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International

Gaza: libération samedi du père des derniers enfants otages

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L'interdiction de l'Unrwa pourrait compliquer l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza (archives). (© KEYSTONE/AP/Hassan Eslaiah)

Trois otages israéliens retenus à Gaza, dont le père des deux derniers enfants captifs, doivent être libérés samedi contre 183 détenus palestiniens, dans le cadre du quatrième échange depuis le début de la trêve entre Israël et le Hamas.

Ofer Kalderon, un Franco-Israélien, Keith Siegel, un Israélo-Américain, ainsi que l'Israélien Yarden Bibas, dont l'épouse et les deux enfants, au sort très incertain, sont encore à Gaza, figurent sur la liste des otages libérables fournie par le Forum des familles d'otages.

Une ONG palestinienne a indiqué vendredi à l'AFP qu'Israël devrait libérer samedi 183 détenus en échange de trois otages retenus à Gaza, dans le cadre d'un nouvel échange depuis le début de la trêve.

Amani Sarahneh, porte-parole du Club des Prisonniers, avait initialement évoqué le chiffre de 90 détenus libérables avant de le porter à 183.

Quinze otages - 10 Israéliens et cinq Thaïlandais - et 400 prisonniers palestiniens ont déjà retrouvé la liberté depuis l'entrée en vigueur le 19 janvier de l'accord de trêve entre le Hamas et Israël, après plus de 15 mois de guerre dévastatrice à Gaza.

Les otages avaient été enlevés le 7 octobre 2023 lors de l'attaque sans précédent menée par le mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël et qui a déclenché la guerre.

Durant les six semaines que compte la première phase de la trêve, 33 otages israéliens au total, dont huit décédés, doivent être remis à Israël en échange d'environ 1900 prisonniers palestiniens.

Un doute terrible pèse sur le sort de Shiri Bibas, épouse de Yarden Bibas, et de leurs fils, Kfir, 2 ans, et Ariel, 5 ans, seuls enfants encore captifs.

Le Hamas avait annoncé leur mort en 2023, ce que les autorités israéliennes n'ont jamais confirmé.

"Où sont les bébés Bibas"?

"Hamas, où sont les bébés Bibas", a interpellé le ministère israélien des Affaires étrangères sur X.

Le précédent échange, jeudi à Gaza, s'est tenu dans des conditions qui ont provoqué la colère en Israël, éclaboussant le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Deux jeunes Israéliennes et un octogénaire, ainsi que cinq Thaïlandais, sont rentrés en Israël après deux libérations distinctes organisées par le Hamas à Jabalia (nord) et par le Jihad islamique à Khan Younès (sud).

Celle de Khan Younès a tourné au chaos, les otages ayant dû affronter un long passage au coeur d'une foule survoltée et vociférante, sous la protection de combattants cagoulés et armés.

Des images ont montré le visage terrifié d'Arbel Yehud, 29 ans, pour ce premier contact avec le monde extérieur après 482 jours de détention.

Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dénoncé des "scènes choquantes" et retardé de plusieurs heures la libération des détenus palestiniens, le temps de recevoir la "garantie" que les prochaines libérations se feraient "en toute sécurité".

Réouverture du passage de Rafah

Dans une rare intervention publique, le CICR a souligné que "les détails et la logistique étaient déterminés par les parties elles-mêmes" et réclamé "une amélioration" de la sécurité et de la dignité des otages lors des libérations.

Le CICR a facilité le transfert de tous les otages de cette trêve, comme ceux de la première observée fin novembre 2023.

Samedi également, le point de passage entre Rafah, dans l'extrême-sud de Gaza, et l'Egypte, doit aussi rouvrir, permettant l'évacuation de malades et blessés, ont indiqué à l'AFP une source du Hamas et une autre proche des négociations.

Israël a pris le contrôle de ce passage en mai 2024.

L'Union européenne a annoncé y avoir déployé vendredi sa mission d'assistance, qui "soutiendra le personnel frontalier palestinien et permettra le transfert de personnes hors de Gaza".

La trêve a par ailleurs permis un afflux de l'aide internationale dans la bande de Gaza, en proie à une catastrophe humanitaire.

Les livraisons humanitaires pourraient toutefois y être compliquées par la rupture par Israël de tout lien avec l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), obligée de fermer ses bureaux à Jérusalem.

Et ce alors que les besoins sont "immenses", selon l'Organisation mondiale de la santé.

Israël accuse l'Unrwa d'être "infestée" par le Hamas, des accusations démenties par l'ONU.

Prochaines négociations?

