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International

Le choix de Trump pour l'environnement validé par le Sénat

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Lee Zeldin a été choisi par Donald Trump pour diriger l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

La nomination de Lee Zeldin, choisi par Donald Trump pour diriger l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), a été approuvée mercredi par le Sénat, une annonce applaudie par l'industrie des énergies fossiles.

Ce proche de Donald Trump et ancien élu républicain au Congrès a reçu 56 voix en sa faveur, et 42 contre.

"Nous sommes impatients de travailler avec lui", a réagi Mike Sommers, directeur de l'organe de représentation du secteur pétrolier API, assurant qu'il avait "fait ses preuves dans le domaine de la recherche de solutions aux défis énergétiques les plus pressants du pays".

Les organismes de protection de l'environnement ont eux exprimé leur forte préoccupation à son sujet. "Les républicains du Sénat ont installé un autre fidèle de Trump pour faire progresser son programme de destruction de l'environnement", a fustigé Lena Moffitt, de l'ONG Evergreen Action.

Comme d'autres personnes choisies par le républicain, M. Zeldin a "une longue expérience de priorisation des intérêts de l'industrie et des pollueurs au détriment de notre santé et de l'environnement", a lui estimé Brett Hartl du Center for Biological Diversity.

Lors d'une audition préalable, M. Zeldin avait assuré que sa mission serait à la fois de "protéger l'environnement" et de "protéger l'économie", reprenant un thème récurrent chez Donald Trump, pour qui les restrictions sur l'exploitation des ressources pétrolières des Etats-Unis sont un non-sens économique.

Il avait reconnu l'existence du changement climatique, qualifié de "canular" par le président et assuré qu'il mettrait l'accent sur la lutte contre la pollution de l'air et de l'eau. Sa nomination intervient en pleine marche arrière du pays dans la lutte contre le dérèglement climatique.

Dès le premier jour de son retour au pouvoir, Donald Trump a pris des mesures visant à doper la production d'hydrocarbures du pays, déjà premier producteur mondial et annoncé un nouveau retrait de l'accord de Paris sur le climat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Une saison noire pour les Rossoneri

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Une élimination pour mortifiante pour Rafael Leao et le Milan AC. (© KEYSTONE/EPA/DANIEL DAL ZENNARO)

Le Milan AC ne verra pas le printemps ! Les Milanais n’ont pas passé le cap des seizièmes de finale de la Ligue des Champions, une élimination qui entérine l’échec de leur saison.

Six jours après sa défaite 1-0 à Rotterdam face au Feyenoord, le Milan n’a pas renversé la situation à San Siro malgré l’ouverture du score dans les premières secondes de la rencontre par Santiago Gimenez, l’ancien buteur du... Feyenoord. Seulement, les Rossoneri n’ont pas su enfoncer le clou avant de tout perdre en seconde période pour un nul 1-1 qui les laisse dans la bordure.

L’expulsion de Theo Hernandez à la 51e pour un second carton jaune sur une simulation grossière a sonné comme le début de la fin pour le Milan. A onze contre dix, les Néerlandais pouvaient prendre le contrôle du match pour égaliser par l’Argentin Julian Carranza à la 73e.

Cette qualification récompense le parcours d’une équipe qui, avant d’éliminer le Milan AC, avait gagné 3-1 à Lisbonne contre le Benfica, partagé l’enjeu à Manchester contre City (3-3) et battu 3-0 le Bayern Munich. Victime d’une fracture de la jambe au début décembre, Jordan Lotomba a malheureusement suivi des tribunes l’exploit de ses coéquipiers.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Des centaines de monarchistes iraniens manifestent à Genève

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Le fils du chah d'Iran a reçu un vibrant accueil de ses soutiens sur la Place des Nations à Genève. (© KEYSTONE/EPA/SALVATORE DI NOLFI)

"Reza Pahlavi, notre roi": mardi à Genève, plus de 500 monarchistes iraniens ont manifesté sur la Place des Nations leur volonté d'un rôle pour le fils du dernier chah d'Iran dans l'avenir démocratique de leur pays.

"Ne faites jamais confiance aux communistes et à la République islamique ", affichait une banderole. De nombreux drapeaux de l'ancien régime impérial, renversé en 1979 par la République islamique, côtoyaient plusieurs bannières israéliennes, pays ennemi juré des ayatollahs iraniens.

"Reza Pahlavi pour l'avenir démocratique de l'Iran", demandait une banderole. Le fils du dernier chah d'Iran, qui réside aux Etats-Unis depuis de nombreuses années, a stimulé l'enthousiasme des manifestants en les honorant d'une brève présence pendant deux minutes.

