International
Les Suisses en course pour la finale par équipes

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Les Suisses sont bien partis pour accéder à la finale du concours par équipes. Christian Baumann, Pablo Brägger, Benjamin Gischard et Eddy Yusof pointent provisoirement au 5e rang des qualifications.
Après le passage de huit des douze équipes en qualifications des JO de Tokyo, à Tokyo, le quatuor alémanique a posé les bons jalons. Il y a cinq ans, à Rio, les Helvètes avaient manqué la finale des huit meilleurs d'un rien (9es). Cette fois, cela semble mieux parti.
Les perspectives seraient encore meilleures sans la chute de Pablo Brägger, tout à la fin, à la barre fixe, sa discipline favorite. Eddy Yusof a subi le même sort au cheval d'arçons, mais ses compatriotes ont eu les nerfs assez solides ensuite à cet appareil qui constitue le point faible des Suisses.
Les Helvètes gardent aussi leurs chances de placer deux des leurs en finale du concours général individuel, qui regroupera 24 gymnastes. Benjamin Gischard et Eddy Yusof sont apparus les plus complets, Brägger et Baumann n'entrant plus en ligne de compte.
Bémol, aucun Suisse ne sera représenté dans une finale par engin (huit qualifiés). Claude Baumann, aux barres parallèles, a commis une faute qui lui aura coûté sans doute cet honneur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
23''51 pour Mujinga Kambundji sur 200 m
Mujinga Kambundji a signé une rentrée discrète en plein air. La Bernoise a pris la 8e et dernière place du 200 m du meeting de Xiamen, première étape de la Ligue de diamant.
Pourtant bien partie, Mujinga Kambundji a flanché sur la ligne droite pour se contenter d'un chrono de 23''51. Elle disputait sa première course depuis son deuxième sacre mondial sur 60 m en salle, fêté il y a tout juste un mois en Chine déjà (Nanjing).
Mujinga Kambundji, qui avait réussi 23''39 lors du même meeting l'an dernier mais pour ce qui constituait sa première course de l'année 2024, sera à nouveau présente sur le front de la Ligue de diamant la semaine suivante à Shanghai. Elle courra à nouveau un 200 m.
A noter par ailleurs la défaite de la Jamaïcaine Shericka Jackson dans cette épreuve. La deuxième femme la plus rapide de l'histoire sur le demi-tour de piste a terminé 2e en 22''79, battue par l'Américaine Anavia Battle (22''41).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le Hamas prêt à un accord sur les otages et une longue trêve
Le Hamas s'est dit samedi prêt à un accord pour la libération en une fois de tous les otages encore retenus à Gaza et une trêve de cinq ans avec Israël. Pendant ce temps, de nouvelles frappes sur le territoire palestinien ont fait au moins 17 morts dans la matinée.
Une délégation du mouvement islamiste palestinien doit rencontrer dans la journée au Caire les médiateurs égyptiens à la recherche d'une issue à la guerre qui ravage depuis 18 mois la bande de Gaza, déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
Le Hamas "est prêt pour un échange de prisonniers (otages israéliens contre prisonniers palestiniens, ndlr) en une seule opération et pour une trêve de cinq ans", a déclaré, sous couvert de l'anonymat, un de ses responsables à l'AFP.
Le mouvement avait rejeté le 17 avril une proposition israélienne prévoyant notamment une trêve de 45 jours en échange du retour de dix otages vivants, captifs depuis le 7-Octobre.
Il demande un accord "global" incluant un arrêt des hostilités, un retrait complet des troupes israéliennes, l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens et l'entrée d'aide humanitaire dans Gaza, a réaffirmé samedi à l'AFP un de ses dirigeants, Taher al-Nounou.
Israël - qui n'a dans l'immédiat pas réagi à l'appel à une longue trêve - réclame de son côté le retour de tous les otages et le désarmement du Hamas, qu'il s'est juré d'anéantir. Le mouvement palestinien exclut lui de rendre les armes.
