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L'Acropole d'Athènes ferme partiellement en raison de la canicule

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La température atteindra 40 degrés à l'Acropole (archives). (© KEYSTONE/AP/PETROS GIANNAKOURIS)

L'Acropole d'Athènes va fermer au public mercredi aux heures les plus chaudes de la journée en raison d'une nouvelle vague de canicule en Grèce, a annoncé le ministère de la Culture. Il s'agit de la deuxième fermeture en un peu plus d'un mois.

Selon le service de météorologie nationale EMY, le mercure va grimper à plus de 43 degrés Celsius dans certaines régions de la Grèce continentale, notamment dans le centre et le sud du pays. En Attique, la région autour d'Athènes, la température au milieu de la journée devrait atteindre les 40 degrés Celsius.

Monument emblématique antique et site le plus visité de Grèce, l'Acropole d'Athènes avait déjà dû fermer au public deux jours d'affilée aux heures les plus chaudes à la mi-juin quand la Grèce avait subi une vague de chaleur particulièrement précoce.

Pays méditerranéen coutumier des canicules, la Grèce a enregistré mardi pour la neuvième journée consécutive de températures supérieures à 40°C dans plusieurs régions, selon meteo.gr, le site de l'Observatoire national d'Athènes. Le pic de cette canicule est attendu mercredi et jeudi, selon les météorologues.

La Protection civile a mis en garde mercredi contre le "risque très élevé" d'incendies dans plusieurs régions du pays, dont l'Attique.

Nombre record de visiteurs

Le site abritant principalement le Parthénon, temple de la déesse antique Athéna datant du Ve avant J-C, est classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Il est l'un des monuments les plus visités dans le monde. L'an dernier il a accueilli quelque 4 millions de visiteurs, un nombre record, soit une hausse de plus de 31% sur un an.

Entre janvier et fin mars par rapport à la même période de 2023, le nombre de visiteurs a encore bondi de plus de 50%, selon l'office national des statistiques Elstat. Sa fréquentation ne cesse de croître en raison notamment des touristes embarqués à bord de navires de croisière qui font escale au Pirée, le grand port proche de la capitale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les consultations s'éternisent en France

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"La porte est ouverte et je reçois tous ceux qui veulent bien venir continuer à oeuvrer pour l'intérêt supérieur du pays", a déclaré Emmanuel Macron. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Après avoir catégoriquement rejeté le scénario d'un gouvernement de gauche, Emmanuel Macron a ouvert mardi un "nouveau cycle de consultations" pour trouver enfin un Premier ministre à la France, dans un climat politique de plus en plus tendu.

A la veille de l'ouverture des Jeux paralympiques et à quelques jours de la rentrée scolaire, la France est toujours gouvernée par un exécutif démissionnaire, et ce depuis maintenant plus de 40 jours, du jamais vu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Le chef de l'Etat a repris des consultations dans un contexte très flou avec "ceux qui veulent oeuvrer pour l'intérêt supérieur du pays", a-t-il dit mardi soir.

"Les travaux continuent. La porte est ouverte et je reçois tous ceux qui veulent bien venir continuer à oeuvrer pour l'intérêt supérieur du pays", a commenté le chef de l'Etat lors d'une brève déclaration à l'Elysée, en marge de la réception du Premier ministre irlandais Simon Harris.

"L'idée c'est (de trouver) un Premier ministre qui incarne un changement de politique et un dépassement de la logique des blocs", indique à l'AFP un proche du président, soulignant une "volonté d'aller assez vite".

Des représentants du parti de droite Les Républicains (LR) doivent être reçus mercredi mais ni l'extrême droite ni l'extrême gauche n'ont été conviées. Certains responsables invités ont refusé d'y participer et des "personnalités" dont les noms n'ont pas été communiqués doivent être consultées, notamment d'anciens présidents.

Ces nouvelles discussions interviennent au lendemain du rejet par M. Macron d'un gouvernement du Nouveau Front populaire (NFP, l'alliance de gauche arrivée en tête des législatives) et de sa candidate au poste de Premier ministre, la haute fonctionnaire Lucie Castets.

Le président a mis en avant "la stabilité institutionnelle" pour écarter cette option, les autres blocs politiques, du centre jusqu'à l'extrême droite, ayant tous promis de censurer un gouvernement dont le programme, très à gauche, est jugé "dangereux".

"Déni de démocratie"

Mais la décision présidentielle, annoncée lundi soir dans un long communiqué, a provoqué la colère du NFP, qui hurle au "déni de démocratie".

