International
DeChambeau triomphe, McIlroy craque
Bryson DeChambeau a remporté l'US Open dimanche à Pinehurst, à l'issue d'un nouveau final cruel pour Rory McIlroy. Le Nord-Irlandais a en effet commis un bogey fatal sur le dernier trou.
Après 72 trous et 4 jours de compétition sur le parcours piège de Pinehurst, aux nombreux greens en forme de dôme, tout s'est joué sur le no 18, où Rory McIlroy, privé de majeur depuis 10 ans, a connu une nouvelle désillusion.
Excellent pendant 14 trous, l'ex-no 1 mondial avait pris la main avant de commettre trois bogeys sur les quatre derniers trous. Sur le 18, il a manqué un putt d'à peine plus d'un mètre qui semblait facile (après en avoir manqué un de 76 cm au no 16) et aurait envoyé le quadruple vainqueur de majeur en play-off contre DeChambeau.
"Incroyable"
Placé dans la partie suivante, DeChambeau s'est à l'inverse sorti de deux situations pénibles sur cet ultime trou, pour finalement assurer le par et un succès avec un coup d'avance sur McIlroy. Ce dernier, déjà 2e l'an passé à l'US Open, compte ainsi 21 top 10 en majeur depuis sa dernière victoire.
"C'est incroyable", a commenté DeChambeau, qui a empoché une prime de 4,3 millions de dollars, va passer de la 38e à la 10e place au classement mondial, et se voit assuré de disputer les majeurs pendant 5 ans.
"Pouvoir me battre contre un si grand joueur est magnifique. Rater ce genre de putt, je ne le souhaite à personne", a-t-il indiqué. "Je n'ai pas été excellent aujourd'hui (dimanche) mais je me suis bien sorti des mauvaises situations."
Un duo à 2 coups
DeChambeau (30 ans), déjà vainqueur du tournoi en 2020, s'est ainsi offert un deuxième titre majeur. Membre du circuit LIV financé par l'Arabie saoudite, il brille cette saison sur les tournois majeurs, les seuls où les dissidents sont acceptés, avec une 6e place au Masters et une 2e au PGA Championship.
Les Américains Tony Finau et Patrick Cantlay ont partagé la 3e place à deux coups de leur compatriote. Largué dès les premiers tours, le no 1 mondial américain Scottie Scheffler n'a pris, lui, que la 41e place du tournoi à 14 coups du vainqueur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump et Poutine d'accord pour un cessez-le-feu limité en Ukraine
Donald Trump et Vladimir Poutine sont convenus mardi, lors d'un appel téléphonique, d'un cessez-le-feu de 30 jours sur l'énergie et les infrastructures en Ukraine et que des négociations sur le conflit commenceraient "immédiatement".
Ces négociations auront lieu au Moyen-Orient, a annoncé la Maison Blanche dans un communiqué, qui vante l'"immense avantage" d'une "meilleure" relation entre les Etats-Unis et la Russie.
"Le président russe a déclaré qu'il était prêt à travailler avec ses partenaires américains sur un examen approfondi des voies possibles d'un règlement, qui devrait être global, stable et durable", a indiqué le Kremlin dans un communiqué, qualifiant la conversation de "détaillée et franche".
"Arrêt complet" de l'aide militaire occidentale"
Vladimir Poutine a fixé les conditions pour un cessez-le-feu en Ukraine, dont la fin du "réarmement" du pays, a indiqué le Kremlin. Il a réclamé "l'arrêt complet" de l'aide militaire occidentale et du partage de renseignements fourni à l'Ukraine, a indiqué mardi le Kremlin.
"Il a été souligné que la condition clé pour empêcher une escalade du conflit et oeuvrer à sa résolution par des voies politiques et diplomatiques doit être l'arrêt complet de l'assistance militaire étrangère et de la fourniture d'informations à Kiev", a indiqué la présidence russe dans un communiqué à l'issue de l'appel téléphonique entre les deux dirigeants.
"La partie russe a souligné un certain nombre de points essentiels concernant le contrôle effectif d'un éventuel cessez-le-feu sur l'ensemble de la ligne de contact, la nécessité de mettre fin à la mobilisation forcée en Ukraine et au réarmement des forces armées ukrainiennes", a rapporté le Kremlin dans un communiqué.
Echange de prisonniers
La Russie et l'Ukraine procéderont mercredi à un échange de 175 prisonniers de guerre de chaque camp, a annoncé le président russe. "Vladimir Poutine a déclaré que le 19 mars (mercredi), les parties russe et ukrainienne échangeront des prisonniers - 175 personnes contre 175", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Sinner annoncé au tournoi de Hambourg, juste avant Roland-Garros
Suspendu jusqu'au 4 mai après un contrôle positif à un anabolisant, le no 1 Jannik Sinner disputera le tournoi ATP 500 de Hambourg (18-24 mai). Les organisateurs allemands l'ont indiqué mardi.
"Pour la première fois de sa carrière, Jannik Sinner s'alignera à l'Open d'Hambourg 2025", ont-ils annoncé sur le réseau social X (ex-Twitter).
Disputé sur terre battue, le tournoi allemand sera la deuxième épreuve disputée par le no 1 mondial à son retour de suspension. Il est programmé juste avant Roland-Garros (25 mai-8 juin).
Le tournoi de reprise de l'Italien de 23 ans sera le Masters 1000 de Rome (7-18 mai), également sur terre battue, a confirmé l'entourage du triple lauréat en Grand Chelem.
Testé positif en mars 2024 au clostebol, un produit anabolisant, Jannik Sinner a été suspendu trois mois après un accord avec l'Agence mondiale antidopage (AMA), annoncé mi-février.