Maison bombardée
Selon la Défense civile palestinienne, au moins 17 personnes ont été tuées dans la matinée dans la bande de Gaza, où Israël a repris depuis le 18 mars son offensive militaire, après deux mois de trêve, affirmant vouloir contraindre le Hamas à libérer les otages.
Dix d'entre elles sont mortes dans le bombardement d'une maison de la ville de Gaza (nord), qui a aussi laissé de nombreuses personnes sous les décombres, a déclaré à l'AFP un porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal.
Des images de l'AFP sur place montrent des Palestiniens découpant, à la lumière de torches, la structure métallique du bâtiment avec une scie circulaire et retirant au moins un corps des décombres. Une jeune fille, le front bandé, se tient là, visiblement abasourdie.
"Tout le monde dormait avec ses enfants, et sans aucun avertissement, nous avons vu la maison s'effondrer sur nous. Il y avait des cris, et ceux qui pouvaient encore respirer appelaient à l'aide, mais personne n'est venu", a témoigné une membre de la famille. "La plupart des victimes étaient des enfants, morts par asphyxie à cause du bombardement", a-t-elle ajouté.
L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire à ce stade. Les secouristes sont entravés dans leurs recherches par le "manque d'équipements et de machines adéquats", a souligné M. Bassal. L'armée israélienne avait détruit la semaine dernière 40 engins de génie, utilisés selon elle par le Hamas pour des activités "terroristes".
"Le blocus doit prendre fin"
Israël bloque aussi depuis le 2 mars toute entrée d'aide humanitaire dans le territoire palestinien dévasté, dont les 2,4 millions d'habitants, pour la plupart déplacés au moins une fois par le conflit, sont désormais exposés à la famine et à de graves pénuries sanitaires, selon les Nations Unies.
Le chef de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini, a dénoncé vendredi "une famine provoquée par l'homme et motivée par des raisons politiques".
Ce blocus "doit prendre fin (...) des vies en dépendent", a pour sa part averti le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Des milliers de morts
L'attaque sans précédent du Hamas contre Israël du 7-Octobre a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.
Selon des chiffres publiés samedi par le ministère de la Santé du Hamas, au moins 2111 Palestiniens ont été tués depuis la reprise de l'offensive israélienne le 18 mars, portant à 51'495 le nombre de morts à Gaza depuis le début de la guerre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une marée humaine aux funérailles du pape au "coeur ouvert à tous"
Plus de 250'000 fidèles ont participé samedi place Saint-Pierre aux funérailles de François, le pape "proche des gens avec un coeur ouvert à tous". Un aréopage de dirigeant a mis à profit ce cadre pour des échanges diplomatiques dont Donald Trump et Volodymyr Zelensky
La messe, qui s'est achevée peu après 12h00, a été marquée par plusieurs salves d'applaudissements, notamment à l'arrivée du cercueil et aux passages de l'homélie rappelant l'oeuvre tournée vers les pauvres et les migrants du pape argentin, décédé d'un AVC lundi à 88 ans.
Le cercueil a ensuite quitté le Vatican à bord d'une papamobile blanche pour être conduit de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle. Il est arrivé à la basilique Sainte Marie Majeure, où François a choisi d'être inhumé.
Sur l'avenue des Forums impériaux menant au Colisée, des touristes du monde entier, plus que des fidèles, attendaient le passage du cercueil, prêts à filmer ce moment, téléphone en main.
"Journée vraiment historique"
"C'est une journée vraiment historique", s'est ému Jean-Roger Mounguengui, un Gabonais de 64 ans venu avec son épouse rendre hommage au premier pape sud-américain. "C'était hyper important pour moi de venir car c'est un pape qui a marqué notre génération", renchérit Marine De Parcevaux, 21 ans.
Avant le début de la cérémonie, le président américain Donald Trump est entré dans la basilique Saint-Pierre pour se recueillir devant le cercueil du pape, tout comme l'Ukrainien Volodymyr Zelensky, le Français Emmanuel Macron, le Brésilien Lula et l'Argentin Javier Milei.
