Économie
La confiance des consommateurs a fondu en mars aux Etats-Unis

La confiance des consommateurs s'est encore fortement contractée en mars aux Etats-Unis, en dessous des attentes des analystes, selon un indice publié mardi pointant que les sondés voient désormais l'avenir de manière "particulièrement morose".
Un indice évaluant cette confiance, de l'association professionnelle Conference Board, a perdu 7,2 points en un mois, à 92,9.
Les analystes anticipaient un moindre recul, autour de 93,5, selon le consensus publié par MarketWatch.
Les baromètres du moral des consommateurs américains sont très suivis depuis qu'ils ont commencé à décliner dans le sillage du retour à la Maison Blanche de Donald Trump.
Ses politiques, notamment l'escalade des taxes sur les importations, ont dérouté les marchés au regard des répercussions possibles sur la vie des entreprises et des ménages américains, alors que l'économie était encore florissante en 2024.
Dans la publication de mardi, le sous-indice évaluant les attentes des sondés à l'égard de l'avenir (revenu, marché du travail...) a chuté de 9,6 points à 65,2, "le plus bas niveau depuis douze ans", est-il relevé dans le communiqué.
Ces attentes sont "particulièrement moroses", a souligné l'économiste du Conference Board, Stephanie Guichard.
"Dans le même temps, a-t-elle poursuivi dans le communiqué, l'optimisme des consommateurs envers leur revenu futur - qui s'était maintenu à un niveau plutôt élevé ces derniers mois - a largement disparu, suggérant que les inquiétudes au sujet de l'économie et du marché du travail ont commencé affecter jusqu'à la perception par les consommateurs de leur situation personnelle."
Après une ouverture dans le vert, la Bourse de New York a temporairement basculé en terrain négatif suite à la publication de ces données, avant de se reprendre quelques minutes plus tard.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Trump va annoncer des droits de douane sur l'automobile
Donald Trump va annoncer mercredi la mise en place de droits de douane visant l'industrie automobile, a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. Une conférence de presse est prévue à 16h00 locales (21h00 suisses) dans le Bureau ovale.
"Je lui laisse la primeur de l'annonce", a dit Mme Leavitt devant la presse. M. Trump n'a jamais caché sa volonté d'imposer des droits de douane sur les véhicules importés aux Etats-Unis. Il avait même laissé entendre que l'annonce pourrait être faite avant le lancement de ses droits de douane dits "réciproques", prévus le 2 avril.
Le principe des droits de douane "réciproques" est que les produits provenant d'un pays et entrant aux Etats-Unis seront désormais taxés au même niveau que le sont les produits américains exportés vers ledit pays.
Les constructeurs automobiles sont déjà concernés par les droits de douane sur l'aluminium et l'acier, effectifs depuis mi-mars, qui ajoutent 25% de taxes sur ces deux métaux entrant aux Etats-Unis. Près de la moitié de l'acier et de l'aluminium consommé par les industries américaines est importé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trafic des paiements d'UBS perturbé par une panne
La banque UBS a été confrontée mercredi en Suisse à un problème technique dans son trafic des paiements. Certains débits sur les comptes des clients sont affichés deux fois, a indiqué la banque Keystone-ATS, confirmant une information du site blick.ch.
Les clients ont été informés, précise UBS. La cause a été identifiée et les erreurs seront corrigées. La grande banque n'a pas donné d'informations sur le nombre de clients touchés ni sur la fin du problème.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La justice européenne maintient sa sanction contre UBS
La Cour de justice de l'Union européenne a confirmé sa sanction contre UBS, dans une affaire d'entente concernant plusieurs banques dans le secteur des obligations d'Etat européennes.
L'établissement aux trois clés a vu son amende de 172,4 millions d'euros (164,2 millions de francs) confirmée et son recours a été rejeté.
En 2021, la Commission européenne avait constaté qu'UBS, Natixis, UniCredit, Nomura, Bank of America, Portigon (anciennement WestLB) et NatWest (ex-Royal Bank of Scotland) avaient participé entre janvier 2007 et novembre 2011 à une entente dans le secteur des obligations d'Etat européennes (OEE), a rappelé la Cour de justice de l'UE mercredi dans un communiqué.
"Les traders de ces banques avaient collaboré et échangé des informations afin d'obtenir des avantages concurrentiels dans le cadre de l'émission, du placement ou du négoce d'OEE, ce qui a eu un impact sur l'ensemble du marché de l'Espace économique européen", a précisé la Cour.
Amendes rabotées
Cette dernière a rappelé "que les éventuels agissements anticoncurrentiels d'un employé sont attribuables à l'entreprise dont il fait partie. Ainsi, les banques sont responsables pour les comportements de leurs traders".
La Commission avait imposé des amendes pour un montant total de 371 millions d'euros à l'établissement japonais Nomura, à UBS et à l'italien UniCredit, alors que les banques américaine Bank of America, française Natixis et britannique NatWest y avaient échappé.
Si UBS a vu son amende confirmée, celles de Nomura et UniCredit ont été réduites d'environ 4 millions à respectivement 125,6 millions et 65 millions.
Interrogée par l'agence AWP, une porte-parole de la banque zurichoise a indiqué que le groupe allait "évaluer la décision et réfléchir à la possibilité d'interjeter appel".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'administration Trump trouble les perspectives conjoncturelles
S'il n'a que marginalement adapté leurs conjectures conjoncturelles pour l'année en cours et la suivante, le KOF souligne mercredi un "degré d'incertitude inhabituel" induit par les stratégies géopolitiques de la nouvelle administration au pays de l'oncle Sam.
Sur la base d'un scénario excluant une escalade dans le conflit commercial opposant la première économie de la planète au reste du monde, les experts tablent toujours sur une croissance de 1,4% du produit intérieur brut (PIB) helvétique sur l'année en cours et escomptent une accélération à 1,9% pour la suivante, contre encore +1,7% il y a trois mois.
L'inflation reste, elle, attendue à 0,5% en 2025 et 0,6% en 2026, pour autant que la Banque nationale suisse (BNS) maintienne son taux directeur à son niveau actuel.
La consommation intérieure demeure soutenue par la stabilisation sur le marché du travail. Elle doit par la suite profiter d'une augmentation attendue des salaires réels.
Mettant en exergue un manque de clarté sur une application des barrières commerciales actuellement brandies par le locataire de la Maison Blanche et, partant des potentielles conséquences de ladite application, les auteurs du rapport préviennent que leurs projections risquent de devoir être revues plutôt à la baisse qu'à la hausse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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