International
Echange de tirs "accidentel" à la frontière inter-coréenne

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La Corée du Nord a tiré dimanche de multiples coups de feu en direction de la Corée du Sud, au niveau de la Zone démilitarisée (DMZ) qui divise la péninsule, entraînant une riposte de l'armée du Sud, a annoncé Séoul. Selon les Etats-Unis, ces tirs étaient accidentels.
Ce rare échange de tirs s'est produit au lendemain de l'apparition en public de Kim Jong Un, pour la première fois depuis trois semaines, après des semaines de spéculations et de rumeurs à l'étranger sur son état de santé.
Un poste de garde sud-coréen a été touché par plusieurs tirs du Nord dimanche matin et aucune victime n'a été signalée du côté du Sud, a déclaré dans un communiqué l'état-major interarmées.
"Pas intentionnels"
"Nos militaires ont riposté par deux séries de coups de feu et par un message de mise en garde, conformément à notre procédure", a déclaré Séoul. L'armée sud-coréenne a ensuite déclaré que ces tirs nord-coréens n'étaient "pas considérés comme intentionnels", selon l'agence de presse sud-coréenne Yonhap.
Un avis partagé par le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo. "Quelques tirs sont venus du Nord, nous pensons que ceux-ci étaient accidentels. Les Sud-Coréens ont en effet riposté. Il n'y a pas eu de perte de vie de part et d'autre", a-t-il dit sur la chaîne ABC.
Les deux pays sont encore techniquement en guerre depuis l'armistice ayant mis fin à la Guerre de Corée en 1953. Contrairement à son nom, la DMZ est l'un des endroits les plus fortifiés de la planète. Elle est truffée de clôtures de fil de fer barbelé et de champs de mines, ce qui rend toute tentative de traversée extrêmement dangereuse.
Donald Trump "content"
L'apaisement des tensions militaires à la frontière fait partie des accord conclus en septembre 2018 lors d'un sommet à Pyongyang entre le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un et le président sud-coréen Moon Jae-in. Ces accords sont cependant restés lettre morte pour la plupart.
De même, les pourparlers avec les Etats-Unis portant sur l'arsenal nucléaire de Pyongyang sont au point mort en dépit de trois rencontres entre Donald Trump et M. Kim.
Ce processus aurait été encore un peu plus compromis si le leader nord-coréen s'était vraiment retrouvé dans l'incapacité de diriger le pays ou s'il était décédé comme le laissaient entendre, ces dernières semaines, certaines spéculations.
La télévision d'Etat a montré M. Kim marchant, souriant largement et fumant une cigarette lors de l'inauguration vendredi 1er mai d'une usine à Sunchon, au nord de Pyongyang.
Le président américain s'est dit samedi "content" de la réapparition publique du dirigeant nord-coréen et de le voir apparemment en bonne santé. "Je suis pour ma part content de voir qu'il est de retour et en bonne forme!", a écrit Donald Trump sur Twitter.
Raisons inconnues
Mike Pompeo a déclaré ne pouvoir "rien dire" sur les raisons derrière la mystérieuse absence de Kim Jong Un. Il a refusé d'indiquer s'il savait si le dirigeant nord-coréen avait été malade pendant cette période.
Il y a eu "d'autres périodes prolongées lorsque le président Kim n'a pas été vu", a précisé M. Pompeo. "Nous avons vu les mêmes images datant d'hier que le monde. Il semble que le président Kim est en vie et va bien", a-t-il ajouté.
Ce n'est en effet pas la première fois que M. Kim disparaît de la vie publique. En 2014, il était resté invisible six semaines avant de réapparaître marchant avec une canne. Quelques jours plus tard, les services de renseignements sud-coréens avaient expliqué qu'il avait été opéré pour un kyste à la cheville.
Un haut responsable dela présidence sud-coréenne, cité par Yonhap, a de son côté affirmé que M. Kim "n'a pas été pas été opéré". "Les médias ont fait des spéculations concernant une intervention (subie par) M. Kim, en évoquant un changement dans sa manière de marcher", a-t-il indiqué, tout en soulignant que Séoul possède suffisamment d'éléments pour en conclure que ce n'est pas le cas.
International
Sanctions américaines: Chevron rend au Venezuela du pétrole invendu
La compagnie pétrolière américaine Chevron a rendu au Venezuela des cargaisons de brut qu'elle n'a pas pu vendre en raison des sanctions des Etats-Unis, alors que Washington avait autorisé des entreprises étrangères du secteur à opérer dans ce pays jusqu'à fin mai.
Fin février, l'administration de Donald Trump avait annoncé révoquer la licence de Chevron avec effet en avril avant de prolonger jusqu'au 27 mai, à condition que le pétrolier américain ne verse pas d'argent au gouvernement vénézuélien, au pétrolier national PDVSA ou à ses filiales.
Vendredi, la vice-présidente vénézuélienne Delcy Rodriguez a expliqué sur les réseaux sociaux que la restitution de brut était due à l'"impossibilité" pour Chevron "de payer" les cargaisons au Venezuela, et "aux restrictions qui ont été imposées" à la firme.
Elle a également évoqué une "guerre économique amorcée par le gouvernement américain".
