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Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte nommé chef de l'Otan

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Mark Rutte devrait prendre ses fonctions de secrétaire général de l'Otan le 1er octobre (archives). (© KEYSTONE/AP/Armin Durgut)

Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a été nommé mercredi secrétaire général de l'Otan. Il devrait prendre ses fonctions le 1er octobre, en remplacement du Norvégien Jens Stoltenberg, nommé en 2014 et dont le mandat a été renouvelé à quatre reprises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie revendique la capture de deux nouveaux villages

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Depuis samedi, les forces russes ont revendiqué la conquête de cinq villages dans plusieurs secteurs du front (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

La Russie a revendiqué lundi la prise de deux villages dans l'est de l'Ukraine, où elle poursuit sa lente poussée. Mais est elle-même affectée par des coupures d'électricité dans des zones frontalières après des bombardements ukrainiens.

Les forces russes, qui profitent des difficultés de l'armée ukrainienne à regarnir ses rangs et à obtenir davantage d'armes et de munitions de la part des Occidentaux, grignotent du terrain depuis des mois. Depuis samedi, elles ont revendiqué la conquête de cinq villages dans plusieurs secteurs du front.

Selon le rapport quotidien du ministère de la Défense de lundi, les forces russes se sont emparées du village de Novopokrovské dans la région de Donetsk (est) et de celui de Stepova Novosselivka dans celle de Kharkiv (nord-est).

Le premier est situé près du saillant d'Otcheretyné, où les troupes russes ont réalisé des gains rapides ces dernières semaines, et le deuxième en direction de Koupiansk, l'un des objectifs de l'offensive russe dans le nord-est.

Samedi et dimanche, l'armée russe avait déjà revendiqué la capture de trois autres villages, dont celui de Choumy, près de la ville minière de Toretsk, autre axe d'attaque actuel des forces russes dans l'est.

Les autorités ukrainiennes ont annoncé dans ce contexte lundi avoir procédé à l'évacuation de plus de 700 habitants de Toretsk, mais près de 5000 personnes demeurent dans la ville et "beaucoup d'entre elles tentent d'évacuer", a indiqué sur Telegram la police nationale.

240'000 personnes sans courant

Les habitants de Toretsk interrogés la semaine dernière par l'AFP ont rapporté des dizaines de bombardements russes quotidiens sur la ville, qui était jusqu'à récemment relativement épargnée par les hostilités. La cité représente un verrou important pour l'accès vers Kramatorsk, objectif ultime du Kremlin dans le Donbass.

Selon le Parquet ukrainien, deux femmes âgées ont été tuées et huit autres personnes ont été blessées dans un bombardement russe sur la ville d'Ukraïnsk, dans la région de Donetsk, qui a endommagé un bâtiment administratif et des maisons.

Côté russe, des frappes de drones ukrainiens ont provoqué lundi des coupures d'électricité et d'eau courante pendant plusieurs heures dans la région frontalière de Belgorod, et pourraient en susciter d'autres, selon les autorités locales.

"A Belgorod depuis ce matin, il y a des restrictions d'approvisionnement en énergie. Certaines parties de la ville connaissent des interruptions de l'approvisionnement en eau", a indiqué sur Telegram le maire Valentin Demidov.

Les autorités des régions russes voisines de Koursk et Voronej ont indiqué que des coupures étaient aussi possibles après ces frappes. Le ministère russe de l'Energie a lui annoncé mener des réparations à Chebekino, une ville frontalière régulièrement visée, et a précisé que 240'000 personnes étaient affectées par les coupures de courant.

Une fillette de quatre ans a été tuée et sept personnes blessées dans ces multiples attaques de drones ukrainiens qui ont touché des installations électriques et des habitations, a précisé le gouverneur de la région de Belgorod, Viatcheslav Gladkov.

Il a aussi fait état d'un civil tué par un obus tombé sur une entreprise agricole dans le village de Novaïa Tavoljanka.

36 drones abattus

Le ministère de la Défense russe a rapporté avoir abattu 36 drones ukrainiens au cours de la nuit. Trois autres engins ont été détruits dans l'après-midi au-dessus de la région de Belgorod.

La Russie a pour sa part intensifié ses attaques contre les centrales électriques ukrainiennes depuis plusieurs mois, provoquant des coupures de courant dans tout le pays. Selon le président Volodymyr Zelensky, l'Ukraine a perdu la moitié de ses capacités énergétiques à cause de ces frappes.

