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Économie

France: le climat des affaires est resté stable en juin

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En France, l'indice du climat des affaires est resté stable dans l'industrie, mais s'est inscrit en léger repli dans les services (archives). (© KEYSTONE/AP/AURELIEN MORISSARD)

Le climat des affaires est resté stable en juin, demeurant juste sous sa moyenne de longue période pour le troisième mois consécutif. L'indicateur concernant l'emploi s'est cependant détérioré, a indiqué vendredi l'Insee.

L'indice du climat des affaires s'est établi à 99 en juin, soit un point sous sa moyenne de longue période, a détaillé l'Institut national de la statistique et des études économiques dans un communiqué. Il est resté stable (99) dans l'industrie, mais s'est inscrit en léger repli dans les services (102 à 101), en raison du recul des soldes d'opinion des chefs d'entreprise interrogés quant à l'activité récente et future.

L'indicateur a cédé du terrain également dans le bâtiment, toujours en raison d'opinions moins optimistes sur l'activité. En revanche, dans le commerce de détail, qui comprend le commerce et la réparation automobiles, le climat des affaires s'est un peu amélioré (99 à 100), porté par des perspectives de commandes perçues comme plus favorables.

Concernant le climat de l'emploi, l'indicateur est passé de 102 à 100 par rapport à mai, renouant avec sa moyenne de longue période. "Cette détérioration résulte principalement du recul des soldes d'opinion relatifs à l'évolution récente et à venir des effectifs dans les services (hors agences d'intérim)", a expliqué l'Insee.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Le bitcoin continue de chuter dans la foulée des droits de douane

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Pour virtuel qu'il soit, le bitcoin n'est pas immunisé contre l'aversion aux risques exsudée par les détenteurs de capitaux ces derniers jours. (archive) (© KEYSTONE/TI-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

Le cours du bitcoin poursuivait sa chute de la semaine dernière, en concomitance avec les bourses mondiales. La guerre commerciale débutée par Donald Trump faisait perdre des plumes à la plupart des cryptomonnaies.

Dans la matinée de mercredi, le bitcoin se négociait aux alentours de 77'425 dollars, en baisse de 8,4% par rapport à la semaine précédente. Lundi, la plus connue des cryptomonnaies avait chuté à 74'434 dollars, son plus bas niveau depuis novembre 2024. La capitalisation de marché se situait à environ 1,53 trillion, soit inférieure de 150 milliards à la valeur de la semaine précédente.

"Le bitcoin aime marcher dans la même direction que les marchés boursiers. Et c'est à nouveau le cas", écrit l'analyste d'IG Banque Christian Henke. "La dynamique baissière pourrait même s'accélérer", estime-t-il.

L'escalade dans la guerre commerciale pèse sur le bitcoin, mais moins que ce à quoi on aurait pu s'attendre, ajoute Tim Beer, analyste chez Crypto Finance. "Le bitcoin tient la barre dans la tempête". Dans les crises précédentes, le marché des cryptoactifs subissait des pertes plus importantes que celles essuyées par les marchés boursiers, or cela est moins marqué actuellement. Toutefois, on ne peut pas encore qualifier la reine des cryptomonnaies une valeur refuge, indique-t-il.

Les altcoins creusent leurs pertes

L'environnement actuel encourage à une réallocation des placements dans les altcoins vers le bitcoin, selon M. Beer. La capitalisation de marché de l'ethereum (ETH) en paye le plus lourd tribut. Par rapport à la semaine dernière, la cryptodevise lâche 20% à 1479 dollars.

La capitalisation de marché des 17'000 cryptoactifs répertoriés sur le portail spécialisé CoinGecko se situait autour de 2,5 trillions de dollars et soit environ 300 milliards de dollars de moins que la semaine dernière. La prépondérance du bitcoin sur le marché s'est encore renforcée, avec près de 61%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Blanchiment d'argent: Banque Reyl sous enquête pour des lacunes

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Des centaines de millions liés à des autocrates d'Asie centrale ou à des personnalités politiquement exposées en Russie auraient transité par des comptes gérés par Banque Reyl, selon un document consulté par un consortium de médias OCCRP (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La banque genevoise Reyl Intesa Sanpaolo est visée par une enquête de la Finma pour de multiples "faiblesses" en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et de contrôle de clients dits à risque.

La direction a confirmé coopérer avec les autorités de surveillance et dit s'efforcer d'améliorer ses processus et contrôles internes. Les articles publiés notamment par les journaux du groupe Tamedia "contiennent des informations confidentielles", a indiqué mercredi un porte-parole à l'agence AWP.