La France insoumise (LFI, gauche radicale membre de l'alliance de gauche avec les socialistes, les écologistes et les communistes) a appelé à manifester contre "le coup de force d'Emmanuel Macron" le 7 septembre.

Olivier Faure, le leader du parti socialiste, a annoncé qu'il ne se rendrait pas au palais présidentiel de l'Elysée pour les nouvelles consultations, dénonçant une "parodie de démocratie".

"Quand Emmanuel Macron nous parle de stabilité, il se fiche du monde", a commenté de son côté sur la chaîne BFMTV la patronne des écologistes Marine Tondelier.

"Il confond la continuité institutionnelle et la continuité de ses politiques", a-t-elle ajouté, tandis que le communiste Fabien Roussel dénonçait dans Libération un "coup d'Etat" d'une "brutalité sans nom".

Arrivée en tête des législatives de juillet, la coalition de gauche ne dispose pas d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Mais les deux autres blocs du camp présidentiel et de l'extrême droite sont encore moins bien lotis, rendant la recherche de compromis extrêmement complexe.

"Faute de méthode"

Le président Macron avait décidé de dissoudre l'Assemblée après son échec aux européennes le 9 juin, plongeant le pays dans la confusion politique. Son camp en appelle aujourd'hui à la "responsabilité" et cherche à rallier les socialistes et à isoler la gauche radicale.

Le ministre de l'Intérieur démissionnaire, Gérald Darmanin, a ainsi prôné sur la télévision BFMTV mardi une "coalition large", assurant que les partisans de Macron "pourraient se mettre d'accord sur un minimum" avec les socialistes pour "permettre à la France de fonctionner".

La droite traditionnelle refuse pour sa part toute coalition, sans exclure pour autant de "voter ce qui va dans le bon sens" pour "ne pas laisser la France aller dans le mur", selon l'une de ses responsables, Valérie Pécresse.

L'extrême droite, de son côté, continue d'accuser le président français d'avoir "semé le chaos".

Sans surprise, le quotidien de gauche Libération fustigeait mardi en Une "le mépris" du chef de l'Etat. Son concurrent de droite le Figaro estimait que "la France évite une catastrophe" avec le rejet d'un gouvernement NFP, tout en soulignant que "rien n'est réglé".

Le chef de l'Etat n'a plus beaucoup de temps pour choisir un Premier ministre, puisqu'un budget doit être présenté le 1er octobre à l'Assemblée.

Et à court terme, son agenda est bien rempli. Emmanuel Macron doit ouvrir mercredi soir les Jeux paralympiques, avant de s'envoler jeudi après-midi pour la Serbie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Une belle frayeur pour la no 1 mondiale contre une lucky loser

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Iga Swiatek n'a pas été à la fête pour son entame à Flushing Meadows. (© KEYSTONE/AP/Kirsty Wigglesworth)

No 1 mondiale mais en panne de confiance ces dernières semaines, Iga Swiatek n'a pas témoigné de la maîtrise voulue pour son entame à New York. Elle a connu une belle frayeur contre une lucky loser.

La Polonaise a, en effet, dû écarter trois balles consécutives de second set face à la Russe Kamilla Rakhimova (WTA 104). Elle s'est finalement imposée 6-4 7-6 (8/6) après avoir été menée 6/3 dans le jeu décisif de la seconde manche et après avoir commis 41 fautes directes.

Iga Swiatek devra élever le curseur pour avoir une chance de cueillir un deuxième titre à New York après son sacre de 2022. Sa prochaine adversaire sera la qualifiée japonaise Ena Shibahara (WTA 217).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Wout van Aert impérial à Baiona

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Une troisième victoire sur la Vuelta pour Wout van Aert. (© KEYSTONE/EPA/Javier Lizon)

Impérial, Wout van Aert s'est offert une troisième victoire sur la Vuelta. Le Belge a enlevé la 10e étape à Baiona. Il a battu au sprint son compagnon d’échappée Quentin Pacher.

Les deux hommes se sont portés en tête de la course à 100 km de l’arrivée. Quentin Pacher a tenté sa chance avec une attaque portée à 1,6 km de la ligne. Mais Wout van Aert, porteur du maillot vert, est tranquillement revenu dans la roue du Français avant de remporter le sprint sans rencontrer une véritable opposition.