Lundi également à Genève, il avait affirmé qu'il n'était candidat à aucune fonction mais qu'il était prêt à mener la transition politique si le régime tombait. Un scénario qu'il estime possible "très vite" si les Occidentaux garantissent un "soutien maximal" au peuple iranien qui souhaite, selon lui se débarrasser d'un régime religieux.

Le chah d'Iran avait été très critiqué par des ONG pour sa répression de ses opposants considérée comme d'importantes violations des droits humains. Son fils estime ne pas être redevable de la politique de son père et dit défendre les libertés fondamentales pour tous les Iraniens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Allemagne: regain de confiance chez les investisseurs

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A quelques jours des élections anticipées en Allemagne, les investisseurs affichent un optimisme croissant. (archive) (© )

Le moral des investisseurs allemands est reparti à la hausse en février, à quelques jours des élections anticipées de dimanche. Les sondages continuent d'évoluer favorablement pour le candidat conservateur dans la course à la chancellerie.

Cet indicateur du climat des affaires a bondi de 15,7 points sur un mois pour s'établir à 26 points, enregistrant ainsi sa plus forte hausse en deux ans, selon un communiqué publié mardi par l'institut de recherche économique ZEW. C'est mieux que prévu par le consensus d'analystes sondés par la plateforme financière Factset, qui tablait sur une hausse moindre de 10 points.

De plus, l'évaluation de la situation économique actuelle s'est redressée de 8,5 points pour les 154 analystes interrogés par le ZEW, restant néanmoins à un niveau très bas, à -45,3 points. "Cet optimisme croissant est probablement dû à l'espoir d'un nouveau gouvernement allemand capable d'agir", a commenté Achim Wambach, président de l'institut.

L'économie du pays, confrontée à des faillites et des plans sociaux en cascade ces derniers mois, est au coeur de la campagne pour les élections législatives de dimanche, les conservateurs de la CDU défendant la baisse des impôts pour les entreprises. M. Wambach souligne également la probable reprise de la consommation privée dans les six prochains mois, ainsi que la récente décision de la Banque centrale européenne (BCE) de réduire les taux d'intérêt, pour rebooster l'activité économique européenne.

La BCE est engagée depuis juin dernier dans un cycle de réduction des taux, après un tour de vis sans précédent pour lutter contre la forte inflation en augmentant les coûts d'emprunt. Fin janvier, elle a abaissé ses taux de 0,25 point de pourcentage pour la quatrième fois d'affilée et ouvert la porte à d'autres pas en ce sens face à la faible croissance en zone euro et aux risques de guerre commerciale avec l'administration Trump.

Le président américain a menacé d'augmenter les droits de douane sur les importations américaines, une décision qui devrait frapper l'industrie exportatrice allemande, pilier de la première économie européenne. L'Allemagne a connu deux années de récession en 2023 et 2024 qui ont freiné la croissance de la zone euro. Pour 2025, le gouvernement prévoit une croissance de seulement 0,3%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Russes et Américains conviennent à Ryad de nommer des négociateurs

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A Ryad, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio s'est dit "convaincu" que la Russie voulait s'engager dans un "processus sérieux" pour mettre fin à la guerre en Ukraine. (© KEYSTONE/AP/Evelyn Hockstein)

Russes et Américains se sont entendus mardi à Ryad pour établir un "mécanisme de consultation" pour régler leurs contentieux et vont nommer des négociateurs pour le règlement de la guerre en Ukraine.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s'entretenait à Ankara avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, a dénoncé des pourparlers "sur l'Ukraine sans l'Ukraine" et a réclamé des pourparlers "équitables" qui incluent l'UE, le Royaume-Uni et la Turquie.

M. Erdogan a de son côté décrit son pays comme "un hôte idéal pour les probables négociations entre la Russie, l'Ukraine et les Etats-Unis".

Mais à Ryad, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, à l'issue des premiers pourparlers de ce niveau entre Russes et Américains depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022 qui ont duré 04h30, s'est dit "convaincu" que la Russie voulait s'engager dans un "processus sérieux" pour mettre fin à la guerre.

"Il doit s'agir d'une fin permanente à la guerre, pas une fin temporaire, comme on a vu par le passé. On sait, c'est juste la réalité des choses, qu'il devra y avoir une discussion sur les territoires et qu'il y aura une discussion sur les garanties de sécurité", a-t-il dit à la presse.

