International
Le candidat de Macron largement en tête en Suisse - Valls éliminé
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Marc Ferracci, candidat de Renaissance en Suisse et au Liechstenstein, le parti du président français Emmanuel Macron, est arrivé largement en tête du premier tour des législatives française, avec 36% voix. Il affrontera au second tour la représentante de la Nupes.
M. Ferracci a obtenu 12'233 voix, loin devant Magali Mangin, la représentante de la Nouvelle union populaire écologiste et sociale (Nupes), qui a recueilli 6798 voix, a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi l'ambassade de France sur Twitter. L'écologiste Roxane Corbran arrive troisième, avec 2988 voix.
Elle pointe juste devant la candidate des républicains, Régine Mazloum-Martin, quatrième avec 2866 voix. Quant au député sortant des Français de Suisse et du Liechtenstein, Joachim Son-Forget, il est éliminé, ne récoltant que 1503 suffrages. Il se présentait en indépendant, après avoir été exclu de La République en marche (LREM).
Interrogé par Keystone-ATS, M. Son-Forget n'a pas caché sa déception. S'il s'est représenté, c'était pour faire un bilan de mandat: "J'ai toujours dit que je n'en ferai qu'un, voire deux au maximum, s'il y avait une demande de mes concitoyens." Mais aussi pour "s'insurger contre le parachutage" du candidat macroniste, a-t-il déclaré.
Polémiques
L'économiste Marc Ferracci, 44 ans, est un proche d'Emmanuel Macron, dont il a été le témoin de mariage. Plusieurs voix se sont élevées pendant la campagne électorale pour dénoncer son "parachutage" par le parti Renaissance du président français (ex-LREM). Rejetant les accusations, M. Ferracci a assuré s'être intéressé de près au modèle suisse dans l'organisation du monde du travail dans son parcours d'économiste.
A gauche, la candidature de Magali Mangin a également été marquée par une polémique. Cette gestionnaire de projets dans une entreprise sous-traitante du secteur pharmaceutique à Zofingue (AG) a été lâchée par son suppléant, qui a dénoncé dans le quotidien Libération "une lobbyiste de big pharma", qui aurait fait "une très bonne candidate macroniste".
Les Français de l'étranger étaient appelés dimanche à élire onze députés une semaine avant le premier tour des législatives en France. Plus de 149'000 électeurs étaient inscrits dans la sixième circonscription, celle de la Suisse et du Liechtenstein. Ils devaient choisir entre quinze candidats.
Le taux de participation s'est élevé à 22,38%, selon les données de l'ambassade française. La loi électorale française prévoyant qu'un candidat ne peut être élu au premier tour que s'il obtient la majorité absolue d'au moins 25% des électeurs inscrits, un second tour sera organisé le 19 juin, en même temps qu'en France.
Fiasco pour Valls
Les candidats du parti présidentiel sont arrivés majoritairement en tête dimanche dans les votes des Français de l'étranger, à l'exception notable de Manuel Valls dans la cinquième circonscription, celle de l'Espagne, du Portugal, d'Andorre et de Monaco (120'000 électeurs), éliminé dès le premier tour.
Investi par la majorité présidentielle, l'ex-premier ministre français est arrivé en troisième position avec 15% des voix. Après l'échec de sa candidature aux municipales à Barcelone, il s'agit d'un nouveau fiasco pour l'ancien poids lourd du parti socialiste, largement devancé par le candidat de la Nupes, Renaud Le Berre, arrivé en tête (27%), et surtout par Stéphane Vojetta, le député sortant et candidat dissident de LRM (25%).
"Je prends acte des résultats [...] Si la dissidence et la division ont semé la confusion, je ne peux pas ignorer mon score et le fait que ma candidature n'a pas convaincu", a écrit M. Valls sur Twitter. "Il m'appartient lucidement d'en tirer les conséquences. La vie est suffisamment belle pour tourner tranquillement les pages", a-t-il ajouté. Il a appelé à faire barrage au second tour au candidat de la Nupes, Renaud Le Berre.
L'annonce le 5 mai de l'investiture de l'ex-premier ministre avait fait l'effet d'une bombe dans cette circonscription, surtout chez les Français résidant en Espagne. Stéphane Vojetta, député sortant portant les couleurs de La République en marche (LREM), avait décidé de se maintenir face à ce "parachutage" tout en promettant, s'il était élu, de rester "un soutien loyal" d'Emmanuel Macron.
Dimanche soir, il a appelé sur Twitter la majorité présidentielle à "se réunifier derrière [sa] candidature".
