur des quatre premiers sprints de l'année, Marc Marquez a réussi la passe de cinq sur le circuit de Jerez, pour le plus grand bonheur de ses supporters. L'Espagnol de 32 ans s'est imposé avec un peu plus d'une seconde de marge sur Alex Marquez, l'Italien Francesco Bagnaia (Aprilia) se classant quant à lui 3e à 3''077.

L'octuple champion du monde conforte ainsi son avance en tête du championnat du monde et compte désormais respectivement 20 et 31 longueurs d'avance sur son frère et sur Bagnaia. A noter que le Français Fabio Quartararo, qui s'était élancé en pole, a chuté au moment où Marquez le dépassait dans le 2e des 12 tours de course.

Marc Marquez visera dimanche son quatrième succès dans un Grand Prix dominical en 2025. Il n'a connu pour l'heure qu'un seul échec durant cette saison quasi parfaite pour lui, à Austin au Texas où il était parti à la faute alors que la victoire lui semblait promise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

En Iran, une explosion fait au moins quatre morts et 500 blessés

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Une explosion dans le port iranien de Shahid Rajaï a fait au moins 500 blessés samedi. (© KEYSTONE/EPA/IRIB HANDOUT)

Une "puissante explosion" en Iran a fait samedi au moins quatre morts, et plus de 500 blessés, dans un port clé du sud du pays, ont rapporté les médias d'Etat, précisant qu'une enquête avait été ouverte sur les causes du sinistre, encore indéterminées.

Des images de l'agence de presse officielle Irna ont montré des secouristes affluer sur les lieux, d'où s'élève une épaisse colonne de fumée noire, et un homme blessé, le visage en sang, près d'un camion sur un axe routier proche du port. Une voiture couverte de tâches de sang est encastrée dans un poids-lourd.

"Une puissante explosion s'est produite sur un quai du port Shahid Rajaï", a déclaré à la télévision un responsable local de l'administration portuaire, Esmaïl Malekizadeh.

"Malheureusement, au moins quatre décès ont été confirmés", a déclaré à la télévision d'Etat le responsable des opérations de secours du Croissant-Rouge iranien, Babak Mahmoudi.

"Tout en exprimant mes profonds regrets et ma sympathie aux victimes de l'incident survenu dans la province d'Hormozgan, j'ordonne l'ouverture d'une enquête", a écrit le président iranien Massoud Pezeshkian sur X, ajoutant que le ministre de l'Intérieur Eskandar Momeni se rendrait sur les lieux de la catastrophe.

Avant ce nouveau bilan provisoire, la télévision d'Etat avait fait état de "516 personnes" blessées et de "centaines transférées vers des centres médicaux", et diffusé des images montrant des hélicoptères déployés pour tenter d'éteindre l'incendie.

Une séquence vidéo d'une caméra de surveillance relayée par l'agence Mehr montre une explosion dans un hangar, qui provoque un épais nuage de fumée et de poussière.

Le port Shahid Rajaï, crucial pour le commerce, est situé à plus d'un millier de kilomètres au sud de Téhéran près de la grande ville côtière de Bandar Abbas, sur le détroit d'Ormuz.

Il est le plus grand port commercial d'Iran, selon l'agence de presse officielle Irna.

Plus de 70% des marchandises de l'Iran transitent par ce port, qui borde le détroit d'Ormuz par lequel transite un cinquième de la production mondiale de pétrole.

"L'incident est dû à l'explosion de plusieurs conteneurs stockés dans la zone du quai du port Shahid Rajaï", a de son côté indiqué un responsable local des secours, Mehrdad Hassanzadeh, à la télévision d'Etat.

Le premier vice-président, Mohammad Reza Aref, a ordonné l'ouverture d'une enquête pour déterminer la cause exacte du sinistre et l'étendue des dégâts, selon l'agence Isna.

"Onde de choc"

Dans un communiqué repris par la télévision d'Etat, les douanes du port ont indiqué que la cause de l'incident était probablement un incendie dans un dépôt de stockage de matières dangereuses et chimiques.

La détonation a été entendue à une cinquantaine de kilomètres à la ronde, selon l'agence de presse Fars.

"L'onde de choc a été si forte que la plupart des bâtiments du port ont été gravement endommagés", a indiqué de son côté l'agence de presse Tasnim.

Le nombre d'employés présents au moment de l'explosion n'est pas connu dans l'immédiat.

Samedi est le premier jour ouvré de la semaine en Iran.

La compagnie nationale de distribution de pétrole a déclaré que les installations pétrolières n'avaient pas été endommagées et "fonctionnent actuellement normalement".

Des explosions de cette magnitude sont rares en Iran mais le pays a connu ces derniers mois des sinistres meurtriers.

En septembre dernier, une explosion dans une mine de charbon avait ainsi fait plus de 50 morts.