Chevron disposait d'une licence accordée par l'ancien président américain Joe Biden en 2022 pour opérer au Venezuela malgré l'embargo pétrolier et les sanctions imposés en 2019 - sous la premier mandat de Donald Trump - avec l'objectif d'évincer le chef de l'Etat vénézuélien Nicolas Maduro.
Sa vice-présidente a souligné: "Ce brut est commercialisé sur les marchés internationaux. PDVSA respectera les termes et les obligations contractuelles convenues avec les multinationales. Au Venezuela, il y a des lois, et elles sont respectées".
L'administration Trump a également révoqué les licences pétrolières de l'espagnole Repsol, de la française Maurel & Prom et de l'italienne Eni.
Pays aux plus grandes réserves pétrolières du monde
Les Etats-Unis estiment que le président Maduro n'a pas respecté les accords conclus avec l'ex-président Biden sur l'organisation de la présidentielle de 2024, selon le président Trump. Il a aussi invoqué le non respect par Caracas d'un accord sur le rapatriement d'immigrés vénézuéliens.
M. Maduro a été déclaré vainqueur de la présidentielle de juillet dernier par le Conseil national électoral, qui n'a pas donné le détail des votes. L'opposition crie à la fraude et revendique la victoire en brandissant les procès-verbaux qu'elle a recueillis dans 80% des bureaux.
Pays aux plus grandes réserves pétrolières du monde, le Venezuela, qui produisait jusqu'à trois millions de barils par jour (b/j), ne sort actuellement qu'un million de b/j environ, selon PDVSA. La faute à des années de mauvaise gestion, de corruption et plus récemment aux sanctions américaines.
Chevron produisait un peu plus de 200'000 b/j, soit quelque 20% du total au Venezuela.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Justin Rose sous la menace de Bryson De Chambeau et de Rory McIlroy
Justin Rose s'accroche à la première place du Masters d'Augusta. L'Anglais compte avec un coup d'avance sur l'Américain Bryson DeChambeau.
Justin Rose, qui menait de trois points après un premier tour de rêve jeudi, a réalisé quatre birdies et trois bogeys pour rendre une carte de 71, et se situe à huit sous le par après 36 trous. "Une très bonne position avant le week-end", s'est autocongratulé l'Anglais de 44 ans, dont le dernier succès sur le circuit PGA remonte à 2023 à Pebble Beach.
Pour sa part, Rory McIlroy, qui avait subi un double bogey en fin de parcours jeudi pour terminer 27e, a enchaîné vendredi trois birdies et un eagle sur les neuf derniers trous. Il a finalement réussi un putt de par tendu à 1,5 mètre du 18e trou pour signer une carte de six sous le par, sans bogey, à deux longueurs de Rose et à égalité avec le Canadien Corey Conners.
"Je devais me rappeler que je jouais bien. Je ne pouvais pas laisser deux mauvais trous dicter les 16 bons", a déclaré le no 2 mondial, qui n'a pas connu de victoire dans un Majeur depuis 2014. "Terminer sans bogey aujourd'hui était très important".
Bryson DeChambeau, qui avait battu McIlroy au 72e trou pour remporter l'US Open l'an dernier, a expédié sur des birdies quatre des huit premiers trous, puis a répondu à un bogey au 16e trou par un putt de birdie de près de 6 mètres au 17e trou. Il a rendu une carte de 68.
Le tenant du titre Scottie Scheffler, qui a joué dans les conditions les plus venteuses, a eu quatre bogeys et trois birdies sur les neuf derniers trous pour finir sur un score de 71 et à une cinquième place partagée avec quatre autres concurrents.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Une 64e défaite pour Kyshawn George et les Wizards
Kyshawn George et Washington ont bu la tasse à Chicago ! Battus 119-89 par les Bulls, les Wizards ont concédé leur huitième défaite avec un écart d’au moins 30 points.
Titularisé dans le cinq de base, Kyshawn George a inscrit 11 points pour accuser un déficit de -21 avec son 4 sur 10 au tir. Revenu aux affaires mercredi lors de la défaite contre Philadelphia après un mois à soigner sa cheville, le Valaisan espère conclure sa première saison en beauté dimanche à Miami.
Face au Heat, Washington entend éviter une... 65e défaite pour abandonner la " lanterne rouge" de la NBA à Utah, qui présente ce même bilan de 17 victoires contre 64 défaites. Le Jazz affrontera Minnesota à Minneapolis.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Ukraine: l'émissaire US évoque une séparation comme à Berlin
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire américain Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Après plus de trois ans d'une guerre déclenchée par l'invasion russe du 24 février 2022 et des avancées extrêmement limitées vers une trêve, plusieurs pays tels que la France et le Royaume-Uni se sont dits favorables à l'idée d'une présence militaire européenne de maintien de la paix en Ukraine, dont ils proposent même de faire partie une fois le conflit terminé.
"Vous pourriez presque faire ressembler cela à ce qui s'est passé avec Berlin après la Deuxième Guerre mondiale, quand vous aviez une zone russe, une zone française, une zone britannique, une zone américaine", dépeint le général Kellogg dans un entretien publié samedi par le Times.
Et pour remplacer le mur de séparation construit en 1961 dans la capitale allemande - puis abattu en 1989 - il pense au fleuve Dniepr.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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