International
La Suisse demande un briefing au Conseil de sécurité de l'ONU
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/02/la-suisse-devrait-avoir-a-convaincre-la-russie-dans-les-prochains-jours-delargir-le-mecanisme-daide-transfrontaliere-entre-la-turquie-et-la-syrie-archives-1000x600.jpg&description=La Suisse demande un briefing au Conseil de sécurité de l'ONU', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La Suisse demande un briefing au Conseil de sécurité de l'ONU à New York après le séisme. L'ONU veut des points de passage supplémentaires pour l'aide entre la Turquie et la Syrie, une thématique dont Berne est co-responsable des négociations.
"La Suisse est en contact étroit avec les acteurs humanitaires sur place ainsi qu'avec le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA)", a affirmé à Keystone-ATS le chef de la communication du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Nicolas Bideau. "Elle a demandé à la présidence maltaise du Conseil de convoquer le plus rapidement possible – en début de semaine prochaine - un briefing" du chef d'OCHA Martin Griffiths qui doit se rendre ce week-end dans la région.
Devant la presse à New York, l'ambassadrice suisse à l'ONU Pascale Baeriswyl a estimé que "la situation humanitaire n'a cessé de se détériorer" depuis des années. Les victimes, les sans-abri et les températures froides font augmenter les besoins, a-t-elle dit au côté de son homologue brésilien.
Les deux pays ont été en contact avec les ambassadeurs des autres pays du Conseil depuis lundi. "Toutes les modalités de réponse" pour une assistance, qu'elles soient au-delà de la ligne de front ou transfrontalières, doivent être garanties, a dit Mme Baeriswyl.
Succès récemment
Il y a un mois, la Suisse avait pu revendiquer un premier succès au Conseil, en obtenant, à la dernière minute, le renouvellement pour six mois de l'aide transfrontalière. Cette question est l'objet depuis des années, à chaque fois, de tensions entre Occidentaux et la Russie.
Or le séisme a changé la situation. "Nos stocks doivent être réapprovisionnés", a affirmé à la presse à Genève une responsable du Programme alimentaire mondial (PAM) dans la région. "Nous appelons toutes les parties à une révision de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU", ajoute-t-elle aussi.
La Turquie a annoncé être prête à ouvrir de nouvelles voies. "Nous sommes prêts à faciliter des accords pour davantage d'action par le Conseil si c'est requis", dit Mme Bariswyl. Après un appel du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres à l'unité, l'ambassadeur brésilien a estimé de son côté qu'il était difficile de taper sur le Conseil de sécurité.
Millions de sans-abri
Actuellement, seul un point de passage est fonctionnel vers le nord de la Syrie et a été endommagé pendant plusieurs jours en raison du séisme. Mais il en faut davantage, selon la responsable de la PAM. Un convoi de six camions, prévu avant le désastre, a pu passer jeudi pour Idlib. Un autre d'une quinzaine de véhicules pour une aide à plusieurs milliers de personnes a suivi vendredi, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Une aide prépositionnée, de la nourriture prête à être consommée, a pu être donnée à environ 25'000 personnes dans le nord-ouest. Sur toute la Syrie, 100'000 autres pourront la recevoir dans les prochains jours. Et des repas qui doivent être cuisinés sont prévus pour près d'1,5 million de personnes. Mais il faut davantage, a aussi ajouté la responsable du PAM.
De son côté, un représentant du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) affirme aussi que des convois d'aide onusienne peuvent être acheminés des territoires contrôlés par les autorités vers d'autres régions. "Le gouvernement l'a accepté", selon lui. Il a ajouté que plus de 5 millions de personnes étaient sans abri en raison du séisme. Comme d'autres responsables de l'ONU, la haute commissaire adjointe pour les réfugiés est attendue dans les prochains jours dans la région.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Appel de 14 pays contre l'expansion des colonies en Cisjordanie
Quatorze pays, dont la France, l'Italie et l'Allemagne, ont condamné mercredi soir l'approbation récente de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Ils exhortent le gouvernement israélien à revenir sur cette décision et "à cesser l'expansion des colonies".
"Nous, représentants de l'Allemagne, de la Belgique, du Canada, du Danemark, de l'Espagne, de la France, de l'Italie, de l'Irlande, de l'Islande, du Japon, de Malte, des Pays-Bas, de la Norvège et du Royaume-Uni, condamnons l'approbation par le cabinet de sécurité du gouvernement israélien de la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie occupée", selon un communiqué commun diffusé par le ministère français des Affaires étrangères.
"Nous réitérons notre claire opposition à toute forme d'annexion ainsi qu'au développement de la politique de colonisation", ajoute le texte.
Les autorités israéliennes avaient annoncé dimanche avoir approuvé l'installation de 19 colonies en Cisjordanie, une mesure visant selon elles à "bloquer l'établissement d'un Etat palestinien terroriste", dans un contexte d'intensification de la colonisation depuis le 7-octobre.
Violation du droit international
Dans leur communiqué, les pays rappellent que cette action unilatérale constitue "une violation du droit international". "Cette action risque de compromettre la mise en ½uvre du plan de paix pour Gaza, alors même que sont déployés des efforts pour passer à la deuxième phase (de ce plan, ndlr), et elle nuit aux perspectives de paix et de sécurité durables dans l'ensemble de la région", ajoutent-ils.
"Nous appelons Israël à revenir sur cette décision, ainsi qu'à cesser l'expansion des colonies, conformément à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies", écrivent-ils, ajoutant qu'ils sont "déterminés à soutenir le droit à l'autodétermination des Palestiniens".
Ces pays rappellent enfin leur "attachement indéfectible à une paix globale, juste et durable reposant (...) sur la solution des deux Etats où deux Etats démocratiques, Israël et la Palestine, vivent côte à côte en paix et en sécurité, à l'intérieur de frontières sûres et reconnues".
Accélérée depuis le 7 octobre
La colonisation s'est poursuivie sous tous les gouvernements israéliens, de gauche comme de droite depuis 1967, et s'est nettement intensifiée sous l'exécutif actuel, en particulier depuis le début de la guerre à Gaza déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Hormis Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, plus de 500'000 Israéliens vivent aujourd'hui en Cisjordanie dans des colonies que l'ONU juge illégales au regard du droit international, au milieu de quelque trois millions de Palestiniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.
Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.
En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
-
CultureIl y a 2 jours
Le chanteur britannique Chris Rea est décédé à 74 ans
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: les négociations avec une femme en détresse aboutissent
-
LausanneIl y a 1 jour
Deux jeunes cambrioleurs interpellés dimanche à Gland
-
VaudIl y a 7 heures
Orbe (VD): une piétonne de treize ans grièvement blessée
-
InternationalIl y a 2 jours
Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland, martèle Trump
-
SuisseIl y a 2 jours
Les hospitalisations d'urgence augmentent fortement en hiver
-
ÉconomieIl y a 2 jours
La population suisse favorable à une taxe sur les billets d'avion
-
InternationalIl y a 1 jour
Greta Thunberg arrêtée à Londres lors d'une manif pro-Palestine


