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Emirates annonce un bénéfice annuel record

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Emirates a réalisé une performance record sur l'exercice 2023-2024. (archive). (© KEYSTONE/AP/Jon Gambrell)

Le groupe Emirates, basé à Dubaï et propriétaire de la compagnie aérienne la plus importante du Moyen-Orient, a annoncé lundi un bénéfice annuel net record de 5,1 milliards de dollars (4,6 milliards de francs), en hausse de 71% par rapport à l'année précédente.

Le fleuron de l'émirat du Golfe a "placé la barre très haut en réalisant une nouvelle performance record" sur l'exercice 2023-2024 clos fin mars, s'est félicité son PDG, Cheikh Ahmed ben Saeed Al Maktoum, dans un communiqué, en soulignant "la forte demande de transport aérien et de services liés aux voyages dans le monde".

Le groupe avait déjà dégagé un profit record l'année dernière, de 3 milliards de dollars, après deux années de fortes pertes dues à l'épidémie de Covid-19.

Cette situation financière "nous place aujourd'hui dans une position solide (...). Elle nous permet d'investir pour offrir des produits et des services encore meilleurs et une plus grande valeur ajoutée", a ajouté son patron.

Le groupe a réalisé des investissements de 2,4 milliards de dollars en 2023-2024 dans "de nouveaux avions, installations, équipements, entreprises et technologies de pointe pour soutenir ses plans de croissance", selon le communiqué.

A elle seule, la compagnie Emirates a engrangé un bénéfice 4,7 milliards de dollars de profits, en hausse de 63% sur un an. Le groupe détient également Dnata, une entreprise de services à l'aéroport de Dubaï, l'un des plus fréquentés au monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le bloc de gauche devant le centre (résultats définitifs)

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Le bloc de gauche remporte 195 sièges au second tour des législatives: 182 pour le Nouveau Front populaire (NFP) et 13 divers gauche. Le camp centriste à 174, dont 168 pour Ensemble. Le Rassemblement national (RN) suit avec 143 députés (résultats définitifs).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La police met fin au rassemblement de milliers de Parisiens

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Des milliers de Français (15'000 selon la chaîne LCI) se sont rassemblés dimanche place de la République, à Paris, au soir du second tour des législatives. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Des milliers de Français (15'000 selon la chaîne LCI) se sont rassemblés dimanche soir place de la République, à Paris, après les élections législatives, pouvait-on constater sur les images de nombreuses chaines d'information françaises.

En fin de soirée, la police anti-émeutes a cependant mis fin au rassemblement après que certains manifestants ont mis le feu à une barricade et ont commencé à lancer des objets sur les forces de l'ordre.

Contrairement à ce que prédisaient les sondages, le parti d'extrême droite du Rassemblement national (RN) n'est pas devenu la première formation politique française. Il a en effet été battu à la fois par le Nouveau Front Populaire de gauche et par Ensemble, le parti du président Emmanuel Macron. Aucun parti n'a obtenu la majorité absolue à l'Assemblée nationale.

Contrairement à il y a une semaine, à l'issue du premier tour des législatives, l'ambiance sur la place était joyeuse et pacifique dimanche soir. Des dizaines de policiers anti-émeutes surveillaient toutefois la place.

La foule rassemblée y a brandi des drapeaux et chanté. Aux journalistes présents sur place, les participants, jeunes pour la plupart, se disaient "satisfaits" et "soulagés". Des slogans antifascistes ont été entendus.

Lorsque certains manifestants, dont plusieurs étaient cagoulés, ont mis le feu à une barricade et ont commencé à lancer des objets sur la police, celle-ci a cependant dispersé la foule, en déployant notamment des gaz lacrymogènes.

Vers minuit, le calme était en train de revenir place de la République, selon les chaînes d'information françaises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / anp

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Le sortant Marc Ferracci réélu par les Français de Suisse

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Marc Ferracci, candidat pour les Français de Suisse et du Liechtenstein pour le parti d'Emmanuel Macron - Renaissance - a annoncé sa réélection dimanche au 2e tour (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le député sortant Marc Ferracci a été réélu dimanche au second tour des législatives françaises anticipées dans la sixième circonscription, celle des Français de Suisse et du Liechtenstein. Il recueille 34'771 voix contre 23'687 pour la candidate de la gauche.

