International
Moscou et Kiev s'accusent mais veulent poursuivre la diplomatie
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La Russie et l'Ukraine ont appelé à intensifier les efforts diplomatiques. Les deux pays s'accusent mutuellement d'être responsables de la flambée de violences dans l'Est, où les combats avec les séparatistes font craindre aux Occidentaux une intervention de Moscou.
Après des échanges téléphoniques séparés avec le président Emmanuel Macron, ses homologues russe Vladimir Poutine et ukrainien Volodymyr Zelensky se sont tous deux dits prêts à poursuivre les pourparlers.
Alors que le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a répété dimanche que la Russie était "sur le point" d'envahir l'Ukraine, le président français a tenté "les derniers efforts possibles et nécessaires pour éviter un conflit majeur en Ukraine", après une rencontre au Kremlin avec Vladimir Poutine le 7 février.
A l'issue de cette conversation téléphonique, M. Poutine a dit vouloir "intensifier" les efforts diplomatiques pour régler le conflit dans l'Est de l'Ukraine, où Kiev combat depuis 2014 des séparatistes prorusses soutenus par Moscou.
Les Occidentaux craignent que la flambée des combats depuis deux jours sur la ligne de front ne serve de prétexte à la Russie, qui a massé 150'000 soldats aux frontières ukrainiennes, pour lancer une attaque contre son voisin pro-occidental.
Vladimir Poutine a mis dimanche cette flambée de violences au compte de "provocations" ukrainiennes", alors que les séparatistes ont ordonné l'évacuation des civils et la mobilisation des hommes en état de combattre.
Tirs "provocateurs"
Parlant également à Emmanuel Macron au téléphone, Volodymyr Zelensky a lui dénoncé les "tirs provocateurs" des rebelles parrainés par Moscou et appelé à la reprise des négociations avec la Russie sous l'égide de l'OSCE et à l'instauration d'un "cessez-le feu immédiat".
Selon l'Elysée, l'importance d'un cessez-le-feu a également été soulignée lors de l'entretien Poutine-Macron.
M. Macron doit désormais s'entretenir avec le chancelier allemand Olaf Scholz et le président américain Joe Biden "dans les prochaines heures". Les chefs de la diplomatie russe et français, Sergueï Lavrov et Jean-Yves Le Drian, s'entretiendront eux lundi, selon Moscou.
Une réunion extraordinaire de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) consacrée à l'Ukraine doit aussi avoir lieu lundi.
Troupes russes au Bélarus
Plus tôt dimanche, le Bélarus, allié de Moscou, avait fait savoir que les quelque 30'000 soldats russes présents sur son territoire, selon le décompte des Etats-Unis, et qui devaient partir ce dimanche, resteront pour d'autres exercices militaires.
Cette "inspection des forces" se poursuivant, selon Minsk, du fait de la reprise des combats dans l'Est de l'Ukraine, qui ont redoublé d'intensité dimanche dans un conflit qui a déjà fait plus de 14'000 morts depuis 2014.
Malgré cette annonce, l'Elysée a répété que M. Poutine avait redit à M. Macron "son intention de retirer ses troupes" du Bélarus "au terme des exercices en cours".
Sur la ligne de front dans l'Est de l'Ukraine, les journalistes de l'AFP ont pu entendre une série d'explosions.
Moscou veut des garanties
Moscou se défend de tout projet d'invasion de l'Ukraine mais réclame des garanties pour sa sécurité, dont la promesse que le pays n'intègrera jamais l'Otan et la fin du renforcement des forces de l'Alliance à ses frontières, autant de demandes que les Occidentaux ont rejetées.
Vladimir Poutine a encore insisté sur ce point dimanche auprès d'Emmanuel Macron, appelant Washington et l'Otan à "prendre au sérieux" les demandes russes.
La crise autour de l'Ukraine depuis fin 2021 a provoqué la pire escalade des tensions que l'Europe a connu depuis la Guerre froide, plusieurs pays occidentaux martelant que l'invasion russe pouvait survenir à tout moment.
Emboîtant le pas des Etats-Unis et de l'Otan, qui ont dit craindre une "attaque de grande ampleur", le Premier ministre britannique Boris Johnson a assuré dimanche que la Russie préparait "ce qui pourrait être la plus grande guerre en Europe depuis 1945".
Joe Biden a lui convoqué son Conseil de sécurité nationale pour une réunion de crise dimanche soir. Signe que la voie diplomatique reste ouverte, MM. Blinken et Lavrov doivent se rencontrer le 24 février.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
MotoGP: Alex Marquez s'impose et prend les commandes
Alex Marquez (Ducati) a fait coup double dimanche à Jerez.
L'Espagnol a remporté le GP d'Espagne de MotoGP pour prendre les commandes du championnat du monde, avec 1 point d'avance sur son frère aîné Marc qui a dû se contenter d'une 12e place après une chute.
Titré en Moto3 en 2014 puis en Moto2 en 2019, Alex Marquez a mis fin à une attente interminable pour lui: à 29 ans, il tient enfin son premier "vrai" succès dans la catégorie-reine, lui qui évolue en MotoGP depuis le début de la saison 2020. Il avait déjà gagné dans cette catégorie, mais en sprint (Grande-Bretagne 2023).
Deuxième de la course dominicale en Thaïlande, en Argentine et aux Etats-Unis, 2e des cinq sprints disputés cette année, le Catalan a devancé de 1''561 son dauphin, le Français Fabio Quartararo (Yamaha), qui était parti en pole. Le podium est complété par l'Italien Francesco Bagnaia (Ducati), à 2''217.
