International
Electrolux renoue avec la croissance au deuxième trimestre
Le fabricant suédois d'électroménager Electrolux a nettement réduit sa perte nette au deuxième trimestre et a renoué avec la croissance de ses ventes grâce à une hausse des volumes vendus, a-t-il annoncé vendredi.
La perte nette a été réduite à 88 millions de couronnes suédoises (7,5 millions d'euros), contre 648 millions un an plus tôt, grâce à l'effet combiné d'une hausse de ses ventes et de ses efforts de réduction de coûts, a-t-il indiqué dans un communiqué.
Le chiffre d'affaires a progressé de 4% à 33,8 milliards de couronnes "grâce à une hausse des volumes dans tous les secteurs et en dépit d'un effet prix négatif", poursuit-il.
"Les conditions du marché au deuxième trimestre sont restées similaires à celles des derniers trimestres, l'effet cumulé de l'inflation et des taux d'intérêt élevés continuant à peser sur le moral des consommateurs", a estimé le PDG Jonas Samuelson cité dans le communiqué.
Dans ce contexte, "Electrolux a fait mieux que le marché en Europe et en Amérique du Nord et a continué à améliorer son mix" prix/produit, a ajouté M. Samuelson. Patron du groupe depuis février 2016, M. Samuelson quittera son poste au 1er janvier 2025.
Electrolux a connu une année 2023 difficile avec de lourdes pertes et des ventes stagnantes, sur fond d'attentisme des consommateurs pour l'électroménager.
Ce deuxième trimestre marque une nette amélioration de ses performances, avec un bénéfice d'exploitation de 419 millions de couronnes, contre une perte de 124 millions un an plus tôt.
"Nous continuons à mettre en oeuvre les activités de réduction des coûts, dont les effets bénéfiques devraient se faire nettement sentir au second semestre de l'année", a ajouté le PDG.
En octobre 2023, le fabricant avait annoncé un plan de suppression de 3.000 postes pour réduire les coûts de 2,4 milliards de couronnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
BYD décolle en Bourse grâce à son système de charge ultra-rapide
L'action du géant chinois des véhicules électriques BYD a décollé mardi matin à la Bourse de Hong Kong, après que le groupe a dévoilé la veille sa "Super e-Platform" capable de recharger une voiture électrique en très peu de temps.
La société a révélé lundi un nouveau système de charge appelé "Super e-Platform", offrant jusqu'à 1000 kW de puissance de pic et permettant aux voitures de récupérer jusqu'à 470 kilomètres d'autonomie après avoir été branchées pendant seulement cinq minutes.
L'action de BYD à la Bourse de Hong Kong a bondi de plus de 6% pour atteindre un nouveau sommet mardi matin, avant de redescendre.
Cette nouvelle technologie a pour objectif de "pallier fondamentalement l'anxiété des utilisateurs quant à la charge", selon le fondateur de la société Wang Chuanfu.
"Notre objectif est de faire en sorte que le temps de charge des véhicules électriques soit aussi court que celui des véhicules thermiques", a-t-il déclaré lors de la cérémonie de lancement de lundi soir.
Cette nouvelle annonce place BYD devant son principal concurrent Tesla, dont les Superchargers disposent d'une puissance de 500 kW à l'heure actuelle.
BYD a présenté la Super e-Platform en même temps que deux nouveaux modèles de véhicules électriques qui seront les premiers à être équipés du système: la berline Han L et le SUV Tang L.
L'entreprise dont le siège est à Shenzhen (au nord de Hong Kong) a par ailleurs dévoilé un plan pour construire plus de 4000 stations de charge ultra rapide en Chine.
Cette expansion ambitieuse fait suite à une croissance remarquable, les ventes de février ayant grimpé de 161% pour atteindre plus de 318'000 véhicules électriques.
Pendant ce temps, Tesla a vu ses ventes chuter de 49% sur le marché chinois au cours de la même période.
En parallèle mardi, le constructeur chinois Nio a annoncé avoir signé un accord avec CATL, quant à un réseau d'échange de batteries pour véhicules électriques.
L'échange de batteries offre une alternative à la charge ultra-rapide pour les propriétaires de véhicules soucieux de l'autonomie, bien que sa mise en place demande une grosse infrastructure et une standardisation des modèles.
CATL devrait investir un maximum de 2,5 milliards de yuans (environ 305 millions de francs) dans le réseau d'échange de batteries de Nio.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Les astronautes américains bloqués dans l'ISS ont quitté la station
Les deux astronautes américains coincés à bord de la station spatiale internationale (ISS) depuis plus de neuf mois ont quitté le laboratoire orbital tôt mardi, selon des images diffusées en direct par la NASA. Ils doivent amerrir au large de la Floride vers 23h00.
Les deux compagnons d'infortune, Butch Wilmore et Suni Williams, ont quitté à 06h05 (en Suisse) l'ISS, accompagnés d'un autre astronaute américain et d'un cosmonaute russe, à bord d'une capsule Crew Dragon de l'entreprise SpaceX du multimilliardaire Elon Musk.
Initialement partis en juin pour une mission de huit jours, Butch Wilmore et Suni Williams, deux astronautes expérimentés de la NASA, ont vu leur séjour s'éterniser en raison de défaillances détectées sur le vaisseau Starliner de Boeing qui les avait acheminés.
Les problèmes techniques du Starliner avaient poussé l'agence spatiale américaine à décider de renvoyer celui-ci à vide et à confier le retour des deux malheureux astronautes à l'entreprise SpaceX d'Elon Musk, un camouflet pour le constructeur Boeing.
