International
Djokovic-Alcaraz, pour tout l'or d'un Empire
Novak Djokovic tient à portée de raquette son 24e titre du Grand Chelem qui lui permettrait d'égaler le record absolu de Margaret Court. Seul Carlos Alcaraz peut l'en priver dimanche à Wimbledon.
"Mon ambition est toujours au plus haut: je veux toujours gagner le titre", annonce le Serbe de 36 ans, toujours aussi ravi de démontrer à la jeune génération qu'il est encore l'homme à battre. "Je n'ai pas peur. Je me sens à ma place et je veux démontrer que je suis à ma place", lance en retour l'Espagnol de 20 ans.
Sur le papier, le match est très déséquilibré puisque Alcaraz vise un premier titre à Wimbledon sur une surface, le gazon, qu'il maîtrise depuis... quelques jours. En face, Djokovic est invaincu sur le Centre Court du Temple du tennis depuis... dix ans et sa défaite en finale face à Andy Murray en 2013.
Le Serbe est plus généralement invaincu à Wimbledon depuis sa défaite en quart de finale en 2017 - sur abandon - et vise donc une 35e victoire d'affilée pour un cinquième titre consécutif qui égalerait la série record de Björn Borg (1976-1980) et de Roger Federer (2003-2007).
Le Djoker peut également décrocher un huitième titre sur le gazon londonien pour égaler le record du Bâlois et revenir à une longueur du record absolu que détient Martina Navratilova.
No 1 lundi
Sans compter que le vainqueur sera no 1 mondial lundi. Carlos Alcaraz vivrait sa 29e semaine au sommet de la pyramide, Novak Djokovic sa 390e (un autre record).
Dans ces conditions, "peut-être qu'il aura un peu plus de pression qu'à Paris, mais comme d'habitude, il va la maîtriser", a estimé l'Espagnol au sujet de son adversaire, en référence à leur précédent affrontement en demies à Roland-Garros où le jeune avait plié physiquement sous la pression de l'ancien en se retrouvant perclus de crampes dès la fin du deuxième set.
Cette fois, l'affrontement entre les deux meilleurs joueurs du circuit clôt le plus mythique des tournois en feu d'artifice. Mais au lieu de se jouer sur la terre de prédilection d'Alcaraz, il se jouera sur gazon où le Serbe est "quasiment imbattable", selon les propres mots de son rival.
"Ce sera une revanche contre moi-même, aussi une lutte personnelle pour voir si j'ai appris de la demi-finale de Roland-Garros", estime l'Espagnol en reconnaissant toutefois que pour lui, ce match serait "monumental". Estimant avoir été "brillant" face à Daniil Medvedev en demies, il affirme: "Je pense que je peux battre Djokovic ici."
Son niveau de confiance s'appuie également sur une série de onze victoires sur gazon en comptant son titre au Queen's avant de venir à Wimbledon où il n'avait encore jamais dépassé les 8es de finale. Mais le dernier des douze travaux d'Alcaraz sur herbe cette saison s'annonce prodigieusement compliqué face à une "légende".
"Festin"
"Il ne fait rien de mal sur un court. Physiquement, c'est un monstre. Mentalement, c'est un monstre. Tout est incroyable chez lui", reconnaît Alcaraz.
De son côté, Djokovic affiche la sérénité du champion habitué à ces moments, qui a battu tout le monde, partout, et qui sait comment gérer une pression "toujours très forte". "J'aborderai ma finale comme si c'était la première. Le travail ne sera terminé que lorsque je soulèverai le trophée... j'espère", prévient le Djoker.
"Je veux absolument gagner ce titre, et il (Alcaraz) représente la plus grosse difficulté pour moi en ce moment, de tous les points de vue: physique, mental, émotionnel", reconnaît-il.
"Oui, j'ai plus d'expérience, j'ai joué beaucoup plus de finales de Grand Chelem et de Wimbledon que lui, détaille Djokovic. Mais il est en très grande forme, il est motivé, il est jeune et il a faim. Moi aussi, j'ai faim... alors, que le festin commence !"
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Décès de l'acteur américain Val Kilmer à l'âge de 65 ans
Val Kilmer est décédé à l'âge de 65 ans, rapportent plusieurs médias américains. L'acteur américain avait été révélé au milieu des années 1980 par le film Top Gun de Tony Scott.
Dans une déclaration au New York Times, sa fille Mercedes a indiqué que l'acteur était décédé d'une pneumonie, après avoir lutté des années contre un cancer de la gorge.
Val Kilmer s'était fait connaître pour avoir joué le rôle d'Iceman aux côtés de Maverick (Tom Cruise) dans Top Gun (1986). Par la suite, il avait également notamment incarné Jim Morrison dans "The Doors" d'Oliver Stone (1991) ou encore Bruce Wayne dans "Batman Forever" de Joel Schumacher (1995).
