International
Facebook: d'une chambrée de Harvard au phénomène mondial
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Trombinoscope créé par des étudiants d'Harvard devenu phénomène mondial, mais dont le leadership est aujourd'hui menacé par des réseaux sociaux ciblant les jeunes: voici l'histoire de Facebook, qui fête mercredi les dix ans de son introduction en Bourse.
Un simple trombinoscope
Le 4 février 2004, Mark Zuckerberg, 19 ans, étudiant à l'université d'Harvard, près de Boston, lance avec trois compagnons de chambrée TheFacebook, un trombinoscope en ligne qui s'exporte rapidement vers d'autres établissements.
En mai, M. Zuckerberg quitte Harvard et s'installe dans la Silicon Valley.
Facebook suscite les convoitises
Le réseau social, rebaptisé Facebook, reçoit en juillet 500'000 dollars (quasiment autant en francs au cours actuel) de l'investisseur Peter Thiel puis, l'année suivante 12,7 millions du fonds Accel Partner.
Le succès de Facebook suscite les convoitises de Viacom et Yahoo, qui tentent en 2006 de le racheter pour respectivement 1,5 et 1 milliard. Offres rejetées.
C'est aussi l'heure des premières polémiques. En décembre, Mark Zuckerberg s'excuse pour des "erreurs" en matière de confidentialité commises avec un nouveau système publicitaire, Beacon.
Hausse exponentielle des utilisateurs
Facebook affiche 100 millions de membres mi-2008, détrônant MySpace au palmarès des réseaux sociaux.
Facebook lance ses versions espagnole, allemande et française et, profitant de l'essor des smartphones tactiles, sort l'année suivante sa première application mobile.
Revendiquant désormais 300 millions de membres, le réseau dit dégager suffisamment de liquidités pour couvrir ses coûts d'exploitation.
Craintes sur la confidentialité
Des organisations de défense des droits des internautes portent plainte fin 2009 contre le manque de confidentialité de Facebook.
Face à la fronde, Mark Zuckerberg admet en 2010 "un paquet d'erreurs". Le réseau social signera un accord fin 2011 avec les autorités américaines, ses pratiques de confidentialité seront surveillées pendant 20 ans.
Facebook sur grand écran
"The Social Network" de David Fincher sort en octobre 2010 au cinéma, livrant le portrait à charge d'un Mark Zuckerberg qui trahit ses camarades, notamment les jumeaux Winklevoss, avec lesquels il a créé Facebook. La justice validera l'année suivante un accord à 65 millions de dollars conclu avec ses accusateurs.
En décembre 2010, Mark Zuckerberg est désigné homme de l'année par le magazine "Time".
Entrée en Bourse décevante
Le réseau social acquiert en 2012 le site de partage de photos Instagram pour 715 millions de dollars. Il s'offrira en 2014 l'application de messagerie mobile WhatsApp pour 19 milliards.
Le 18 mai 2012, Facebook lève 16 milliards de dollars dans la plus grosse entrée en Bourse jamais réalisée par une entreprise technologique, qui la valorise à 104 milliards. Mais l'action déçoit et chute à son plus bas historique début septembre, à 17,73 dollars. Elle redressera vite la barre, culminant à près de 380 dollars en septembre 2021 et dépassant les 1000 milliards de capitalisation.
Facebook dépasse le milliard de membres fin 2012.
Manipulations russes
En 2016, Facebook est accusé d'avoir permis à la Russie d'influer sur des élections. Le groupe révèle l'année suivante que des centaines de faux profils russes ont acheté des publicités pour accroître les tensions en amont des élections américaines dont Donald Trump est sorti vainqueur.
L'image de Facebook est également ternie en 2018 par le scandale Cambridge Analytica, société britannique d'analyse de données proche du Parti républicain américain, accusée d'avoir récupéré à leur insu les données de 50 millions d'utilisateurs de Facebook pour favoriser la victoire de Donald Trump.
Après ces révélations, Mark Zuckerberg passe sur le gril du Congrès américain en avril 2018.
Facebook devient Meta
Fin 2021, Mark Zuckerberg annonce que la maison mère de Facebook est rebaptisée Meta. Meta comme le mot grec pour "au-delà", mais aussi comme métavers, le monde virtuel qui représente selon lui l'avenir d'internet.