L'accord de trêve prévoit la reprise des négociations au 16e jour de son entrée en vigueur, soit le lundi 3 février, pour discuter des modalités de la deuxième phase.

Celle-ci vise à la libération des derniers otages et la fin définitive de la guerre, à laquelle certains membres du gouvernement israélien s'opposent.

La dernière étape est censée porter sur la reconstruction de Gaza et la restitution des corps des derniers otages décédés.

L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles et incluant les otages annoncés comme morts.

Sur 251 personnes enlevées, 79 sont toujours retenues à Gaza, dont au moins 34 sont mortes selon l'armée.

L'offensive israélienne de représailles a fait au moins 47'460 morts à Gaza en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

L'ONU et la Suisse contre tout déplacement forcé de Palestiniens

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La Suisse rejette sans le nommer le plan du président américain Donald Trump pour la bande de Gaza et demande l'arrêt des violences en Cisjordanie (archives). (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

L'ONU et la Suisse sont opposées à tout déplacement forcé de Palestiniens, comme le propose le président américain Donald Turmp dans la bande de Gaza. "Les voix de la raison doivent prévaloir", a dit mercredi le haut commissaire aux droits de l'homme à Genève.

Toute annexion de la Cisjordanie ou évacuation forcée de la bande de Gaza "pourrait menacer la paix et la sécurité des Palestiniens et des Israéliens, de même que celles de la région", a affirmé Volker Türk devant le Conseil des droits de l'homme. "Nous devons résister à toute normalisation d'attitudes légales", a-t-il encore dit.

Le déplacement forcé de populations est "interdit par le droit international humanitaire", a rappelé de son côté une représentante de la mission suisse à l'ONU à Genève. Comme le haut commissaire, Berne est aussi très préoccupée par l'intensification des violences et par les destructions des infrastructures en Cisjordanie. Une attitude aggravée selon elle par l'attitude des colons israéliens.

Aussi bien M. Türk que la Suisse ajoutent que les parties au conflit doivent appliquer "entièrement" l'accord de cessez-le-feu de janvier dernier. Le Hamas et Israël doivent négocier la seconde phase de cet arrangement.

Et le haut commissaire de répéter ses demandes de libération de tous les otages israéliens, de même que celle des détenus arbitraires palestiniens. La représentante de la mission suisse s'est, elle, dite "alarmée" par les images de remise des dépouilles d'otages par le Hamas et par les récentes explosions de bus en Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'UE cherche un difficile équilibre entre compétitivité et climat

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La cheffe de l'exécutif européen Ursula von der Leyen avait placé la lutte contre le changement climatique au coeur de son premier mandat. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

L'Union européenne a proposé mercredi de mettre un coup de frein à certains de ses projets sur le climat. Le but est de donner un peu d'air aux entreprises, soumises à une concurrence féroce venant des Etats-Unis et de la Chine.

Sous la pression d'industriels, de Paris et de Berlin mais au grand dam des ONG, la Commission européenne a proposé la modification de plusieurs textes très ambitieux, dont certains ont été adoptés il y a quelques mois à peine.

En faisant cela, l'Europe montre qu'elle "sait se réformer", a affirmé le commissaire européen Stéphane Séjourné. "Sans tronçonneuse mais avec des hommes et des femmes compétents, qui écoutent les acteurs économiques", a-t-il lancé, en clin d'oeil à Elon Musk et au président argentin Javier Milei.

L'exécutif européen souhaite très concrètement:

- Le report d'un an et la révision du "droit de vigilance" imposé aux industriels. Ce texte exigeait des entreprises qu'elles préviennent et remédient aux violations de droits humains et dommages environnementaux tout au long de leur chaîne de valeur, y compris chez leurs fournisseurs et sous-traitants.

- Faire passer de 50'000 à 10'000 le nombre d'entreprises devant se plier à une sorte de comptabilité verte. Le but de cette règle était d'harmoniser la manière dont les entreprises publient leurs données de "durabilité", mais elle était très critiquée par les lobbies patronaux.

La cheffe de l'exécutif européen Ursula von der Leyen avait placé la lutte contre le changement climatique au coeur de son premier mandat. Mais face au risque d'une guerre commerciale avec l'Amérique de Donald Trump, qui menace d'imposer de nouveaux droits de douane au Vieux continent, elle tourne son attention vers les entreprises.

Bataille au Parlement

La révision de ces textes sera soumise à l'approbation du Parlement européen et des Etats membres.

