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Déraillement d'un train: le bilan passe à 5 morts et 44 blessés

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Selon la police, le train contenait environ 140 personnes à bord au moment de l'accident. (© KEYSTONE/dpa/Sven Hoppe)

Le déraillement vendredi d'un train dans les Alpes allemandes a fait 5 morts et 44 blessés, selon un nouveau bilan de la police. Celle-ci a indiqué samedi avoir retrouvé un corps supplémentaire.

Le précédent bilan était vendredi soir de 4 morts et 30 blessés. Les enquêteurs avaient passé au peigne fin les wagons endommagés, à la recherche de victimes et d'indices pouvant déterminer la cause de l'accident près de Garmisch-Partenkirchen, une région où se tiendra à la fin du mois, le sommet des dirigeants du G7.

"Pour l'instant, nous ne pensons pas qu'il y ait d'autres victimes. Cela dit, je ne peux pas en être sûr pour autant", a déclaré à la presse Frank Wellig, chef adjoint de la police régionale. Il a en outre indiqué que quatre des victimes étaient des femmes adultes, et que 44 autres personnes avaient été blessées, notamment des enfants.

L'accident est survenu peu après midi vendredi alors que des élèves rentraient chez eux avant les vacances de Pentecôte dans deux régions du sud de l'Allemagne, le Bade-Wurtemberg et la Bavière. Selon la police, le train régional était "bondé" avec environ 140 personnes à bord.

"Très ému"

Cet accident intervient deux jours après l'entrée en vigueur d'un forfait mensuel de 9 euros permettant de prendre les trains régionaux dans toute l'Allemagne, une offre qui a séduit de nombreux Allemands et fait craindre une surfréquentation des trains.

Le ministre fédéral des transports, Volker Wissing, s'est rendu sur le site de l'accident, se déclarant "très ému". "Nous poursuivrons notre enquête pour déterminer ce qui s'est passé", a-t-il affirmé aux journalistes.

Le train avait tout juste quitté la station de montagne bien connue de Garmisch-Partenkirchen pour la capitale bavaroise Munich quand l'accident s'est produit dans la région de Burgrain. Du 26 au 28 juin, les chefs d'Etat et de gouvernement, dont le président américain Joe Biden doivent se rencontrer à Schloss Elmau, à 11 kilomètres de Garmisch-Partenkirchen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

MotoGP: Jorge Martin remporte le sprint au Sachsenring

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Jorge Martin sans rival samedi au Sachsenring (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

L'Espagnol Jorge Martin (Ducati-Pramac) a remporté le sprint du Grand Prix d'Allemagne MotoGP sur le Sachsenring. Il a ainsi renforcé sa place de leader du championnat.

Martin, parti de la pole position, s'est imposé devant le Portugais Miguel Oliveira (Aprilia-Trackhouse). Le podium a été complété par le champion en titre, l'Italien Francesco Bagnaia (Ducati). Grâce à son succès, Jorge Martin compte désormais 15 points d'avance au championnat sur Bagnaia.

Victime d'une violente chute vendredi dans laquelle il s'est cassé l'index gauche et a subi une grosse contusion à la cage thoracique, Marc Marquez (Ducati-Gresini) s'est illustré avec une belle remontée. Seulement 13e sur la grille, le multiple champion du monde espagnol a terminé à un beau 6e rang sur l'un de ses circuits favoris.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Frappes et combats à Gaza, violences à la frontière libanaise

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Des Palestiniens déplacés par l'offensive aérienne et terrestre israélienne sur la bande de Gaza marchent à côté des eaux usées qui s'écoulent dans les rues de la ville méridionale de Khan Younis, dans la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

L'armée israélienne a mené samedi de nouvelles frappes meurtrières et livré des combats au Hamas palestinien dans la bande de Gaza dévastée et assiégée. Dans le même temps, elle a échangé des tirs transfrontaliers avec le Hezbollah au Liban voisin.

Alors que la guerre à Gaza entre dimanche dans son 10e mois, les efforts diplomatiques ont été relancés en vue d'un cessez-le-feu et d'une libération des otages retenus à Gaza, Israël annonçant l'envoi la semaine prochaine d'une délégation pour poursuivre les pourparlers avec les médiateurs qataris.

Ces dernières 48 heures, au moins 87 personnes ont péri dans la petite bande de terre, où sont assiégées par Israël quelque 2,4 millions de personnes dans des conditions jugées "désastreuses" par l'ONU. L'eau et la nourriture y manquent, 80% de la population est déplacée et plusieurs personnes dont des enfants sont mortes de malnutrition d'après les Nations unies.

Samedi, des secouristes ont fait état de dix morts dont trois journalistes locaux dans une frappe aérienne contre une maison dans le camp de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza. Un quatrième journaliste a été tué à Gaza-ville (nord), selon le bureau de presse du Hamas.