Vainqueur des cinq sprints et de trois des quatre premiers GP, Marc Marquez (Ducati) a chuté dès le 3e tour pour laisser le champ libre à son cadet. Le sextuple champion du monde de MotoGP a réussi impressionnante course-poursuite, malgré une machine endommagée. Il s'agit de son deuxième couac de la saison après sa chute à Austin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Mujinga Kambundji renonce à s'aligner à Shanghai
Mujinga Kambundji n'a pas pu défendre pleinement ses chances samedi à Xiamen.
Malade, la Bernoise a qui plus est souffert du jet-lag, explique-t-elle dans un message audio transmis par son équipe de management.
La championne du monde 2025 du 60 m en salle renonce donc à s'aligner samedi prochain à Shanghai, où elle aurait également dû disputer le 200 m, a-t-elle annoncé dimanche. Sa prochaine compétition est pour l'heure prévue le 16 mai à Doha, toujours dans le cadre de la Ligue de diamant, avec cette fois-ci un 100 m.
Mujinga Kambundji a, de son propre aveu, "manqué de substance" et donc d'énergie samedi à Xiamen sur 200 m. Auteure d'un bon départ, elle a effectivement flanché sur la ligne droite pour terminer au 9e et dernier rang en 23''51.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Lettre de Napoléon sur l'arrestation de Pie VII vendue 26'360 euros
Une lettre de Napoléon feignant de désapprouver l'arrestation du pape Pie VII, qu'il avait pourtant ordonnée, a été vendue 26'360 euros aux enchères à Fontainebleau dimanche, a annoncé la maison de vente Osenat, qui l'organisait.
Véritable "man½uvre politique", cette missive datée du 23 juillet 1809, raturée et signée "Napole", probable diminutif de Napoleone, était estimée entre 12'000 et 15'000 euros, avait auparavant indiqué à l'AFP Jean-Christophe Chataignier, associé et directeur du département Empire au sein de la maison de vente.
"Cette arrestation est un des événements qui va marquer le règne de Napoléon sur le plan politique et religieux. Napoléon sait que cette lettre va être diffusée et qu'elle est destinée à toutes les autorités", explique le spécialiste.
"Sans mes ordres et contre mon gré"
Elle s'adresse à l'archichancelier Jean-Jacques-Régis Cambacérès. "C'est sans mes ordres et contre mon gré qu'on a fait sortir le pape de Rome ; c'est encore sans mes ordres et contre mon gré qu'on le fait entrer en France. Mais je ne suis instruit de cela que dix ou douze jours après que c'est exécuté. Du moment que je saurai le pape stationnaire quelque part, & que mes intentions pourront être connues à tems (sic) et exécutées, je verrai les mesures que j'aurai à prendre...", écrit Napoléon.
"Il veut montrer son autorité sans être désavoué et, plutôt que de dire 'contre ma volonté', il écrit 'sans ma volonté+' Il ne devait pas apparaître comme celui ayant fait arrêter le pape, c'est historique et hyperstratégique", souligne M. Chataignier.
Refus de Pie VII de s'associer au blocus
Devant le refus de Pie VII de s'associer à la politique du blocus continental, Napoléon Ier va enchaîner plusieurs "coups de force": il prend l'autorité sur le pape en occupant une partie des États pontificaux, notamment les ports, envoie ses troupes dans Rome le 2 février 1808, et fait chasser les cardinaux étrangers en mars.
Le pape finira par être arrêté au Vatican fin juillet 1809, détenu à Grenoble et envoyé en Italie le 1er août, pour être placé en résidence surveillée à Savone puis à Fontainebleau à la demande de Napoléon.
"L'empereur entend ainsi affirmer encore un peu plus son emprise sur la religion catholique qu'il a orchestrée dès son sacre à Notre-Dame, où il se couronne lui-même alors que cette tâche revient normalement au souverain pontife", rappelle le spécialiste.
Les enchères napoléoniennes font florès, plus de deux siècles après la mort de "l'Empereur des Français", décédé en exil en 1821, à 51 ans, après avoir dominé l'Europe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Jorge Martin a été rapatrié en Espagne
Le champion du monde espagnol Jorge Martin (Aprilia), qui avait chuté et été percuté par un concurrent mi-avril au Qatar, a été rapatrié en Espagne en avion médicalisé samedi.
Des examens à son arrivée ont montré une "évolution très positive", a indiqué son équipe dimanche.
"Hier (samedi), nous avons effectué un scanner sur Jorge Martin à l'hôpital Ruber Quirón et les nouvelles sont assurément bonnes et très encourageantes. Martin a des poumons parfaits. La plèvre, la membrane qui entoure le poumon, est complètement consolidée", a expliqué Angel Charte, le responsable médical du MotoGP cité dans le communiqué d'Aprilia.
"De plus, sur les 11 fractures théoriques, il en reste 3: la septième, la huitième et la onzième, qui montrent déjà la progression de la callosité. Donc, à mon avis, l'évolution est très positive. Nous allons maintenant attendre aussi longtemps que nécessaire et continuer à surveiller l'évolution de ces fractures depuis Madrid", a poursuivi le médecin espagnol.
De retour en piste il y a deux semaines au Qatar après avoir manqué les trois premières manches de la saison, Martin avait chuté peu après la mi-course et avait été percuté au sol par l'Italien Fabio Di Giannantonio. Victime d'un hémopneumothorax associé à de multiples fractures des côtes, il était resté près d'une semaine à l'hôpital à Doha. Il avait ensuite été transféré dans un hôtel de la capitale qatarie dans l'attente de son rapatriement, qui était conditionné à l'amélioration de son état de santé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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