Se considérant lésée par la violation du secret bancaire, l'établissement a ainsi déposé "une plainte contre inconnu auprès des autorités suisses afin de protéger la Banque et ses clients".

Des centaines de millions liés à des autocrates d'Asie centrale ou encore à des personnalités politiquement exposées en Russie auraient transité par des comptes gérés par Banque Reyl, selon un document consulté par un consortium de médias OCCRP, dont le groupe Tamedia, le quotidien français Le Monde et l'homologue italien IrpiMedia.

L'ex-conseillère fédérale Ruth Metzler est directement citée. Elle a siégé huit ans au conseil d'administration de la banque et était notamment en charge d'écarter les clients problématiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Les livraisons de ciment en légère hausse au premier trimestre

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Les livraisons de ciments ont poursuivi sur les trois premiers mois de l'année leur rebond amorcé fin 2024. (archive) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les livraisons de ciment en Suisse ont quelque peu augmenté sur un an au premier trimestre 2025, poursuivant une tendance déjà observée au dernier trimestre 2024.

Cette légère reprise est due à la baisse des taux d'intérêts et aux perspectives positives de la demande de construction, selon les professionnels du secteur.

De janvier à fin mars, les livraisons de ciment helvétique ont connu une hausse de 0,74%, à 792'626,6 tonnes, informe mercredi dans un communiqué l'association suisse de l'industrie du ciment CemSuisse.

"Les prochains mois montreront si, et comment l'incertitude économique actuelle se répercute sur l'activité et la demande dans le secteur de la construction en Suisse. Contrairement à d'autres branches, le ciment est un produit fabriqué localement qui ne dépend pas de matières premières étrangères", souligne-t-elle.

CemSuisse ajoute en outre que la part du volume de ciment transporté par rail a diminué par rapport à la même période en 2023: au total, 36,3% du ciment suisse a été transporté par voie ferroviaire, contre 37,6%. "Il s'agit d'une conséquence directe de la dégradation des conditions de transport ferroviaire de marchandises pour l'industrie du ciment".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Partners Group se dit faiblement touché par les droits de douane

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Partners Group a passé en revue ses portefeuilles d'actifs (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Partners Group a passé en revue plus de 75 actifs directs dans ses domaines non coté (private equity) et relatif aux infrastructures et n'a trouvé qu'un petit nombre exposé significativement aux taxes douanières annoncées mercredi dernier par les Etats-Unis.

Dans le capital-investissement, le gestionnaire zougois d'actifs "estime que les droits de douane entraîneront une baisse de 1 à 3% de l'Ebitda (bénéfice opérationnel brut) agrégé sur son portefeuille direct, pondéré de la valeur nette d'actif (NAV)", selon le communiqué paru mercredi. Ce calcul est basé uniquement sur l'annonce des droits de douane, souligne le groupe, ajoutant que "le développement actuel des résultats du portefeuille de l'entreprise dépendra d'une variété de facteurs économiques et commerciaux".

Partners Group s'attend à ce que les sociétés, représentant 93% de la valeur agrégée du portefeuille, soient soit exclues du périmètre de ces taxes décrétées par le président Donald Trump, soit susceptibles d'être modestement touchées dans leurs bénéfices (71% avec un impact inférieur à 1% de l'Ebitda et 22% à hauteur de 1-4% de l'Ebitda).

Sur les 7% restants du portefeuille, l'impact potentiel est évalué à 5-10% de l'Ebitda, après des mesures d'atténuation comme des ajustements de prix et la relocalisation des achats et de la production. Seul un portefeuille, pesant moins de 1% de la valeur agrégée, devrait connaître un recul de 10-20% de l'Ebitda.

Concernant le portefeuille dédié aux infrastructures, s'il n'est pas exposé à ces nouvelles taxes, Partners Group a tout de même examiné quels actifs directs pourraient être touchés via leurs chaînes d'approvisionnement immédiates. Seuls six des 36 actifs pourraient être exposés de cette manière. Mais les coûts pourraient être répercutés aux clients pour les projets futurs. Quant à ceux déjà en construction, ils ne devraient pas être sensiblement affectés.

David Layton, directeur général (CEO), cité dans le document, a ajouté que le groupe allait "collaborer avec les conseils d'administration des entreprises de notre portefeuille pour tester et affiner chaque stratégie dans les prochaines semaines, et faire des changements si nécessaire". Il se dit confiant dans la "résilience et la force financière" du portefeuille du zougois et dans sa faculté à naviguer dans "des environnements difficiles".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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