Économie
France: l'inflation ralentit nettement en janvier, à 3,1% sur un an
L'inflation a nettement ralenti en France en janvier, à 3,1% sur un an contre 3,7% en décembre, selon une première estimation publiée mercredi par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Cette baisse de l'inflation serait le résultat selon l'Insee du ralentissement des prix de l'énergie, de l'alimentation et des produits manufacturés sur un an, et ce malgré l'accélération des prix des services et du tabac. Sur un mois, les prix à la consommation diminueraient légèrement en janvier (-0,2% en janvier par rapport à décembre, contre +0,1% en décembre).
"Je me suis engagé à ce que l'inflation décroisse rapidement au début de l'année 2024. Ce sera le cas: les engagements que je prends, je les tiens", a prévenu mercredi matin le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, interrogé sur CNews et Europe 1 juste, avant la publication officielle des résultats.
Les prix de l'énergie ont ainsi progressé de seulement 1,8% en janvier 2024 par rapport à janvier 2023, alors qu'ils augmentaient encore de 5,7% sur un an au mois de décembre.
L'inflation reste plus vigoureuse sur les prix des produits alimentaires, à 5,7% sur un an en janvier, mais demeure là-encore moins élevée qu'en décembre, où les mêmes prix progressaient de 7,2%.
Cette baisse est en revanche moins perceptible sur la catégorie des produits frais, pour laquelle l'inflation reste élevée, à +8,3% en janvier 2024 par rapport à janvier 2023, contre +8,8% en décembre.
Déjà faible le mois dernier, l'inflation sur les produits manufacturés a encore été divisée par deux sur un an en janvier, à +0,7%.
A l'inverse, les prix des services ont très légèrement accéléré en janvier, en progression de 3,2% sur un an, contre 3,1% en décembre.
Le seul indice qui a fortement progressé est celui des prix du tabac, en hausse de 16,8% par rapport à janvier 2023, alors qu'il avait progressé de 9,8% sur un an en décembre.
Indicateur de référence pour les comparaisons entre pays européens, l'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) a augmenté de 3,4% en janvier, en net recul par rapport au mois de décembre (+4,1%).
L'Insee publiera à la mi-février une seconde estimation de l'inflation en janvier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Le secteur tertiaire faiblit en octobre
Le domaine des services en Suisse a enregistré une baisse des chiffres d'affaires en octobre. En comparaison annuelle et corrigé de l'effet des jours ouvrables, ils ont accusé un repli de 4,1%, après une baisse de 5,4% en septembre.
Ce recul est notamment attribué au commerce de gros, révèle lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Selon les chiffres provisoires, ce segment a vu ses recettes chuter de 9,1%. La section commerce dans son ensemble a faibli d'environ 6%.
Les ventes des activités spécialisées, scientifiques et techniques ont reculé de 6,3% et celles de la section information et communication de 8,9%. Les restaurateurs et hôteliers ont également vu leurs chiffres d'affaires reculer de 2,7%.
Parmi les progressions enregistrées, le secteur immobilier a avancé de 5,6%. La branche architecture et ingénierie a fait de même avec 3,8% de plus, suivie des agences de voyages et services aux voyageurs (+2,9%) et des transports et entreposage (+1,2%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Soutien de CS aux nazis: zones d'ombre selon une enquête américaine
Une enquête menée par une commission du Sénat américain a révélé que CS (Credit Suisse à l'époque) aurait dissimulé des informations lors de précédentes investigations sur des comptes bancaires ayant appartenu à des nazis à l'époque de la Seconde Guerre mondiale.
"Des dizaines de milliers de documents découverts à la suite de l'enquête de la commission (...) apportent de nouvelles preuves sur l'existence de détenteurs de comptes liés aux nazis, jusqu'alors inconnus ou seulement partiellement connus", a déclaré samedi dans un communiqué la commission du budget du Sénat.
"La banque n'a pas révélé l'existence de ces comptes lors d'enquêtes antérieures", menées notamment dans les années 1990, a ajouté la commission.
Ces révélations font suite aux découvertes de l'ancien procureur Neil Barofsky, nommé médiateur au CS en 2021. Barofsky avait été congédié par CS en 2022, après que la banque eut "fait pression (...) pour qu'il limite son enquête", a avancé la commission sénatoriale.
Réintégré
M. Barofsky a ensuite été réintégré en 2023 après le rachat de Credit Suisse par sa concurrente UBS.
L'équipe de M. Barofsky a découvert des archives qui ont permis d'identifier d'autres clients liés aux nazis, notamment un compte contrôlé par des officiers de haut rang de la SS, selon le Wall Street Journal.