L'Ukraine est sur la défensive sur le front depuis l'échec de sa grande contre-offensive l'été dernier et la chute de la forteresse d'Avdiïvka en février. Elle a appelé les Occidentaux à lui fournir d'urgence de nouveaux systèmes anti-aériens pour se défendre contre les frappes russes.

Fin juin, M. Zelensky a assuré travailler à un nouveau plan pour mettre fin au conflit, dans le but que celui-ci soit "soutenu par la majorité" de la communauté internationale.

Son homologue Vladimir Poutine a lui avancé sa propre solution : que l'Ukraine cède cinq régions partiellement occupées par Moscou et renonce à rejoindre l'Otan. De facto une demande de capitulation, rejetée à Kiev comme chez les Occidentaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La justice refuse d'amnistier Puigdemont, mandat d'arrêt maintenu

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L'indépendantiste Carles Puigdemont est en exil depuis 2017 (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

Le Tribunal Suprême espagnol a refusé d'amnistier le leader indépendantiste Carles Puigdemont, en exil depuis la tentative de sécession avortée de la Catalogne en 2017. La plus haute instance judiciaire du pays a maintenu le mandat d'arrêt le visant.

Le juge Pablo Llarena "a rendu aujourd'hui (lundi) un arrêt dans lequel il déclare l'amnistie non applicable au délit de détournement de fonds dans le dossier visant l'ancien président de la Generalitat catalane Carles Puigdemont", a indiqué le tribunal dans sa décision, rendue publique lundi, précisant que le mandat d'arrêt à son encontre restait donc en vigueur.

Cette décision peut faire l'objet d'un recours dans un délai de trois jours à compter de la notification aux parties, précise le document. Le 30 mai, le parlement espagnol a adopté une loi d'amnistie pour les indépendantistes catalans, le prix que le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez a dû payer pour être reconduit au pouvoir en novembre grâce au soutien des deux partis indépendantistes catalans, qui exigeaient cette mesure en contrepartie. La loi a été promulguée le 11 juin.

Plus de 400 personnes poursuivies

L'objectif des législateurs était que la justice commence sans tarder à annuler les mandats d'arrêt visant les indépendantistes ayant fui à l'étranger et que ces annulations restent valides en attendant l'examen des recours déposés contre la loi, un processus qui peut prendre des mois, voire des années.

Mais avec plus de 400 personnes poursuivies ou condamnées pour des délits en lien avec la tentative d'indépendance de 2017 de la Catalogne ou avec les événements l'ayant suivie ou précédée, la tâche s'annonce ardue pour les tribunaux, qui doivent décider au cas par cas.

Cette loi devait permettre le retour des indépendantistes encore en exil, au premier rang desquels Carles Puigdemont, président du gouvernement régional catalan lors des événements de 2017, qui vit depuis en exil en Belgique pour échapper aux poursuites judiciaires.

Inculpé pour des délits de détournement de fonds, désobéissance et terrorisme, M. Puigdemont, qui fait l'objet d'un mandant d'arrêt depuis les évènements de 2017, espérait pouvoir rentrer rapidement en Espagne après la promulgation de la loi.

"Volonté d'obtenir un bénéfice personnel"

Le juge Llarena a estimé que la loi d'amnistie s'appliquait bien au délit de désobéissance, mais qu'en revanche, "les comportements" reprochés à M. Puigdemont et à deux autres indépendantistes "correspondent pleinement aux deux exceptions que prévoit la loi" en ce qui concerne le délit de détournement de fonds.

Concrètement, le magistrat a conclu qu'il y a eu de la part de M. Puigdemont volonté d'obtenir un bénéfice personnel, ainsi qu'un impact sur les intérêts financiers de l'Union européenne, ce qui rend l'amnistie inapplicable à ses yeux.