"Fier et honoré d’annoncer ce soir ma réélection comme député des Français de Suisse et du Liechtenstein", écrit Marc Ferracci sur le réseau social X. "Je serai dès demain au travail pour vous défendre, et pour faire avancer notre pays."

Le candidat de Renaissance, le parti du président français Emmanuel Macron, a battu Halima Delimi du Nouveau Front populaire, qui est également membre du PS de la ville de Genève. Sur X toujours, cette dernière précise: "46,55% aux urnes, un total de 39,47% votes électroniques inclus, c’est beau!"

"Force est de constater que dans la communauté des Français de Suisse La Gauche Social-Democrate a de beaux jours", écrit Mme Delimi. "Pour l’Ecologie, pour la Justice sociale nous restons mobilisés".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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"Notre victoire n'est que différée", dit Marine Le Pen

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Pour Marine Le Pen, Macron doit gérer la situation qu'il a imposée aux Français avec la gauche. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Marine Le Pen a jugé dimanche, à l'issue du second tour des élections législatives qui a placé le Rassemblement national en troisième position, que sa victoire n'était "que différée", alors que son parti juge la nouvelle assemblée "ingouvernable".

"La marée monte. Elle n'est pas montée assez haut cette fois-ci, mais elle continue à monter et, par conséquent, notre victoire n'est que différée", a-t-elle déclaré sur TF1, ajoutant: "J'ai trop d'expérience pour être déçue par un résultat où nous doublons notre nombre de députés", faisant du Rassemblement national "le premier parti" en termes de sièges.

Le parti à la flamme engrange de nouveaux élus, avec 120 à 152 députés, contre 89 en juin 2022, d'après les sondeurs. Mais il reste derrière le Nouveau Front populaire (172 à 215 députés) et le camp macroniste, crédité de 150 à 180 députés, alors que des sondages avant le premier tour lui donnaient la majorité absolue.

Selon son président, Jordan Bardella, c'est une "alliance du déshonneur", qui a privé les Français "d'une politique de redressement".

"S'il n'y avait pas eu de désistements massifs" entre candidats du bloc de gauche et de la majorité sortante, "nous aurions eu la majorité absolue" a assuré Marine Le Pen, dénonçant des "manoeuvres" devant des journalistes.

"Seule alternance"

"Le Rassemblement national incarne plus que jamais la seule alternance", ajouté M. Bardella, promettant que son parti ne tomberait dans "aucune compromission politicienne". "Ce soir, tout commence, un vieux monde est tombé, rien ne peut arrêter un peuple qui s'est remis à espérer".

Jordan Bardella, pressenti pour être Premier ministre en cas de victoire de son parti, a assuré que "le Rassemblement national (allait) amplifier son travail à l'Assemblée nationale" lors d'une allocution dans son QG de campagne.

Il a estimé que la France allait "vers l'incertitude et l'instabilité" en raison de la "paralysie" à venir des institutions.

Ce point de vue a été repris par les autres responsables du parti. Le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, avait aussi estimé que "le système (allait) se bloquer", car "les trois blocs" ont "très peu de différences" en termes de sièges.

Pour un autre vice-président du RN, Louis Alliot, "cette assemblée est ingouvernable". "Je ne vois pas comment" le bloc de gauche "va pouvoir gouverner (...) sauf à faire une espèce de millefeuille entre la majorité, un petit peu de gauche, un petit peu de Les Républicains, mais ça n'ira pas plus loin".

Face à ce blocage, "on revotera sous peu" pour des nouvelles élections législatives, a-t-il prédit. La nouvelle Assemblée nationale ne peut pas être dissoute pendant un an.

"Emmanuel Macron va gérer maintenant la situation qu'il a imposée aux Français (..)" avec "la gauche, en réalité sous tutelle de l'extrême gauche, en tête (...) Je ne sais pas comment il va faire", a conclu Marine Le Pen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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