Jeudi noir en Bourse
Après avoir annoncé un bénéfice en baisse, Meta perd le jeudi 3 février 2022 plus d'un quart de sa valeur en Bourse, effaçant plus de 200 milliards de valorisation, du jamais-vu à Wall Street.
Le même mois, Facebook, délaissé par les plus jeunes au profit d'autres réseaux comme Tiktok ou Snapchat, admet avoir perdu, pour la première fois, un million d'utilisateurs quotidiens actifs. Il en conserve tout de même 1,96 milliard, soit environ un quart de la population mondiale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'argent dépasse les 75 dollars l'once pour la première fois
L'argent a dépassé vendredi le seuil symbolique des 75 dollars l'once pour la toute première fois, alors que les métaux précieux et industriels atteignent des sommets inédits en cette fin d'année. Ils sont portés par l'incertitude économique et géopolitique.
L'argent a atteint vendredi un sommet à 75,1515 dollars l'once (31,1 g). L'or a également touché un plus haut à 4531,04 dollars l'once. Depuis janvier, l'or a bondi de près de 70% et l'argent de plus de 150%, des performances annuelles inédites depuis 1979.
Ces métaux sont considérés comme des valeurs refuges, c'est-à-dire des actifs sûrs à long terme, achetés notamment par les banques centrales ou les particuliers pour assurer leurs arrières en période d'incertitude.
L'or et l'argent surfent ainsi sur le risque géopolitique entre les Etats-Unis et le Venezuela, Washington ayant déployé ces dernières semaines un important dispositif militaire dans les Caraïbes et mis en place un blocus naval contre Caracas qu'ils accusent de financer "le narcoterrorisme".
L'effet Trump
Le dollar et les obligations d'Etat américaines, habituellement valeurs refuges concurrentes des métaux précieux, ont par ailleurs perdu de leur attractivité cette année.
L'incertitude liée à la présidence de Donald Trump aux Etats-Unis a largement contribué à cet affaiblissement, encore renforcé dernièrement par la perspective de nouvelles baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui rendraient le billet vert moins intéressant.
Les investisseurs s'inquiètent aussi de la dette publique des grands pays et d'une bulle dans le secteur de l'intelligence artificielle.
Autant d'incertitudes qui font grimper l'or et l'argent, mais aussi les autres métaux, beaucoup jugeant sage de diversifier leur portefeuille, note John Plassard, analyste chez Cité Gestion Private Bank. "Le métal redevient une assurance plutôt qu'un simple actif spéculatif", explique-t-il à l'AFP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
"Nombreuses" frappes américaines contre l'EI au Nigeria, dit Trump
Les Etats-Unis ont mené de "nombreuses" frappes meurtrières contre l'Etat islamique dans le nord-ouest du Nigeria, a annoncé jeudi le président américain Donald Trump. Il a promis de nouvelles attaques si l'organisation continue de tuer des chrétiens dans le pays.
"J'avais précédemment prévenu ces terroristes que s'ils n'arrêtaient pas le massacre de chrétiens, ils allaient le payer cher et, ce soir, ils ont payé", a déclaré Donald Trump sur son réseau social Truth Social. Le "ministère de la guerre a réalisé de nombreuses frappes parfaites", a-t-il encore assuré.
Le commandement américain en Afrique a précisé sur le réseau social X qu'il avait frappé "à la demande des autorités nigérianes [...] tuant plusieurs terroristes de l'Etat islamique" dans l'Etat de Sokoto. Le ministère des affaires étrangères du Nigeria a confirmé vendredi les frappes américaines.
"Les autorités nigérianes restent engagées dans une coopération de sécurité structurée avec des partenaires internationaux, dont les Etats-Unis d'Amérique, afin de lutter contre la menace persistante du terrorisme et de l'extrémisme violent", a-t-il déclaré dans un communiqué.
Nombreux conflits
Ces assauts marquent la première intervention militaire américaine dans le pays le plus peuplé d'Afrique sous Donald Trump. Affirmant que les chrétiens y étaient sous une "menace existentielle" de l'ordre d'un "génocide", il avait menacé le mois dernier de recourir à l'option armée.