L'explosion est intervenue au moment où des délégations iranienne et américaine de haut-niveau ont entamé à Oman un troisième cycle de négociations cruciales sur le nucléaire iranien, après de précédents échanges qualifiés de constructifs par les deux pays, ennemis depuis quatre décennies.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

23''51 pour Mujinga Kambundji sur 200 m

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Mujinga Kambundji a signé une rentrée discrète en plein air (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Mujinga Kambundji a signé une rentrée discrète en plein air. La Bernoise a pris la 9e et dernière place du 200 m du meeting de Xiamen, première étape de la Ligue de diamant.

Pourtant bien partie, Mujinga Kambundji a flanché sur la ligne droite pour se contenter d'un chrono de 23''51. Elle disputait sa première course depuis son deuxième sacre mondial sur 60 m en salle, fêté il y a tout juste un mois en Chine déjà (Nanjing).

Mujinga Kambundji, qui avait réussi 23''39 lors du même meeting l'an dernier mais pour ce qui constituait sa première course de l'année 2024, sera à nouveau présente sur le front de la Ligue de diamant la semaine suivante à Shanghai. Elle courra à nouveau un 200 m.

A noter par ailleurs la défaite de la Jamaïcaine Shericka Jackson dans cette épreuve. La deuxième femme la plus rapide de l'histoire sur le demi-tour de piste a terminé 2e en 22''79, battue par l'Américaine Anavia Battle (22''41).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Hamas prêt à un accord sur les otages et une longue trêve

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Le Hamas propose la libération de tous les étages contre une trêve de 5 ans avec Israël (archives). (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Le Hamas s'est dit samedi prêt à un accord pour la libération en une fois de tous les otages encore retenus à Gaza et une trêve de cinq ans avec Israël. Pendant ce temps, de nouvelles frappes sur le territoire palestinien ont fait au moins 17 morts dans la matinée.

Une délégation du mouvement islamiste palestinien doit rencontrer dans la journée au Caire les médiateurs égyptiens à la recherche d'une issue à la guerre qui ravage depuis 18 mois la bande de Gaza, déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.

Le Hamas "est prêt pour un échange de prisonniers (otages israéliens contre prisonniers palestiniens, ndlr) en une seule opération et pour une trêve de cinq ans", a déclaré, sous couvert de l'anonymat, un de ses responsables à l'AFP.

Le mouvement avait rejeté le 17 avril une proposition israélienne prévoyant notamment une trêve de 45 jours en échange du retour de dix otages vivants, captifs depuis le 7-Octobre.

Il demande un accord "global" incluant un arrêt des hostilités, un retrait complet des troupes israéliennes, l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens et l'entrée d'aide humanitaire dans Gaza, a réaffirmé samedi à l'AFP un de ses dirigeants, Taher al-Nounou.

Israël - qui n'a dans l'immédiat pas réagi à l'appel à une longue trêve - réclame de son côté le retour de tous les otages et le désarmement du Hamas, qu'il s'est juré d'anéantir. Le mouvement palestinien exclut lui de rendre les armes.

Maison bombardée

Selon la Défense civile palestinienne, au moins 17 personnes ont été tuées dans la matinée dans la bande de Gaza, où Israël a repris depuis le 18 mars son offensive militaire, après deux mois de trêve, affirmant vouloir contraindre le Hamas à libérer les otages.

Dix d'entre elles sont mortes dans le bombardement d'une maison de la ville de Gaza (nord), qui a aussi laissé de nombreuses personnes sous les décombres, a déclaré à l'AFP un porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal.

Des images de l'AFP sur place montrent des Palestiniens découpant, à la lumière de torches, la structure métallique du bâtiment avec une scie circulaire et retirant au moins un corps des décombres. Une jeune fille, le front bandé, se tient là, visiblement abasourdie.

"Tout le monde dormait avec ses enfants, et sans aucun avertissement, nous avons vu la maison s'effondrer sur nous. Il y avait des cris, et ceux qui pouvaient encore respirer appelaient à l'aide, mais personne n'est venu", a témoigné une membre de la famille. "La plupart des victimes étaient des enfants, morts par asphyxie à cause du bombardement", a-t-elle ajouté.

L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire à ce stade. Les secouristes sont entravés dans leurs recherches par le "manque d'équipements et de machines adéquats", a souligné M. Bassal. L'armée israélienne avait détruit la semaine dernière 40 engins de génie, utilisés selon elle par le Hamas pour des activités "terroristes".

"Le blocus doit prendre fin"

Israël bloque aussi depuis le 2 mars toute entrée d'aide humanitaire dans le territoire palestinien dévasté, dont les 2,4 millions d'habitants, pour la plupart déplacés au moins une fois par le conflit, sont désormais exposés à la famine et à de graves pénuries sanitaires, selon les Nations Unies.

Le chef de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini, a dénoncé vendredi "une famine provoquée par l'homme et motivée par des raisons politiques".

Ce blocus "doit prendre fin (...) des vies en dépendent", a pour sa part averti le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Des milliers de morts

L'attaque sans précédent du Hamas contre Israël du 7-Octobre a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Selon des chiffres publiés samedi par le ministère de la Santé du Hamas, au moins 2111 Palestiniens ont été tués depuis la reprise de l'offensive israélienne le 18 mars, portant à 51'495 le nombre de morts à Gaza depuis le début de la guerre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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