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Deux morts dans le crash d'un hélicoptère militaire dans le sud

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Les causes du crash doivent encore être déterminées. (© KEYSTONE/AP/Susan Shepard)

Un hélicoptère militaire américain Black Hawk s'est écrasé mercredi en Alabama, dans le sud des Etats-Unis. Les deux occupants à bord sont décédés, ont indiqué les autorités locales.

"Il y avait deux occupants dans l'hélicoptère, qui sont décédés", a indiqué le porte-parole du bureau du shérif du comté de Madison Brent Patterson, dans un communiqué transmis à l'AFP, précisant qu'il n'y avait "aucun signe de survivants".

Vers 15h00 heure locale (22h00 en Suisse), un appareil de type Black Hawk appartenant à la Garde nationale aérienne du Tennessee - un Etat voisin de celui de l'Alabama - réalisait un vol d'entraînement à proximité d'une autoroute et d'un autre axe routier, a indiqué la Garde nationale du Tennessee, dans un communiqué transmis à l'AFP.

"Nous sommes profondément attristés par la perte de deux gardes nationaux du Tennessee", a déclaré le général Warner Ross, responsable de la Garde nationale de cet Etat. Dans un autre communiqué, le porte-parole de la Garde nationale Robert Carver a indiqué qu'il était "prématuré d'évoquer de possibles causes du crash".

Des enquêteurs sont attendus mercredi sur place et le bureau du shérif du comté de Madison a annoncé dans la soirée sur les réseaux sociaux la fermeture d'axes routiers à la suite de l'accident.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Impressionnant incendie aux portes de Los Angeles

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L'énorme colonne de fumée provoquée par le feu est visible depuis toute la ville de Los Angeles. (© KEYSTONE/AP/Eugene Garcia)

Un incendie impressionnant a provoqué des évacuations mardi dans les collines surplombant Los Angeles, qui subit des vents violents capables de propager rapidement les flammes et posant un "danger mortel", ont annoncé les autorités locales.

Le feu s'est déclaré en fin de matinée dans le quartier de Pacific Palisades, qui jouxte les montagnes de Santa Monica, au nord de la ville. Selon plusieurs témoins, certaines habitations ont déjà brûlé dans cette zone huppée, peuplée de villas à plusieurs millions de dollars construites en plein milieu de canyons escarpés.

A la mi-journée, l'incendie couvrait déjà 80 hectares aux portes de Los Angeles, selon l'agence CalFire. "Evacuez maintenant la zone de Palisades", a recommandé la ville sur Twitter, pendant que des dizaines de pompiers luttaient contre les flammes.

Le feu a provoqué une énorme colonne de fumée, visible depuis toute la mégapole. La ville voisine de Malibu, qui a déjà subi un vaste incendie en décembre, a fermé ses écoles.

L'incendie s'est déclaré alors que Los Angeles est balayée par des rafales particulièrement violentes : des vents chauds de Santa Ana, typiques de l'hiver californien, doivent souffler jusqu'à 160 km/h, selon les services météorologiques américains (NWS).

De quoi propager les flammes très rapidement et compliquer fortement la tâche des pompiers. "ATTENTION !!! Une tempête de vent DESTRUCTRICE et posant un DANGER MORTEL est attendue de mardi après-midi à mercredi matin sur une grande partie de la région" de Los Angeles, a averti le NWS sur X. L'alerte météo doit rester en place jusqu'à jeudi soir.

De nombreux pompiers avaient été déployés à l'avance et luttent "agressivement" contre l'incendie, a assuré la maire de Los Angeles, Karen Bass, sur les réseaux sociaux. "Les habitants de la région sont invités à tenir compte des avertissements d'évacuation et à suivre les instructions des responsables de la sécurité publique", a ajouté la démocrate.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump veut que les pays de l'OTAN accordent 5% du PIB à la défense

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Donald Trump souhaite que les pays membres de l'OTAN augmentent leurs dépenses de défense (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le président élu Donald Trump a déclaré mardi que les pays de l'Otan devaient accroître leurs budgets de défense à 5% de leur PIB après avoir maintes fois répété que les membres de l'Alliance n'en faisaient pas assez pour assurer leur protection.

"Ils peuvent tous se le permettre", a dit le milliardaire républicain, qui prendra ses fonctions le 20 janvier à la Maison Blanche. "Ils devraient être à 5%, pas 2%", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Mar-a-Lago, en Floride (sud-est).