Au Parlement, la bataille s'annonce "très difficile", prédit la centriste Marie-Pierre Vedrenne. Illustration du virage pris par Bruxelles, l'eurodeputée française soutenait il y a encore quelques mois les textes, qu'elle veut aujourd'hui modifier.

"Il est vrai qu'en tant qu'élue, quand tu as travaillé pendant cinq ans sur un dossier, ce n'est pas très facile de dire que tu t'es trompée", confie-t-elle. "Mais je pense que le monde a complètement changé depuis", assure la députée, évoquant entre autres les tensions géopolitiques et la poussée de la droite et de l'extrême droite aux dernières élections européennes.

Dans une lettre publiée la semaine dernière, les socialistes ont exhorté la Commission à "revoir" sa copie. Tout comme les ONG environnementales, vent debout contre cette proposition.

"C'est du pur délire", dénonce Amandine Van Den Berghe, de l'ONG ClientEarth. "Changer de cap maintenant pénaliserait fortement les grandes entreprises qui se sont engagées dans la voie du développement durable et qui ont commencé à investir de l'argent et des ressources pour se conformer à la législation", assure-t-elle.

Mobiliser "jusqu'à 100 milliards d'euros"

L'Europe rétorque qu'elle n'entend pas remettre en cause la lutte contre le changement climatique, ni même son ambition d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050.

"Nos objectifs climatiques et sociaux restent inchangés", a assuré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen lors d'un discours face à des industriels, réunis à Anvers.

C'est d'ailleurs pourquoi elle a également dévoilé mercredi une stratégie pour soutenir la décarbonation de l'industrie européenne, baptisée "Pacte pour une industrie propre".

Dans ce document d'une vingtaine de pages figurent peu de propositions chiffrées, à part l'objectif de "mobiliser jusqu'à 100 milliards d'euros" pour des projets d'industrie propre. Il comprend aussi une ribambelle d'incitations pour investir dans l'énergie verte, avec une emphase sur le "made in Europe".

L'Union européenne propose aussi des achats groupés de matières premières essentielles pour l'électronique et les technologies propres, un peu à la manière de ce qu'elle a fait avec les vaccins durant la pandémie.

Bruxelles pense avoir une carte à jouer dans ce secteur, face au climatoscepticisme de Donald Trump.

"Le fait que les Etats-Unis s'éloignent maintenant de leur programme climatique ne signifie pas que nous devrions faire de même. Au contraire. Cela signifie que nous devons aller de l'avant", veut croire le commissaire européen à l'Energie, Dan Jørgensen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Kigali parle de "cannibalisme" de "génocidaires" anti-Tutsis en RDC

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Le ministre rwandais des Affaires étrangères Olivier Nduhungirehe met en cause le président congolais Félix Tshisekedi et des milices rwandaises opérant depuis la République démocratique du Congo (RDC). (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Le Rwanda, accusé de soutenir les rebelles M23 dans l'est de la RDC, dénonce "des actes de cannibalisme" de "milices génocidaires" contre les Tutsis congolais. Mercredi au Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève, il a aussi mis en cause le Burundi.

De nombreux acteurs, dont le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, redoutent une guerre régionale, alors que le M23 avance dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Estimant que l'"idéologie génocidaire" fait son retour contre les Tutsis, le chef de la diplomatie rwandaise Olivier Nduhungirehe a ciblé des "discours de haine, des persécutions, des lynchages et même des actes de cannibalisme".

Ceux-ci sont "devenus tristement fréquents", a-t-il dit. Et le ministre de dénoncer des crimes contre l'humanité soutenus par les autorités congolaises qu'il accuse d'une politique de "violations systématiques" dans tout le pays.

Au Sud-Kivu, les Tutsis "sont bombardés" et "font face à des persécutions sans précédent", ajoute-t-il, demandant au Conseil des droits de l'homme de mettre un terme à cette situation.

Gitega mise en cause

Le ministre met aussi en cause le Burundi, où des dizaines de milliers de Congolais ont fui ces dernières semaines. Il affirme que des Tutsis sont encerclés et emmenés dans des sites inconnus.

Lundi, la Première ministre congolaise Judith Suminwa Tuluka avait dit à Genève que plus de 7000 personnes ont été tuées depuis début janvier dans l'est de la RDC, dont des milliers ont été enterrées sans être identifiées. Environ 3000 d'entre elles sont décédées à Goma, reprise en janvier par les M23. Des centaines de milliers d'individus ont fui les affrontements.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Quatre corps d'otages rendus à Israël jeudi en échange de détenus

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Depuis le 19 janvier, 25 otages israéliens en vie et quatre morts ont été rendus à Israël en échange d'environ 1100 Palestiniens (archives). (© KEYSTONE/AP/Ariel Schalit)

Le Hamas va rendre dans la nuit de mercredi à jeudi quatre corps d'otages israéliens morts en captivité à Gaza. Selon lui, Israël libérera en contrepartie plus de 600 détenus palestiniens, ce qui mettrait fin aux échanges prévus par la première phase du cessez-le-feu.