Il a précisé que les Européens, laissés comme Kiev à l'écart de ces pourparlers mais sans lesquels une levée unilatérale par Washington des sanctions économiques frappant la Russie n'est guère possible, devraient à ce titre "être à la table à un moment donné".

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a affirmé à ce titre avoir perçu "un vif intérêt pour la levée des obstacles artificiels au développement d'une coopération économique mutuellement bénéfique" entre la Russie et les Etats-Unis.

Il a estimé que les Américains avaient commencé à "mieux comprendre" la position de Moscou - répétant à cette occasion l'opposition catégorique de la Russie à tout contingent de pays de l'Otan en Ukraine - et que Russes et Américains ne s'étaient pas seulement "écoutés" mais s'étaient "entendus".

Il y a "des opportunités extraordinaires (qui) existent pour un partenariat" avec la Russie, mais "la clef pour y parvenir est la fin de ce conflit", l'a rejoint sur ce terrain M. Rubio.

Zelensky reporte son voyage

Mais, a insisté Volodymyr Zelensky à Ankara, "l'Ukraine, l'Europe au sens large - cela inclut l'Union européenne, la Turquie et le Royaume-Uni - devraient participer aux discussions et à l'élaboration des garanties de sécurité nécessaires avec l'Amérique concernant le sort de notre partie du monde".

Washington et Moscou ont dit que Kiev participerait aux pourparlers "en temps voulu", et le porte-parole du Kremlin a assuré mardi que Vladimir Poutine était "si nécessaire (...) prêt à négocier avec Zelensky".

A Kharkiv, en Ukraine, des habitants ne semblaient pas ravis de la tournure prise par les événements.

Ces discussions sont "une sorte de trahison", a dit Iryna Panova, une comptable de 50 ans, dans un square enneigé de la deuxième ville ukrainienne, souvent frappée, par l'armée russe. "C'est notre guerre, avec les Russes. Sans nous, ça ne peut pas être résolu", a-t-elle insisté.

Quant aux Européens, dont les principaux dirigeants, désarçonnés par la reprise de contacts entre Donald Trump et Vladimir Poutine et qui s'étaient réunis en urgence lundi à Paris, ils réclament de pouvoir "faire équipe" avec les Etats-Unis pour une paix "juste et durable" en Ukraine, a déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen sur X, après une rencontre avec l'envoyé spécial du président Donald Trump sur l'Ukraine, Keith Kellogg.

Mais Marco Rubio et Sergueï Lavrov, à Ryad, ont ignoré ces questions et ont décidé de "désigner des équipes de haut niveau pour commencer à travailler sur une issue du conflit en Ukraine dès que possible, de manière durable, pérenne et acceptable pour l'ensemble des parties", a indiqué le département d'Etat dans un communiqué.

"Nous avons discuté, exposé nos approches de principe et convenu que des équipes distinctes de négociateurs sur ce sujet prendraient contact en temps voulu", a confirmé le conseiller diplomatique du Kremlin Iouri Ouchakov.

"Niet" à un contingent européen

Sur un point, la Russie s'est montrée catégorique.

"Nous avons expliqué aujourd'hui que le déploiement (en Ukraine) de troupes de forces armées des pays de l'Otan, mais sous un autre drapeau, sous le drapeau de l'Union européenne ou sous des drapeaux nationaux ne change rien. C'est bien sûr inacceptable", a déclaré Sergueï Lavrov, alors que certains pays européens et Kiev avancent l'idée de telles forces en territoire ukrainien pour garantir la sécurité de l'Ukraine et le respect d'un futur accord mettant fin à la guerre.

Dans un entretien à des journaux français, le président Emmanuel Macron a pour sa part assuré que "la France ne s'apprête pas à envoyer des troupes au sol, belligérantes dans un conflit, sur le front" en Ukraine.

Il a annoncé qu'il organiserait mercredi une nouvelle réunion "avec plusieurs Etats européens et non européens" sur l'Ukraine.

Le président Trump "peut réamorcer un dialogue utile" avec le président Poutine, a par ailleurs estimé le chef de l'Etat français. "Il recrée de l'ambiguïté stratégique pour le président Poutine" en employant "des mots très fermes" et en créant "de l'incertitude" qui "peut aider à faire pression".

A Ryad, Moscou et Washington et sont également entendus pour mettre sur pied un "mécanisme de consultation" et "poser les bases d'une future coopération sur des enjeux géopolitiques d'intérêt commun et sur les opportunités économiques et d'investissement historiques qui émergeront d'une issue réussie au conflit en Ukraine", a déclaré le département d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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