La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter, également présente à la cérémonie, a salué sur X "une vie au service des autres".
"Un coeur ouvert à tous"
Transporté ensuite sur la place, le cercueil, sur lequel était posé un exemplaire des Evangiles, trônait devant l'autel en plein air. La place Saint-Pierre, un grand écrin posé devant la basilique et enchâssé dans l'élégante colonnade du Bernin, n'a pu accueillir tous les fidèles, qui débordaient sur la grande avenue de la Conciliation.
François a été un "pape proche des gens avec un coeur ouvert à tous", a souligné le cardinal italien Giovanni Battista Re dans son homélie, mettant en avant ses "gestes" et "exhortations (...) en faveur des réfugiés et des personnes déplacées".
Rencontre Trump-Zelensky
Avant la cérémonie, Donald Trump a rencontré dans la basilique son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, une entrevue jugée "très productive" par les deux parties. Une photo publiée par la présidence ukrainienne montre les deux hommes sur deux fauteuils tendus de velours rouge et devisant avec en toile de fond les peintures baroques et les marbres multicolores.
Le président américain, qui n'avait plus vu M. Zelensky depuis leur accrochage dans le Bureau ovale, avait affirmé quelques heures auparavant que Kiev et Moscou étaient "très proches d'un accord", trois ans après l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes.
Les deux hommes, qui se sont aussi entretenus "à quatre", toujours dans la basilique mais debout, avec MM. Macron et Starmer, "sont convenus" de se revoir dans la journée à Rome, selon un porte-parole ukrainien.
Une rencontre à la tonalité particulière quand on sait que le pape François n'a jamais cessé "d'implorer la paix", particulièrement pour l'Ukraine, appelant à "la raison et à des négociations honnêtes", ainsi que l'a rappelé dans son homélie le cardinal Re.
Poignée de main Trump-von der Leyen
Le magnat américain a également échangé une poignée de main avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, en plein conflit sur les droits de douane entre les deux continents, ainsi qu'avec Karin Keller-Sutter.
Au total, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées ont assisté à la cérémonie funèbre, dont le prince William, les souverains d'Espagne et de Belgique ainsi que le prince Albert de Monaco et son épouse Charlène.
Les mantilles et voilettes noires, la vareuse de style militaire de Zelensky, la pourpre cardinalice des plus de 200 princes de l'Eglise et le violet des évêques, alliés à la pompe du rite catholique ponctué de prières et de chants, ont contribué à l'éclat de cette cérémonie en mondovision.
Des heures de patience
La ferveur populaire de ces funérailles fait écho aux plus de 250'000 personnes ayant patienté pendant des heures cette semaine pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre.
De par le monde, messes et veillées se tiennent en hommage au pontife dont le message portait bien au-delà des seuls catholiques. A Buenos Aires, capitale argentine où est né Jorge Bergoglio en 1936, une messe en plein air devait être célébrée samedi. Dans la vieille ville de Jérusalem, des fidèles suivent la messe retransmise sur un écran géant.
Boussole morale
Un élan reflétant la popularité de ce défenseur inlassable de la paix, des migrants et des laissés pour compte, devenu au fil des ans une boussole morale dans un monde toujours plus instable.
Assistaient aussi à la cérémonie le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova.
Sécurité sur les dents
La gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens étaient sur les dents pour assurer la sécurité.
Une zone d'exclusion aérienne au-dessus de Rome est en place et des unités antidrones ont été déployées avec des brouilleurs d'ondes. Des avions de chasse sont aussi prêts à décoller et des tireurs d'élite sont positionnés sur les toits.
Franciscus
A la basilique Sainte-Marie-Majeure, un imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes, des fidèles ont attendu l'arrivée du cercueil.
Un groupe de personnes démunies était présent à son arrivée sur les marches de la basilique, a annoncé le Vatican, rappelant que les pauvres avaient une place privilégiée "dans le coeur et le magistère du Saint-Père".