CS "n'a pas toujours partagé les informations qu'elle détenait", a indiqué M. Barofsky dans une lettre envoyée à la commission sénatoriale mi-décembre et rendue publique samedi.
"Mon équipe a travaillé en étroite collaboration avec Credit Suisse pour s'assurer que toutes les parties pertinentes de ses archives qui subsistent soient incorporées dans l'enquête", a également précisé M. Barofsky.
UBS va collaborer
Contacté par l'AFP, UBS a déclaré s'être "engagé à contribuer à un recensement complet des anciens comptes liés aux nazis détenus auparavant dans les banques prédécesseurs de Credit Suisse".
La banque a indiqué fournir "toute l'assistance nécessaire" à Neil Barofsky "pour qu'il puisse continuer à jeter la lumière sur cette période tragique de l'histoire grâce à cette enquête".
L'enquête de la commission sénatoriale est toujours en cours.
En 1998, les banques suisses avaient accepté d'indemniser à hauteur de 1,25 milliard de dollars les juifs spoliés par les nazis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Forte hausse des volumes négociés à la Bourse suisse en 2024
La Bourse suisse a clôturé 2024 en fanfare, enregistrant une nette accélération des volumes négociés sur la place zurichoise. Sa filiale espagnole a été moins performante, le volume du négoce baissant fortement malgré une hausse du nombre de transactions.
La Bourse helvétique SIX Swiss Exchange a réalisé sur l'année écoulée un chiffre d'affaires total de 1186,6 milliards de francs. Alors que le volume issu du négoce d'actions s'est replié de 1,3% à 791,9 milliards, celui des titres obligataires a bondi de 75,7% à 301,6 milliards et celui des fonds indiciels (ETF) a progressé de 31% à 84,1 milliards, selon un communiqué de SIX publié vendredi.
Le nombre de transactions a également crû au total de 4% à 47,95 millions d'opérations, avec une envolée du négoce des ETF (+44,1%), une modeste hausse des actions (+2,5%) et un recul des titres revenus fixes (-7,8%).
Quant à la Bourse espagnole BME Exchange, son volume total s'est replié en 2024 de 12,9% à 423,2 milliards d'euros, en raison d'une forte baisse de 43,5% du volume des titres obligataires et des ETF (-23,6%). Le volume enregistré avec le négoce d'actions a par contre pris 6% à 318 milliards.
Les transactions sur la place madrilène ont cependant pris l'ascenseur, progressant au total de 4,8% à près de 30 millions d'opérations. Alors que le négoce d'actions a accéléré (+5%), celui des revenus fixes (-30%) et des ETF (-26,3%) a fortement décru.
Au total, les deux places boursières ont réalisé des revenus en hausse de 5,6% à 1582,7 milliards de francs et des transactions en hausse de 4,3% à 77,9 millions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Helvetia: 500 postes concernés par les réductions de coûts
Quelque 500 postes, dont 200 à 250 en Suisse, sont concernés par les nouvelles mesures d'efficacité opérationnelle récemment annoncées par l'assureur Helvetia. Une partie de ces emplois seront relocalisés à l'étranger, a indiqué vendredi le groupe st-gallois.
Ces mesures de restructuration s'étendront sur une période de trois ans, permettant de "limiter fortement" des suppressions de postes par des fluctuations naturelles, la mobilité en interne et des mesures de requalification, a indiqué vendredi à l'agence AWP un porte-parole de Helvetia, confirmant une information du portail Inside Paradeplatz.
Quant à l'assurance en ligne Smile, le groupe a stoppé son expansion en Espagne, voulant d'abord se concentrer sur les synergies entre ses filiales ibériques Helvetia Seguros et Caser. "Les équipes concernées et les relations clientèle en Espagne seront intégrées dans Helvetia", a ajouté le porte-parole dans un courriel.
Pas de commentaire sur l'Allemagne
Ces décisions n'ont pas d'impact sur la stratégie de Smile en Suisse et en Autriche. Des répercussions financières ne sont pas attendues.
Mi-décembre, le groupe avait indiqué vouloir faire progresser son efficacité opérationnelle de plus de 200 millions de francs et améliorer le ratio combiné, à 95,4% au premier semestre, d'environ 2 points de pourcentage d'ici la fin du premier cycle de trois ans, fin 2027.
Pour atteindre cet objectif, l'assureur veut notamment regrouper ses unités espagnoles Helvetia Seguros et Caser.
L'assureur n'a cependant pas voulu commenter les informations d'Inside Paradeplatz sur un éventuel retrait d'ici mi-2025 du marché allemand.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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