En 2022, on avait encore pu le voir dans la suite de Top Gun. Il y apparaissait dans une séquence, pour laquelle sa voix avait été recréée.
Succès et déclin
En 2021, le documentaire "Val", principalement issu de ses propres archives, racontait sa brillante carrière à Hollywood puis sa dégringolade avant ce cancer qui l'avait privé de sa voix. Réalisé avec nombre de vidéos personnelles de l'artiste, qui vivait avec une caméra depuis son enfance, le film montrait notamment de nombreuses scènes inédites de ses plus grands succès au cinéma.
Des images montrent aussi une dispute entre Val Kilmer et le réalisateur John Frankenheimer sur le tournage de "L'île du Dr Moreau" (1996), un flop qui a marqué le début du déclin de la star.
Une vocation
Il avait depuis la réputation d'avoir un caractère supposément emporté, mais aussi une personnalité "touchante" selon la presse spécialisée.
Val Kilmer a été le plus jeune élève à faire son entrée à la prestigieuse Julliard School à New York. Alors qu'il ambitionnait de faire des films sérieux, il s'est surtout retrouvé à jouer dans des blockbusters, avant des échecs commerciaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Los Angeles mate Winnipeg
Le derby suisse du mardi soir en NHL est revenu à Kevin Fiala. Sur sa glace, Los Angeles s’est, en effet, imposé 4-1 devant le Winnipeg de Nino Niederreiter.
Les Kings ont forcé la décision en début de rencontre grâce aux réussites de Trevor Moore (9e) et du capitaine Anze Kopitar (10e). "Muet" pour une quatrième rencontre de suite, Kevin Fiala a rendu un bilan neutre au sein d’une formation qui a remporté 11 de ses 14 derniers matches.
Comme Kevin Fiala, Nino Niederreiter n’a pas comptabilisé le moindre point. Meilleure équipe de la saison régulière, Winnipeg est revenu à 2-1 à la 32e par Cole Perfetti. Mais à la 37e, Andrei Kuzmenko redonnait deux longueurs d’avance aux Kings.
Comme Winnipeg et Los Angeles, le Tampa Bay de Janis Moser verra très certainement les play-off. Le Lightning s’est imposé 4-1 à Elmont face aux Islanders pour cueillir une quatrième victoire de rang. Au bénéfice d’un temps de jeu de 18’06, Janis Moser a été crédité d’un bilan neutre.
891e but pour Alex Ovechkin
A Boston, Alex Ovechkin a encore frappé lors du succès 4-3 de Washington. Auteur du 2-0, le Russe a inscrit un... 891e but pour s’approcher de 3 longueurs du record de Wayne Gretzky. Alex Ovechkin a inscrit 12 buts lors de ses 18 derniers matches. S’il maintient ce rythme de 2 buts tous les 3 matches, il surpassera Wayne Gretzky lors de l’avant-dernière rencontre de la saison régulière, le 15 avril face aux Islanders.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un nouveau festival de Stephen Curry
Stephen Curry a signé un nouveau festival à Memphis. Auteur de 52 points, il a mené Golden State à la victoire 134-125 grâce à son adresse chirurgicale.
Le héros de la finale des Jeux 2024 a réussi 12 paniers à 3 points pour égaler son record de la saison. L’arrière de 37 ans occupe désormais la sixième place du classement des joueurs qui ont passé le plus souvent le seuil des 50 points dans un match. A Memphis, ce fut son 15e, bien loin toutefois de l’incroyable record de Wilt Chamberlain (118).
A la faveur de ce succès, les Warriors occupent désormais la 5e place de la Conférence Ouest avec leur bilan de 44 victoires contre 31 défaites. Leur marge étroite d’une victoire sur le 7e est encore loin de leur assurer une qualification directe pour les play-off.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Real Madrid en finale de la Coupe du Roi
Poussé en prolongation au terme d'un match de folie, le Real Madrid a arraché sa qualification pour la finale de la Coupe du Roi face à la Real Sociedad. Un nul 4-4 improbable à Bernabeu a suffi.
Buteur d'une tête rageuse sur corner à la 115e minute, Antonio Rudiger a envoyé les Merengues disputer la 41e finale de Coupe de leur histoire après leur victoire 1-0 à Saint-Sebastien au match alller. Cette finale se déroulera le 26 avril au stade olympique de la Cartuja de Séville. Elle les opposera dans tous les cas à l'un de leurs éternels rivaux, le FC Barcelone ou l'Atlético Madrid, qui se disputeront le deuxième billet mercredi au Metropolitano.
Mené 3-1 à la 80e minute et au bord de l'élimination, le Roi d'Europe a une nouvelle fois fait parler son expérience des grands rendez-vous, d'abord pour revenir trois fois au score, à 1-1, 3-3, puis à 4-4 en prolongations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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