Décrié par plusieurs figures du tennis mondial comme le Suisse Stan Wawrinka ou l'Australien Nick Kyrgios, cet accord prive l'Italien de quatre Masters 1000 (Indian Wells, Miami, Monte-Carlo et Madrid) mais d'aucun des trois tournois du Grand Chelem devant encore être disputés en 2025.
Depuis le début de l'affaire, Jannik Sinner a plaidé la contamination accidentelle au clostebol, à l'occasion d'un massage prodigué par un membre de son staff.
Une explication retenue par l'AMA, qui a dit en février accepter "que M. Sinner n'avait pas l'intention de tricher, que son exposition au clostebol ne lui a procuré aucun avantage en termes d'amélioration des performances et qu'elle s'est produite à son insu".
L'instance basée à Montréal a néanmoins infligé une suspension de trois mois à Sinner, arguant qu'"un sportif est responsable de la négligence de son entourage."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump et Poutine ont entamé un appel crucial pour l'Ukraine
Donald Trump veut convaincre mardi Vladimir Poutine d'accepter son projet de trêve en Ukraine et s'est déjà dit disposé à parler de "partage" de terres avec son homologue russe, une perspective extrêmement inquiétante pour Kiev.
L'appel, attendu avec anxiété à Kiev et suivi avec une extrême attention par les capitales européennes, a débuté à 10h00 locale à Washington (15h00 heure suisse), selon un conseiller de la Maison Blanche.
La conversation "se passe bien et est toujours en cours", a indiqué Dan Scavino mardi sur X.
Le président américain, qui a engagé depuis son retour à la Maison Blanche un spectaculaire rapprochement avec le maître du Kremlin, avait parlé dimanche de "partages" entre Moscou et Kiev, évoquant des "terres" et des sites de "production d'énergie".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
En Hongrie, adoption d'une loi pour interdire la Marche des fiertés
Le Parlement hongrois a adopté mardi une loi pour bannir la Marche des fiertés. Ce vote marque une escalade dans la politique du Premier ministre nationaliste Viktor Orban visant à restreindre les droits des personnes LGBT+.
Le texte "interdit la tenue d'un rassemblement qui violerait la législation" de 2021, selon laquelle il n'est pas possible de promouvoir auprès des mineurs "l'homosexualité et le changement de sexe".
Soumis seulement la veille, il a été adopté via une procédure exceptionnelle à une large majorité par la coalition au pouvoir soutenue par des députés d'extrême droite (136 voix pour, 27 contre). L'opposition a perturbé le vote en allumant des fumigènes et en diffusant l'hymne russe dans l'hémicycle.
La législation, qui modifie la loi sur la liberté de réunion, vise à garantir que seuls les événements "respectant le droit des enfants à un développement physique, mental et moral correct peuvent avoir lieu". Pour les organisateurs de la parade, prévue cette année le 28 juin, c'est "une étape supplémentaire dans la fascisation de la société".
"Depuis notre enfance, nous devons lutter pour être acceptés et bénéficier de droits égaux. La Marche des fiertés porte ce combat de tous les jours dans la lumière", ont-ils réagi, dénonçant "la tentative du pouvoir de les déshumaniser".
Les participants au défilé s'exposent à une amende pouvant aller jusqu'à 500 euros, somme "qui sera reversée aux fins de protection de l'enfance". Avec la possibilité pour la police d'identifier les contrevenants via des outils de reconnaissance faciale.
Malgré cette menace, les gens "ont envie de venir et d'afficher leur soutien à la communauté", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Marche, Mate Hegedus. "Nous n'allons pas nous laisser intimider par le gouvernement qui cherche un bouc émissaire", a-t-il insisté.
"Sans équivalent dans l'UE"
Enhardi par l'arrivée à la Maison Blanche de son allié Donald Trump, M. Orban ne cesse de durcir son discours et l'arsenal législatif. Il a traité samedi ses ennemis politiques, juges, médias et ONG de "punaises", promettant "d'éliminer cette armée de l'ombre".
Des révisions constitutionnelles sont aussi au programme, dans le but d'expulser les binationaux jugés traîtres à la nation ou encore de stipuler qu'une personne est "soit un homme, soit une femme".
Cette offensive intervient dans un contexte préélectoral tendu, M. Orban faisant face à un défi inédit en 15 ans de règne en la personne d'un connaisseur des arcanes du système devenu farouche critique, Peter Magyar.
"Il est très facile de gagner des voix en restreignant les droits d'une telle minorité dans une société très conservatrice", analyse pour l'AFP Szabolcs Hegyi, de l'association des libertés civiles TASZ.
Même si la loi entend surtout "dissuader les gens de participer", l'expert met en garde contre une interdiction sur le modèle russe, "sans équivalent dans l'UE" et "totalement contraire à la Charte européenne des droits fondamentaux".
Où "va-t-on s'arrêter?", s'inquiète-t-il. Si l'on modifie la liberté de réunion pour "l'adapter à des intérêts politiques, on risque d'arriver à une situation où virtuellement personne ne pourra manifester à l'exception de ceux favorables au gouvernement".
Dans son discours sur l'état de la nation en février, Viktor Orban avait "conseillé aux organisateurs de la Marche des fiertés de ne pas prendre la peine de préparer le défilé de cette année: c'est une perte d'argent et de temps".
Depuis son retour au pouvoir en 2010, le dirigeant proche du Kremlin est accusé par la grande majorité de ses alliés européens d'avoir progressivement porté atteinte à l'État de droit. Ce qui lui vaut plusieurs procédures de la part de Bruxelles et notamment le gel de plusieurs milliards d'euros de fonds européens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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