Dans les onze circonscriptions des Français de l'étranger, la Nupes est parvenue à placer ses candidats en tête dans deux d'entre elles et à décrocher la deuxième place presque partout, à l'exception de la 8e circonscription qui regroupe les Français vivant dans huit pays du pourtour méditerranéen, dont l'Italie et Israël. Dans cette circonscription, le député sortant Meyer Habib, candidat de l'UDI, est arrivé en tête.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Sur les marchés agricoles, colza et soja prennent froid avant Noël
Les cours des oléagineux continuent de s'enfoncer face à la perspective d'une forte production et aux doutes sur les débouchés à l'export, tandis que le blé et le maïs résistent dans un marché peu fréquenté avant Noël.
A la Bourse de Chicago, le prix du boisseau de soja (27 kg) a lâché mardi 0,24% à 10,50 dollars, évoluant à des niveaux plus vus depuis deux mois.
La Chine "a commandé pour un peu plus de 6 millions de tonnes" de soja américain ces dernières semaines, selon Rich Nelson, analyste de la maison de courtage Allendale, soit la moitié de l'engagement pris par Pékin auprès de Washington dans le cadre des négociations commerciales entre les deux puissances.
Cela n'a cependant pas suffi à rassurer les marchés qui continuent à avoir "beaucoup de questions" concernant les débouchés du soja produit aux Etats-Unis, "en particulier face au Brésil, qui propose désormais des prix réduits" sur ses récoltes, plus compétitifs que ceux américains, ajoute l'expert.
Le pays d'Amérique du Sud "prévoit de produire et d'exporter des volumes records de soja au cours de la saison 2025-2026, malgré les inquiétudes liées aux conditions météorologiques défavorables", souligne le cabinet Argus Media dans une note publiée mardi.
Pour Dewey Strickler, analyste pour Ag Watch Market Advisors, il ne fait donc guère de doute que "la Chine va rester fidèle au Brésil" lors de la prochaine récolte, d'autant que Pékin "a investi des milliards de dollars dans les infrastructures" brésiliennes pour "réduire (sa) dépendance vis-à-vis des Etats-Unis".
En Europe aussi, "le marché des oléagineux prend le bouillon", souligne Gautier Le Molgat, PDG d'Argus Media France, face à la concurrence du canola (colza OGM canadien) et de l'huile de palme, mais également la perspective d'une hausse des surfaces cultivées en France.
Volumes faibles
Du côté du maïs, les cours restent soutenus aux Etats-Unis par de bons chiffres à l'export et "les attentes d'une baisse des rendements" lors de la prochaine actualisation des données du ministère de l'Agriculture américain (USDA), estime Rich Nelson.
Selon les chiffres de l'USDA, les Etats-Unis ont encore augmenté leurs exportations de maïs la semaine passée, à 1,74 million de tonnes contre 1,60 million deux semaines plus tôt.
Le blé, lui, évolue différemment des deux côtés de l'Atlantique.
Les prix américains sont soutenus notamment par l'absence d'avancée concrète concernant la guerre en Ukraine.
En Europe, les cours de la céréale du pain patissent de l'évolution des taux de change entre euro et dollar qui détourne des acheteurs du blé européen.
"Nous sommes en période de fêtes et les volumes sont très faibles", pointe Dewey Strickler, estimant même que "les opérateurs ont plié bagage jusqu'à la nouvelle année".
Les marchés clôtureront plus tôt mercredi, et seront fermés jeudi, jour de Noël. Les cotations à Euronext ne reprendront que lundi tandis que la séance de vendredi sera assurée à Chicago.
"On restera attentifs, bien sûr, à la situation géopolitique et aux conditions météo avec les premiers gels d'hiver notamment sur la Russie", assure Gautier Le Molgat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
France: la cyberattaque contre La Poste toujours en cours
La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël, est toujours en cours mercredi midi, sous une forme "fluctuante" et a "perdu en intensité", selon l'opérateur postal.
Le suivi des colis reste "difficile", mais "sans en empêcher la livraison" expose La Poste dans un point de situation publié à 12h00. Les cadeaux devraient donc arriver à temps sous le sapin.
Autre point d'amélioration, "l'activité de banque en ligne a repris normalement" tout comme le bon fonctionnement des centres d'appel.
L'attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d'année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l'année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.
La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu'aucune donnée sensible n'avait été volée, évoquant un incident de type "déni de service".
Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu'ils ne soient plus accessibles.
Le parquet de Paris a confirmé mardi à l'AFP que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l'Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l'attaque.
Pour Baptiste Robert, chercheur en cybersécurité, il faut être prudent avec cette revendication "tardive" car il est "habituel de voir des revendications opportunistes" par des groupes cherchant la lumière médiatique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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