Le bureau du premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a confirmé que, comme l'avait annoncé plus tôt le Hamas, Israël recevrait les corps de quatre otages de Gaza dans la nuit de mercredi à jeudi. "Conformément aux exigences israéliennes", la remise se fera "sans cérémonies du Hamas", a-t-il ajouté.

Deux responsables du mouvement islamiste palestinien ont affirmé à l'AFP que seraient relâchés en échange 625 prisonniers palestiniens, dont la libération est bloquée depuis samedi par Israël, ce que le gouvernement israélien n'a jusque-la pas confirmé.

En Israël, des dizaines de milliers de personnes se sont massées dans la matinée le long des routes pour saluer le passage du cortège funéraire transportant les dépouilles de Shiri Bibas et ses deux petits garçons tués en captivité à Gaza, devenus le symbole de la tragédie des otages.

Tous trois avaient été enlevés lors de l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza, et leurs corps ont été restitués à Israël en fin de semaine dernière.

Lors des funérailles, la famille a demandé à tous les responsables israéliens d'assumer la responsabilité de la mort de leurs proches en captivité. "Ils auraient pu vous sauver mais ont préféré la vengeance", a lancé Ofri Bibas, belle-soeur de Shiri.

Fin de la 1ère phase

La première phase de la trêve en vigueur depuis le 19 janvier doit s'achever samedi.

Elle a jusque-là permis le retour en Israël de 29 otages, dont quatre décédés, sur un total de 33, dont huit morts, devant être remis jusqu'au 1er mars, en échange d'environ 1.100 Palestiniens, sur un total convenu de 1.900.

Mais ce cessez-le-feu très fragile a plusieurs fois été mis en péril par des accusations mutuelles de violation, et sa suite reste incertaine. L'armée israélienne a indiqué mercredi avoir frappé des postes de lancement de projectiles à Gaza, après avoir identifié plus tôt un tir, retombé dans le territoire palestinien.

Les termes de la deuxième étape, censée déboucher sur la fin définitive de la guerre et la libération de tous les captifs encore à Gaza, n'ont toujours pas été négociés.

Mardi soir, l'émissaire du président américain Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a cependant fait état de "beaucoup de progrès" en vue d'une reprise des pourparlers.

Il a annoncé qu'Israël envoyait une équipe de négociateurs "soit à Doha soit au Caire, où les négociations vont commencer".

Israël n'a pas confirmé cette information.

Mises en scène

Sur les 251 otages enlevés le 7 octobre en Israël, 62 sont toujours retenus à Gaza, dont 35 sont morts, selon l'armée israélienne.

Plus de 600 Palestiniens auraient dû sortir de prison le 22 février, en échange de six Israéliens relâchés par le Hamas. Mais Israël avait annulé au dernier moment ces libérations, exigeant la fin des "cérémonies humiliantes" régulièrement organisées par le Hamas pour les remises d'otages.

Après la suspension des libérations de prisonniers palestiniens, le mouvement islamiste avait accusé Israël de "mettre en grave danger tout l'accord de trêve", et appelé les pays médiateurs - Etats-Unis, Qatar et Egypte - à intervenir.

Les mises en scène par le Hamas des libérations d'otages, exhibés sur des podiums face à des foules de Gazaouis, ont été dénoncées à plusieurs reprises par Israël, l'ONU et la Croix-Rouge.

La semaine dernière, le retour des dépouilles de Shiri Bibas et de ses enfants, Kfir et Ariel, âgés de huit mois et demi et quatre ans au moment de leur enlèvement, avait profondément ému le pays.

Le cortège funéraire, où flottaient des ballons orange, hommage aux deux petits garçons aux cheveux roux, est parti mercredi matin de Rishon Letzion, au sud de Tel-Aviv, en direction de Nir Oz, à une centaine de kilomètres.

L'attaque du Hamas le 7 octobre a entraîné la mort de 1215 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles israéliennes et incluant les otages morts ou tués en captivité. Au total, 251 personnes avaient été enlevées.

L'offensive israélienne menée en représailles à Gaza a fait au moins 48'319 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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