Située dans une petite niche près de l'autel dédié à Saint François, la sobre tombe en marbre portera comme seule inscription "Franciscus", François en latin.
Tous les regards se tournent désormais vers les 135 cardinaux-électeurs - soit ceux âgés de moins de 80 ans - convoqués au conclave pour choisir dans les prochaines semaines, à huis clos dans la Chapelle Sixtine, un successeur au pape François.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise
Le Premier ministre pakistanais a martelé samedi que son pays était "prêt" à "protéger chaque centimètre carré" de son sol, après un deuxième échange de tirs au Cachemire avec le voisin indien. New Delhi l'accuse d'une récente attaque meurtrière.
S'exprimant en anglais, fait inhabituel, lors d'une cérémonie militaire, Shehbaz Sharif a répété qu'accuser son pays d'être lié à la mort de 26 civils mardi dans les contreforts de l'Himalaya au Cachemire disputé, était "infondé". Le chef du gouvernement a même réclamé une "enquête neutre" sur cette attaque dont son voisin indien l'accuse.
L'Inde, elle, mène toujours une chasse à l'homme au Cachemire, assurant notamment rechercher deux tireurs pakistanais.
Alors que tous les regards sont tournés vers la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire, forces indiennes et pakistanaises ont de nouveau échangé des tirs, pour la deuxième journée consécutive, a rapporté l'armée indienne.
Elle assure que des tirs d'armes légères "non provoqués" sont venus de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise, qui, elle, ne commente pas l'événement.
Eviter l'escalade
Tôt vendredi, les deux puissances nucléaires - qui se sont livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947 au départ du colonisateur britannique - avaient déjà brièvement échangé des tirs.
L'Arabie saoudite, allié traditionnel du Pakistan et où le Premier ministre indien Narendra Modi se trouvait au moment de l'attaque mardi, assure vouloir enrayer la spirale du conflit.
Ryad "mène des démarches pour éviter une escalade" et "que la situation échappe à tout contrôle", a indiqué un haut responsable saoudien à l'AFP.
L'Iran, rival historique de l'Arabie saoudite et qui a mené début 2024 une série de tirs au Pakistan, a également proposé sa médiation.
Menaces et sanctions
Au Cachemire, après que M. Modi a promis que son pays traquerait les tireurs de mardi "jusqu'au bout de la terre", la police indienne a diffusé les portraits-robots de deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taiba (LeT), basé au Pakistan.
Et l'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque.
Mercredi, le ministre indien de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.
Le ministre pakistanais de la Défense a rétorqué vendredi sur la chaîne Sky News. "Nous répliquerons, nous ajusterons notre réponse en fonction de ce que fera l'Inde (...) il est possible qu'une guerre totale éclate et cela aura des répercussions graves", a menacé Khawaja Asif.
Sanctions
Mercredi, l'Inde a ouvert le bal des sanctions, avec la suspension d'un traité sur le partage des eaux de l'Indus, la fermeture du principal poste-frontière terrestre et l'expulsion de diplomates.
A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté en appliquant à chaque sanction une mesure de réciprocité.
Conséquence immédiate, les compagnies aériennes indiennes ont été contraintes de modifier le trajet de leurs vols vers l'ouest et le nord-ouest pour éviter le Pakistan.
Et à la frontière, désormais fermée, des familles déchirées font leurs adieux à des épouses, des cousins ou des enfants forcés de rester d'un côté ou de l'autre de la frontière maintenant que tous les visas ont été annulés par Islamabad et New Delhi - le Pakistan fait toutefois exception pour les pèlerins sikhs venus d'Inde.
"Régler le problème"
Le Conseil de sécurité de l'ONU, dont le Pakistan est actuellement membre non permanent, a condamné l'"attaque terroriste" de mardi. En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre un convoi de militaires indiens, les deux pays avaient échangé des tirs.
De nombreux experts craignent une riposte militaire de New Delhi, alors que les opinions publiques des deux pays sont chauffées à blanc. Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique" et réclame "la retenue maximale".
Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire. Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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