Le Nigeria est divisé de manière à peu près égale entre le sud à majorité chrétienne et le nord à majorité musulmane. Il est le théâtre de nombreux conflits qui tuent aussi bien des chrétiens que des musulmans, souvent sans distinction.
Le gouvernement nigérian et des analystes indépendants refusent de parler de persécution religieuse, un argument longtemps utilisé par la droite chrétienne aux Etats-Unis, en Europe et par des séparatistes nigérians qui conservent une influence à Washington.
Cette année, les États-Unis ont réinscrit le Nigeria sur la liste des pays "particulièrement préoccupants" en matière de liberté de culte et ont diminué l'octroi de visas aux Nigérians.
Le pays est confronté à un conflit islamiste de longue date dans le nord-est, ainsi qu'à des gangs armés de "bandits" qui pillent des villages et enlèvent des personnes contre rançon dans le nord-ouest.
Dans le centre du pays, des éleveurs principalement musulmans et des agriculteurs chrétiens pour la plupart, s'affrontent souvent, bien que la violence soit liée à des contentieux sur les terres et les ressources plus qu'à la religion.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
"La tyrannie prospère" aux Etats-Unis, accuse l'humoriste Kimmel
L'humoriste américain Jimmy Kimmel, dont l'émission avait momentanément été suspendue en septembre, a affirmé jeudi que 2025 avait été, "du point de vue du fascisme", une "très bonne année" aux Etats-Unis. Il était l'invité du discours de Noël de Channel 4.
La télévision publique britannique diffuse chaque année depuis 1993 un discours de Noël alternatif à celui du monarque britannique.
Jimmy Kimmel est une vedette des fameux "late night shows" des télévisions américaines. Son émission avait été suspendue en septembre après qu'il avait accusé la droite américaine d'exploiter politiquement l'assassinat de l'influenceur partisan du président américain Donald Trump, Charlie Kirk.
"Honnêtement, je crois que je n'ai aucune idée de ce qui se passe chez vous. En revanche, je sais ce qui se passe chez nous et je peux vous dire que, du point de vue du fascisme, ça a été une très bonne année", a-t-il déclaré dès l'ouverture de son allocution.
"Tout va très vite"
"La tyrannie prospère ici", a-t-il renchéri, avant de revenir en détail sur sa suspension. Face aux accusations de censure, il avait finalement retrouvé le chemin du studio une semaine plus tard.
"Le fait qu'un gouvernement réduise ses détracteurs au silence est quelque chose qui se produit dans des pays comme la Russie, la Corée du Nord et à Los Angeles, mais pas au Royaume-Uni", a-t-il ironisé, avant de mettre en garde les Britanniques: "Tout va très vite".
Mais le président américain, qu'il a baptisé "le roi Donnie VIII", une allusion à Henry VIII, a "perdu", a-t-il assuré, dans une référence au fait que son émission "Jimmy Kimmel Live!" a été prolongée jusqu'au milieu de l'année 2027.
Il a également appelé les Britanniques à ne pas "abandonner" les Américains. "Nous traversons une période difficile en ce moment, mais nous allons nous en sortir", a-t-il ajouté.
Parmi les personnalités ayant déjà adressé le message alternatif de Noël figurent le comédien Stephen Fry, en 2023, et le lanceur d'alerte Edward Snowden, en 2013.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
NBA: Les Knicks matent les Cavaliers pour Noël
Après avoir connu 2 défaites lors de leurs 3 dernières rencontres de NBA, les New York Knicks ont pris le dessus sur les Cleveland Cavaliers 126-124. Jalen Brunson, auteur de 34 points, a été décisif.
Au terme d'une rencontre très serrée, les New-Yorkais sont parvenus à remonter un écart qui est monté jusqu'à 16 point en faveur de Cleveland en début de dernière période. Le meneur des Knicks Jalen Brunson a une nouvelle fois été très prolifique avec 34 points inscrits, le même total que Donovan Mitchell côté Cavaliers.
Solidement arrimés à la 2e place du classement de Conférence Est grâce à leurs 21 victoires en 30 matches, les New-Yorkais sont néanmoins toujours surclassés par les Detroit Pistons, qui comptent eux 24 succès. A la mi-décembre, les Knicks ont remporté la Coupe NBA face aux San Antonio Spurs, également 2e du classement de Conférence Ouest.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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