Hamas dans les tunnels, selon Tsahal

Les combats se sont en outre poursuivis à Choujaïya, un quartier est de Gaza-ville (nord), où l'armée mène une opération terrestre appuyée par l'artillerie et l'armée de l'air depuis le 27 juin.

Tsahal a affirmé que "des membres terroristes du Hamas ont été éliminés lors de combats" à Choujaïya et fait état de "la destruction d'armes et d'infrastructures" dont des tunnels.

Les soldats poursuivent aussi les combats à Rafah (sud) où selon l'armée "des cellules terroristes ont été éliminées" et "plusieurs tunnels détruits et des armes saisies" avec l'aide de l'aviation.

L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a affirmé que deux de ses employés avaient été tués à al-Bureij (centre) sans autre précisions.

Après neuf mois de conflit, l'armée israélienne a dû de nouveau intervenir dans plusieurs secteurs qu'elle avait dit contrôler, notamment à Choujaïya.

Hezbollah

La communauté internationale dit craindre une extension de cette guerre au Liban, frontalier du nord d'Israël, à chaque intensification des attaques de l'armée israélienne et du Hezbollah dans les zones frontalières.

Le 8 octobre, le Hezbollah pro-iranien a, en soutien au Hamas, ouvert un front avec Israël. Depuis les violences sont quotidiennes.

Samedi, le Hezbollah a annoncé avoir lancé des "drones explosifs contre un site militaire" à Beit Hillel dans le nord d'Israël.

Les sirènes d'alerte ont retenti dans le nord d'Israël, l'armée faisant état de "l'interception d'une cible aérienne suspecte" et de la chute à Beit Hillel "d'appareils hostiles". Son aviation a bombardé des "cibles terroristes du Hezbollah" dans le sud du Liban, selon elle.

Enième effort pour une trêve

Dans ce contexte qui fait craindre un embrasement au Moyen-Orient, de nouveaux efforts sont en cours pour un cessez-le-feu à Gaza, à quelques semaines d'une visite aux Etats-Unis du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui doit s'adresser au Congrès le 24 juillet.

Après la fin des entretiens vendredi au Qatar du chef du Mossad israélien, David Barnea, le bureau de M. Netanyahu a annoncé qu'une équipe poursuivrait "la semaine prochaine" les négociations au Qatar.

Il a fait état d'"écarts" persistants avec le Hamas qui a de son côté annoncé de nouvelles "idées".

Depuis plusieurs mois, les efforts de médiation menés par le Qatar, les Etats-Unis et l'Egypte se heurtent aux exigences des deux camps: Benjamin Netanyahu affirme vouloir continuer la guerre jusqu'à la destruction du Hamas et la libération de tous les otages.

Le Hamas de son côté réclame un cessez-le-feu définitif et un retrait israélien de Gaza avant un accord.

Dizaines de milliers de morts

La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste Hamas dans le sud d'Israël le 7 octobre, qui a entraîné la mort de 1195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes enlevées durant l'attaque, 116 sont toujours retenues à Gaza dont 42 sont mortes.

Israël a juré de détruire le Hamas et lancé une offensive militaire d'envergure sur le territoire palestinien qui a fait jusqu'à présent 38'098, en majorité des civils, selon des données samedi du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas qui a pris le pouvoir dans ce territoire palestinien en 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Alisha Lehmann tente l'aventure du Calcio

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Alisha Lehmann va découvrir le charme de la vie en Italie. (© KEYSTONE/EPA/ALESSANDRO DI MARCO)

Après six ans en Angleterre, Alisha Lehmann tente l'aventure du Calcio. L'internationale suisse s'est, en effet, engagée avec la Juventus.

Au bénéfice d'un contrat qui court jusqu'au 30 juin 2027 avec le club piémontais, Alisha Lehmann évoluait depuis trois ans à Aston Villa. Lors de la saison 2023/2024, elle a inscrit quatre buts pour vingt présences en match officiel.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

RN ou front républicain: le vote débute pour un 2e tour historique

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Le RN de Marine Le Pen et de Jordan Bardella obtiendra-t-il le soutien qu'il réclame? (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

Le "front républicain" formé pour contrer le Rassemblement national fonctionnera-t-il ? Les Français commencent samedi à donner leur réponse, dans les outre-mer et en Amérique, pour un week-end d'élections législatives aux enjeux historiques.

Les électeurs de Saint-Pierre-et-Miquelon, la petite collectivité française de l'Atlantique-nord, sont les premiers appelés aux urnes samedi. Dans l'unique circonscription du territoire où les bureaux de vote ont ouvert à 12h00, un divers droite et un socialiste s'affrontent en duel.

Suivront la Guyane, les Antilles, les Français vivant sur le continent américain et la Polynésie puis la Nouvelle-Calédonie dans la soirée. Les Français vivant en métropole et dans les autres territoires d'outre-mer voteront dimanche.