L'ancien et futur président américain ne fait pas mystère du peu de cas qu'il fait de l'Alliance atlantique, pilier de la sécurité en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, répétant à l'envi que ses membres ne payent pas suffisamment pour la protection des Etats-Unis.

Il avait en particulier semé la panique durant la campagne électorale en menaçant de ne plus garantir la protection des pays de l'Otan face à la Russie si ceux-ci ne consacraient pas un budget suffisant à leur défense.

"S'ils paient leurs factures, et si je pense qu'ils nous traitent de manière juste, la réponse est absolument que je resterais avec l'Otan", a-t-il déclaré dans une interview récente.

Les pays de l'Otan se sont engagés il y a dix ans, après l'annexion par la Russie de la péninsule ukrainienne de Crimée, à consacrer au moins 2% de leur produit intérieur brut (PIB) aux dépenses militaires. Ils sont 23 sur 32 à avoir tenu cet engagement.

Le chef de l'Alliance atlantique, Mark Rutte, a lui-même prévenu le mois dernier que l'Europe devait dépenser "beaucoup plus" pour assurer sa défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga

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Alaphilippe "super motivé" avec sa nouvelle équipe Tudor

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Julian Alaphilippe est super motivé avec sa nouvelle équipe Tudor (© KEYSTONE/AP LaPresse/GIAN MATTIA D'ALBERTO)

Après une décennie en Belgique, Julian Alaphilippe démarre la saison 2025 "super motivé". Il se sent bien avec sa nouvelle équipe helvétique Tudor qui compte aussi beaucoup sur lui pour grandir.

A 32 ans, l'ancien double champion du monde estime que c'était "le bon moment pour ce grand changement" après dix ans chez Soudal Quick-Step où son aventure s'est achevée cet hiver sur un brin d'amertume à cause de ses relations compliquées avec le patron Patrick Lefevere, sur fond de résultats en baisse.

Il a trouvé refuge pour les trois prochaines saisons dans une équipe jeune aux dents longues, cornaquée par l'ancien champion bernois Fabian Cancellara, qui, depuis sa création en avril 2022, monte les étages quatre à quatre.

"Le projet m'a plu dès les premières discussions qu'on a eues avec Ricardo (Scheidecker, directeur sportif), "Raphi" (Raphael Meyer, directeur général) et Fabian (Cancellara). J'ai tout de suite accroché à l'idée de faire partie de cette jeune équipe mais avec beaucoup de caractère et d'ambition", a expliqué le Français mardi lors de la présentation de la saison de Tudor à Moraira, dans le sud-est de l'Espagne, où son équipe est en stage.

"C'est un challenge pour moi aussi, c'est mon instinct qui a décidé, je suis très content de ma décision. Ils savent où ils veulent aller, ça m'a super motivé", a-t-il insisté.

Terminant la saison 2024 au 22e rang mondial en termes de points UCI, la formation suisse, adossée à l'horloger de luxe, a beau cultiver de grandes ambitions, elle navigue encore en deuxième division (le World Tour est réservé aux 18 premières équipes), ce qui l'oblige à attendre des invitations des organisateurs pour participer aux plus grandes courses comme le Tour de France.

Une réalité nouvelle pour Alaphilippe qui, du coup, ne savait pas vraiment mardi quel sera son programme au-delà de sa mise en route lors de la Figueira Champions Classic au Portugal le 16 février suivi du Tour de l'Algarve et ensuite Paris-Nice en mars, pour lequel Tudor a été invitée.

Ses patrons espèrent justement que son arrivée, ainsi que celle du Suisse Marc Hirschi, très en vue en fin de saison dernière, va convaincre les organisateurs à les accueillir.

"J'espère qu'on pourra disputer toutes les courses qu'on rêve de courir", a déclaré Alaphilippe, en pensant notamment au Tour de France, la course des courses.

"Je suis toujours optimiste, c'est un rêve d'aller au Tour, c'est dans nos têtes bien sûr mais c'est encore loin", a souligné le Français qui espère "retrouver son meilleur niveau possible" en 2025, sur la lancée d'une saison déjà meilleure que les deux précédentes.