Par conséquent, le mandant d'arrêt "est maintenu uniquement pour le délit de détournement de fonds, pas pour celui de désobéissance", selon le document. Le délit de terrorisme dont est également accusé M. Puigdemont dans un cas distinct n'est pas abordé dans cet arrêt.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Les cinéastes Jacquot et Doillon en garde à vue à Paris

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L'actrice Judith Godrèche a accusé successivement Benoît Jacquot (ci-dessus) de viols, puis Jacques Doillon d'agression sexuelle. (© KEYSTONE/EPA/PHILIPP GUELLAND)

Les cinéastes Benoît Jacquot et Jacques Doillon, accusés par des actrices dont Judith Godrèche de violences sexuelles, ont été placés lundi en garde à vue à la Brigade de protection des mineurs. C'est ce qu'a appris l'AFP de sources proches du dossier.

Les deux hommes, qui contestent ces accusations, sont arrivés vers 09h30 à la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) à Paris accompagnés de leurs avocates, a constaté un journaliste de l'AFP.

Benoît Jacquot "va enfin pouvoir s'exprimer devant la justice", a réagi son conseil Me Julia Minkowski, qui a dénoncé une "critiquable" garde à vue. "Une audition libre aurait dû être décidée", a-t-elle ajouté. Pour Me Marie Dosé, avocate de Jacques Doillon, "aucun des critères légaux ne saurait justifier cette mesure" de garde à vue "36 ans" après les faits dénoncés par Judith Godrèche.

Son client "aurait dû être entendu dans le cadre d'une audition libre au vu de l'ancienneté des faits, de leur prescription acquise depuis plus de deux décennies, et de l'inéluctable classement sans suite qui clôturera cette enquête", a-t-elle ajouté dans un communiqué. Les deux avocates ont dénoncé les "atteintes à la présomption d'innocence" de leurs clients et la médiatisation de ces mesures.

Potentielles confrontations

Selon des sources proches du dossier, ces gardes à vue pourraient permettre des confrontations entre les réalisateurs et certaines de leurs accusatrices, parmi lesquelles Mme Godrèche. Début février, l'actrice de 52 ans a déclenché une nouvelle tempête dans le #MeToo français en accusant successivement Benoît Jacquot de viols puis Jacques Doillon d'agression sexuelle, et portant plainte.

L'enquête du parquet de Paris porte sur les infractions de viol sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité, viol, violences par concubin, et agression sexuelle sur mineur de plus de 15 ans par personne ayant autorité. M. Jacquot et Mme Godrèche, née en mars 1972, ont débuté leur relation au printemps 1986. Ils ont vécu ouvertement ensemble, achetant même un appartement dans Paris, jusqu'à leur séparation en 1992.

Mme Godrèche a évoqué une relation d'"emprise" et de "perversion". Deux autres actrices ont porté plainte contre M. Jacquot: Julia Roy pour agression sexuelle; Isild le Besco, fin mai, pour viols sur mineure de plus de 15 ans et viols, qui auraient été commis entre 1998 et 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

L'écrivain albanais Ismaïl Kadaré est décédé à 88 ans

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L'écrivain albanais Ismail Kadare est décédé. Il avait 88 ans (archives) (© KEYSTONE/AP/VISAR KRYEZIU)

L'écrivain albanais Ismaïl Kadaré, 88 ans, auteur d'une oeuvre monumentale sous la tyrannie communiste d'Enver Hoxha, est décédé lundi matin. C'est ce qu'ont annoncé son éditeur et l'hôpital à l'AFP.

M. Kadaré est décédé d'une crise cardiaque, a précisé l’hôpital de Tirana. Il y est arrivé "sans signe de vie", les médecins lui ont fait un massage cardiaque, mais il "est mort vers 8h40, a dit l’hôpital.

Ethnographe sarcastique, romancier alternant grotesque et épique, Ismaïl Kadaré a exploré les mythes et l'histoire de son pays, pour disséquer les mécanismes d'un mal universel, le totalitarisme. L'Albanie a vécu des décennies sous la dictature d'Enver Hoxha, l'une des plus fermées au monde.

"L'enfer communiste, comme tout autre enfer, est étouffant", avait dit à l'AFP l'écrivain dans une de ses dernières interview, en octobre. "Mais dans la littérature, cela se transforme en une force de vie, une force qui t'aide à survivre, à vaincre tête haute la dictature".

La littérature "m'a donné tout ce que j'ai aujourd'hui, elle a été le sens de ma vie, elle m'a donné le courage de résister, le bonheur, l'espoir de tout surmonter", avait-il expliqué, déjà affaibli, depuis sa maison de Tirana, la capitale albanaise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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