Au niveau national, rarement des élections législatives auront déchaîné autant les passions, suscité l'anxiété des uns ou l'espoir de ceux qui, en votant pour le parti de Marine Le Pen, veulent donner à sa famille politique la possibilité de gouverner.

Un gouvernement issu de l'extrême droite en France serait une première depuis la Deuxième Guerre mondiale.

Quelques heures avant la fin de la campagne électorale vendredi à minuit et le début d'une période de réserve, plusieurs sondages semblaient montrer un resserrement entre les trois blocs: le RN et ses alliés, l'alliance de gauche Nouveau Front populaire (NFP) et les macronistes.

Dans l'Assemblée nationale qui sortira des urnes dimanche, le RN et ses alliés n'auraient pas la majorité absolue, selon ces enquêtes. Ils en seraient même assez éloignés, avec selon l'Ifop 170 à 210 sièges, et selon Ipsos 175 à 205, pour une majorité absolue fixée à 289 députés. Ils seraient talonnés par le NFP (155 à 185 sièges chez Ifop, 145 à 175 chez Ipsos) et suivis par les macronistes (120 à 150 sièges chez Ifop, 118 à 148 chez Ipsos).

"Parti unique"

Dimanche dernier, après le premier tour remporté avec 33,2%, le parti lepéniste semblait en capacité d'obtenir une forte majorité relative, voire une majorité absolue.

Malgré un léger tassement, il avait réédité sa victoire des élections européennes du 9 juin, qui avait poussé le président Emmanuel Macron à renverser la table en prononçant la dissolution de l'Assemblée nationale.

Pour Marine Le Pen, si les derniers sondages se confirmaient, ce serait le triomphe d'un "parti unique" de "ceux qui veulent conserver le pouvoir contre la volonté du peuple". Le fruit de "magouilles", a renchéri l'un de ses lieutenants Jean-Philippe Tanguy.

Dans les heures qui ont suivi le premier tour, plus de 200 candidats de la gauche et du centre se sont désistés. Et des dizaines de triangulaires, qui semblaient favorables au RN, se sont transformées en duels beaucoup plus incertains.

Partisan de l'union à gauche malgré son opposition à La France insoumise (LFI), l'eurodéputé Raphaël Glucksmann, ex-tête de liste des socialistes aux européennes, a mis en garde contre une démobilisation des électeurs et affirmé que la possibilité d'une majorité absolue pour le parti lepéniste ne pouvait pas être écartée.

"Contrairement à la petite musique qui s'installe, ce n'est pas du tout garanti au moment où on se parle", a-t-il déclaré vendredi soir.

"Aujourd'hui le péril, c'est une majorité dominée par l'extrême droite et ce serait un projet catastrophique", a prévenu le Premier ministre Gabriel Attal, chef de la campagne des macronistes au journal de 20h de France 2 vendredi.

Si le Rassemblement national franchissait la barre des 289 élus, ou s'en approchait, c'est Jordan Bardella, 28 ans, qui entrerait à Matignon. Il deviendrait le plus jeune Premier ministre de l'histoire et mettrait en place le programme anti-immigration prôné depuis des décennies par son parti.

Mais si la gauche et les macronistes parvenaient, avec leur front républicain, à faire échec au RN, il leur faudrait proposer aux Français une solution pour gouverner le pays.

"La carpe et le lapin"

L'idée d'une large coalition rassemblant une partie de la gauche, le bloc central et la droite hostile à un accord avec le RN, a donc émergé. Mais sur quel programme cette alliance décrite par les politologues comme "baroque" ou "de la carpe et du lapin" pourrait-elle s'entendre?

Entre les socialistes qui refusent d'être des "supplétifs" du camp présidentiel, les écologistes qui considèrent qu'une telle coalition doit appliquer le programme du NFP, et des macronistes qui appellent à "faire un pas vers l'autre", l'équation s'annonce complexe et les discussions ardues.

"On est déjà dans la construction d'une coalition qui prend des deux côtés. Les Français peuvent dimanche imposer une coalition républicaine par les urnes", affirmait vendredi un proche d'Emmanuel Macron.

Gabriel Attal a déclaré vendredi que son gouvernement pourrait assurer la continuité de l'Etat "aussi longtemps que nécessaire", c'est-à-dire expédier les affaires courantes en attendant la formation d'un nouveau gouvernement. La question se pose d'autant plus que Paris accueillera les Jeux Olympiques du 26 juillet au 11 août.

La tradition veut que le gouvernement présente sa démission après des élections législatives. Gabriel Attal a fait savoir qu'il s'exprimerait dimanche soir sur ses intentions.

La fin de campagne, dans un climat de grande tension, a été marquée par des agressions et violences envers des candidats ou militants. Face à d'éventuels débordements dimanche soir, 30'000 policiers seront mobilisés, dont 5000 à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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