Quant à sa cohabitation avec Hirschi, aux caractéristiques similaires, il a jugé que c'était "un problème de riches". "Il n'y aura pas de rivalité entre nous. Au fond de moi, j'ai le caractère d'un leader, d'un attaquant et ça ne changera jamais. Mais j'ai toujours été heureux d'aider mes coéquipiers et je serais heureux de voir Marc atteindre ses objectifs", a-t-il assuré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Meta abandonne la vérification de l'information aux USA

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Meta va mettre fin à son programme de fact-checking aux Etats-Unis. Ici, Mark Zuckerberg. (archive) (© KEYSTONE/AP/ERIC RISBERG)

Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) va mettre fin à son programme de fact-checking aux Etats-Unis, un recul majeur de sa politique de modération des contenus, a annoncé mardi son fondateur et patron Mark Zuckerberg.

"Nous allons nous débarrasser des fact-checkers et les remplacer par des notes de la communauté, similaires à X (anciennement Twitter), en commençant par les Etats-Unis", a déclaré Mark Zuckerberg dans un message sur les réseaux sociaux.

Selon M. Zuckerberg, "les vérificateurs ont été trop orientés politiquement et ont plus participé à réduire la confiance qu'ils ne l'ont améliorée, en particulier aux Etats-Unis".

L'annonce de Meta intervient alors que les républicains ainsi que le propriétaire du réseau social concurrent X, Elon Musk, se sont plaints à de multiples reprises des programmes de fact-checking, qu'ils assimilaient à de la censure.

"Les récentes élections semblent être un point de bascule culturel donnant, de nouveau, la priorité à la liberté d'expression", a estimé le patron de Meta.

Dans le même temps, le groupe devrait revoir et "simplifier" ses règles concernant les contenus sur l'ensemble de ses plateformes et "mettre fin à un certain nombre de limites concernant des sujets, tels que l'immigration et le genre, qui ne sont plus dans les discours dominants".

L'annonce intervient alors que M. Zuckerberg a multiplié les gestes en direction du président élu Donald Trump, notamment via un don d'un million de dollars pour le fonds finançant les cérémonies d'inauguration du mandat, prévues le 20 janvier.

Le candidat républicain s'était montré particulièrement critique à l'encontre de Meta et de son patron ces dernières années, accusant l'entreprise de parti pris et de soutenir les discours progressistes.

Donald Trump avait été suspendu de Facebook après l'attaque du Capitole, le 6 janvier 2021, mais son compte avait été réactivé début 2023.

Plus de contenus politiques

Mark Zuckerberg a dîné en novembre avec M. Trump à la résidence de Mar-a-Lago (Floride) de ce dernier, dans un geste vu comme une volonté d'apaiser les relations avec le futur président américain.

Autre geste à destination des conservateurs, Meta a désigné un fidèle de M. Trump, Joel Kaplan, à la tête de ses affaires publiques, remplaçant l'ancien Premier ministre britannique adjoint, Nick Clegg, démissionnaire.

"Trop de contenus sans danger ont été censurés, trop de personnes ont été enfermées injustement dans +la prison de Facebook+", a déclaré M. Kaplan dans un communiqué, insistant sur le fait que l'approche actuelle était allée "trop loin".

Autre geste d'apaisement, la désignation du responsable de l'Ultimate Fighting Championship (UFC), Dana White, également proche de Donald Trump, au conseil d'administration de Meta.

Parmi les évolutions à venir, Meta devrait déplacer ses équipe "confiance et sécurité" de la Californie, généralement plus progressiste, vers le Texas, Etat plus conservateur.

"Cela nous aidera à renforcer la confiance nécessaire pour faire le travail en ayant moins d'inquiétude quant aux partis pris présents parmi nos équipes", a justifié M. Zuckerberg.

Un mouvement qui va également avec la volonté de revenir sur sa décision, en 2021, de réduire les contenus politiques sur ses plateformes.

L'entreprise souhaite désormais adopter une approche plus personnalisée, donnant aux utilisateurs un plus grand contrôle sur la quantité de contenus politiques qu'ils souhaitent voir sur Facebook, Instagram ou Threads.

L'AFP participe dans plus de 26 langues à un programme de fact-checking développé par Facebook, qui rémunère plus de 80 médias à travers le monde pour utiliser leurs "fact-checks" sur sa plateforme, sur WhatsApp et sur Instagram.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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