L’Australien Ben O’Connor a conservé son maillot de leader à l’issue de cette étape qui n’a apporté aucun bouleversement malgré son profil accidenté. Elle intervenait au lendemain de la première journée de repos.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'Ukraine à nouveau visée par des frappes russes massives

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L'Ukraine a été touchée mardi par des frappes massives russes pour la 2e journée consécutive. Ici, Kryvyi Rih. (© KEYSTONE/EPA/Dnipropetrovsk Regional State Administration / HANDOUT)

L'Ukraine a essuyé de nouvelles frappes russes qui ont fait au moins cinq morts dans la nuit de lundi à mardi, au lendemain d'une des attaques les plus "massives" depuis le début du conflit.

De son côté, Kiev a revendiqué de nouvelles avancées dans la région frontalière russe de Koursk et la capture de 594 prisonniers depuis le début de son incursion surprise il y a trois semaines.

"Les crimes contre l'humanité ne peuvent être commis en toute impunité", a déclaré le président Volodymyr Zelensky dans un message publié sur les réseaux sociaux mardi à propos des frappes aériennes.

Le décès d'une femme à l'hôpital dans la journée a porté le bilan de ces frappes à cinq morts, selon les autorités. Seize personnes ont été blessées.

Le président ukrainien a aussi déclaré mardi que ses forces avaient notamment eu recours à des avions de chasse F-16 fournis par les Occidentaux pour contrecarrer l'attaque. L'armée ukrainienne dit avoir abattu 60 drones suicide "Shahed" et 5 missiles sur les 91 engins tirés par les Russes.

Lors d'une conférence de presse, Volodymyr Zelensky a aussi répété que le nombre d'appareils reçus par Kiev n'était pas "suffisant".

Dans la nuit de lundi à mardi, une forte explosion a été entendue à Kiev par les journalistes de l'AFP, probablement due à l'interception d'un projectile russe par la défense anti-aérienne.

Séparément, des responsables ukrainiens locaux ont annoncé que cinq civils ont été tués mardi dans les régions de Dnipropetrovsk, Kharkiv et Kherson lors d'attaques de drones et d'artillerie russes.

Lundi, au cours de l'attaque russe la plus massive depuis des semaines, 15 régions d'Ukraine avaient déjà été ciblées par un total de 236 missiles et drones, selon Kiev, qui assure en avoir abattu 201.

Visant essentiellement des infrastructures énergétiques, ces bombardements avaient fait au moins quatre morts et obligé les autorités à imposer des coupures de courant.

Depuis le début l'invasion en février 2022, la Russie bombarde régulièrement ce genre d'infrastructures, forçant les autorités ukrainiennes à rationner l'électricité.

Nouvelle incursion ukrainienne?

Mardi matin, le gouverneur de la région russe de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, a par ailleurs dit avoir reçu des informations faisant état d'une nouvelle tentative d'incursion des forces armées ukrainiennes.

"Des informations affirment que l'ennemi essaye de franchir la frontière de la région de Belgorod. Selon le ministère russe de la Défense, la situation à la frontière reste difficile, mais sous contrôle", a indiqué le gouverneur Viatcheslav Gladkov, sur Telegram.

Selon la chaîne Telegram russe MASH, réputée proche des autorités, des militaires ukrainiens essayent d'entrer dans la région via la localité de Nekhotivka.

A la peine sur le front de l'Est face à des troupes russes plus nombreuses et mieux équipées, l'Ukraine a lancé le 6 août une offensive surprise, toujours en cours, sur la région frontalière russe de Koursk, voisine de celle de Belgorod.

Le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandre Syrsky, a déclaré mardi que ses forces avaient réalisé de nouvelles avancées et qu'elles contrôlaient désormais 100 localités sur une superficie de 1294 km2 dans cette région.

Il a également affirmé que 564 militaires russes avaient été faits prisonniers et que Moscou avait redéployé quelque 30'000 soldats pour tenter de contrer l'incursion ukrainienne.

En visite dans la région, le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a souligné mardi le danger posé par la proximité des combats avec la centrale nucléaire de Koursk. "Une centrale nucléaire de ce type si proche du point de contact ou d'un front militaire est un fait extrêmement grave", a déclaré Rafael Grossi.

Avec cette offensive, Kiev veut notamment créer une "zone tampon" pour se protéger des attaques russes et compenser la faible portée de ses munitions. Volodymyr Zelensky appelle régulièrement les Occidentaux à autoriser son pays à utiliser leurs armes à longue portée sur le sol russe, ce qu'ils refusent.

Mardi, il a annoncé que Kiev avait testé avec succès un missile balistique de fabrication nationale.

La Russie continue néanmoins de réaliser des gains réguliers sur le front Est, qui demeure l'épicentre des combats. Elle a revendiqué mardi la capture d'un nouveau village ukrainien, celui d'Orlivka, près de la ville stratégique de Pokrovsk.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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