S'est alors ouvert un jeu de chaises musicales: à la fin septembre, la NASA et SpaceX ont envoyé dans l'espace deux personnes seulement au lieu des quatre prévues, afin de laisser des sièges libres pour Butch Wilmore et Suni Williams au retour.
"Chaque jour est intéressant"
Ces derniers attendaient depuis lors l'arrivée de la prochaine rotation de l'équipage de l'ISS, prévue initialement pour février puis retardée à la mi-mars, afin de quitter le laboratoire spatial. Ils ont finalement embarqué pour leur retour sur terre aux côtés de leur compatriote Nick Hague et du Russe Alexandre Gorbounov, dont le retour était planifié.
Entre-temps, les deux astronautes ont pris part à de multiples expériences en cours. "Chaque jour est intéressant", avait assuré au début mars Suni Williams, expliquant que l'attente était surtout difficile pour leurs familles respectives, pour qui c'était "les montagnes russes".
"Nous nous étions préparés à rester longtemps, même si nous ne pensions rester que très peu", avait abondé Butch Wilmore, assurant qu'il s'agissait de la "raison même" de leur entraînement: "se préparer à toutes les éventualités et imprévus".
Malgré leurs plus de 280 jours consécutifs dans l'espace, les deux Américains sont encore loin de battre un record. Dans les années 1990, le cosmonaute russe Valeri Polyakov avait passé plus de 400 jours à bord de la station spatiale Mir. Et plus récemment, l'astronaute américain Frank Rubio était resté 371 jours dans l'ISS, également en raison d'un problème sur son vaisseau.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Taïwan a détecté 59 avions chinois autour de l'île en 24 heures
Taïwan a dit mardi avoir détecté 59 avions militaires chinois en 24 heures autour de l'île, quelques jours après que le président Lai Ching-te a qualifié la Chine de "force étrangère hostile". Il s'agit d'un record depuis octobre 2024.
En plus des 59 avions, neuf navires et deux ballons ont également été repérés dans ce laps de temps, a indiqué le ministère taïwanais de la défense mardi.
Ces incursions constituent un nombre record depuis les 153 avions repérés le 15 octobre 2024, quand la Chine avait lancé des exercices militaires de grande ampleur en réponse au discours du président taïwanais prononcé à l'occasion de la fête nationale quelques jours plus tôt.
Parmi les avions détectés ces dernières 24 heures, 54 ont pris part à des patrouilles de "combat conjoint" de l'armée chinoise lundi, a précisé le ministère dans des déclarations distinctes.
"Avertissement sévère"
Le ministère chinois des affaires étrangères avait affirmé lundi à la presse que ces actions constituaient "une réponse résolue à la connivence et au soutien délibéré des forces extérieures à l'égard de l'indépendance de Taïwan et un avertissement sévère aux forces séparatistes indépendantistes de Taïwan".
La Chine a également réitéré ses critiques à l'égard de la décision américaine de supprimer en février du site en ligne du département d'Etat la phrase selon laquelle Washington "ne soutient pas l'indépendance de Taïwan". Les Etats-Unis ne reconnaissent pas Taïwan diplomatiquement, mais restent son principal soutien en matière de sécurité.
"Il s'agit d'un nouvel exemple flagrant de la politique délibérée des Etats-Unis qui consiste à utiliser Taïwan pour contenir la Chine et à tolérer et soutenir l'indépendance de Taïwan", a estimé le ministère chinois des affaires étrangères.
Jeudi, le président taïwanais Lai Ching-te avait qualifié la Chine de "force étrangère hostile", tout en proposant des mesures pour lutter contre l'infiltration croissante de celle-ci à Taïwan.
Selon les chiffres officiels taïwanais, le nombre de personnes jugées pour espionnage a fortement augmenté, les militaires retraités et en service étant les cibles principales des approches de Pékin.
La Chine considère que Taïwan fait partie de son territoire et n'exclut pas d'employer un jour la force pour placer l'archipel sous son contrôle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Starbucks condamné à payer 50 millions pour un thé renversé
Starbucks a été condamné à verser 50 millions à un client brûlé par du thé chaud qui s'était renversé sur lui en Californie. La boisson avait "provoqué des brûlures au troisième degré sur son pénis, son aine et [...] ses cuisses", selon les avocats du plaignant.
L'employé qui lui avait servi les trois grandes boissons en février 2020 n'avait pas inséré correctement l'une d'entre elles dans le porte-gobelet en carton, précise un communiqué du cabinet d'avocats Trial Lawyers for Justice. Lorsqu'il a pris le plateau, la boisson s'est renversée.
Un jury de Los Angeles lui a accordé vendredi 50 millions de dollars (44 millions de francs au cours actuel), un montant qui, selon ces avocats, devrait coûter à Starbucks plus de 60 millions de dollars avec les frais annexes.
Multiples greffes de peau
"Après une hospitalisation et de multiples greffes de peau, Michael a vécu pendant cinq ans avec la défiguration, la douleur, le dysfonctionnement et le préjudice psychologique causés par les brûlures", a rappelé le cabinet.
Toujours selon ce dernier, Starbucks avait nié toute responsabilité, mais, avant un procès devant un jury, l'entreprise avait proposé un règlement du litige pour 30 millions de dollars.
Le géant du café a toutefois refusé de présenter des excuses publiques et de changer son système, comme le souhaitait le plaignant, ce qui explique que l'affaire ait été portée devant les tribunaux.
Un porte-parole de Starbucks a fait savoir que l'entreprise ferait appel de la décision.
Cette affaire rappelle une action en justice historique intentée en 1994 contre McDonald's au Nouveau-Mexique, dans laquelle la plaignante de 79 ans s'était vu octroyer plus de 2,8 millions de dollars après s'être renversé du café brûlant sur la tête.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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